C'est un accident qui aurait pu avoir des conséquences bien plus graves. Deux camions se sont percutés vers midi trente ce mercredi à Saint-Martin-de-Crau (Bouches-du-Rhône). Ils circulaient sur la nationale 568 à hauteur du carrefour du Mas Thibert dans le sens Arles / Fos-sur-Mer. L'un de ces camions transportait une trentaine de tonnes de bois. Après le choc violent, les deux poids-lourds ont aussitôt pris feu. L'embrasement a été très violent et l'incendie s'est propagé aux alentours.
Un hectare parti en fumée
Un hectare de végétation a été brulé sur les bas côtés de la route. Miraculeusement, seul l'un des chauffeurs est légèrement blessé. Une trentaine de pompiers et un hélicoptère bombardier d'eau ont été mobilisés dans cette opération de secours. A 16h, le trafic sur la N568 était encore perturbé.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/bouches-du-rhone/arles
L'homme de 60 ans retrouvé mort après une chute dans la Garonne, vendredi vers 1h30, est mort d'une fracture du crâne. L'enquête a été confiée aux policiers de la sûreté départementale.
«J'ai sauté à l'eau mais malheureusement il était trop tard. Tout le monde est très choqué par cette tragédie. Des clients sont venus déposer une rose sur les lieux du drame. Je n'en ai pas dormi de la nuit». Gérant du Rowing, restaurant situé sur l'Île du Ramier, à Toulouse, Jean-Jacques Mars a ramené sur les berges, dans la nuit de jeudi à vendredi 24 juin, le corps sans vie d'un client qui venait de chuter dans la Garonne, dans des circonstances qui restent encore à définir
Malgré la tentative désespérée du restaurateur, son geste de bravoure n'a pas permis de ramener à la vie cet homme de 60 ans, agent d'assurances à Aucamville, qui était en train d'uriner quand il a chuté d'au moins 5 mètres dans l'eau froide.
L'autopsie pratiquée sur le corps de cette victime a mis en évidence la présence d'une curieuse fracture sur l'arrière du crâne. Cette blessure serait-elle liée à un choc avec un rocher situé en contrebas ? Cette thèse accidentelle fait pour l'instant l'objet de multiples vérifications. «Le décès est lié à un traumatisme crânien. Une enquête est ouverte pour recherche des causes de la mort de façon à déterminer dans quelles circonstances ce décès est intervenu», a indiqué le parquet de Toulouse. D'abord confiée au quart judiciaire, l'enquête est aujourd'hui entre les mains de la sûreté départementale.
Vendredi vers 1h15, une dizaine de courtiers en assurance quittent le Rowing. Juste avant de reprendre sa voiture, l'un des clients se rapproche des berges donnant sur un bras de la Garonne, face au restaurant, pour uriner dans l'eau. Mais pour une raison encore inexpliquée, le sexagénaire tombe dans le fleuve. Son ami qui se tient non loin des berges s'inquiète de la disparition de la victime et retourne au restaurant pour demander de l'aide.
Les secours sont alertés et le gérant du Rowing entame les recherches dans l'obscurité tout en essayant de rassurer les proches de la victime. «J'ai aperçu les clés de cet homme au bord de l'eau c'est là que j'ai compris qu'il avait probablement chuté. J'ai plongé tout habillé. J'y suis allé à tâtons avec un bâton pour m'aider car je n'avais pas pied. Il y avait beaucoup de vase et l'eau était très froide. À force de remuer mes bras, j'ai senti un corps et je l'ai ramené sur la rive.» Au même moment les secours arrivent. Malgré les tentatives de réanimation, le malheureux n'a pu être sauvé. Le corps serait resté au moins 30 minutes dans l'eau. Des examens anatomopathologiques devraient permettre d'éclaircir les circonstances de ce drame désormais symbolisé par la présence d'une rose rouge, avec cette inscription : «Tutu, on t'aime».
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html
Le corps d'un cinquagénaire, en état de décomposition avancée, a été découvert vendredi après-midi dans son appartement, au 8e étage d'un immeuble de Bourg-en-Bresse. L'homme aurait succombé à un coup porté avec une arme blanche il y a une dizaine de jours.
Les enquêteurs ont rapidement orienté leurs investigations vers les deux autres occupants de l'appartement : la compagne du défunt, une femme d'une quarantaine d'années, et un de leur camarade de boissons. Tous trois étaient considérés comme des marginaux. Il y a une dizaine de jours, au cours d'une soirée de beuverie la femme aurait agressé son amant à coups de couteau, dont un mortel à la gorge. Les faits se seraient produits après une dispute, sur fond d’alcoolisme et de séparation.
Elle a été mise en examen pour meurtre et placée en détention provisoire dimanche soir. Quant au troisième larron, témoin des faits, il est poursuivi pour non assistance à personne en danger et non dénonciation de crime. Ce dernier a également été placé en détention provisoire.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-alpes/ain
Le drame a été évité de justesse la nuit de mardi à mercredi dans la cabane du Pic de la Mine sur les hauts de Porté-Puymorens.
Entre minuit et 1 heure, les sapeurs-pompiers sont en effet alertés du cas d'une fillette âgée de 9 ans prise de vomissements, d'étourdissements. La cabane est située à une bonne trentaine de minutes de route. Les secours partent donc immédiatement.
A leur arrivée, ils trouvent la petite somnolente, manifestement intoxiquée au monoxyde de carbone. Et elle n'est pas la seule à avoir été atteinte. Son frère de 6 ans, deux autres gamins de 8 et 6 ans également et un adolescent de 16 ans présentent les mêmes symptômes. Seul l'adulte qui les accompagne un berger de 45 ans, s'avère indemne.
Les sauveteurs ne perdent pas un instant. Ils avisent les familles et évacuent les jeunes victimes vers la clinique Saint-Pierre de Perpignan pour un traitement en caisson hyperbarre.
Selon les premières constatations, les émanations de monoxyde de carbone provenaient du système de chauffe-eau de l'habitation. Elles ont d'ailleurs déclenché une alarme située au niveau de la chambre d'accueil de la cabane du berger.
http://www.lindependant.fr/2016/06/29/porte-puymorens-quatre-enfants-et-un-adolescent-intoxiques-au-monoxyde-de-carbone,2221739.php
Le suicide d'un infirmier de 55 ans sur son lieu de travail et pendant ses heures de service le 13 juin 2016 à l'hôpital Rangueil est reconnu comme un accident du travail par la direction de l'hôpital. Le directeur des ressources humaines s'y était engagé dès le lendemain du drame et le directeur général du CHU également. Cette décision a été actée lundi au cours d'un comité d'hygiène et de sécurité (CHSCT) exceptionnel.
Pour Julien Terrié, le secrétaire du CHSCT central de l'hôpital, "cette reconnaissance en accident du travail par la direction, c'est reconnaître que le travail a quelque chose à voir avec cet acte". Au cours de cette réunion, une délibération a par ailleurs été votée par les membres du CHSCT pour qu'une expertise pour risques graves sur le pôle de cardiologie où travaillait cet infirmier soit menée par un cabinet indépendant. "On ne cherche pas des responsables ou des boucs émissaires", explique Julien Terrié, "mais à remettre à plat le contexte dans lequel on fait les restructurations, comment on les fait et toute la gestion du personnel dans ces cas-là".
Le CHSCT a par ailleurs demandé un moratoire pour bloquer les restructurations engagées au CHU, ce que la direction de l'hôpital a refusé.
Plusieurs enquêtes encore en cours
Avec l'ajout de cette expertise pour risque grave, l'enquête du CHSCT devrait se poursuivre pendant plusieurs semaines. Tout comme celle menée par l'Inspection du travail. Quant à l'enquête administrative ouverte après le drame, elle devrait rendre ses conclusions dans trois à quatre semaines.
Une manifestation prévue mercredi
La CGT appelle à un rassemblement mercredi à 15h30 devant l'Hôtel Dieu à Toulouse pour demander l'arrêt de toutes les restructurations engagées au CHU. "Le CHSCT alerte depuis très longtemps sur la manière dont les restructurations sont menées, il y a urgence à les stopper" explique Julien Terrié
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/haute-garonne/toulouse
Pour se dégager de la voie, un automobiliste a forcé la barrière d'un passage à niveau à Chaniers, près de Saintes. La circulation a été interrompue durant plus d'une heure
Un automobiliste a forcé et détruit la barrière d'un passage à niveau, dimanche vers 11 heures, à Chaniers près de Saintes. Alors que la circulation était fortement ralentie par l'organisation d'une brocante au centre du bourg, un homme s'est engagé seul au volant de son véhicule léger sur la voie. Coincé dans un bouchon, il a rapidement été obligé de se dégager alors qu'approchait un train, en percutant la barrière en marche arrière.
Ces barrières sont justement étudiées pour céder en cas de problème. L'incident n'a fait aucun blessé mais il a obligé la SNCF à interrompre la circulation durant plus d'une heure. Deux trains – un TER ainsi qu'un Intercités – ont été bloqués à Chaniers, en pleine voie. Et plusieurs autres ont été ralentis en amont durant les travaux selon le maire de la commune, Eric Pannaud. Les travaux ont permis à la SNCF de rétablir le trafic sur la ligne aux alentours de midi. L'homme à l'origine de l'incident a quitté les lieux dans la foulée, sans s'arrêter.
http://www.sudouest.fr/2016/06/26/chaniers-17-un-homme-force-un-passage-a-niveau-a-l-approche-d-un-train-2414169-1531.php
Le jeune homme de 19 ans tué dans un accident, samedi matin, à Sorèze, à la frontière du Tarn et de la Haute-Garonne résidait à Montégut-Lauragais. Les faits se sont déroulés au carrefour de la D85 et la D44 (menant à Durfort) lieu-dit pont de Crouzet. Pour une raison que l'enquête devra déterminer, la Citröen conduite par la victime, venant par la D44, a traversé la chaussée de l'autre départementale à très vive allure, a priori 160 km/heure, sans que le conducteur n'ait eu le temps de la moindre réaction. Le véhicule s'est écrasé contre le mur d'une propriété. Les premières constatations n'ont en effet relevé aucune trace de freinage. Par ailleurs, la ceinture du jeune homme, seul à bord, n'était pas attachée. La victime est décédée sur le coup. Ce drame vient par ailleurs éprouver durement deux familles récemment affectées par le décès soudain de la fiancée de la victime.
Un agent de sécurité de la délégation espagnole a été grièvement brûlé jeudi suite à une célébration de la Saint-Jean sur une plage de l'île
Battue pour son dernier match de phase de poule mardi par la Croatie (2-1), l'équipe nationale d'Espagne traverse une phase délicate. Installée depuis le début de la compétition sur l'île de Ré, la sélection de Vincente Del Bosque a vécu une autre soirée mouvementée.
Jeudi soir, des membres de la délégation espagnole et des joueurs ont célébré la Saint-Jean sur la plage, non loin de leur hôtel l'Atalante, à Sainte-Marie-de-Ré. Vers 22h30, un membre chargé de la sécurité de l'équipe est tombé dans les braises.
Transféré à l'hôpital de Bordeaux
Grièvement brûlé aux deux bras et à l'abdomen, l'homme, âgé d'une trentaine d'années, a été secouru par un des médecins de la Roja. Les pompiers sont ensuite intervenus. L'infortuné a été transféré au centre hospitalier de La Rochelle avant un second transfert à l'hôpital de Bordeaux. Ses jours ne sont pas en danger.
Selon les gendarmes, les joueurs n'étaient plus présents au moment de l'accident. Interrogé vendredi, à l'occasion du deuxième entraînement public des coéquipiers de Andrés Iniesta au stade Marcel Gaillard de Saint-Martin-de-Ré, un journaliste d'un grand quotidien sportif espagnol n'était pas surpris.
Sans confirmer l'information il relate une habitude de la Roja : "Chez nous la noche de la San Juan est une tradition. En 2010, lors de la Coupe du Monde en Afrique du Sud les joueurs avaient déjà sauté au dessus du feu". Contactée vendredi soir par un journaliste espagnol présent à Saint-Martin-de-Ré, la Fédération ibérique disait ne pas être au courant.
http://www.sudouest.fr/2016/06/24/ile-de-re-la-soiree-des-footballeurs-espagnols-tournent-mal-2412747-6089.php
Un militaire appartenant à la force Sentinelle s'est suicidé ce vendredi aux Galeries Lafayette à Paris.
Un militaire de l'opération Sentinelle s'est suicidé avec son arme de service. Le drame s'est déroulé dans les toilettes du 2e sous-sol des Galeries Lafayette à Paris.
La police est sur place.
Les faits se sont passés lundi soir, vers 19 heures, sur la commune de Fargues-de-Langon. Le neveu d'une des victimes a été arrêté
Grosse frayeur pour un couple de jeunes femmes d'une trentaine d'années résidant à Fargues-de-Langon, dans le sud de la Gironde. Lundi soir, vers 19 heures, deux hommes font irruption à leur domicile et s'emparent de leur voiture. Les deux femmes essaient de s'interposer. Ce qui n'arrête pas les voleurs qui tentent de les écraser avant de prendre la fuite. Les victimes ont réussi à se dégager de leur route à temps.
La voiture volée a été retrouvée peu après, non loin de là, abandonnée et incendiée.
Alertés dès lundi soir par les deux victimes, les gendarmes n'ont pas tardé à retrouver leurs agresseurs : deux hommes de 22 et 28 ans qui ont été interpellés mardi matin dans le Langonnais. L'un des deux, déjà bien connu de la justice, n'est autre que le neveu de l'une des victimes.
Pourquoi ces violences contre sa tante ? C'est ce que la justice doit désormais démêler. Les deux hommes, originaires de Talence et de Roaillan, ont été déférés devant le parquet de Bordeaux ce jeudi matin et pourraient être renvoyés devant le tribunal correctionnel dans le cadre d'une comparution immédiate.
http://www.sudouest.fr/2016/06/23/gironde-ils-manquent-d-ecraser-deux-femmes-en-leur-volant-leur-voiture-2411049-2780.php
U n accident mortel a eu lieu ce samedi 18 juin sur la route départementale 37 entre Vendres et Lespignan. Un homme de 32 ans n'a pas survécu à ses blessures.
Un accident de la circulation a eu lieu ce samedi vers 19 h 30 à Vendres sur la route départementale 37, entre Vendres et Lespignan au sud ouest de Béziers. Le conducteur d'une fourgonnette Citroën Berlingo, qui transportait huit personnes, aurait perdu le contrôle de sa voiture, dans une légère courbe, pour une raison que les gendarmes de Valras, en charge de l'enquête, devront déterminer.
Mort d'un homme de 32 ans
Le véhicule a fait plusieurs tonneaux avant de s'immobiliser dans un champ. Un homme de 32 ans, père de deux enfants, est mort dans l'accident. Malgré un long massage cardiaque les pompiers de Valras, n'ont pas réussi à le ranimer. Les sept autres occupants de la voiture ont été évacués vers l'hôpital de Béziers.
http://www.midilibre.fr/2016/06/18/beziers-une-voiture-fait-des-tonneaux-avec-huit-personnes-a-son-bord,1351409.php
Les circonstances de ce fait divers restent imprécises pour le moment. L'enquête des policiers du Havre déterminera les responsabilités des 3 protagonistes de cette affaire. Ils sont déjà connus de la police.
Deux hommes des trois hommes impliqués ont été blessés : à la fesse et au cou mais leur vie ne serait pas en danger. L'un a été découvert avenue de la Résistance et le second dans une rue voisine : rue du Gaz.
Les deux jeunes individus ont été transportés à l'hôpital Jacques Monod du Havre.
Le 3ème homme a été placé en garde à vue. http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/le-havre
Des automobilistes sont venus en aide à cinq hommes, victimes d’un accident, en les extirpant de leur véhicule en flammes. Trois sont grièvement blessés.
Peu avant 15 heures, mercredi, le Renault espace vieux modèle descendait de la route de Fumel sur la Départementale 656, à hauteur de Pont-du-Casse, lorsque la voiture a heurté une buse en bordure d'un fossé et percuté un poteau téléphonique.
Immédiatement, la voiture transportant cinq personnes a pris feu. Deux passagers arrivent à s'en extraire, mais il reste encore trois hommes à l'intérieur de l'habitacle.
Elle sectionne les ceintures de sécurité
Deux voitures arrivent sur les lieux, et les automobilistes tentent d'éteindre l'incendie à l'aide d'un extincteur, mais le feu ne s'attise pas. Une femme s'empare alors d'un couteau et parvient à sectionner les ceintures de sécurité des passagers, toujours prisonniers de la voiture en flammes. Un troisième automobiliste, par ailleurs pompier volontaire, prodigue les premiers secours.
Les victimes de cet accident, sans doute provoqué par un malaise du conducteur ou un endormissement, sont des ouvriers agricoles marocains, âgés de 59, 55, 51, 39 et 18 ans, qui revenaient du travail. Les dépistages d'alcoolémie et de stupéfiants se sont avérés négatifs. Deux ont été légèrement blessés, les trois autres, plus grièvement, ont été transportés au centre hospitalier et à la clinique d'Agen.
http://www.sudouest.fr/2016/06/16/extraits-de-la-voiture-accidentee-en-flammes-2402152-3603.php
Le corps d’une femme de 67 ans avait été découvert dans le parking de sa résidence dimanche 12 juin 2016 vers 22h20. Une patrouille de police, alertée par des témoins, s’était rendue sur place. Un homme de 75 ans, qui se trouvait à proximité des lieux avait été interpellé.
Le corps de la retraitée présentait de nombreuses traces de coups et de blessures à l'arme blanche.
"L'autopsie a dénombré plus de 50 plaies sur la victime, localisées au crâne, cou, thorax et qui ont atteint des organes vitaux entraînant le décès", a indiqué Marie-Christine Tarrare, la procureure de Dijon, mercredi 15 juin 2016.
L’homme a "reconnu l'avoir frappée à de nombreuses reprises à l'aide d'un marteau et d'un couteau dont il s'était muni, et ce, après l'avoir aspergée d'une bombe aérosol de produit destiné à l'entretien des véhicules".
Le meurtrier est un ancien technicien mécanique viticole. "Il n'a pas contesté les faits, les expliquant par une "pulsion" survenue à la suite d'un échange téléphonique qu'il avait eu le soir même (dimanche) avec la victime, et qui l'aurait fortement contrarié".
Il a expliqué au cours de sa garde à vue "avoir eu le sentiment d'être une nouvelle fois grugé par une femme avec laquelle il espérait entretenir une relation affective et à laquelle il avait offert plusieurs cadeaux". Le septuagénaire encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/cote-d-or
La mère qui vivait recluse avec ses trois enfants dans un appartement du centre-ville libournais a été incarcérée. Sa fille aînée a été hospitalisée
Depuis plusieurs années, une famille vivait coupée du monde dans un appartement du centre-ville de Libourne, en Gironde, la mère accompagnée de trois enfants, voulant échapper, dit-elle, à un ex-mari violent. Après avoir été mise en examen, elle a été incarcérée.
Depuis 2011, la Girondine, d'une quarantaine d'années selon nos informations, ne travaillait pas et subsistait, semble-t-il, grâce à des économies et l'aide de parents. Ses sorties se réduisaient à des courses alimentaires, hors des grands centres commerciaux.Les enfants vivaient également dans une grande confidentialité.
L'aînée, majeure, était, semble-t-il, la seule à avoir l'autorisation de sortir au grand jour. Les deux plus jeunes, une fille et un garçon âgés de 10 et 13 ans, restaient le plus souvent confinés entre quatre murs et n'allaient pas à l'école. Ni les services sociaux ni la mairie n'étaient au courant de leur existence.
Alors que les deux plus jeunes enfants ont été "placés", l'aînée, également mise en examen, a été hospitalisée, souffrant d'une maladie chronique. Ses jours ne sont pas en danger.
http://www.sudouest.fr/2016/06/13/famille-fantome-a-libourne-la-mere-incarceree-la-fille-ainee-hospitalisee-2398886-2966.php
