Vendredi après 5 h et samedi vers 5 h 15. Mêmes heures, même mode opératoire. Une bande d’individus a ciblé les deux parfumeries Nocibé du centre-ville de Besançon, en l’espace de 24 heures, d’une manière inédite dans la Boucle. Pour le premier cambriolage, une voiture a suffi pour arracher le volet roulant métallique et le pan vitré de la devanture de l’enseigne de la rue des Granges. Pour le second, deux automobiles, toujours de marque française et a priori volées, ont été utilisées pour pulvériser deux vitrines de la franchise située Grande-Rue.
A chaque fois, en moins de dix minutes, munis de containers volés eux aussi puis laissés sur place après coup, les malfaiteurs ont raflé le maximum de bouteilles de parfum qu’ils pouvaient emporter, avec une prédilection pour les fragrances au féminin Grande-Rue. Aussitôt venus, aussitôt repartis, sous le regard médusé des rares témoins matinaux des scènes décrites précédemment.
Les conséquences financières matérielles pour les deux magasins sont lourdes. Même s’il est encore trop tôt pour les estimer, elles devraient s’élever à plusieurs dizaines de milliers d’euros. Sans compter le préjudice moral pour les employées, obligées de tout remettre en ordre et en place avec leurs directrices respectives.
Le maire : « S’il faut ajouter des caméras, je le ferai »
Le maire de Besançon, Jean-Louis Fousseret, condamne fermement ces actes. Il préfère garder la tête froide et se concentrer sur les mesures budgétaires qu’il faudra éventuellement prendre pour augmenter la sécurité de la ville. « Jamais ne lésinerai sur les dépenses de tranquillité publique », affirme-t-il. « J’ai installé plus d’une centaine de caméras de vidéosurveillance dans les rues de l’agglomération bisontine. Elles ont démontré leur efficacité pour résoudre bon nombre d’actes de délinquance. S’il en manque, j’en ajouterai. »
Une enquête est en cours pour retrouver au plus vite les auteurs de ces cambriolages spectaculaires qui, heureusement, n’ont fait aucune victime. En attendant que les recherches progressent, la police a mis en place un dispositif particulier et à durée indéterminée en ville pour que de tels faits ne se reproduisent pas.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2016/07/31/besancon-coup-double-pour-les-casseurs-a-la-voiture-belier-ueao
La police a saisi une centaine d'armes chez un collectionneur tourangeau, estimant qu'elles n'étaient pas conservées dans des conditions suffisantes de sécurité.
Les faits se sont déroulés lundi 25 juillet, dans une rue du centre-ville de Tours. Les policiers abordent un piéton qui dissimulait des objets sous une couverture. Ils découvrent un petit instrument de musique et un MAS 36, un fusil d'infanterie de 1936. Ils se rendent alors au domicile de cet homme, âgé de 48 ans, amateur d'armes à feu et détenteur d'une licence de tir.
Lors de la perquisition, ils découvrent une centaine de fusils et des munitions entreposés dans l'appartement. Problème: les culasses n'étaient pas démontées, ni les percuteurs neutralisés. Elles n'étaient pas non plus entreposées dans des armoires fortes.
Les policiers ont trouvé notamment des Mauser de la Première et de la Seconde Guerre mondiale, une Winchester 357 magnum, des fusils de guerre de l'armée britannique, des armes utilisées par les GI, des fusils à poudre, des fusils de chasse... Tous ces fusils, en mesure de fonctionner, ont été évalués à environ 100.000 euros. "La police a procédé à une saisie administrative car il n'y avait pas de garantie de conservation en sécurité", a déclaré le commissaire divisionnaire Stéphane d'Hayer, directeur départemental de la sécurité publique.
"Cet homme, qui est bien un collectionneur, n'a pas la capacité de conserver toutes ces armes chez lui. Imaginez, s'il avait été cambriolé par des gens malfaisants. Nous sommes dans un contexte particulier, mais même dans une autre période, il y aurait eu saisie administrative", a-t-il ajouté, précisant qu'aucune procédure judiciaire n'avait été engagée.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Un homme âgé d’une cinquantaine d’années a chuté alors qu’il rénovait un ponton près de la jetée des Anses. Il a été évacué par hélicoptère.
Un homme d'une cinquantaine d'années a fait une chute de cinq mètres, ce mercredi, aux alentours de 17 heures à Port-des-Barques, alors qu'il rénovait un ponton près de la jetée des Anses.
Douze sapeurs-pompiers étaient sur place mais la zone étant rocheuse et la marée basse, les autorités ont fait appel à Dragon 17, l'hélicoptère de la Sécurité civile basé à La Rochelle, pour extraire la victime, toujours consciente.
Selon le chef d'intervention, l'homme présenterait un traumatisme au bassin. Il a été transféré au CHU de Rochefort.
http://www.sudouest.fr/2016/07/28/charente-maritime-chute-de-cinq-metres-a-port-des-barques-2450051-1690.php
L'accident qui s'est produit hier vers 17h45, sur la RN 21, à hauteur de la zone d'activités de Montestruc, au lieu-dit «Bellevue», aurait pu avoir des conséquences bien plus graves. Fort heureusement, les conducteurs des véhicules qui se sont percutés de plein fouet, une femme de 57 ans et un homme de 37 ans, ne souffrent que de légères blessures. Les pompiers de Fleurance et Auch les ont évacués sur l'hôpital d'Auch. Pendant les opérations de secours, la circulation a été perturbée sur la RN 21. La gendarmerie avait envoyé une patrouille de la COB de Fleurance pour sécuriser les lieux de l'accident.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/07/26/2390750-collision-frontale-sur-la-rn-21-21.html#ZPq39aJD9iwVPihX.99
La voiture est tombée en Seine dimanche à 21 heures 30. Son conducteur un jeune de 17 ans a été recherché pendant plus de trois heures sans succès. Mais selon sa famille il serait sain et sauf. Il ne s'est pas présenté à la police Il reste donc toujours porté disparu.
Les circonstances précises de l'accident restent floues. Une voiture prêtée à rouennais de 17 ans (et donc sans permis) a terminé dans l'eau au niveau du pont Corneille sur le quai bas Jacques Anquetil. A bord, les deux passagères de 17 et 18 ans ont pu sortir d'elles-mêmes du véhicule. Elles ont été prises en charge par une embarcation des pompiers. Deux témoins qui s'étaient jetés à l'eau, des hommes de 31 et 37 ans ont également été ramenés au sec.
Les équipes de recherches appuyées par un hélicoptère de la sécurité civile ont ratissé le fleuve jusqu'à minuit 40.
Si le jeune conducteur semble donc hors de danger, il ne s'était pas présenté à la police ce lundi matin. Il doit notamment être entendu pour le motif de conduite sans permis.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/rouen-le-conducteur-de-la-voiture-tombee-dans-la-seine-serait-sain-et-sauf-mais-reste-officiellement-disparu-1054439.html
Un sac à dos avec une antenne de talkie-walkie et des fils rouges a entraîné la paralysie de la ligne 7 du métro parisien ce dimanche après-midi. Aucun explosif n'a été détecté
Selon Le Parisien, la présence à la station porte d’Italie d'un sac à dos noir suspect - avec une antenne de talkie-walkie ainsi que des fils rouges sortant du bagage - a paralysé la ligne 7 du métro de la capitale une partie de l'après-midi.
Les démineurs sont rapidement intervenus. Ils ont alors découvert qu'il s'agissait d'une vraie-fausse bombe, sans explosifs. Le sac a été remis à la police judiciaire. Le trafic a été rétabli dans l'après-midi.
http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers/2016/07/24/une-vraie-fausse-bombe-paralyse-une-ligne-de-metro
Une patrouille de police s'est trouvée prise en embuscade dans une cité de Seine-Saint-Denis samedi soir et quatre fonctionnaires ont été légèrement blessés en interpellant deux personnes, a-t-on appris aujourd'hui de source policière.
La patrouille s'était rendue dans le sud de la cité des 4000 de La Courneuve vers 23 heures 40, après le signalement d'un feu sur un bâtiment temporaire de travaux (Algeco). Sur place, "une trentaine d'individus ont tiré des mortiers d'artifice en direction des fonctionnaires de police", a indiqué cette source, obligeant les policiers à faire usage de flash-ball et de grenades de désencerclement pour se dégager.
Après l'arrivée de renforts, deux personnes ont été interpellées pour "violences sur agent et délit d'embuscade". Elles ont résisté à leur arrestation et quatre policiers ont été légèrement blessés. De même source, on rappelle qu'une arrestation avait eu lieu au même endroit samedi en fin d'après-midi dans une affaire de stupéfiants et que des personnes avaient "tenté de s'y opposer". Au total, un Algeco, deux véhicules et des poubelles ont été incendiés. Un bus a également été dégradé.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php
Deux jeunes femmes affirment avoir été victimes d'un déchaînement de violence de la part d'un homme qui les suivait en voiture. Une enquête est en cours
Elles ont déposé plainte le 4 juillet à la gendarmerie d'Arès. Diana Uhartegaray et Barbara Frabel semblent encore sous le choc de ce qui leur est arrivé le 1er juillet vers 20 h 45. Les deux jeunes filles de 23 et 21 ans se dirigent en voiture depuis le bourg de Lège vers Claouey. La voiture s'engage sur la D 106 et oblige peut-être à ralentir le véhicule qui s'y trouvait déjà.
« Même si c'était le cas, cela ne justifie pas ce qui s'est passé après », déplore Diana la conductrice. Et de raconter les appels de phare incessants et les provocations, majeurs dressés depuis la voiture suiveuse, immatriculée dans le Nord.
« J'ai eu le seul tort de répondre une fois de la même façon », poursuit l'habitante du Porge.
Alors qu'elle se garait avenue Toumelin à Claouey, les deux jeunes filles prétendent que la voiture s'est immobilisée derrière la leur et que le conducteur est venu tambouriner à la portière. Selon elles, ce quinquagénaire a giflé la conductrice, avant de lui asséner plusieurs coups de poing, encouragé par son épouse.
Un fonctionnaire de police ?
L'homme aurait ensuite sorti sa carte de fonctionnaire de police sous le nez de la jeune fille. Il n'était cependant pas en service à ce moment. Des riverains alertés par le bruit mettront un terme à la scène. Les gendarmes arrivés sur place ont entendu chaque protagoniste.
Le rapport du médecin qui a examiné Diane Uhartegaray le jour même, fait état d'hématomes et d'ecchymoses diverses entraînant une interruption temporaire de travail (ITT) de trois jours. Selon les autorités, la version de l'agresseur présumé serait différente. La direction départementale de la sécurité publique indique de son côté qu'elle ouvrira le cas échéant une enquête administrative en fonction des conclusions de l'enquête conduite par les gendarmes.
http://www.sudouest.fr/2016/07/23/violence-au-tournant-a-claouey-2444357-2735.php
Un homme de 45 ans a été héliporté en urgence à l'hôpital après s'être retrouvé coincé sous sa remorque à Vulbens, en Haute-Savoie.
Vers midi, ce particulier a voulu enlever l'attelage de sa remorque, près d'un chantier, mais avait mal serré le frein à main. Il a été entraîné dans un trou du chantier.
Ce sont des chauffeurs des poids lourds qui l'ont aperçu et signalé l'accident aux pompiers. Il a été transporté d'urgence, semble-t-il avec le pied arraché.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie
Un élève de 22 ans d'Ibertour, une école de pilotage espagnole, a dû faire un atterrissage d'urgence avec son avion dans un champ au Fossat. Il ne s'était pas rendu compte qu'il était passé en France.
Grosse émotion, hier matin, pour un élève pilote âgé de 22 ans d'Ibertour, une école de pilotage espagnole, aux commandes de son avion Cessna. Égaré, victime d'une perte de puissance de son avion, le jeune pilote a dû le poser en urgence dans un champ de hautes herbes au Fossat. Il a atterri vers 9 h 15 sous les yeux médusés d'un automobiliste qui circulait sur la RD 919 voisine.
Selon les premiers éléments, l'élève pilote, âgé de 22 ans, volait à vue versant espagnol. Que s'est-il passé alors ? La couverture nuageuse l'a-t-elle trompé ? Le jeune homme aurait poursuivi son vol sans se rendre compte qu'il venait de traverser les Pyrénées et de pénétrer en France.
«Défaillance électrique» ?
Un mouvement inhabituel qui n'a pas échappé aux radars de surveillance de l'espace aérien français. Son entrée sur le territoire a aussitôt été signalée.
Selon Karline Bouisset, procureur de la République de Foix, l'apprenti pilote aurait indiqué dans ses premières déclarations que l'avion aurait connu «une défaillance électrique au niveau du tableau de bord.»
Une situation d'urgence qui aurait conduit le jeune homme à tenter un atterrissage de fortune. Avec succès. C'est alors qu'il se serait rendu compte qu'il était en France !
Dans le contexte actuel d'état d'urgence, et à seulement cinq kilomètres d'Artigat et de la ferme de «l'émir blanc», un important dispositif de sécurité a été dépêché sur place. Secoué, le jeune pilote n'a pas été blessé. Son état n'a pas nécessité son évacuation par les sapeurs-pompiers. Les gendarmes de Lézat-sur-Lèze ont assuré un périmètre de sécurité tandis que des enquêteurs de la brigade de recherche de Pamiers, des gendarmes de la brigade des transports aériens de Toulouse, des douaniers ainsi que deux équipes cynophiles se rendaient sur place.
Ni explosif, ni drogue
L'avion a été inspecté de près. Deux chiens, l'un spécialisé dans la détection d'explosifs, l'autre dans la recherche de stupéfiants, n'ont rien signalé. La fouille de l'appareil n'a, selon Karline Bouisset, rien révélé de suspect ou d'inhabituel. L'apprenti pilote est entendu par les enquêteurs qui s'attachent à vérifier le scénario qu'il décrit. L'école espagnole Ibertour, qui possède, selon son site internet, cinq établissements en Espagne (Gérone, Barcelone et Sabadell), en Turquie (Istanboul) et en Egypte (Le Caire) est quitte pour faire rapatrier son avion immobilisé au milieu d'un champ ariégeois et l'apprenti pilote.
http://www.ladepeche.fr/communes/le-fossat,09124.html
Un octogénaire blessé dans son appartement de Royan n'a pas pu être secouru par les pompiers de manière habituelle : la cage d'escalier de son immeuble était trop étroite. Il a fallu faire appel aux spécialistes du GRIMP.
Les sapeurs-pompiers de Royan ont été appelés pour porter secours à un homme de 80 ans qui s’était blessé après une chute à son domicile. Mais l’appartement, situé au premier étage d'un immeuble, ne permettait pas l’évacuation de la victime, notamment en raison de l'étroitesse de la cage d’escalier.
Ce sont donc les équipes du GRIMP (Groupes de Reconnaissance et d’Intervention en Milieu Périlleux) des casernes de Saujon / Saintes / Gémozac et Jonzac qui ont dû intervenir pour transporter le blessé.
Ces unités de sapeurs-pompiers sont spécialisées dans la reconnaissance et le sauvetage dans les milieux naturels et artificiels particulièrement dangereux. Ils ont prouvé une nouvelle fois l'efficacité de leurs techniques pour extraire la victime en la passant par le fenêtre de son appartement.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/charente-maritime/royan
A minuit, deux cyclistes, un homme et une femme roulaient sur la départementale 840 à Elbeuf. Ils ont été renversés par une voiture. Le conducteur ne leur a pas porté secours, il s'est enfuit.
Les pompiers ont été alertés. Ils ont découvert les deux victimes, une grièvement blessée, l'autre blessée moins gravement.
Dix minutes après l'intervention, une voiture en feu a été découverte à proximité. Il s'agissait du véhicule impliqué dans l'accident
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime
Un jeune homme en plein désespoir a causé bien des frayeurs à ses proches ainsi qu'aux services de secours, très tôt, hier matin, place Saint-Pierre. Le jeune homme de 16 ans, qui avait absorbé une quantité importante d'alcool mais aussi des produits stupéfiants, est parvenu à grimper au haut d'une grue de chantier d'une cinquantaine de mètres.
L'alerte a rapidement été donnée aux alentours de 6 h 25. Un périmètre de sécurité a été mis en place par la police autour de l'engin et les sapeurs pompiers ainsi que la Samu sont intervenus.
Hospitalisé
Le médecin a longuement discuté avec l'adolescent afin de le faire revenir à la raison. Il a fini par descendre de la grue de lui-même trois-quarts d'heure après.
Désorienté, il a été pris en charge par les services de secours et conduit à l'hôpital Purpan afin d'y être examiné.
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
Ce devait être jour de fête, jeudi, au 25 bis, Grand-rue à Badevel, au domicile de la famille Bichet. « C’était l’anniversaire du grand-père », confie Francine Gillod, le maire de la commune. Il y avait là quinze convives réunis autour du papy pour un grand barbecue. Et puis soudain, en fin d’après-midi, plusieurs invités sont pris de nausées et de vomissements. Il est un peu plus de 17 h quand les secours du Territoire de Belfort sont prévenus. À peine arrivé sur place, le lieutenant Philippe Gérard, chef des pompiers de Beaucourt, sollicite des renforts, conscient de la situation. Il ne fait guère de doute qu’il s’agit là d’une intoxication au monoxyde de carbone dont l’origine restera à déterminer.
D’importants moyens sont alors déployés (près de 35 pompiers venant du Territoire et du Doubs), sous les ordres du commandant Francis Erard. Deux hélicoptères (celui de la Sécurité civile et celui du SAMU) sont requis afin d’évacuer quatre victimes, a priori plus touchées que d’autres, mais sans pronostic vital engagé.
Ce n’est qu’à 20 h 20 que les deux engins ont quitté le sol de l’ancien terrain de foot, distant de quelques hectomètres du lieu du sinistre, pour rejoindre, vingt minutes plus tard, le CHU de Besançon.
À bord, se trouvaient deux filles de 8 et 12 ans, et deux femmes de 45 et 73 ans. « On les évacue vers Besançon pour les placer dans un caisson hyperbare », explique l’officier, ceci afin d’éliminer la toxicité du CO fixé sur l’hémoglobine.
Les onze autres personnes présentes ont été transportées, en ambulances, vers les hôpitaux de Montbéliard et Belfort pour subir bilans et examens.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2016/07/15/badevel-l-anniversaire-se-termine-a-l-hopital
Jérôme Cotto avait été renversé en 2015, lors de l'étape entre Tarbes et La-Pierre-Saint-Martin. Il s'est battu pour retrouver une vie normale
Le gendarme, qui avait été renversé lors de l'étape Tarbes-La Pierre-Saint-Martin du Tour de France 2015, a repris du service.
C'est la gendarmerie des Pyrénées-Atlantiques qui annonce la bonne nouvelle sur sa page Facebook.
Jérôme Cotto est également promu au grade d'aspirant.
L'accident était survenu le 14 juillet 2015, dans un virage entre Navaille-Angos et Sauvagnon. Le gendarme avait été fauché par le véhicule d'un motard de la garde républicaine, alors qu'il assurait la sécurité dans le cadre du Tour de France.
De nombreuses épreuves surmontées
Le jeune homme de 24 ans, qui s'est battu pour retrouver une vie normale, a dû affronter de nombreuses épreuves. Souffrant de plusieurs factures et d'une hémorragie cérébrale, il avait dû surmonter "de multiples interventions chirurgicales et des complications" comme l'avait expliqué la gendarmerie des Pyrénées-Atlantiques. Après un mois de coma au centre hospitalier de Pau, il avait été transféré en septembre dernier à Bagnères-de-Bigorre, où il avait réappris à parler et à marcher.
http://www.sudouest.fr/2016/07/13/bearn-le-gendarme-fauche-lors-du-tour-de-france-reprend-du-service-2433574-4621.php
Un incendie a ravagé hier les combles d’un immeuble mulhousien situé 13 rue du Siphon, dans le quartier du marché.
Une personne légèrement intoxiquée
Le feu s’est déclaré vers 13 h ; les sapeurs-pompiers de Mulhouse ont dû déployer de gros moyens pour intervenir sur l’immeuble de trois étages et éviter que les flammes ne se propagent aux habitations mitoyennes. Ils ont évacué par la grande échelle une personne qui a été légèrement intoxiquée par les fumées ; cette dernière a été transportée à l’hôpital Émile-Muller.
Très vite dans l’après-midi, il a été établi que le feu était d’origine criminelle. Il aurait été provoqué par un groupe de cinq personnes qui ont été placées en garde à vue. Ces individus s’étaient retrouvés dans un logement de l’immeuble pour une soirée alcoolisée. Le locataire de l’appartement aurait à cette occasion montré son intérêt pour une jeune femme présente, suscitant la jalousie d’un autre membre du groupe. C’est par esprit de vengeance qu’aurait été provoqué l’incendie, sans que l’on sache à l’heure actuelle quel moyen a été utilisé pour mettre le feu.
http://www.dna.fr/faits-divers/2016/07/12/cinq-personnes-en-garde-a-vue
Elle s'appelle désormais Lola, un joli prénom pour une petite fille abandonnée à sa naissance sur un banc à Toulouse. Un événement rare. Les recherches pour retrouver sa mère, ou son père, n'ont rien donné. L'enfant se porte bien
Un peu plus d'une semaine après sa découverte, le jeudi 30 juin, sur les berges de la Garonne à Toulouse, la petite fille de seulement quelques jours abandonnée par sa maman reste orpheline mais a trouvé un joli prénom : Lola.
Retrouvée par deux copains qui passaient là, sur un banc en plein soleil, elle avait été prise en charge par les secours et conduite à l'hôpital des enfants de Purpan afin d'y subir des examens
Aujourd'hui, «elle est en pleine forme», se réjouissent des proches du dossier. Elle a pu quitter l'hôpital et a trouvé une identité. Les infirmières qui se sont occupées d'elle ont décidé de l'appeler Lola, un prénom qui a été officiellement déclaré à l'état civil par l'assistante sociale en charge de son dossier.
Après consultation du personnel médical, il a été décidé de la déclarer née le 28 juin, soit seulement deux jours avant sa découverte. Elle est aujourd'hui entre les mains de l'aide sociale à l'enfance.
Pas de piste
Côté enquête, les policiers de la brigade de protection des familles de la sûreté départementale de la Haute-Garonne continuent d'explorer toutes les pistes afin de remonter vers la mère de Lola. Lorsque le bébé avait été retrouvé au bord de la Garonne, près du Conseil régional, des recherches avaient été entreprises dans le fleuve, mais cela n'avait rien donné. L'hypothèse d'un suicide de la maman a été vite abandonnée.
Jusqu'ici, personne ne s'est présenté afin de revendiquer la maternité, la paternité ou la filiation de cette petite fille.
Selon les constatations, Lola ne serait pas née dans un hôpital ou une clinique. Ce qui ressemblait à une pince médicale de cicatrisation sur son cordon ombilical s'est en fait avéré être une «couture» artisanale qui n'a cependant pas nui à la santé du bébé.
En l'absence de possibilité de comparaison ADN, l'analyse des caméras de vidéoprotection du secteur se poursuit afin de retrouver la trace de la personne qui a déposé ce petit bébé sur ce banc des bords de la Garonne, jeudi 30 juin, entre 16 h 30 et 16 h 45.
Lorsqu'elle a été retrouvée, la petite Lola était propre et soigneusement habillée d'un body bleu ciel et d'un pyjama blanc. Elle portait un petit bonnet blanc assorti et était enveloppée dans une couverture bleu turquoise. Où sont les parents de ce bébé ? La maman du nourrisson qui vient d'accoucher se porte-t-elle bien ? Pourquoi cette petite fille, apparemment bien soignée, a-t-elle été abandonnée ? S'agit-il d'un déni de grossesse ? D'un baby blues ?
Aucun mot, aucun indice n'a été laissé avec l'enfant sur les lieux de sa découverte. Sa mère l'a laissée à la vue de tous. Elle voulait probablement qu'elle soit retrouvée saine et sauve.
Cette femme a mené sa grossesse à terme. Est-il possible que son entourage ne s'en soit pas aperçu ? Pour l'heure, les questions sont nombreuses dans cette affaire qui intrigue autant qu'elle choque et plonge dans l'incompréhension les observateurs.
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
Un dramatique accident s’est produit ce vendredi matin rue de Lannoy à Lille Fives entre une voiture et un scooter. Hospitalisé, le pilote du deux roues est entre la vie et la mort. Le conducteur du véhicule a été interpellé. Mais la brigade accidents de Lille recherche des témoins.
L'accident s’est produit ce vendredi matin aux alentours de 5 h à hauteur de la résidence Louis Christiaens, 88 rue de Lannoy à Lille Fives. Pour des raisons encore indéterminées, un scooter a été percuté de plein fouet par une Clio blanche, comme le relate La Voix du Nord.
Selon des témoins, le conducteur aurait essayé de s'enfuir « en titubant » avant d’être attrapé par les forces de l’ordre. Sa voiture a percuté, au passage, trois autres véhicules stationnés dans la même rue.
Pris en charge par les pompiers de la caserne de Bouvines, le pilote du scooter a été transporté au CHRU de Lille. Son pronostic vital est engagé.
La violence du choc est attestée par la présence de débris sur plusieurs dizaines de mètres, selon les relevés de la police nationale.
Appel à témoins
La brigade accidents de Lille recherche toute personne susceptible de lui fournir des renseignements utiles sur les circonstances de l’accident. Contactez le 03 62 59 83 84 ou 03 62 59 83 92 ou 03 62 59 83 90 du lundi au vendredi de 8 h à 18 h. Après 18 h et les week-ends, contactez le 03 62 59 83 63.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/lille-appel-temoins-apres-un-accident-qui-fait-un-blesse-grave-1044137.html
Les livraisons n'arrivaient pas à bon port ou alors vides de leur contenu. Un livreur employé par intermittence par la société Chronopost a vite fait planer la suspicion à Toulouse. Par deux fois, alors qu'il était chargé de livrer des colis pleins de téléphones portables pour Orange, les paquets sont arrivés sans le contenu escompté.
Au total, trente-cinq téléphones ont ainsi disparu, des portables derniers cris (IPhone 6 ou Samsung Galaxy S7) pour un montant chiffré à environ 16 000 €.
L'employé s'attachait à découper «proprement» les bandes de protection des colis avant de les refermer tout aussi soigneusement. Les enquêteurs de la sûreté départementale ont procédé à l'interpellation du suspect cette semaine.
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
On ne sait pas encore pour quelle raison le conducteur a perdu le contrôle de son véhicule. La voiture a percuté un poteau ERDF de plein fouet, avant de prendre feu.
C'est arrivé sur une route départementale, au lieu-dit Le Borgel, commune de Bellevaux.
Les deux passagers ont pu sortir de l'habitacle avant qu'il ne soit trop tard, mais ils ont tout de même été blessés. Le conducteur, âgé de 18 ans, légèrement touché, a été admis à l'hôpital de Thonon-les-Bains.
Le second, un adolescent de 16 ans, a été en revanche plus gravement atteint, et hospitalisé en "urgence absolue" au Centre Hospitalier Annecy Genevois.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie
Un Vauréen s'est fait escroquer 23 000 € après plusieurs versements effectués via un site internet qui promettait un rendement à 6,5 %. Une société fictive.
Un Vauréen de 92 ans a été victime d'une escroquerie lors d'un placement financier. Le préjudice s'élève à 23 000 euros. André (le prénom a été modifié) a été alléché, mi- avril, par une annonce sur internet. Un organisme de placement basé en Suisse faisait miroiter des taux d'intérêt de 6,5 %. André laisse ses coordonnées téléphoniques. «Le 28 avril un homme m'a téléphoné et m'a expliqué les avantages d'un tel placement. Il m'a dit que je devais donner une première somme pour ouvrir mon compte. Nous avons convenu d'un versement de 500 €. J'ai donné mon numéro de carte bancaire. J'ai reçu un numéro de validation de ma banque sur mon portable», raconte-t-il, le 25 juin, lorsqu'il a déposé plainte à la gendarmerie de Lavaur.
André venait de mettre le doigt dans un engrenage qui allait s'avérer très coûteux. Il entretient ensuite des conversations téléphoniques régulières avec Marion sa nouvelle «conseillère financière». «J'ai fait deux autres versements : 2 000 € le 2 juin et 1 000 € le 7 juin. Sur mon relevé de compte il est mentionné : «epargnefacile.com-London»
Le 14 juin j'ai rajouté 10 000 € et le 17 juin 10 000 € de plus. Marion m'a donné 2 RIB pour faire les virements». Le premier est un organisme bancaire basé en République Tchèque et le second est en Hongrie. «À chaque fois je suis allé à ma banque avec ces RIB pour effectuer la transaction». Et depuis André vérifie quotidiennement sur internet la progression de son capital. Trop beau pour être vrai.
Une société fictive sur liste noire
Hier, nous avons contacté l'Autorité des Marchés Financiers (AMF) qui a immédiatement précisé que le site «swisspartners-ag.com» figurait sur sa liste noire : «il existe bien une société suisse qui porte ce nom mais son identité a été usurpée».
Les investissements financiers sont déjà assez risqués. Mais si vous travaillez avec une plateforme mise en ligne par des professionnels de l'escroquerie, vous risquez de perdre vos économies. Hier, à 12 h 30, André recevait encore un mail de sa pseudo-conseillère financière : «Bonjour, Je n'ai pas eu de vos nouvelles cette semaine. J'espère que tout va bien de votre côté. Je ne veux pas vous appeler à l'improviste et vous déranger, quand seriez-vous dispo pour un petit bilan ? Bien cordialement, Marion». Espérons que les prochaines nouvelles qu'elle aura de d'André lui seront fournies par la police qui aura pu lui mettre la main dessus.
Aujourd'hui André se rend compte de son erreur : «Il faut prévenir les gens pour que de telles escroqueries ne puissent se reproduire». En effet, si vous souhaitez vraiment vous improviser trader en ligne, la première des prudences est de vérifier sur le site de l'Autorité des Marchés Financiers que l'organisme ne figure pas sur sa liste noire.
http://www.ladepeche.fr/communes/lavaur,81140.html
La sanction est tombée. La directrice de l’école maternelle de Villers-lès-Pots, située à une trentaine de kilomètres de Dijon, ne sera plus à son poste dès septembre prochain. A la tête de l’école depuis 2009, elle perd à la fois son titre de directrice et d’institutrice titulaire. La décision a été prise par l'Inspection académique après qu'une fillette a été oubliée dans sa salle de classe. Oubliée pendant 8 heures
Le 19 mai 2016, toute l’école, qui compte une cinquantaine d’élèves répartis en deux classes, part en sortie scolaire. Une petite fille de 4 ans est oubliée dans sa salle de classe. Elle passe près de huit heures seule, sans manger ni boire. Elle est finalement retrouvée au retour du groupe, à 17 heures.
Dès le lendemain de l'incident, l’inspectrice d’académie de Côte-d’Or, Evelyne Greuzard, se rend à l’école. Elle dénonce des faits "extrêmement graves" et annonce l’ouverture d’une enquête administrative. Les parents de la fillette n’ont pas porté plainte
Soutiens à la directrice
Depuis l’ouverture de l’enquête, des parents d’élèves et enseignants n’ont cessé de soutenir la directrice de l’établissement. Plusieurs actions ont été mises en place pour sauver son poste. Les lettres de soutien se sont multipliées et une pétition nationale a été émise par les syndicats, dont SNUDI FO qui représente l’enseignante. Pour ces parents, la punition est trop sévère. En perdant son poste de titulaire, elle passe à un poste provisoire et ne sait pas où elle pourra exercer à la rentrée prochaine.
Les parents regrettent aussi de ne pas connaître la sanction appliquée à l’instituteur responsable de la fillette le jour de la sortie. Remplaçant, il avait été suspendu provisoirement. Les résultats de l’enquête le concernant ne sont, pour le moment, pas connues.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/cote-d-or
Trois hommes ont été placés en garde à vue et sont présentés ce dimanche devant le juge d'instruction pour tentative de meurtre et violences volontaires
La rue des Mobiles-de-Coulmiers, près de la gare SNCF de Périgueux, a été le théâtre d'une rixe d'une violence particulière, vendredi soir. Trois hommes sont suspectés d'être venus en découdre avec deux frères. Le trio est soupçonné d'avoir agi armé d'une lame de 35 centimètres, d'un club de golf et d'une clé démonte-roue. L'accrochage a débuté dans la rue, puis les victimes se sont réfugiées dans une épicerie. Leurs assaillants seraient parvenus à les coincer dans une courette. Les deux frères, de 23 et 38 ans, ont été blessés, l'aîné plus grièvement que le benjamin : ses blessures au bras et à la main ont nécessité la pose de 32 points de suture.
L'intervention de la police a permis d'interpeller sur place deux individus. Le troisième s'est spontanément présenté au commissariat. Tous les trois nieraient être à l'origine des violences. Les premiers éléments de l'enquête, notamment des témoignages, laissent supposer que l'un des agresseurs aurait tenté de porter un coup de ce qui ressemble à un coupe-coupe, au ventre d'un des deux frères. En conséquence, le procureur de la République, Jean-François Mailhes, a décidé d'ouvrir une information judiciaire pour tentative de meurtre et violences volontaires.
Les trois hommes interpellés, âgés de 27 à 35 ans, sont déférés ce dimanche devant le juge d'instruction. Dans la foulée, ils doivent être présentés devant un juge des libertés et de la détention qui pourrait décider de les placer en détention provisoire.
A ce stade de la procédure, la présomption d'innocence leur profite. Certains ont déjà été condamnés pour des faits de violences.
Les investigations se poursuivent pour déterminer le scénario de la soirée et les raisons véritables de cette rixe. Selon les mis en cause, elle aurait pour origine un regard mal perçu. Les enquêteurs n'excluent pas la thèse du règlement de comptes.
http://www.sudouest.fr/2016/07/03/perigueux-tentative-de-meurtre-dans-le-quartier-de-la-gare-2422184-1980.php
La belle soirée de football a été gâchée à Aulnoye-Aymeries. La Voix du Nord rapporte qu’un
adolescent de 13 ans a dû être hospitalisé
après avoir été renversé par une voiture lors d’un cortège motorisé en
centre-ville, après la victoire des Bleus en quart de finale de l’Euro
2016.
L’accident s’est produit vers 23 h, à quelques encablures de la gare,
sur un axe habituellement utilisé pour les célébrations d’après-match.
Au niveau d’un carrefour giratoire, une Renault Clio a renversé
l’adolescent avant d’aller s’encastrer dans un panneau indicateur.
Dégradations à Cambrai
D’après la Voix du Nord, les dégâts sur le véhicule sont
importants, ce qui semble indiquer un choc assez violent. Un homme se
présentant comme un témoin de la scène rapporte avoir vu passer le jeune
garçon « juste avant (…) devant la friterie tout heureux avec sa
trompette.
La belle soirée de football a été gâchée à Aulnoye-Aymeries. La Voix du Nord rapporte qu’un
adolescent de 13 ans a dû être hospitalisé
après avoir été renversé par une voiture lors d’un cortège motorisé en
centre-ville, après la victoire des Bleus en quart de finale de l’Euro
2016.
L’accident s’est produit vers 23 h, à quelques encablures de la gare,
sur un axe habituellement utilisé pour les célébrations d’après-match.
Au niveau d’un carrefour giratoire, une Renault Clio a renversé
l’adolescent avant d’aller s’encastrer dans un panneau indicateur.
Dégradations à Cambrai
D’après la Voix du Nord, les dégâts sur le véhicule sont
importants, ce qui semble indiquer un choc assez violent. Un homme se
présentant comme un témoin de la scène rapporte avoir vu passer le jeune
garçon « juste avant (…) devant la friterie tout heureux avec sa
trompette »
Deux
individus présents dans la Clio ont été légèrement blessés, et devaient
être transférés à l’hôpital de Maubeuge. La fête, elle, a pris un
sérieux coup dans l’aile. « Tout ça à cause de fous du volant », a
regretté le témoin.
Par ailleurs,une habitante de Cambrai se plaignait,
sur Facebook ce lundi matin, de dégradations commises en marge de la
fête, sur des véhicules stationnés rue des Récollets, à 200 mètres de la
sous-préfecture.
http://www.20minutes.fr/lille/hauts-france/
Un homme d'une trentaine d'années s'est noyé accidentellement dans la rivière Tarn, à Saint-Juery au niveau des Avalats. La victime aurait fait un malaise en se baignant. Son corps a été récupéré par une équipe nautique des sapeurs-pompiers
http://www.ladepeche.fr/communes/castres,81065.html
Il ne faisait ni très beau, ni très chaud en ce 1er juillet. On ignore ce qui a pu pousser un homme de 40 ans à se mettre à l'eau dans la Vilaine ce vendredi soir, rue Vanneau à Rennes. Il était avec un groupe d'amis, qui de la berge n'ont pu que voir l'homme couler soudainement. Les pompiers arrivés rapidement n'ont rien pu faire. Son corps a été retrouvé un peu plus tard par les plongeurs.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/rennes
Ce sont deux petits garçons de 5 et 7 ans qui ont un très grand respect pour leur mère, quand on se plonge dans l’enquête comme le fait la présidente du tribunal. Mais ils sont battus quand cette jeune maman boit trop.
Tout a commencé par un signalement de passants, choqués par le comportement d’une mère indigne. Deux petits venaient d’être giflés à toute volée au centre-ville par une mère titubante, sous l’œil des caméras de la ville de Nice.
Les deux enfants ont été aussitôt protégés par la justice. Une enquête a été ouverte et confiée à la police.
Le procureur de la République Jean-Michel Prêtre a dénoncé lors du procès «un comportement habituel», «des violences répétées».
Le tribunal suivra les réquisitions en infligeant à la mère maltraitante «deux mois de prison avec sursis deux ans de mise à l’épreuve avec une obligation de soins.»
Elle devra verser 500 euros à l’association Acte Pelican qui a désormais la responsabilité de deux enfants. En souhaitant qu’une fois guérie, elle puisse, un jour, à nouveau, recevoir ses fils chez elle.
http://www.nicematin.com/justice/une-mere-ivre-et-violente-avec-ses-enfants-condamnee-62002
Mauvaise pioche pour cet apprenti braqueur de 24 ans qui a tenté de s'emparer de la caisse d'une supérette de Niort (79) mardi dernier. Armé d'un pistolet à grenaille, il s'est fait démasquer par un employé qui avait reconnu le fils d'une cliente.
Christian N. était jugé en comparution immédiate hier devant le tribunal correctionnel de Niort. La justice lui reprochait une tentative de braquage dans le quartier de la Gavacherie au préjudice d'une supérette.
Le jeune homme s'est présenté à la caisse avec un bas pour camoufler son visage. Cela n'a pas empêché le gérant et un employé de le reconnaître puisqu'il avait l'habitude de fréquenter le magasin en compagnie de sa mère. Prévenus, les policiers n'ont pas mis longtemps pour le retrouver et lui mettre la main dessus.
Hier, il était jugé pour "tentative de vol avec violence en récidive" et les magistrats n'ont pas été cléments, d'autant que Christian N. avait déjà été condamné et emprisonné pour des faits violents.
Nos confrères de La Nouvelle République assistaient à l'audience devant le tribunal correctionnel de Niort. Ils relèvent que le tribunal est allé plus loin que les réquisitions de la procureure de la République. Christian N. a été condamné à 4 ans de prison ferme, un an avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/deux-sevres/niort
Ce vendredi matin, vers 7 h 30, deux véhicules sont entrés en collision sur la départementale 118, commune de Limoux, en direction de Carcassonne.
Deux personnes ont été blessées. Elles ont été évacuées vers le centre hospitalier de Carcassonne par les secours.
http://www.lindependant.fr/2016/07/01/limoux-deux-blesses-dans-une-collision-frontale,2222932.php