samedi 28 février 2015

Monaco: disparition mystérieuse d'un boxeur

Les autorités de Monaco ont épluché les caméras de surveillance et inspecté les eaux du port avec des plongeurs, mais un organisateur de tournois de boxe anglais est introuvable depuis une dispute dans un bar de la principauté voici une semaine. L'enquête ouverte mardi dernier par la Sûreté publique de Monaco sur la disparition inquiétante de Michael Graydon n'a débouché sur aucune piste.

Embarrassé, le gouvernement monégasque a reçu vendredi après-midi les parents, la fiancée, maman d'un bébé, la soeur et des proches venus de sa ville de Bristol (sud-ouest de l'Angleterre).
L'ancien boxeur dirige une société qui organise des combats de boxe dans la région de Bristol.

Michael Graydon, âgé de 29 ans, avait été aperçu pour la dernière fois le samedi 21 février à 1h35 du matin alors qu'il quittait l'établissement de nuit "La Rascasse" sur le port Hercule de Monaco. La soirée très avinée, passée en compagnie d'un ami, s'était soldée par une dispute dans les toilettes avec d'autres clients. Michael Graydon longe ensuite seul le port jusqu'à la chapelle Sainte-Dévote, avant d'être perdu de vue par les caméras de surveillance. Michael Graydon n'ira pas comme prévu assister le soir même à la victoire à Monaco du Kazakh Gennady Golovkin, qui a conservé son titre de champion du monde WBA des poids moyens face au Britannique Martin Murray.

Le lendemain, il ne prend pas non plus l'avion du retour.
La sûreté départemental de Monaco a diffusé la photo et la description du boxeur d'1m75 aux cheveux courts châtain-clairs, tatoué sur le haut du corps et les bras, et portant une cicatrice sur la partie droite du front.
La famille se démène pour communiquer sur la page Facebook du disparu et coller des affiches dans la région jusqu'à Nice. Il avait aussi passé une soirée dans un bar de Nice, vingt-quatre heures avant sa disparition à Monaco.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/02/28/97001-20150228FILWWW00078-monaco-disparition-mysterieuse-d-un-boxer.php

Suspectés d'avoir menacé de mort deux auto-stoppeurs dont l'un est Carcassonnais

C’est certain, la convivialité de l’auto-stop en a pris un sacré coup ! Preuve avec ce trajet effectué par deux jeunes, dont un Carcassonnais, lundi soir. Très vite, les deux auto-stoppeurs sont pris à partie par les deux passagers de cette Golf dans laquelle ils sont montés.
Le duo, âgé d’une petite trentaine d’années et passablement éméché, commence alors à insulter ses futures victimes. Les menaçant de « les crever », de « poser des bombes » et les traitant de « sales Français ». Pour achever cette liste non-exhaustive d’amabilités par un cinglant « Allah Akbar ! » pas très pertinent
http://www.lindependant.fr/2015/02/27/suspectes-d-avoir-menace-de-mort-deux-auto-stoppeurs-dont-l-un-est-carcassonnais,1996979.php

Montbéliard : condamné après un accident mortel, il reprend le volant (toujours) sans le permis

Bénéficiant d’une semi-liberté à la suite d’un homicide involontaire, le jeune homme s’est fait contrôler à Audincourt au volant d’un fourgon alors qu’il n’a toujours pas le permis. Trop, c’est trop !
Franchement, il abuse Vincent Prina. Le 4 février 2009, le tribunal de Belfort l’avait condamné pour un homicide involontaire. Il n’avait alors que 18 ans et quelques semaines lorsqu’il s’était rendu responsable d’un accident mortel. Il n’avait pas le permis. En revanche, il conduisait sous l’empire de stupéfiants. La juridiction de la cité du Lion l’avait alors condamné à deux ans de prison dont 18 mois avec sursis.
« Vous avez un palmarès assez important », constate le président Troilo après avoir énuméré les sept mentions figurant au casier judiciaire du jeune homme. « Vous avez été condamné pour avoir donné la mort et vous repassez pour une conduite sans permis », prolonge le président qui enfonce le clou : « De surcroît, vous bénéficiez d’une semi-liberté ». D’un coup d’un seul, l’avenir de Vincent Prina s’obscurcit.
Ce 24 février, le jeune homme se fait contrôler par la police à Audincourt à bord d’un Peugeot Boxer, volé le 18 mars 2014 et ce à la suite d’une rocambolesque histoire (voir encadré).
Lorsque les policiers lui demandent ses papiers, il est dans l’incapacité de présenter son permis. Et pour cause, il ne l’a jamais passé. Pour autant, le garçon réfléchit vite et donne le patronyme d’un cousin, bonne date de naissance à la clé. « Ah, ça, on ne peut pas dire qu’il a un fort esprit de famille chez vous puisque la première personne que vous balancez, c’est votre cousin », enchaîne le président.

« Ne lui faites pas payer éternellement »

« Comme j’étais en semi-liberté, j’ai eu peur. J’ai dérapé mais ça ne se reproduira pas », promet le prévenu. « Pas avant un petit moment, c’est sûr », convient le magistrat qui développe : « On ne peut pas s’asseoir ainsi sur des décisions de justice. Et qui plus est quand on a tué quelqu’un ». Le ton est clairement donné.
Le procureur est au diapason : « C’est inadmissible ! Ce monsieur a fait un choix. Celui de vivre comme il l’entend ». À lui d’en assumer les conséquences. Et pour le représentant du ministère public, cela passe nécessairement par une peine de prison ferme qu’il quantifie à hauteur de six mois.
Me Marion Gonet, l’avocate de la défense, avoue que sa tâche n’est guère facilitée par son client. Elle indique qu’en 2012, il avait entamé des démarches pour passer le permis. Entamé seulement. Comment aurait-il pu en être autrement sachant que Vincent Prina avoue ne savoir ni lire ni écrire ? « Et vous dites être allé à l’école jusqu’à 14 ans ? Vous faisiez quoi à l’école ? » s’enquiert, un tantinet incrédule, le président.
« Cet homicide involontaire est un boulet pour lui. Il a déjà assez payé. Ne lui faites pas payer éternellement », conjure Me Gonet, plaidant pour une alternative à la prison. Elle fait valoir son contrat à durée indéterminée et formule un souhait : qu’on l’aide à apprendre à lire et à écrire.
Sur ce point, il existe une possibilité. Un apprentissage qui pourrait débuter derrière les barreaux. Car c’est bien à la ligne tracée par le procureur que s’est rallié le tribunal. À hauteur de six mois. Contrôlé au volant d’un fourgon volé, c’est à bord d’un autre, propriété de l’administration pénitentiaire, que le jeune homme a été conduit vers la prison.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/02/28/condamne-apres-un-accident-mortel-il-reprend-le-volant-(toujours)-sans-le-permis

vendredi 27 février 2015

Tourcoing : déclarée morte à trois reprises, une retraitée privée de pension

VU SUR... La Voix du Nord - Tuée à trois reprises par les caisses de retraites, la CAF et la Sécurité sociale, Nicole Foutrel, une retraitée de Tourcoing, est pourtant bien vivante. Cette histoire embarrassante l'empêche de toucher sa pension.
Voici une histoire à réveiller les morts. En juillet dernier, lorsqu'elle préparait son dossier pour une retraite prévue au 1er novembre, Nicole Foutrel était loin de se douter qu'elle ne pourrait toucher le moindre centime de pension, comme le raconte la Voix du Nord. Et pour cause, elle a été déclarée morte à trois reprises, par trois organismes différents. En octobre, un mois avant son départ à la retraite, la secrétaire à la direction départementale de l'agriculture à Lille s'inquiète de n'avoir reçu aucune nouvelle de la caisse de retraites CARSAT. Elle décide alors de prendre le taureau par les cornes, et parvient à joindre, en décembre, l'institution financière. Nicole Foutrel apprend alors avec stupéfaction qu'aux yeux de la Sécurité sociale, elle est décédée depuis le 28 août. La première mort d'une longue série.
"J'étais morte une deuxième fois"
La néo-retraitée joint alors la sécurité sociale. L'organisme lui confirme qu'elle n'a pas encore passé l'arme à gauche : "J'ai eu beau leur dire que leur répondant au téléphone j'étais bien vivante, rien à faire." Ayant également travaillé dans le secteur privé, la sexagénaire appelle Humanis. Et là, même son de cloche. L'institution lui explique qu'elle est décédée le 23 juillet : "J'étais morte une deuxième fois", s'étonne Nicole. Dans le doute, Humanis lui demande alors de fournir la preuve qu'elle est en vie : "J'ai dû fournir un certificat de vie. Je n'imaginais pas que ça pouvait exister." Si elle pensait le calvaire terminé, jamais deux sans trois. En janvier 2015, c'est la CAF qui la contacte, et lui annonce qu'elle est une nouvelle fois décédée, en novembre 2014 cette fois-ci. Trois faux décès qui marquent psychologiquement Nicole. En plus de cette mésaventure, elle doit faire face à des soucis de santé. Sa mère étant en fin de vie, elle souhaite passer du temps à son chevet. Mais là encore, tout se complique. On lui demande de choisir entre sa mère et sa situation à régulariser : "On m'a répondu que je devais choisir entre les deux."

Libourne : un homme de 38 ans retrouvé trois mois après sa mort

Alerté par son frère, les gendarmes ont retrouvé son corps à son domicile. Son décès semble être d'origine naturelle
ne autopsie doit être pratiquée dans les prochains jours mais sa mort ne semble pas suspecte. Le cadavre d'un homme, âgé de 38 ans, a été retrouvé aujourd'hui par les gendarmes, rue du Haras à Libourne.
Selon les premières constatations, son décès remonterait à plus de trois mois. Sa banque s'est, dans un premier temps inquiété, qu'il n'y ait plus aucun mouvement sur son compte et a alerté son frère, en début de semaine.
Ce dernier a ensuite prévenu les gendarmes qui se sont dépêchés sur place. Selon une source de la gendarmerie, sa mort serait d'origine naturelle.
http://www.sudouest.fr/2015/02/26/libourne-un-homme-de-38-ans-retrouve-trois-mois-apres-sa-mort-1842500-2780.php

Un homme décède dans l'incendie de sa maison

On craignait le pire à propos de Pascal Demoulin, commerçant à Pexiora, depuis l'incendie qui, la nuit dernière, a ravagé entièrement sa maison, rue des Pénitents. En fin d'après-midi, le corps du malheureux a été retrouvé dans les décombres.
Il était aux environs de 2 heures dans la nuit de mercredi à jeudi quand un important incendie s'est déclaré et a ravagé cette maison d'habitation en plein cœur du village de Pexiora. Une maison appartenant à l'épicier Pascal Demoulin, qu'au village, tout le monde appelait affectueusement «Pascalou». C'est une voisine qui, réveillée par des explosions, a aussitôt prévenu les secours. Les sapeurs-pompiers de Bram, renforcés par leurs collègues de Castelnaudary et des centres de secours d'Alzonne et Carcassonne se sont rendus rapidement sur les lieux . Au plus fort de l'incendie, ils étaient trente-six, sous les ordres du lieutenant Aragou, commandant le centre de secours bramais. Serge Cazenave, le maire de la commune, s'est également rendu sur place. Très vite, la plus grande inquiétude s'était emparée de tous, puisque sans nouvelle de l'occupant des lieux.
L'important brasier a été éteint rapidement, une heure environ, avec les précautions d'usage puisque l'on craignait une propagation du feu aux maisons voisines. Rue des Pénitents toutes les maisons se touchent et il n'est pas rare que des poutres courent d'une maison à l'autre. Une façade de l'habitation en flamme s'est effondrée côté mairie tandis que l'autre côté menaçait d'en faire autant. Impossible de savoir si le terrible incendie avait fait une victime. Les gendarmes chauriens, techniciens en investigations criminelles étaient sur les lieux dès le matin sans toutefois pouvoir procéder aux premiers prélèvements et analyses afin de déterminer les causes du sinistre. Il fallait en effet, auparavant, sécuriser l'habitation et évacuer les décombres, ce à quoi les sapeurs-pompiers se sont attachés. À midi, face au risque important de voir s'écrouler la maison, ils ont été contraints de lever le dispositif pour finalement revenir en début d'après-midi, des fumées laissant craindre une reprise du feu. Pendant ce temps, le maire prenait un arrêté de péril imminent. Finalement aux environs de 17 heures, le corps du malheureux Pexiorannais a été retrouvé dans les décombres et transféré à l'institut médico-légal de Montpellier pour y être autopsié. Depuis quelques années «Chez Pascalou» avait remplacé l'enseigne de l'épicerie de M. et Mme Boyer. Avec son épouse et ses quatre enfants,Pascal s'était installé dans la commune où tout avait bien débuté. Il avait multiplié les services pour attirer de nouveaux clients : poulets rôtis l'été, tournée dans la Piège, tabac-journaux et bien sûr dépositaire de notre titre. La fermeture de la route pour les travaux avait bien entendu affecté son chiffre d'affaires comme pour tous les commerçants de la Grand-rue. Depuis l'affaire était en perte de vitesse. On n'oubliera pas de sitôt le sympathique sourire de Pascalou barré de sa moustache. Pexiora est sous le choc de sa tragique disparition.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=43734&WS=291720_2501986&WA=9537

jeudi 26 février 2015

Saugues (43) : un bâtiment agricole contenant 6 tonnes d'ammonitrate prend feu

Un bâtiment agricole abritant six tonnes d'ammonitrate est en feu, jeudi matin, à Saugues en Haute-Loire. Une trentaines de pompiers sont sur les lieux de l'incendie, équipés d'une dizaine d'engins
Tôt, jeudi matin, un incendie s'est déclaré dans un bâtiment agricole contenant six tonnes d'ammonitrate, à Saugues en Haute-Loire. L'ammonitrate est un engrais azoté, également appelé nitrate d'ammonium. Il se présente sous forme solide, en poudre blanche ou granulés. Il est sans danger à moins d'être...chauffé. Le risque d'explosion dans un espace confiné est grand à partir de 210°C.
Deux maisons d'habitation ont également été touchées par l'incendie. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne/2015/02/26/saugues-43-un-batiment-agricole-contenant-6-tonnes-d-ammonitrate-prend-feu-663193.html

Un cas de méningite chez une fillette de 3 ans

Une méningite a été diagnostiquée ce lundi chez une fillette de trois ans, selon un communiqué de la Ville d'Arles. L'enfant, âgé de trois ans, a été transportée à l'hôpital Nord de Marseille. "Son état évolue favorablement depuis le début de la semaine", indique la Ville.
La fillette est scolarisée à l'école maternelle Jeanne-Géraud, dans le centre-ville. L'enfant n'aurait fréquenté l'école "qu'une matinée dans les 10 jours précédant l'apparition des symptômes" (avant les vacances scolaires, donc).
Mais l'Agence régionale de santé et l'Inspection d'académie ont mis en place un protocole pour les 15 autres élèves de sa classe, une enseignante et un agent municipal, qui consiste en la prise d'un antibiotique pendant deux jours
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3285590/un-cas-de-meningite-chez-une-fillette-de-3-ans.html

Corse: Un hôtel endommagé après un incendie et une explosion

Un hôtel a été endommagé dans la nuit de mercredi à jeudi par un incendie sans doute d'origine criminelle et une explosion, à Zonza, en Corse-du-Sud, a-t-on appris de source proche de l'enquête.
L'incendie --qui a vraisemblablement causé ensuite une explosion, et non l'inverse, comme indiqué dans un premier temps par cette source-- a eu lieu peu avant 3h dans cette commune située à une quarantaine de kilomètres de Porto-Vecchio, a-t-on précisé de même source.

«La drogue, ça suffit», tagué sur le mur de l’hôtel

Aucune charge explosive n'a été découverte sur place. Sur le mur de l'hôtel Clair de Lune, vide au moment des faits, une inscription «Droga Basta» («La drogue, ça suffit») a été retrouvée, comme sur les murs d'un autre commerce appartenant au même propriétaire. Sur cette base notamment, les enquêteurs privilégiaient la piste criminelle pour expliquer l'incendie. Des démineurs, des pompiers et des enquêteurs se sont rendus sur place.
Mercredi, en Haute-Corse, à Corte, un engin explosif qui n'avait pas fonctionné avait été découvert devant un restaurant.
http://www.20minutes.fr/societe/1549979-20150226-corse-hotel-endommage-apres-incendie-explosion

Une mère, au bout du rouleau, veut revoir son fils de 5 ans

C'est une mère de famille au bout du rouleau qui a poussé les portes de La Dépêche. Mathilde Schaeffer, 40 ans, médecin de profession, dont la famille est originaire de Vers, près de Cahors, ne voit presque plus son fils, âgé de 5 ans : «J'ai calculé, je l'ai rencontré moins de trois jours en presque trois ans. La dernière fois, c'était le 24 janvier. Au nom de quoi, je ne peux plus voir mon fils dont l'état de santé dépérit à vue d'œil. Depuis avril 2012, j'ai subi quatorze non-représentations d'enfant dont la dernière juste avant Noël».
Et Mathilde Schaeffer de montrer des photos de son enfant, visiblement très maigre, que nous avons choisi de ne pas diffuser. L'enfant est au centre d'un grave conflit entre la mère et le père aujourd'hui divorcés. Alors qu'elle en avait la garde, la justice a retiré ce droit à Mathilde Schaeffer, le confiant à son père. Pour justifier cette décision, une association Espoir1 a diagnostiqué un syndrome de Munchausen, vivement contesté par la mère qui produit des certificats médicaux en sa faveur : «Je suis traitée comme une grande criminelle alors que je veux juste voir mon fils, participer à son éducation. Je pense être victime d'une machination judiciaire, dans laquelle mes droits sont bafoués. Et pendant ce temps la santé psychique et physique de mon fils se détériore».
Mathilde Schaeffer produit, dans un dossier qui s'épaissit au fil des mois et que traitent désormais les célèbres avocats parisiens, Mes Maisonneuve et Dupont-Moretti, les propos du Dr Bornstein pour lequel «toute séparation d'un jeune enfant d'avec sa maman, pendant plus de deux ans, sera à l'origine de traumatismes et séquelles psychiques graves pour cet enfant». Le cri du cœur de Mathilde Schaeffer n'en est que plus urgent. Et vibrant.
1. Que nous avons essayé de joindre sans succès tout comme l'avocat du père qui ne souhaite pas s'exprimer.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/26/2056395-mere-bout-rouleau-veut-revoir-fils-5-ans.html

mercredi 25 février 2015

Piétonne tuée par un camion à Nice: le drame toujours inexpliqué

Varouny avait 25 ans. Cette jeune kinésithérapeute venue de Belgique s'était installée à Nice l'été dernier, dans le quartier Gorbella. Vendredi, à l'aube de sa vie d'adulte, elle est morte écrasée par un camion durant son travail.
Elle sortait d'un rendez-vous et rejoignait son cabinet. Un drame survenu sous les yeux de dizaines de témoins, effarés.
Cinq jours après, c'est tout un quartier de Nice qui est encore sous le choc après ce drame épouvantable. Et les questions restent nombreuses sur les circonstances et les causes de ce terrible accident.

Le chauffeur, un jeune homme de 21 ans, n'a toujours pas été entendu par les policiers de la brigade des accidents et des délits routiers du commissariat de Nice. Extrêmement choqué par l'accident, il a été conduit au centre des admissions psychiatriques de l'hôpital Saint-Roch. C'est un médecin qui lui a appris la terrible nouvelle du décès de la jeune femme. Les résultats des prélèvements indiquent qu'il n'avait pas bu d'alcool.
La thèse d'un angle mort
Alors que s'est-il passé ? Au stade actuel des investigations, très complexes, le parquet évoque avec prudence la thèse d'un possible « angle mort ».
Le poids lourd, un camion-toupie appartenant à une entreprise de fabrication de béton de Carros, arrivait de l'avenue Comte-de-Falicon et venait de s'arrêter à un feu rouge. Il a redémarré au vert pour tourner à droite et emprunter l'avenue du Ray. Au même moment, la jeune femme a traversé l'avenue du Ray - au feu vert pour les piétons et sur un passage protégé. Le camion ne l'a pas vue et l'a happée avec ses roues arrière lors de la manœuvre, d'où la thèse d'un angle mort.
Les policiers poursuivent leurs investigations pour tenter de comprendre et d'établir avec précision les circonstances du drame.
Un autre accident, dans des conditions en apparence similaires et aux conséquences également tragiques, les mobilise par ailleurs. Un Niçois de 78 ans, happé samedi soir par les roues arrière d'un bus à l'angle des rues Gioffredo et Carabacel alors qu'il traversait sur un passage protégé, a dû être amputé d'une jambe et devait être encore opéré hier.
La thèse d'un angle mort pourrait, là aussi, expliquer l'accident survenu avec une visibilité très réduite à cause de la pluie.
À Nice, les piétons paient un lourd tribut. Les policiers ont en effet constaté, en 2014, 166 accidents impliquant des piétons. Cinq sont décédés et soixante-quinze ont été gravement blessés.
Depuis le 1er janvier 2015, on déplore déjà vingt-deux accidents, avec deux morts et neuf blessés graves.
http://www.nicematin.com/nice/pietonne-tuee-par-un-camion-a-nice-le-drame-toujours-inexplique.2117459.html

mardi 24 février 2015

Un accident entre Trets et Pourrières fait un blessé grave et un blessé léger

A 7h35 ce mardi matin les pompiers des Bouches-du-Rhône ont été appelés pour un accident de la route sur la D 6 E entre Trets (Bouches-du-Rhône) et Pourrières (Var) impliquant une voiture et une camionnette. Ils ont pris en charge deux victimes. Le conducteur de la voiture, éjecté du véhicule est dans un état grave, instransportable par la route. Un hélicoptère de la sécurité civile est en cours d'intervention pour l'acheminer vers un hôpital. Le conducteur de la camionnette est légèrement blessé.
Les routes du Var ont été particulièrement accidentogènes depuis le début de l'année. En janvier, le bilan était de sept morts : quatre automobilistes et trois motards.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/2015/02/24/un-accident-entre-trets-et-pourrieres-fait-un-blesse-grave-et-un-blesse-leger-661541.html

Un blessé grave

Un homme de 62 ans a été grièvement blessé dans une sortie de route hier soir à Lapoutroie. Peu après 22h, sa voiture a plongé dans le fossé de la RD 415. Les sapeurs-pompiers ont dû le désincarcérer. La femme de 56 ans qui l’accompagnait est indemne. Les opérations de secours se sont prolongées jusqu’à minuit
http://www.dna.fr/actualite/2015/02/24/un-blesse-grave

Bloqués dans la pente et sauvés par l'hélicoptère

Un secours s'est déroulé dimanche soir, sous le fil du téléporté qui relie Luchon à Superbagnères, à la hauteur du pylône n° 15. L'hélicoptère est venu de Pamiers pour se porter à la rescousse de deux jeunes pilotes de snowscoot, sorte de snowboard, équipé d'un guidon. Les deux jeunes gens, dont l'un est originaire de Toulouse, se sont retrouvés bloqués dans la pente, sans possibilité d'avancer. Un secours qui s'est déroulé sous les yeux des Luchonnais et des passagers de la télécabine, qui tournait encore. Le récit de l'un des secouristes, l'adjudant Sébastien Cavallero, du peloton de gendarmerie de haute montagne de Luchon.
Comment avez-vous été alertés ?
Par l'un des deux jeunes. Ils ont voulu terminer leur journée à Superbagnères en rejoignant Luchon en hors-piste. Ils se sont donc engagés par Techous, pensant trouver une piste qui les amènerait en bas. Malheureusement, ils se sont un peu perdus, l'un d'entre eux a commencé à paniquer et ils ont décidé de nous appeler, c'était à peu près 17 h 40.
Le secours s'est bien déroulé ?
Parfaitement. La particularité de cette intervention résidait dans le fait qu'elle se déroulait à prés du téléporté, le pilote a dû être prudent en raison des câbles. Il nous a déposés à proximité, nous avons rejoint les deux jeunes gens, nous les avons équipés, puis hélitreuillés. L'opération s'est déroulée vers 19 heures et nous avons encore trouvé sur le chemin deux surfeurs qui descendaient eux aussi vers Luchon, alors que la nuit était en train de tomber.
Des pratiques à éviter ?
Il est important de dire une nouvelle fois qu'il ne faut pas s'engager sur des itinéraires que l'on ne connaît pas. C'est la particularité de la montagne de Superbagnères, les chemins y sont nombreux, mais tous ne mènent pas à Luchon. Il y a des endroits dangereux et lorsqu'on ne connaît pas, mieux vaut s'abstenir. Ici, l'histoire se termine bien. Les deux jeunes ont eu plus de peur que de mal. Ils ont eu beaucoup de chance.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/24/2054583-luchon-bloques-dans-la-pente-et-sauves-par-l-helicoptere.html

lundi 23 février 2015

Accident lors d'une course poursuite entre la police et un voleur de voiture dans l'Aisne

Dans la soirée du dimanche 22 février, une voiture de police a percuté un autre véhicule, déclaré volé, lors d'une course poursuite dans l'Aisne. Le conducteur, soupçonné de vol, a été blessé.
L'accident a eu lieu vers 21h50 ce dimanche 22 février. Il impliquait des policiers et l'auteur présumé d'un vol de voiture.

Le véhicule, déclaré volé à Amiens le jour-même, avait été repéré à Laon un peu plus tôt dans la soirée. L'automobiliste, refusant d'obtempérer, avait été pris en chasse par deux policiers.

Sur la route départementale D551, entre Pinon et Vauxaillon, le conducteur de la voiture volée, âgé de 35 ans, aurait mal négocié un virage et heurté un arbre. Le véhicule des forces de l'ordre l'aurait ensuite percuté par l'arrière.

L'homme poursuivi, blessé d'une fracture à la jambe, a été transporté au centre hospitalier de Soissons.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2015/02/23/une-course-poursuite-dans-l-aisne-entre-une-voiture-de-police-et-un-autre-vehicule-fait-un-blesse-660907.html

Gironde : un septuagénaire blessé après le crash de son ULM

L'accident s'est produit à Fontet, à côté de La Réole. L'homme, dont le pronostic vital n'est pas engagé, a été conduit à l'hôpital de Langon
Son pronostic vital n'est pas engagé. Un septuagénaire de Loupiac-de-la-Réole a été conduit à l'hôpital de Langon dimanche après midi après le crash de son ULM (ultra-léger motorisé).
Selon les premiers éléments dont disposent les gendarmes, l'homme était seul à bord de d'ULM pendulaire quand l'appareil a eu une panne de moteur. Le pilote a donc tenté un atterrissage d'urgence.
L'ULM a perdu de l'altitude et chuté dans un champ au lieu-dit Laborde à Fontet. Les secours sont arrivés rapidement sur les lieux.
http://www.sudouest.fr/2015/02/22/gironde-un-septuagenaire-blesse-apres-le-crash-de-son-ulm-1837851-2780.php

Un cycliste retrouvé mort dans un fossé

Ce lundi matin, un cycliste a été retrouvé mort dans un fossé de la commune de Villecroze (Var) près de Salernes, rapporte le site de France 3.

L'homme est âgé d'une soixantaine d'années. Selon les premières constatations, il serait décédé d'un arrêt cardiaque.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3281110/un-cycliste-retrouve-mort-dans-un-fosse.html

Pyrénées-Orientales : Damien et Nicolas, frères à la vie, à la mort

A Amélie-les-Bains, Damien et Nicolas Delmer sont jumeaux jusque dans la maladie, la mucoviscidose. Ils s'invitent dans le débat sur la fin de vie.
"Là, j'ai du mal à parler, je suis épuisé." Ce mercredi matin, Damien Delmer, 35 ans, parle et parle pourtant encore dans ce pavillon baigné de soleil qui surplombe la Têt, à Amélie-les-Bains (Pyrénées-Orientales). Quand il ne peut plus, son frère Nicolas prend le relais dans un subtil passage de témoin, et l'histoire de trente-cinq ans de vie avec une maladie génétique incurable et dégénérative se construit comme dans ce livre publié ensemble, Frères jusqu'au dernier souffle, sorti le 29 janvier aux éditions XO, qui s'invite dans le débat sur la fin de vie.
Tremblements. Hémorragies. Crise d'allergie.
De l'écrit à l'oral, la même histoire dite ou écrite avec des mots justes. En 200 pages, le récit est plus détaillé : on y suit les jumeaux depuis la naissance, lorsque le diagnostic de la mucoviscidose tombe. A 5 ans, à 9 ans, à 13 ans, à 15 ans, 19 ans, 23 ans... en famille, de l'école à l'université, à la mer, au judo, et toujours la “muco”. L'hôpital. Les rechutes. Les effets secondaires. Les symptômes inattendus. Tremblements. Hémorragies. Crise d'allergie. La liste hallucinante des traitements et des médicaments. "On raconte un millionième de nos souffrances", disent-ils. Sans pathos, avec une belle énergie qui masque la profondeur d'une douleur physique et psychologique dont ils explorent tous les jours de nouvelles "limites acceptables". Comme ils repoussent les frontières de la vie, les médecins avaient prédit qu'elle s'arrêterait à 17 ans.
http://www.midilibre.fr//2015/02/22/freres-a-la-vie-a-la-mort,1127119.php

dimanche 22 février 2015

Moto renversée en Gironde : un appel à témoin est lancé

Un adolescent a été retrouvé inconscient à côté de son deux-roues cours Aristide-Briand, à Pessac. Son pronostic vital est engagé
En l'absence de témoin, les policiers peinent dans leur enquête. Vers 23 heures, vendredi, un Pessacais de 16 ans a été retrouvé inconscient, allongé sur la voie publique à côté de sa petite moto renversée, cours Aristide-Briand à Pessac. Malaise ? Perte de contrôle du deux-roues sous le vent et la pluie ?
L'adolescent ne porte pas trace d'un choc, ce qui semble exclure toute collision avec un automobiliste.
Il a été transporté d'urgence à l'hôpital Pellegrin où il a été placé en coma artificiel. Son pronostic vital était engagé samedi.
Toute personne ayant assisté à la scène ou pouvant éclairer les enquêteurs peut se faire connaître au 05 57 85 77 77.
http://www.sudouest.fr/2015/02/22/moto-renversee-en-gironde-un-appel-a-temoin-est-lance-1837595-3034.php

Circulation. L'A43 réouverte à la circulation dimanche matin

L'autoroute sera restée inaccessible pendant 13 heures. Fermée samedi vers 15 heures, l'A43 a été réouverte dimanche matin. Des chutes de neige et une très forte affluence: la journée de samedi, classée noire par Bison Futé et orange par Météo France, a viré au cauchemar pour des milliers d’automobilistes bloqués sur la route des vacances.
L'A43 a été réouverte à la circulation vers 4h dimanche matin.
La circulation de tous les véhicules est de nouveau possible sur A43 en direction des stations entre Saint-Quentin et Chambéry et sur l'A48 entre Voreppe et Coiranne dans le sens Lyon vers Grenoble. Après une journée de galère, le trafic est fluide sur tous les axes ce matin.

Dans la nuit,  des centres d'hebérgement d'urgence ont été mis en place pour accueillir les naufragés de la route à Bourgoin-Jallieu, la Tour du Pin - Saint Quentin-Fallavier, l'Isle d'Abeau  dans le Nord-Isère et à Saint-Bonnet-de-Mure dans le Rhône.

Les trois principales autoroutes permettant de rejoindre les stations alpines depuis Lyon via Annecy, Chambéry et Grenoble - l’A40, l’A43 et l’A48 - avaient été coupée samedi  lors de ce chassé-croisé, provoquant des trajets à rallonge, parfois interminables - de très nombreux usagers n’étaient toujours pas tirés d’affaire vers 21H00.

A 20H30,  samedi, on comptabilisait encore 70 km de bouchons en Rhône-Alpes, contre un pic de 230 km à 13H00, selon le Centre régional d’information et de coordination routière (CRICR).
Les principaux problèmes se concentraient sur l’A43 dans le sens Lyon vers Chambéry. Les autorités ont décidé dans l’après-midi de fermer cet axe au niveau du péage de Saint-Quentin-Fallavier près de Lyon. Les automobilistes souhaitant rejoindre Chambéry ont dû faire demi-tour et entreprendre un gros détour par le sud, via l’A7 jusqu’à Valence, avant de remonter sur Grenoble via l’A49 puis Chambéry par l’A41S.
L’A40, qui permet d’entrer en Haute-Savoie, avait été coupée dans la matinée, puis ce fut le tour de l’A48 qui conduit à Grenoble, en raison de la neige - jusqu’à 10 centimètres sont tombés à une altitude de 500 mètres et jusqu’à 20 centimètres au-dessus de 1.000 m - et de l’intensité du trafic.
La zone B (Aix-Marseille ou Lille) a entamé ce samedi ses vacances d’hiver, tandis que les Franciliens, inclus dans la zone C (Paris, Versailles, Créteil), entrent dans leur deuxième semaine de vacances. Mais celles-ci se terminent pour la zone A (notamment les académies de Lyon et Grenoble).
Luge et boules de neige pour patienter
«On a fait 110 km en huit heures», a raconté Alexandre Renard, étudiant originaire de Caen. Parti à 10H00 de la station de ski des Deux Alpes (Isère), il es resté coincé sur l’A48 jusqu’à 19H00, près du col de la Rossatière.

«Pourtant, ça fait cinq heures qu’il ne neige plus. Il y a des gens qui font des batailles de boules de neige sur l’autoroute, d’autres qui mettent leurs chaînes. C’est le foutoir», a-t-il ajouté.
Les naufragés de la route avaient été évacués de l’A48 samedi soir, selon la préfecture de l’Isère.

Sur l’A43, Véronique Chandelier, originaire du Calavados, est restée bloquée deux heures avec sa fille et son mari sur l’A43. «On a fait des boules de neige, un bonhomme, de la luge puis on a redémarré. On a fait 500 mètres et depuis plus rien», a raconté la vacancière de retour de La Clusaz (Haute-Savoie).
Sur l’A40, coupée en matinée, Nathalie Coutand est restée sans avancer pendant plus de six heures sur une aire de l’autoroute avant de reprendre la route pour Clisson (Loire-Atlantique) vers 15H30.
La journée était classée noire dans le sens des départs par Bison Futé, et orange par Météo-France dans l’Ain, l’Isère, la Savoie, la Haute-Savoie et les Hautes-Alpes. La perturbation neigeuse devait se décaler plus à l’est vers les hauts massifs alpins dans la soirée, selon les prévisions.
Un train effectuant la liaison Grenoble-Gap, avec 50 passagers à bord, a également été bloqué par la neige sous le col de Lus-la-Croix-Haute, en Isère. Les passagers devaient être évacués par les pompiers puis hébergés dans un salle du village, selon la SNCF. Par ailleurs, l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry a fonctionné au ralenti samedi, plus de 70 vols étant retardés.
Évelyne Le Béhérec est ainsi restée coincée plus de six heures dans un avion EasyJet pour Nantes. «Depuis ce matin, on nous dit "vous allez être dégivrés et rien ne se passe"», s’énervait-elle. Prévu pour 10H50, l’avion a finalement décollé à 17H30
http://www.leprogres.fr/loire/2015/02/21/un-samedi-noir-annonce-sur-les-routes-de-la-region

samedi 21 février 2015

Adolescente tuée dans un accident de voiture en Gironde : son jeune chauffeur écroué

Le 8 décembre 2013, une adolescente est décédée dans un accident de voiture. Le conducteur avait bu, fumé et roulait vite. Il a été condamné à trois ans de prison
«Ça va très bien mon papa. » Le texto est daté de 0 h 45, le 8 décembre 2013. Conclu par un smiley, il contient les derniers mots d'Amandine à son père. À 6 h 47, elle n'a pas répondu à son SMS inquiet de ne pas la voir de retour. À 7 h 01, il apprenait son décès dans un accident de la route survenu à Lanton.
Le conducteur du véhicule à bord duquel elle avait pris place était jugé vendredi pour homicide involontaire par le tribunal correctionnel de Bordeaux. Ce soir-là, il avait bu de la vodka, fumé des joints et roulait trop vite. À 120 km/h au lieu de 50.

Il se pensait en état de conduire

En plein milieu d'une courbe, la Mercedes a quitté la route, percuté un mur et fini sa course contre une rambarde de pont. Passagère avant, Amandine, 17 ans, est décédée sur le coup. Le conducteur et les deux autres passagers ont été grièvement blessés.
Raccroché à la barre, Michaël Baleste, 24 ans, ne sait pas, ne comprend pas, esquive, pleurniche, essuie ses larmes d'un revers de manche de blouson. Il en pinçait pour Amandine. A-t-il voulu l'impressionner au volant de son puissant véhicule ? Il se pensait en état de conduire, évoque une plaque de verglas ou de gazole sur la chaussée.
Il baisse les yeux devant les clichés qui montrent l'état du véhicule après le choc. « Depuis ce jour, je me sens coupable. C'est dur de se dire que tout le monde vous fait confiance et qu'en cinq secondes plus personne ne vous parle. » « Je n'ai pas revu ma fille », témoigne, tremblant, le père d'Amandine. Il garde en tête l'image des gyrophares, des secours. « Elle n'a pas fêté ses 18 ans, ni son bac qu'elle espérait avoir avec mention. Cette vie volée, ça aurait pu être évité. »

« Roulette russe »

« La conduite du prévenu a fait un mort et beaucoup de blessés », plaide Me Didier Leick, un des avocats de la partie civile. Il ne parle pas seulement de l'art de piloter. « L'accident est un événement fortuit, mais là, il n'y a pas de hasard. » « Il a joué à la roulette russe », accuse Me Dabia Bey. Pour Me Mehana Mouhou, qui épaule « une mère abîmée, en miettes », « ce n'était pas le chauffeur mais le chauffard de ces dames ».
« Il ne voulait pas la tuer, mais il a tout fait pour », résume le vice-procureur Jean-Louis Rey. Le magistrat accable un peu plus les parties civiles, renvoyant chacun à ses responsabilités. « Tout le monde avait bu, personne ne l'a empêché de prendre le volant. Ce n'est pas un délinquant, mais il doit se racheter. » Il requiert une « peine d'expiation » de quatre ans dont deux avec sursis et un mandat de dépôt.
Me Éric Grosselle s'insurge contre « cette loi du Talion. La justice ce n'est pas la vengeance ». L'avocat assure que le prévenu « souffre tous les jours qu'il soit ou non en prison. Pour toujours, il est celui qui a tué la petite Amandine ». Il a même gravé les initiales de l'adolescente sur une chevalière qui ne quitte pas son auriculaire. Le conseil conteste le rapport d'expertise et sa vitesse excessive. « Tout cela est incertain. »
Après en avoir délibéré, le tribunal a condamné Michaël Baleste à trois ans ferme et a ordonné son incarcération immédiate. Mécontent, las et chagriné, son frère s'en est alors pris au vice-procureur en l'insultant. Il a été placé en garde à vue pour outrage.
http://www.sudouest.fr/2015/02/21/un-jeune-chauffard-ecroue-a-l-issue-de-l-audience-1836409-2780.php

Voiture percutée par un train : un blessé

Selon le parquet du procureur de la République de Strasbourg, il s’agirait d’une tentative de suicide. L’automobiliste, une femme originaire du secteur, aurait volontairement immobilisé sa voiture sur la voie ferrée.
La collision s’est produite vers 16 h au passage à niveau n° 46. La conductrice, coincée à l’intérieur de son véhicule réduit à l’état d’épave, a été extraite par sapeurs-pompiers intervenus en nombre sur place. La victime a été transportée au centre hospitalier de Hautepierre à Strasbourg. Les 33 passagers et le conducteur du TER sont indemnes. De nombreux gendarmes étaient sur place pour sécuriser les lieux et procéder aux constatations.
La circulation des TER sur la ligne Strasbourg-Lauterbourg a été coupée dans les deux sens le temps des opérations de secours.
http://www.dna.fr/edition-de-haguenau/2015/02/20/voiture-percutee-par-un-train-un-blesse

Il tente de voler le véhicule lors d'une transaction et prend la fuite avec

C'est une affaire peu banale qui s'est déroulée dans la soirée du 18 février. Un propriétaire (originaire de Perpignan) d'une Audi TT d'une valeur de 32 000 €, qui vendait sa voiture sur le Bon Coin, entre en contact avec un acheteur potentiel qui affirmait être de Toulouse. L'acheteur et le vendeur se donnent rendez-vous à mi-chemin, à Narbonne.
Les deux individus font le tour logique du véhicule, ouvrent le capot, le futur acheteur profite alors d'un moment d'inattention du propriétaire pour prendre la fuite au volant de la voiture. Ce dernier s'accroche alors au capot qui est resté ouvert et dans lequel il se retrouve coincé, le conducteur tente alors de le faire tomber, mais au moment d'une troisième embardée, le véhicule percute le véhicule d'un couple de Vinassanais qui arrivait en face, route de Lune, la passagère de ce second véhicule a le poignet cassé du fait de la collision frontale.
L'auteur et voleur du véhicule prend la fuite, mais pris de remords, en soirée, et pensant avoir tué le vendeur de la voiture lors de la collision, se rend au commissariat de Béziers.
Il s'agit en fait d'un habitant de Saint-Thibéry (34), il sera placé en garde à vue prolongée et fera l'objet d'une comparution immédiate lundi à 15 heures devant le magistrat.
Le propriétaire de la voiture a été miraculeusement indemne.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/21/2053106-tente-voler-vehicule-lors-transaction-prend-fuite.html

Un père enlève son fils et s'envole au Pérou

J'ai fait le choix d'emmener mon fils loin des tensions, je reconnais que c'était absurde. J'étais tellement perdu». Hier, un père comparaissait devant le tribunal correctionnel de Foix. Ce que lui reproche la justice ? L'enlèvement de son fils en février 2008. À cette époque, le couple est séparé et c'est la maman qui a la garde de leur petit garçon, alors âgé de 4 ans. Aux vacances d'hiver, comme cela a été décidé par le juge des affaires familiales, le père récupère son enfant pour quelques jours. Mais les jours se transforment en mois. À la fin de la période fixée, la maman - qui vit en Ariège - n'a plus de nouvelle de son enfant. Elle porte plainte. Écoutes téléphoniques, surveillance de l'entourage du père, les services de police mènent l'enquête. Les analyses des comptes bancaires de Y.M. révéleront un retrait de 13 000 euros en novembre et un crédit contracté à la même période de 9 000 euros. «Préméditation» demande la juge unique ? «Non, je voulais offrir de belles vacances à mon enfant, répond le père. Je pensais partir vers Noël mais j'ai hésité». L'enquête permet de retrouver la trace du père fugitif. L'homme, son enfant sous le bras, s'est rendu à Madrid, là, ils ont pris l'avion, direction Lima, au Pérou.

«Je savais que j'étais recherché»

Là-bas, il se présente comme un professeur de mathématiques belge. Avant de partir, il a confié sa carte bleue à une amie pour qu'elle lui envoie de l'argent. Pour ces faits, elle sera condamnée par la justice pour complicité. «Mon frère m'a appris la situation en France par courriel. Dès début mars, je savais que j'étais recherché, que tout cela allait se terminer. Mon fils savait qu'il allait la revoir sa maman. J'ai vécu des moments en paix avec lui, il était heureux.» En France, la mère vit «un calvaire», selon son avocate Me Lydie Delrieu. Dès juin 2008, la justice retire son autorité parentale au père. Interpol intervient. L'homme est interpellé puis libéré car l'extradition depuis le Pérou est impossible. Le petit garçon est rendu à sa mère. En 2009, le père est condamné par défaut à deux mois d'emprisonnement et un mandat d'arrêt est lancé. «En décembre 2013, mon fils (qui avait alors presque 10 ans ndlr) m'a appelé par ses propres moyens. Ma mère lui avait donné mon numéro de téléphone. Il m'a posé des questions sur moi. Je veux tout faire pour recréer le lien.» En août 2014, l'homme revient sur le territoire français, et s'installe dans la région d'Annecy. Il est soumis à un contrôle judiciaire deux fois par semaine et il a interdiction de contacter la maman et l'enfant.
Dans son réquisitoire, Olivier Caractoch, procureur de la République, dénonce «un acte de propriété exclusive, pas un acte d'amour. Nous sommes là face à un dossier atypique, qui a nécessité une importante mobilisation des services de police. En juin 2008, il y avait une inquiétude extrême sur le devenir de l'enfant. (...) Il faut vraiment que le prévenu prenne une totale et absolue conscience de ce qu'il a fait.» L'homme a été reconnu coupable par la justice et écope de deux ans d'emprisonnement avec sursis, de cinq ans d'interdiction de quitter le territoire. Il devra aussi verser 5 000 euros à la maman au titre de préjudice moral et 5 000 euros pour le préjudice matériel.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/21/2053383-un-pere-enleve-son-fils-et-s-envole-au-perou.html

vendredi 20 février 2015

Deux personnes âgées percutées par une voiture à Voreppe, en Isère

Les circonstances ne sont pas encore clairement établies mais un couple de personnes âgées a été victime d'une voiture avenue André Malraux, à Voreppe, ce jeudi 17 février, vers 16 heures
Le conducteur, seul à bord, a percuté un homme de 80 ans et une femme de 76 ans en faisant une marche arrière. Les deux personnes âgées sont tombées sur la chaussée, ce qui leur a causé des blessures légères, mais qui à un âge avancé peuvent porter à conséquence. Dépêché sur place, le SMUR a décidé d'hospitaliser en urgence l'homme qui était blessé au bassin. Son transport a été assuré jusqu'au CHU de Grenoble-La Tronche où il a été pris en charge. Son épouse, moins touchée, a aussi été accueillie à l'hôpital.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/02/19/deux-personnes-agees-percutees-par-une-voiture-voreppe-en-isere-659013.html

Un adjoint au maire d'Aleu meurt lors d'un accident de tracteur

Le village d'Aleu est en deuil. Mercredi soir, Alban Sentenac, deuxième adjoint au maire de ce petit village du Couserans, situé entre Saint-Girons et Massat, est décédé dans un accident de la circulation.
Le drame s'est noué vers 19 h 30. Selon nos informations, l'élu, âgé de 64 ans, était au volant de son tracteur lorsqu'il en a perdu le contrôle pour une raison indéterminée. L'engin a alors quitté la chaussée et s'est immobilisé après avoir effectué plusieurs tonneaux, écrasant son conducteur.
Une deuxième personne, dont l'identité n'a pas été communiquée, a été blessée, assez grièvement semble-t-il, dans cet accident. Cette victime était passagère du tracteur. Elle a été évacuée vers le centre hospitalier Ariège Couserans (Chac), à Saint-Girons, pour y subir des soins.
Il s'agirait d'une personne qui effectuait un stage dans l'exploitation agricole d'Alban Sentenac. Ce dernier était installé sur le hameau de «Galas-d'en-Haut» où il élevait un important troupeau de bovins.
L'annonce du décès de l'adjoint au maire André Vidal a d'autant plus ému dans le village d'Aleu que l'accident qui a coûté la vie à Alban Sentenac s'est, selon nos informations, produit à l'endroit exact où, cet été, son gendre avait été grièvement blessé suite à un accident de la circulation. Depuis, Alban Sentenac était donc seul pour gérer son exploitation.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/20/2052714-adjoint-maire-aleu-meurt-lors-accident-tracteur.html

jeudi 19 février 2015

Cadavre/lac landais: enquête criminelle ouverte

Le parquet de Mont-de-Marsan a ordonné l'ouverture d'une enquête "criminelle" après la découverte d'un corps non identifié, hier, dans un lac proche de Soustons (Landes), a indiqué aujourd'hui une source proche de l'enquête, confirmant une information du journal Sud Ouest.

Le cadavre est en cours d'identification et "on s'oriente sur une enquête de nature criminelle", a rapporté la même source. Le Parquet de Mont-de-Marsan s'est refusé à tout commentaire pour l'instant.

Les recherches dans le lac faisaient suite à la disparition d'un Landais de 31 ans domicilié à Seignosse (Landes), Stéphane Pasturel. "Le corps retrouvé pourrait effectivement être celui de Stéphane Pasturel", selon cette source proche de l'enquête.

L'homme n'avait plus donné de nouvelles à sa famille après son départ du domicile, le 28 janvier dernier.

Après la découverte de la voiture de Stéphane Pasturel abandonnée à Bayonne, la gendarmerie des Landes avait diffusé un avis de recherche sur son profil Facebook le 3 février, dans le cadre d'une enquête pour disparition inquiétante.

C'est l'audition de deux personnes, actuellement en garde à vue sur le secteur de Dax dans le cadre de l'enquête diligentée par le pôle de l'instruction de Mont-de-Marsan et conduite par les gendarmes de la section de recherches de Pau, qui avait conduit des plongeurs à sonder le lac.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/02/19/97001-20150219FILWWW00156-cadavrelac-landais-enquete-criminelle-ouverte.php

Collision entre deux poids lourds sur l'A26 à Montaigu

L’accident s’est produit peu après 5 heures ce jeudi matin sur l’A 26 dans le sens Reims-Laon à hauteur de Montaigu. Un poids lourd qui se trouvait sur la bande d’arrêt d’urgence a été percuté par un autre camion qui a éventré sa remorque.
Cet accident n’a pas fait de blessés. La collision n’occasionne pas de gêne à la circulation qui s’effectue sur la voie de gauche. Celle de droite sera neutralisée jusqu’à la fin de la matinée afin d’évacuer les véhicules accidentés et leur chargement
http://www.lunion.com/399058/article/2015-02-19/collision-entre-deux-poids-lourds-sur-l-a26-a-montaigu

mercredi 18 février 2015

Crash d’un avion de tourisme dans le Pilat

A 15h30, sur la commune de Colombier, lieu-dit la Sarazinnière, un avion de tourisme avec au moins une personne à bord s’est écrasé pour une raison indéterminée.
De nombreux services de secours de Saint-Etienne et de la vallée du Gier sont mobilisés

http://www.leprogres.fr/actualite/2015/02/18/crash-d-un-avion-de-tourisme-dans-le-pilat

Pyrénées-Atlantiques: une famille ensevelie sous une avalanche retrouvée vivante

Une famille ensevelie par une avalanche spontanée, alors qu'elle se promenait mardi après-midi près de la station de ski de Gourette (Pyrénées-Atlantiques), a pu être retrouvée vivante par les secours.
Une famille ensevelie par une avalanche spontanée, alors qu'elle se promenait mardi après-midi près de la station de ski de Gourette (Pyrénées-Atlantiques), a pu être retrouvée vivante par les secours, a-t-on appris auprès de la préfecture des Pyrénées-Atlantiques.
"La famille originaire de Pau, le père, la mère et leurs deux filles âgées de 8 et 6 ans, ont pu être extraits rapidement. Ils sont hors de danger", ont indiqué les services de la préfecture à l'AFP. Deux membres de la familles sont blessés et ont été transportés à l'hôpital de Pau, a-t-on précisé de même source, sans pouvoir donner davantage de
précision sur leur état de santé.
Ce sont deux témoins de l'accident qui ont averti les secours vers 17h00. L'avalanche spontanée s'est produite sur une route fermée à la circulation mais pas aux promeneurs, à environ 300 mètres de la station. Dix-huit pompiers, une équipe cynophile, deux ambulances et quatorze militaires du Peloton de Gendarmerie de Haute Montagne (PGHM) d'Oloron Sainte-Marie ont participé aux opérations de sauvetage.  
La même station de ski a été littéralement coupée du monde après des chutes de neige la semaine dernière. Sur place, un groupe électrogène avait même été installé pour faire fonctionner les remontées mécaniques.  
 

mardi 17 février 2015

Un camion chargé de bouteilles de gaz se couche sur la route à Saint-Blaise-du-Buis (Isère)

C'est sur la route de Charavines que l'accident a eu lieu. Un camion transportant des bouteilles de butane et propane, pour assurer la distribution, s'est couché après une embardée. Le conducteur n'a pas été blessé mais, en raison du risque, les pompiers ont établi un périmètre de sécurité et la route a été temporairement fermée à la circulation. Avec un explosimètre, les sapeurs ont passé le secteur "au peigne fin" et aucune fuite n'a été détectée. Le relevage prendra sûrement plusieurs heures car il va falloir prendre la cargaison en charge. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/02/17/un-camion-charge-de-bouteilles-de-gaz-se-couche-sur-la-route-saint-blaise-du-buis-isere-656857.html

Perpignan : Une mère et son nourrisson désincarcérés par les pompiers

C'est un très grave accident de la circulation auquel les pompiers de Perpignan ont dû faire face lundi soir.
Vers 23h30, ils sont appelés boulevard Docteur Desnoyer. Une voiture a heurté un premier obstacle avant de venir s'encastrer dans un poteau. A son bord, une femme de 37 ans et un nourrisson de 4 mois.
Les deux victimes sont incarcérées dans le véhicule, les pompiers devront découper le toit pour réussir enfin à désincarcérés la mère et son bébé. qui seront pris en charge par deux équipes du SAMU.
Les deux blessés ont été transportés dans un état jugé très sérieux au centre hospitalier de Perpignan.
http://www.lindependant.fr/2015/02/16/un-homme-decede-dans-l-incendie-de-sa-maison-pres-de-perpignan,1992680.php

Un camion de bois perd son chargement sur l'autoroute A64

Hier matin, vers 11 heures, un ensemble routier qui transportait de grosses billes de bois a perdu son chargement sur l'autoroute A64 au niveau de l'échangeur de Tarbes-Ouest. Selon les premiers éléments de l'enquête, le camion avait chargé les grumes à Loubajac, et s'apprêtait à s'engager sur l'autoroute en direction de Toulouse quand, juste après la courbe de l'échangeur, sans doute à cause d'un problème d'arrimage des grumes, ces dernières se sont déversées sur la chaussée, détruisant au passage le rail central, totalement broyé sous le poids des énormes billes de bois. Et le pire a été évité de justesse, puisqu'une des grumes, qui s'est retrouvée sur l'autre voie de circulation, a, dans sa chute, endommagé une voiture qui circulait dans l'autre sens. Par chance, son conducteur n'a pas perdu son sang-froid et a maintenu la voiture sur la chaussée, et n'a pas été blessé. Mais on imagine sa frayeur… Et on imagine aussi les conséquences si les grumes s'étaient écrasées sur d'autres véhicules qui doublaient le camion au moment où il les a perdues…
Rapidement, les gendarmes du peloton motorisé de l'autoroute et les agents des ASF ont sécurisé les lieux, en bloquant dans un premier temps le trafic, le temps que le camion, doté d'une grue, puisse recharger ses grumes, puis en le réduisant à une seule voie, alors que les agents d'ASF nettoyaient la chaussée. La circulation est redevenue normale en début d'après-midi.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/17/2050653-le-camion-de-bois-perd-son-chargement-sur-l-autoroute.html

lundi 16 février 2015

Jean-Luc Lahaye se retire de la tournée Stars 80

Suite à sa convocation pour corruption de mineurs début février, le chanteur Jean-Luc Lahaye a décidé de lui-même de suspendre sa participation à la tournée Stars 80. "Jusqu'à ce que son honneur soit rétabli", dit-il.
Le 12 février, l'on apprenait que le chanteur Jean-Luc Lahaye était à nouveau convoqué dans une affaire de corruption de mineurs. Cette fois-ci, l'affaire concernait une corruption de mineure de moins de 15 ans au moyen d'un réseau de communication électronique. Le chanteur se défend de n'avoir jamais "corrompu la moindre mineure".
Seulement, cette affaire n'est pas sans rappeler une autre aux mêmes tenants en 2007 où il avait été condamné pour avoir eu une relation avec une mineure de moins de 15 ans.
Selon le site de Jean-Marc Morandini, le chanteur a décidé de se retirer de la tournée en accord avec les prodcuteurs de la tournée et du film Stars 80.
Il cite un communiqué :
« Vous n'êtes pas sans ignorer que je dois m'expliquer prochainement devant le Tribunal sur des faits qui me sont reprochés et qui me paraissent suffisamment graves pour prendre la décision de ne plus associer mon nom à ceux de mes camarades ni à ce fabuleux spectacle Stars 80.
En effet, j'ai trop de respect, d'amitié et de fraternité pour les artistes et tous les techniciens qui travaillent sur cette tournée pour les mêler à cette affaire qui ne concerne que Jean Luc Lahaye.
J'ai donc demandé moi-même à suspendre ma participation à la tournée Stars 80, et à ce que mon nom soit ôté des affiches et de tout support marketing, jusqu'à ce que mon honneur soit rétabli et mon nom blanchi de toutes ces accusations qui ne correspondent pas à la réalité des faits. Je prends cette décision avec beaucoup de tristesse. »
Après son arrestation, Jean-Luc Lahaye avait été présenté jeudi à un juge d'instruction parisien.
 

Lot-et-Garonne : une violente bagarre éclate lors d'un match de football

Je suis dépité. Cela fait trente ans que je suis sur les terrains, c'est la première fois que j'assiste à cela. Ce n'était pas beau à voir. » Amer, interloqué et dubitatif, Christophe Manzato, coprésident du Football Club de Marmande (FCM), patientait, dimanche soir, devant la gendarmerie, où il devait aller porter plainte. Le dirigeant marmandais attendait posément que les joueurs du FC Pessac Alouette (FCPA) aient déserté les lieux, « pour ne pas envenimer les choses », et avait encore du mal à expliquer ce qui avait bien pu se passer pour que l'après-midi prenne une telle tournure.
Le scénario sportif déroulé sur la pelouse du stade Michelon entre le club girondin et la réserve de l'équipe locale, pour un match en retard de Division Honneur Régionale, n'a plus rien eu d'une partie de football. Commencée à 15 heures, la rencontre était pourtant presque arrivée à son terme. Marmande menait 2 à 0. 79e minute : sanction d'un mauvais geste sur un joueur adverse, le numéro 9 visiteur prend un carton rouge et, avant de regagner les vestiaires, fait mine de vouloir s'en prendre au public. La tension est palpable. Tandis que le FCM s'apprête à tirer son coup franc, un autre joueur pessacais, le numéro 14 cette fois, fait une faute grossière sur un Marmandais, punie là aussi d'un carton rouge. Le footballeur, en passe d'être suspendu, aurait alors agressé l'arbitre, en lui assénant deux coups de poing, avant de décocher un coup de tête au juge de touche, venu en renfort de son collègue. Face à cette violence déclarée sur le terrain, une échauffourée se serait engagée d'abord sur la pelouse, puis en tribunes, où, selon un témoin, une demi-douzaine de Pessacais auraient surgi crampons à la main.
 
Je n'en reviens pas, il y avait des grands-mères et des enfants dans le public. Certains ont aussi tenter de briser des vitres du club-house.
 

Plainte des deux clubs…

« Lorsque j'ai vu la bagarre partir, je suis vite descendu en direction du tunnel et j'ai aperçu des joueurs de Pessac sauter la barrière et se diriger vers le public. Je n'en reviens pas, il y avait des grands-mères et des enfants… Puis, certains ont tenté de briser des vitres du club-house », poursuit Christophe Manzato.
Bilan : un match arrêté, la gendarmerie appelée en renfort et plusieurs joueurs (trois du côté de Marmande et trois du côté de Pessac) qui auraient subi des blessures, ne nécessitant toutefois pas un transfert vers l'hôpital. Le président du FC Pessac Alouette, qui n'a pas souhaité s'exprimer sur l'épisode de violences survenu l'après-midi, a, par ailleurs, affirmé son intention de porter plainte également pour agression.
Il aura fallu pas moins d'une quinzaine de gendarmes, de la brigade et du peloton de surveillance et d'intervention de Marmande, ainsi que de la communauté de brigade de Miramont-de-Guyenne pour mettre fin au pugilat collectif, celle de Sainte-Bazeille ayant dû partir précipitamment pour intervenir sur un accident mortel.

… et des arbitres

Dimanche soir, un joueur pessacais âgé de 37 ans a été placé en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie de Marmande pour violences volontaires. De leur côté, les arbitres ont également déposé une plainte, à cause des coups reçus. Contactés, les entraîneurs des deux équipes impliquées n'ont pas donné suite à nos appels.

http://www.sudouest.fr/2015/02/16/terrain-de-violences-1831130-3603.php

Toulouse: Ils s'invitent à la fête, virent tout le monde, et cambriolent l'appartement

Ont-ils entendu du bruit? Ou étaient-ils au courant des réjouissances? En tout cas, ils n'ont pas eu besoin de carton d'invitation. De source policière, deux individus ont fait irruption ce lundi, au petit matin, dans un appartement du quartier Patte-d'Oie où se déroulait une fête entre adolescents.
Les deux hommes, âgés de 31 et 19 ans, sont rentrés sans effraction, ni violence. Et, une fois dans la place, ils ont prié la joyeuse troupe de vider les lieux. C'est un des jeunes expulsés de leur propre fête qui a prévenu la police.

Jeune fille prostrée dans un placard

Quand les forces de l'ordre sont arrivées sur place, elles ont surpris les voleurs dans l'appartement en train de faire main basse sur divers objets. Les policiers ont aussi retrouvé une jeune fille, prostrée dans un placard, qui s'est enfuie sans demander son reste et qu'ils n'ont donc pas pu interroger.
Les deux individus sont en garde à vue pour «vol aggravé», «séquestration» mais aussi détention de stupéfiants car ils avaient du cannabis et de l'herbe sur eux. Quant aux parents propriétaires de l'appartement, ils ont interrompu leurs vacances pour rentrer dare-dare à Toulouse.
http://www.20minutes.fr/toulouse/1541907-20150216-toulouse-invitent-fete-virent-tout-monde-cambriolent-appartement

dimanche 15 février 2015

Voegtlingshoffen : coincé sous son tracteur renversé

Un homme de 50 ans qui travaillait en forêt hier à Voegtlingshoffen a fait verser accidentellement son tracteur. Il est resté coincé sous l'engin jusqu'à l'intervention des pompiers. Blessé, il a été transporté à l'hôpital Pasteur de Colmar.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/2015/02/15/voegtlingshoffen-blesse-sous-son-tracteur-655827.html

Le cadavre d'une septuagénaire repêché dans le Lot

Hier vers 13 h 30, un corps sans vie a été repéré dans le Lot au pied du moulin Saint-James à Cahors. C'est le propriétaire des lieux qui a donné l'alerte et prévenu le commissariat de la ville. Les pompiers de Cahors se sont rendus sur place avant l'arrivée des enquêteurs qui ont pris le relais. Le cadavre d'une femme, âgée vraisemblablement de 70 ans, a été sorti de l'eau puis emmené par les pompes funèbres. «On n'a pas beaucoup d'information. J'ai demandé une autopsie» nous indiquait hier soir le procureur de la République, Nicolas Septe. Le corps n'avait en effet pas pu être identifié. L'autopsie devrait avoir lieu dans les prochains jours
http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/15/2049646-le-cadavre-d-une-septuagenaire-repeche-dans-le-lot.html

samedi 14 février 2015

Val-d'Oise: Une ado, qui voulait récupérer un ballon, meurt fauchée par un train

Un tragique fait-divers. «Une fillette de 13 ans a été heurtée par un train vers 17H30 au niveau du passage à niveau», situé à moins de 200 m de la gare de Presles-Courcelles, ont indiqué à l'AFP les pompiers du Val-d'Oise. L'adolescente est «décédée sur place».
Selon les gendarmes, l'adolescente, qui jouait au ballon avec trois copains, aurait traversé la voie, bien que la barrière du passage à niveau fût abaissée, pour récupérer le ballon envoyé de l'autre côté.
Très choqués, les trois camarades, les parents de l'adolescente et le conducteur du train ont été pris en charge. Quant aux 210 passagers du train, qui a été évacué, ils ont été conduits dans un gymnase mis à la disposition de la mairie.
La gare de Presles-Courcelles est située sur la ligne H du Francilien, qui relie la gare du Nord à Creil/Luzarches. Selon les gendarmes, le trafic a été interrompu et des bus de substitution ont été affrétés.

http://www.20minutes.fr/paris/1540987-20150214-val-oise-ado-voulait-recuperer-ballon-meurt-fauchee-train

Un accident mortel ce matin sur l'A89. Une mère de famille perd la vie

En cause : sans doute les pluies verglaçantes qui se sont abattues sur l'autoroute A89 ce matin. Le conducteur d'un véhicule, avec à son bord une famille, a perdu le contrôle de son véhicule. Bilan : trois blessés légers dont 2 enfants de 4 et 6 ans. Un décès : la jeune mère de famille
L'accident s'est produit à hauteur de Saint-Fréjoux en Corrèze. La voiture était immatriculée dans le département de la Meurthe et moselle. Les 3 victimes, le conducteur et les 2 enfants sont été blessés légèrement puis conduits au Centre hospitalier d'Ussel.
La passagère, a dû être désincarcérée. Elle a été trouvée en état d'arrêt cardiaque. Les secours ne sont pas parvenus à ranimer cette femme de 30 ans.

La série noire continue sur les routes du Limousin. En moins de 48 heures, cinq personnes ont trouvé la mort. Trois en Corrèze et deux en Creuse

http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/2015/02/14/un-accident-mortel-ce-matin-sur-l-a89-une-mere-de-famille-perd-la-vie-655395.html

Clairvaux-les-Lacs : un homme décède en tombant du toit de sa maison

L’octogénaire, bien connu dans la commune, était apparemment monté sur une échelle vendredi soir, pour nettoyer ses chenaux.
A leur arrivée sur place, peu après 19h30, les pompiers de Clairvaux, ont découvert l’homme en arrêt cardiaque et n’ont rien pu faire
http://www.leprogres.fr/jura/2015/02/14/clairvaux-les-lacs-un-homme-decede-en-tombant-du-toit-de-sa-maison

Un bus Tisséo s'embrase sur le périphérique : pas de blessés mais d'importants bouchons toute la matinée de vendredi

L'embrasement d'un bus Tisséo, hier matin, a causé d'importants bouchons et nécessité la fermeture du périphérique toulousain, dans les deux sens. L'incendie s'est déclaré peu avant 10 heures, sur le périphérique intérieur entre l'échangeur du Palays (sortie 19) et celui de Lespinet (sortie 20).
Le chauffeur d'un bus Tisséo qui roulait sans passagers à ce moment-là a vu de la fumée qui s'échappait de son véhicule.
Avec sang-froid, il a gagné la bande d'arrêt d'urgence et s'est garé. Il est rapidement sorti du bus et s'est mis à l'abri. Les sapeurs-pompiers se sont rendus sur place afin d'éteindre le sinistre et de porter assistance au chauffeur, légèrement intoxiqué par la fumée. «Je sortais du grand virage de changement de rocade après Montaudran et j'ai vu les flammes grandir d'un seul coup, racontait hier un automobiliste témoin de l'incendie. J'ai ralenti et je suis passé au pas à côté. J'ai vu le chauffeur qui partait se réfugier plus loin. Les sapeurs-pompiers n'étaient pas encore arrivés. À cette heure-là, la rocade était quasiment déserte, heureusement. C'était très impressionnant, les flammes montaient très haut.»
Par mesure de sécurité, les services de routes ainsi que les policiers ont fermé le périphérique intérieur mais aussi extérieur, le temps de l'intervention des pompiers, entre les deux sorties.
Le périphérique extérieur a pu rouvrir vers 10 h 40 car il n'y avait plus de danger pour les automobilistes. En revanche, le périphérique intérieur est resté fermé à cet endroit jusqu'en début d'après-midi.
Les opérations d'évacuation du bus ont pris beaucoup de temps. Cet événement sans conséquences graves a provoqué d'importants bouchons sur les voies rapides toulousaines. Vers 11 heures, sur l'A620 extérieur, un ralentissement s'est formé de la Cépière (sortie 27) au Palays. Sur l'A61, dans le sens extérieur, le bouchon s'étendait du Palays à Montaudran.
Une enquête a été ouverte afin de déterminer l'origine de ce feu dont les conséquences auraient pu être dramatiques si le bus avait explosé ou s'il y avait eu des passagers à bord
http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/14/2049406-bus-tisseo-embrase-peripherique-blesses-importants-bouchons-toute-matinee-vendredi.html

vendredi 13 février 2015

Deux morts dans un accident de la route à Voutezac

Le conducteur d'une voiture a perdu le contrôle ce soir avant de venir s'encastrer dans un arbre.
Le choc a été d'une rare violence.
Le conducteur et le passager du véhicule sont décédés.
Les deux hommes étaient originaires d'Allassac.
D'après les premiers éléments, une vitesse excessive serait à l'origine de l'accident.
La gendarmerie a ouvert une enquête.

ttp://franhce3-regions.francetvinfo.fr/limousin/2015/02/12/accident-mortel-voutezac-en-correze-un-tue-et-un-blesse-grave-654547.html

Un TGV Paris-Brest à l'arrêt, 500 personnes bloquées depuis ce matin

Matinée de galère pour des centaines de voyageurs. Et grosses perturbations sur la ligne TGV Paris-Rennes-Brest. A cause d'une panne d'alimentation, un TGV parti de Paris ce vendredi à 7h03, est bloqué depuis 9h15 du matin en pleine campagne entre Laval (Mayenne) et Vitré (Ille-et-Vilaine).
Résultat, tous les trains Paris-Bretagne et Bretagne-Paris sont retardés d'au moins une heure. Ils ont dû être détournés par Nantes (Loire-Atlantique).

Un TER à la rescousse

Concernant les passagers bloqués, la SNCF a finalement décidé d'envoyer sur place, depuis Rennes, un TER dans lequel les 500 voyageurs vont être transbordés. L'heure de leur arrivée à Rennes (Ille-et-Vilaine), n'est pas encore connue.

Dans un premier temps, la SNCF avait envisagé d'envoyer une locomotive diesel pour tracter le convoi. Un scénario finalement abandonné à cause d'une caténaire abîmée qui rendait l'opération impossible.

http://www.leparisien.fr/societe/un-tgv-paris-brest-a-l-arret-500-personnes-bloquees-depuis-ce-matin-13-02-2015-4530919.php

Un bus en feu sur le périphérique, circulation coupée du Palays à Rangueil

Les pompiers étaient sur place à hauteur de la sortie "Pont des demoiselles" ce vendredi matin pour éteindre un feu qui s'est développé dans un bus qui circulait sur les chaussées intérieures du périphérique de Toulouse. Ce qui entraîne de sérieuses difficultés de circulation du Palays jusqu'à Rangueil.
Le chauffeur, incommodé par les fumées, a été légèrement blessé. Il s'agissait d'un bus Tisséo qui roulait au gaz. Il ne transporterait pas de passagers et il n'y aurait pas d'autre blessé. La circulation reste très perturbée dans le secteur du Palays.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/13/2048921-toulouse-bus-en-feu-sur-le-peripherique-circulation-tres-perturbee.html

Bar Le Duc : braqué pour 45 euros

«Le fait d’avoir une arme portée sur soi, c’est ça qui est impressionnant. On n’existe plus, on se laisse mener ». Visiblement sous le choc, Thierry Gardel, exploitant de la supérette Proxy, accuse le contrecoup. Son enseigne, située en plein centre-ville de Bar-le-Duc, donne droit sur la place Reggio, à quelques encablures de la préfecture de la Meuse et du commissariat de police de la cité des Ducs.
Mercredi soir, à 19 h 15, le commerçant s’apprêtait à fermer boutique lorsqu’il a été victime d’un braquage à main armée. « J’étais parti dans la réserve pour chercher la manivelle qui sert à descendre les stores. Une personne cagoulée est arrivée avec une arme au poing, en me demandant de lui donner la caisse », raconte l’épicier. Durant quelques instants, Thierry Gardel pense à une plaisanterie. « Quand je le vois arriver, je me dis que c’est quelqu’un qui veut me faire une blague. Mais plus il avançait, plus je me suis rendu compte que j’étais dans la réalité ».
En quelques secondes, le braqueur amène sa victime au tirroir-caisse, et le somme de lui remettre son contenu. « Il m’a tendu le sac tout en continuant de pointer son arme sur moi », ajoute l’épicier, sans pouvoir dire si le revolver employé était factice ou non. « Qu’elle soit vraie ou non, on ne cherche pas à comprendre, je lui ai donné ce que j’avais. Ça a été très vite, à peine deux ou trois minutes ».
Son forfait accompli, le braqueur, décrit comme quelqu’un de déterminé, repart avec une rapine ridicule, à peine 45 euros en liquide. Un bien maigre larcin comparé au choc accusé par le commerçant barisien. « Je ne cesse de revoir la situation. C’est seulement après qu’on réfléchit et je me suis dit que j’ai réagi comme il fallait. J’ai le contrecoup aujourd’hui ».

Penser « à autre chose »

Contactée immédiatement après les faits, la police de Bar-le-Duc s’est rendue sur place pour constater le méfait. Une enquête a été ouverte. D’après le signalement, le braqueur est un homme d’1,75 m, assez mince, vêtu de noir et cagoulé au moment des faits.
Le lendemain, Thierry Gardel a malgré tout souhaité ouvrir son épicerie. « Je vais essayer de continuer et de penser à autre chose. Le fait d’être occupé et de faire ce que je fais habituellement m’aide à rebondir », confie le commerçant.
Si l’épicier a déjà été cambriolé par le passé, jamais il n’a dû faire face à pareille situation. À Bar-le-Duc d’ailleurs, le dernier braquage à main armée remonte à près de deux ans en arrière. Il s’agissait d’une pharmacie du centre-ville, attaquée dans des circonstances similaires.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/02/12/braque-pour-45-euros

jeudi 12 février 2015

Cousance : un gendarme blessé par un motard

Les faits se sont déroulés en fin de journée, hier, mercredi 11 février : un homme sur une moto a percuté un gendarme, lors d'un contrôle routier
Il était un peu plus de 18 heures, des gendarmes effectuaient un contrôle routier sur la commune de Cousance, dans le Jura.
Un motard, au guidon d'une petite cyclindrée, a percuté un gendarme. Le gendarme a été blessé. Il a été hospitalisé mais ses jours ne sont pas en danger. Le motard n'a pas souhaité être conduit à l'hôpital.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/2015/02/12/cousance-un-gendarme-blesse-par-un-motard-653853.html

Montpellier : il menace de s’immoler à cause des frais dentaires

Jeudi 11 février, près de la Comédie à Montpellier, on a frôlé le drame.
Un homme d'une soixantaine d'années, en conflit avec un organisme d'assurance-maladie, a menacé de s'immoler, ce mercredi 11 février au matin. Boulevard Victor-Hugo, près de la place de la Comédie, il a brandi un bidon d'essence de 5 litres, avant de sortir des allumettes et d'annoncer qu'il allait commettre l'irréparable.
Il n'arrivait pas à obtenir le remboursement de 2 300€ de soins dentaires
Des témoins ont alerté les pompiers qui se sont rendus sur les lieux et ont conduit cette personne vers l'hôpital Lapeyronie pour des examens. Ancien salarié des industries électriques et gazières, il n'arrivait pas à obtenir le remboursement de 2 300€ de soins dentaires.
http://www.midilibre.fr/2015/02/12/montpellier-il-menace-de-s-immoler-a-cause-des-frais-dentaires,1123589.php

Trois mois de prison ferme pour une déséquilibrée

Le tribunal correctionnel de Castres vient d'infliger une peine de trois mois de prison ferme à une quadragénaire coupable de rébellion et d'outrages à l'encontre de plusieurs gendarmes. Des faits s'inscrivant dans une série d'événements dictés notamment par les troubles psychologiques éprouvés par cette mère de famille au passé très douloureux.
Il y a un an, le 8 janvier 2014, un jeune homme résidant à la maison d'enfants à caractère social (M.E.C.S.) La Barthe à Graulhet fait part à sa mère de la possible circulation de cannabis au sein de l'établissement. Inquiète pour la santé de son enfant, la quadragénaire se rend immédiatement sur les lieux. Il est alors 23 heures quand elle réveille la moitié des pensionnaires en insistant pour entrer. Afin de désamorcer la situation, une éducatrice finit par lui ouvrir la porte et l'autorise à rendre visite à son fils. Une fois dans la chambre de ce dernier, la visiteuse se couche à même le sol pour manifester sa volonté de rester sur place tant que la situation n'est pas réglée. Devant sa détermination et son état d'agitation, la direction n'a d'autre solution que de prévenir les gendarmes. Arrivés sur place, les membres des forces de l'ordre font face à des insultes, des coups, et à de multiples crachats dont deux atteignent le visage d'un des militaires. «Racaille, cow-boy, jeunes cons» pleuvent ainsi sur les gendarmes lorsqu'ils tentent de menotter l'agitatrice qui résiste à son interpellation et continue ses invectives lors de son transport à la gendarmerie puis à l'hôpital pour y faire soigner un poignet douloureux, probablement foulé à l'occasion de ses mouvements de résistance intempestifs.
L'expert psychiatre relèvera un caractère impulsif et des troubles mentaux dus à la consommation répétée de substances toxiques. Un rapport sur lequel s'appuiera Maître Soulan pour rappeler les problèmes rencontrés par sa cliente depuis sa plus tendre enfance, jonchée d'événements douloureux dont des violences sexuelles perpétrées par un oncle alors membre… de la gendarmerie.
De là à y voir un lien avec les multiples condamnations de la prévenue pour des outrages et des rébellions envers les forces de l'ordre, il y a toutefois une marge que l'avocat n'a pas souhaité franchir.
En réclamant une peine ferme, la procureure de la République a pour sa part souhaité envoyer un message à la déséquilibrée afin de lui faire comprendre que les services de gendarmerie devaient être respectés. Le tribunal l'a suivie à hauteur de trois mois.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/12/2048208-trois-mois-de-prison-ferme-pour-une-desequilibree.html

mercredi 11 février 2015

Une grande opération anti-drogue s'est déroulée à Migennes

Après plusieurs mois d'enquête, un trafic de stupéfiants a été démantelé à Migennes dans l'Yonne ce mardi 10 février, c'est ce que révèle la gendarmerie. Une vingtaine de personne a été interpellée après une intervention d'envergure avec une centaine de gendarmes mobilisée
Grande opération judiciaire, ce mardi matin dans l'Yonne. Après plusieurs mois d'enquête par la BR de Sens, un trafic de stupéfiants a été démantelé à Migennes sur commission rogatoire, notamment dans le quartier des Mignottes.
Le groupement de gendarmerie de l'Yonne a mis en place une opération judiciaire visant à interpeller une vingtaine de personnes. Une centaine de gendarmes appuyée par l'escadron mobile de Chaumont sont intervenus à Migennes ce matin pour arrêter les suspects.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/2015/02/10/une-grande-operation-anti-drogue-s-est-deroulee-migennes-652621.html

Une lycéenne de 15 ans renversée à Périgueux

Une adolescente de 15 ans a été percutée mardi vers 15 h 40, à hauteur du lycée Laure-Gatet, à Périgueux
Un premier véhicule, conduit par un Royannais, s'est bien arrêté pour la laisser traverser, mais pas l'automobiliste qui le suivait. De fait, elle a poussé la voiture du Charentais-Maritime qui  est alors allée au contact de la lycéenne.
Blessée, la jeune fille, originaire de Trélissac près de Périgueux, a été conduite au centre hospitalier voisin du lycée.
http://www.sudouest.fr/2015/02/11/une-lyceenne-de-15-ans-renversee-a-perigueux-1827371-2179.php

Le forcené de Béziers s'est rendu vers 21h mardi soir

L 'homme était retranché chez lui depuis ce mardi matin, rue Malbec à Béziers. Le forcené, âgé de 28 ans, menaçait de se donner la mort. Les policiers et les secours avaient mis en place un périmètre de sécurité.
Les forces de l'ordre ont bouclé ce mardi midi le quartier de la rue Malbec à Béziers. Un homme était retranché chez lui.
Une dizaine de policiers, armés et munis de gilets par balles, étaient sur place. Le forcené aurait tenu des propos sombres et aurait menacé de faire sauter son domicile. Le gaz a été coupé. 
A 13 h 25 , un négociateur était sur place. Le procureur de la République, Yvon Calvet, était également sur place.
En milieu d'après-midi le GIPN est arrivé sur place. Le forcené n'aurait pas eu de revendication précise et sortirait d'une séparation amoureuse difficile. 
Vers 21 h le forcené s'est finalement rendu.
http://www.midilibre.fr/2015/02/10/beziers-un-homme-retranche-chez-lui-menace-de-faire-exploser-son-quartier,1122944.php

mardi 10 février 2015

Béziers : un homme retranché chez lui menace de faire exploser son quartier

Ce mardi midi, un homme est retranché chez lui, rue Malbec à Béziers. Le forcené, âgé de 28 ans, menace de faire exploser son domicile. Les policiers et les secours sont sur place.
Les forces de l'ordre ont bouclé ce mardi midi le quartier de la rue Malbec à Béziers. Un homme est retranché chez lui. Il menace de se suicider et de faire exploser le quartier. 
Une dizaine de policiers, armés et munis de gilets par balles sont sur place.Le forcené tiendrait des propos sombres et aurait menacé de faire sauter son domicile. Le gaz a été coupé. 
A 13 h 25 , un négociateur était sur place. Le procureur de la République, Yvon Calvet, est sur place.
http://www.midilibre.fr/2015/02/10/beziers-un-homme-retranche-chez-lui-menace-de-faire-exploser-son-quartier,1122944.php