vendredi 30 juin 2017

Accident de poids-lourd dans le col du Bonhomme

Un poids--lourd circulant ce vendredi matin vers 9 h 45 sur la route départementale 415 s'est retrouvé en position délicate contre une glissière, à 3,5 km du Col du Bonhomme.
La circulation a été perturbée dans les deux sens.
Une circulation alternée a été mise en place par les services des routes du département.

Faits divershttp://www.dna.fr/faits-divers

jeudi 29 juin 2017

Ivre, un cheminot manque une gare

Hier soir, un train Paris – Clermont-Ferrand ne s’est pas arrêté à Nevers car le conducteur était ivre, rapporte Le Journal du Centre. Selon le quotidien local, le cheminot a été contrôlé avec 3,34 grammes d’alcool par litre de sang, la limité légale étant de 0,5 g/l.
Le train a finalement été arrêté quelques kilomètres après Nevers, en gare de Saincaize, et le conducteur conduit à l’hôpital. Il est en garde à vue depuis ce matin et poursuivi pour mise en danger de la vie d’autrui. Les gendarmes ne savent pas encore si l’homme a bu avant ou pendant le trajet.

  1. Flash Actuhttp://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mercredi 21 juin 2017

Une voiture s’encastre dans une boutique à Mont-de-Marsan : "le bruit d’une explosion"

L’accident a eu lieu ce mercredi matin, rue des Cordeliers. Plus de peur que de mal

Quelle frayeur pour les employés de SFR et le couple qui était dans la voiture ! Mais plus de peur que de mal, ce mercredi matin, rue des Cordeliers, à Mont-de-Marsan.
Garé sur le trottoir d’en face, à quelques mètres de la boutique SFR, le Montois de 88 ans a mal contrôlé son démarrage, et est allé directement s’encastrer dans la vitre de l’opérateur.
Selon des informations recueillies sur place, il essayait une nouvelle voiture, avec une boîte automatique. Très choqué et secoué, comme son épouse, assise sur le siège passager, il a été rapidement transféré à l’hôpital de Mont-de-Marsan pour des examens complémentaires. 
Quant aux deux employés de SFR, ils ont également eu très peur. Et beaucoup de chance. Avec deux clients, ils étaient au fond du magasin lorsque l’accident s’est produit.
"Nous n’avons pas entendu le bruit d’une voiture, mais d’une explosion. On s’est rapidement accroupis pour se protéger", raconte Ludovic Lombardi, conseiller SFR. 
La boutique est fermée au moins ce mercredi et jeudi. 
Pour la petite histoire, le couple est abonné chez… Orange


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lundi 19 juin 2017

Paris: un véhicule percute un car de gendarmes sur les Champs-Elysées

Le véhicule à l'origine de l'incident est en flammes. Le secteur des Champs-Elysées est entièrement bouclé.
La préfecture de police de Paris recommande d'éviter le secteur des Champs-Elysées en raison d'une "intervention en cours", écrit-elle sur Twitter, sans donner davantage de précisions. "Un véhicule a percuté un car de gendarmes, mais nous ignorons, à ce stade, s'il s'agit d'un acte volontaire ou non", confie une source policière à L'Express. 
Le véhicule à l'origine de l'incident, qui s'est produit à hauteur du 16, avenue des Champs-Elysées, est en feu, ajoute notre source
Le conducteur a été interpellé, indique la gendarmerie sur son compte Twitter, précisant que l'incident n'avait fait "aucun blesssé


samedi 17 juin 2017

Le meurtre d’une mère de famille enfin élucidé en Bretagne

Le corps sans vie de Claire Bouchaud avait été retrouvé à demi-dévêtu début mai dans un bosquet près de Saint-Brieuc

Le compagnon de Claire Bouchaud, cette mère de 35 ans dont le corps sans vie avait été retrouvé début mai près de Saint-Brieuc, a été mis en examen et écroué.
La victime, mère d’un garçon de 4 ans et secrétaire médicale à l’hôpital de Saint-Brieuc, avait été retrouvée morte le 7 mai dernier par un promeneur, faiblement vêtue, près d’une ferme abandonnée à Cohiniac (Côtes-d’Armor). 
"Son compagnon, qui ne reconnaît pas les faits, a été mis en examen hier (vendredi, NDLR) en fin d’après-midi pour meurtre aggravé, et placé en détention provisoire", a indiqué le procureur de permanence. L’homme, âgé d’une trentaine d’années, avait été interpellé mercredi avec un ami, lequel a été relâché faute de preuves. 
L’autopsie du corps de la jeune femme avait permis de "caractériser une mort violente consécutive à une lésion par arme blanche au niveau du coeur", avait informé le procureur de la République de Saint-Brieuc, Bertrand Leclerc. 
"L’enquête est compliquée, les investigations doivent encore se poursuivre d’un point de vue technique, avec des recueils de témoignages et le résultat attendu d’expertises", a précisé samedi le procureur de permanence.
"La mise en examen a été prononcée au vu des nombreuses contradictions et incohérences du suspect dans son témoignage sur des points précis"
Selon les témoignages recueillis par les enquêteurs, le compagnon de la jeune femme souffre de problèmes de stupéfiants. Le climat familial au sein du couple était très tendu depuis quelque temps, a précisé le procureur.

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jeudi 15 juin 2017

Une dame âgée retrouvée inconsciente au bord du Rhin

Mercredi vers 17 h 30, une dame âgée de 72 ans a été retrouvée inconsciente au bord du Rhin à Lauterbourg. Elle a probablement chuté de son vélo, qui a été retrouvé à proximité.
Les pompiers de Lauterbourg, Wissembourg et Seltz et les gendarmes de Seltz étaient sur place. Grièvement blessée, elle a été transportée par l’hélicoptère de la sécurité civile Dragon 67 au centre hospitalier intercommunal de Wissembourg.


Secteur de Lauterbourghttp://www.dna.fr/edition-de-wissembourg/secteur-de-lauterbourg

mercredi 14 juin 2017

Marseille: un homme abattu à la kalachnikov

Un homme a été tué par balles hier soir à proximité d'une cité de Marseille, dans un probable règlement de comptes, a indiqué le procureur de la République Xavier Tarabeux.
» Lire aussi : Marseille confrontée à une nouvelle flambée des règlements de comptes
L'homme a été tué aux alentours de 23h30 hier soir près de la cité Air Bel, située dans l'est de la cité phocéenne, a indiqué M. Tarabeux, précisant que les auteurs, "au moins deux" et "vraisemblablement à pied", étaient toujours recherchés. Sur place, la police a retrouvé plusieurs douilles attestant de "l'utilisation d'arme de type kalachnikov".
La victime, âgée de 29 ans, était "connue pour des infractions à la législation sur les stupéfiants", a précisé le procureur.
L'enquête a été confiée à la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ).
  1. Flash Actu      Flash Actuhttp://www.lefigaro.fr/            

lundi 12 juin 2017

Le secrétaire général de la préfecture, Florian Valat, s'est donné la mort

L'information tombée hier matin a causé une vive émotion à Montauban et plus particulièrement au sein des services préfectoraux en cette journée électorale. Florian Valat, secrétaire général de la préfecture ayant rang de sous-préfet de l'arrondissement de Montauban depuis mars dernier, venait de se donner la mort à Paris. L'homme, âgé de 34 ans, était marié et père de trois jeunes enfants.
Florian Valat avait succédé le 27 mars dernier à Jean Michel Delvert (nommé sous-préfet de La Flèche dans la Sarthe) au secrétariat général de la préfecture.
Dès son arrivée à Montauban, ce jeune haut fonctionnaire diplômé de l'ENA s'était emparé d'importants dossiers que lui avait confiés le préfet, en particulier celui de l'accueil des migrants en Tarn-et-Garonne. On avait également pu le croiser aux côtés des forces de l'ordre dans des opérations de prévention routière les jours de grands départs comme ce fut le cas pour le dernier week end de l'Ascension. Décrit comme une «personnalité brillante», Florian Valat était aussi un homme dynamique et simple d'accès, dont les interlocuteurs louaient le sens du contact et de l'écoute.

Inspecteur du travail, l'ENA, enseignant à Sciences Po…

En 2007, ce parisien d'origine avait connu à 27 ans, son premier poste d'inspecteur du travail à Strasbourg après une formation de 18 mois à l'Institut national du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle de Lyon. Il intégra deux ans plus tard l'ENA où ses différents stages le conduisirent auprès de l'ambassadeur de France à Sarajevo, puis auprès du préfet du Haut Rhin et enfin à l'inspection général de l'administration (IGA) avant d'enseigner les «Questions sociales» à Sciences Po Paris de septembre 2012 à juin 2015.Il avait d'ailleurs publié à l'adresse des étudiants postulant au concours d'entrée, un recueil «Leçons de questions sociales». Il fut ensuite nommé directeur adjoint de l'Asile (La direction de l'asile est chargée des questions relatives au droit de l'asile et aux bénéficiaires de la protection internationale) au ministère de l'intérieur, poste qu'il occupa jusqu'à sa nomination à Montauban en mars dernier.
En dépit d'un séjour bien trop court en Tarn-et-Garonne, ce haut fonctionnaire promis à un bel avenir était parvenu à prendre rapidement la mesure de sa charge qui consistait à coordonner l'action des services de l'État sur les objectifs définis par le préfet et sur les politiques gouvernementales interministérielles. Ce matin à 9 h 30, le préfet réunit tous les agents de la préfecture qui sera fermée pour la journée.
                        Tarn-et-Garonnehttp://www.ladepeche.fr/grand-sud/tarn-et-garonne/

dimanche 11 juin 2017

93: un samedi soir meurtrier

Deux personnes ont été tuées par balle dans la nuit de samedi à dimanche à Sevran et Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) où deux autres ont été blessées, dont l'une grièvement, selon des sources concordantes.
Aux alentours de 22h30 heures samedi, une violente dispute a éclaté lors d'un "barbecue sauvage" rassemblant environ deux cents personnes et organisé par la communauté antillaise dans un parc à Sevran. A l'arrivée des policiers, "il y avait beaucoup de gens alcoolisés et énervés mais ils ont fini par trouver la victime, avec une balle entre les deux yeux", a rapporté une source proche de l'enquête.
D'après les premiers éléments de l'enquête, une altercation aurait éclaté "entre la victime, âgée de 33 ans, et un homme" qui a dégainé une arme de calibre 7,65 mm, a ajouté cette source, précisant qu'à ce stade, il n'y avait eu aucune interpellation. La police judiciaire du département a été chargée de l'enquête.
A Saint-Denis cette fois, les pompiers ont été appelés vers 03H30 dimanche après qu'un homme de 22 ans a essuyé un tir mortel de pistolet automatique "au niveau du sternum" dans l'une des rues du centre ville. Le tireur "se serait approché" et aurait tiré "à bout portant", avant de prendre la fuite dans un véhicule, a indiqué une source policière. La brigade criminelle de Paris a été chargée de l'enquête.
Plus tôt dans la nuit, vers minuit trente, un équipage de la brigade anti-criminalité était intervenue à Saint-Denis pour mettre fin à une bagarre impliquant une vingtaine de personnes munies de barres de fer et d'armes blanches "qui d'un seul coup s'en sont pris à un homme qui passait par là, l'ont frappé au visage et l'ont blessé au flanc avec un tournevis", selon une source proche de l'enquête. Trois personnes ont été interpellées. L'enquête a été confiée à la Sûreté départementale.
La nuit précédente déjà, un adolescent de 17 ans avait été grièvement blessé vers une heure du matin à Saint-Denis au cours d'une bagarre impliquant une quarantaine de jeunes, dont certains armés de "béquilles, de battes de baseball et de clés anglaises", a rapporté une source policière. Quatre personnes ont été interpellées tandis que la victime, qui a reçu un coup de barre de fer au visage, était transportée à l'hôpital. Elle se trouvait toujours entre la vie et la mort dimanche matin.
Selon les premiers éléments de l'enquête, ces deux dernières affaires auraient en toile de fond un affrontement entre bandes rivales de deux cités de la ville, Chantilly et les Francs-Moisins.

  1. Flash Actuhttp://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

samedi 10 juin 2017

Il meurt dans un accident de plongé-spéléo

Un plongeur-spéléo finlandais a trouvé la mort dans le gouffre de d'Estramar, à Salses-le-Château (Pyrénées-Orientales), à 200m de profondeur, rapporte la gendarmerie ce samedi. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes du décès de cet homme expérimenté de 44 ans.
Un autre plongeur-spéléo également de nationalité finlandaise et expérimenté de 45 ans, a été remonté par les pompiers. Il est sorti du gouffre à 17h00 après avoir respecté les paliers de décompression, ont précisé les gendarmes. L'accident s'est produit en début d'après-midi.
Cinquième accident mortel depuis 1955
Le corps de la victime devait être remonté dimanche ou lundi après "l'étude de la mission" et la "constitution d'une équipe" pour aller le chercher à 200 m, une profondeur qui pose "quelques difficultés", selon un officier de gendarmerie. Une autopsie sera pratiquée et une étude du matériel sera effectuée pour comprendre les causes de cet accident, a expliqué la même source.L'audition du deuxième spéléo est également prévue, a ajouté l'officier.
Le Font d'Estramar est la résurgence la plus profonde explorée en plongée en Europe. Elle est très dangereuse. Selon France Bleu, il s'agit du cinquième accident mortel depuis 1955, le dernier remontant à janvier 2016.

  1. Flash Actuhttp://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

vendredi 9 juin 2017

RN10 : un accident entre un poids lourd et une voiture fait un blessé grave en Charente

Vendredi en milieu de matinée un accident s’est produit à hauteur du plan d’eau de Saint-Yrieix, sur la RN10 dans le sens nord-sud.

Les automobilistes sont appelés à la plus grande vigilance vendredi matin sur la RN10 à hauteur du plan d’eau de Saint-Yrieix, dans le sens Nord-Sud. En milieu de matinée, un accident entre un poids lourd et une voiture est survenu. Selon nos premières informations, une personne serait grièvement blessée.
Il s’agit du conducteur de la voiture, une Mercedes immatriculée dans les Bouches-du-Rhône qui s’est encastrée dans l’arrière de la remorque du camion espagnol
Il a fallu trois quarts d’heure pour désincarcérer la victime, qui a été transporté vers l’hôpital d’Angoulême, d’où il devait être héliporté vers un CHU (Poitiers ou Bordeaux).
La circulation a été fortement ralentie dans le sens Paris-Bordeaux et des bouchons se sont formés.
A La Unehttp://www.sudouest.fr/

mardi 6 juin 2017

Sète: Expulsée de son appartement… parce qu’elle nourrissait les pigeons

Marie, 67 ans, va devoir quitter l’appartement qu’elle occupe à Sète, dans l’Hérault. Son tort ? Elle donnait à manger aux pigeons depuis la fenêtre de son logement. Ses voisins l’avaient attaquée en justice en 2013, car son geste aurait provoqué nuisances sonores et dégradations dans l’immeuble, relate France Bleu Hérault.
Aujourd’hui, elle ne nourrit plus les pigeons, mais se bat pour conserver son appartement. Un comité de soutien s’est constitué autour d’elle. « Sans famille ni argent, je ne sais pas où je vais aller », témoigne-t-elle au micro de la station héraultaise.

Jusqu’à « trente pigeons sur les fenêtres »

Le syndic de l’immeuble de son côté assure que les recours à l’amiable n’ont pas abouti.
« Il y avait parfois dix, vingt, voire trente pigeons sur les fenêtres, précise une responsable du syndicat de la copropriété à France Bleu Hérault. On ne peut pas se poser en victime quand on n’a pas cessé de troubler le voisinage. »
            
  • logementhttp://www.20minutes.fr/dossier/logement

lundi 5 juin 2017

Landrecies : une rixe et des coups de feu font un blessé grave

Une bagarre a mal tourné, dimanche soir, à Landrecies. Des coups de feu ont été tirés. Les pompiers ont du prendre en charge un blessé grave. 
Tout est parti d'un simple "différend". Dimanche soir, vers 22h15, les pompiers sont appelés à Landrecies, rue du Général de Gaulle, pour une bagarre qui éclate. Des coups de feu ont été tirés.

Arrivés sur place, ils découvrent un homme de 22 ans grièvement blessé. Il a reçu des plombs au visage et à la main gauche. Il a été transporté en urgence au centre hospitalier de Valenciennes par les pompiers et le SMUR.

On ignore pour l'instant les circonstances de la rixe. Plus d'infos à venir

  • faits divershttp://france3-regions.francetvinfo.fr/faits-divers?r=hauts-de-france

  • samedi 3 juin 2017

    Une carie dans l'enquête sur le dentiste de Villeneuve

    Mis en examen car suspecté de harcèlement moral et sexuel sur des collaborateurs et clients de son cabinet, un dentiste de la bastide villeneuvoise a gagné une bataille juridique. Un enquêteur dans le viseur.
    Mis en examen pour harcèlement moral et sexuel en septembre 2016, dans le cadre de son activité, le dentiste villeneuvois l'est toujours. Il est toujours interdit d'exercer mais son avocat Me Vivier a obtenu de la justice que cette même interdiction soit limitée à la circonscription de Villeneuve. Pour faire court, ce praticien exerce toujours, dans le département. Il est toujours sous contrôle judiciaire et doit donc respecter les termes de cette mesure de restriction de ses mouvements. Toutefois, un dernier épisode juridico-judiciaire est intervenu le 12 avril dernier. À cette date, la chambre d'instruction de la cour d'appel d'Agen a statué sur une demande de nullité de l'enquête préliminaire et de la procédure d'information judiciaire ouverte à son encontre pour ces harcèlements sexuel et moral présumés.

    SMS à l'épouse

    Le détail n'en est pas un. Me Vivier a obtenu cette décision rarissime en apportant la preuve que l'un des enquêteurs chargés de ce dossier avait, comme il le dit, «contredit le code de déontologie de la police nationale.» Selon l'avocat villeneuvois, les magistrats ont pris cette décision d'annulation convaincus qu'ils ont été du comportement d'un fonctionnaire de police, officier de police judiciaire.
    Le dentiste était alors en garde à vue quand sa compagne reçoit, sous pseudo, un SMS contenant des liens hypertextes. «On pouvait y lire des documents sur les psychopathes, les pervers.» Rien n'indiquait alors que derrière cet anonyme se trouvait l'OPJ en question.

    Secret «bafoué»

    Dans les jours qui ont suivi, le dentiste alors mis en examen rencontre un ami. Les déclarations de ce dernier laissent entendre que des tiers totalement étrangers à ce dossier judiciaire sont au courant de ses déboires. Constat d'huissier à l'appui, Me Vivier saisit la chambre de l'instruction. «Nous sommes remontés jusqu'à la source de l'information» se souvient l'avocat. «Clairement, le secret de l'enquête était bafoué.»
    Le réseau social Facebook était l'un des supports utilisés par la fonctionnaire de police pour distiller des éléments pouvant nuire à l'équilibre des rapports entre l'accusation et la défense. L'ensemble de l'enquête préliminaire est effacé à partir des premiers messages envoyés ce jour-là, à compter de l'heure minutée de l'envoi du 1er SMS.

    En cassation

    Vainqueur de la première manche, Me Vivier ne veut pas s'arrêter là. Considérant qu'il peut être possible que d'autres envois d'information aient pu avoir lieu, il a saisi la chambre criminelle de la cour de cassation. Les délais s'allongent d'autant pour la poursuite de l'enquête sur ce harcèlement présumé. «Cette décision dit aussi que la chambre de l'instruction est garante de l'orthodoxie d'une enquête. Nous restons dans un état de droit.» L'avocat du dentiste dit n'avoir eu connaissance que d'une plainte en nonne et due forme. En septembre dernier, il était question d'une dizaine de 
    victimes supposées, collaboratrices ou clientes. L'arrêt de la chambre de l'instruction interdit désormais toute constitution de partie civile.

    En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2017/06/03/2587061-une-carie-dans-l-enquete-sur-le-dentiste-de-villeneuve.html#V1OJBfU5tumvsF5y.99

    Villeneuve-sur-Lothttp://www.ladepeche.fr/communes/villeneuve-sur-lot,47323.html

    vendredi 2 juin 2017

    La femme qui a caché un corps inculpée

    La quinquagénaire soupçonnée d’avoir dissimulé le corps de sa mère pendant sept ans a été mise en examen hier, selon Le Parisien. Elle a été inculpée pour « faux et usage de faux » et « atteinte à l’intégrité d’un cadavre » après 48h de garde à vue. Elle risque cinq ans de prison, croit savoir le quotidien.
    L’affaire a été révélée en début de semaine. Âgée de 55 ans, cette femme est accusée d’avoir caché le cadavre de sa mère dans son congélateur durant au moins sept ans, afin de toucher son allocation de retraite d'un montant de 1982 euros par mois.
    La police a découvert l’affaire en enquêtant sur une escroquerie concernant l’inculpée, qui utilisait le permis de conduire de sa mère sur lequel elle avait apposé une photo d'elle, malgré la différence d'âge évidente.
    Le corps a été retrouvé dans un congélateur débranché, au fond du jardin : il était, selon le quotidien régional, très dégradé, recouvert de bâches, de vêtements, plié et momifié. Une autopsie doit être réalisée pour savoir, notamment, la cause de la mort.
    1. Flash Actuhttp://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

    Un policier traîné par une voiture sur une trentaine de mètres

    Un policier du commissariat de Montauban qui voulait mettre fin, hier, à 16h30, au curieux manège de deux hommes qui jetaient des objets en direction de la maison d'arrêt Beausoleil, s'est approché d'eux. Il a d'abord essuyé une bordée d'insultes et des menaces avant que les deux hommes ne s'échappent au volant de leur voiture. Le policier s'est accroché à la voiture pour freiner leur fuite, durant une trentaine de mètres. Il a évidemment dû lâcher prise, s'en tirant avec une blessure au bras. Les délinquants sont en fuite et activement recherchés.
    Montaubanhttp://www.ladepeche.fr/communes/montauban,82121.html

    jeudi 1 juin 2017

    Quatre blessés, dont un grave, dans un accident sur l'A16 entre un bus et un camion

    Depuis cet accident, qui s'est produit vers 04H30, l'autoroute est complètement fermée dans le sens Dunkerque-Boulogne-sur-Mer et une déviation a été mise en place au niveau de Bourbourg, a précisé la préfecture du Nord.

    Le chauffeur du bus, dans un état grave, a été héliporté vers le centre hospitalier de Lille alors que trois accompagnatrices blessées ont été transportées au centre hospitalier de Dunkerque. Enfin, 10 adolescents, choqués, ont reçu un soutien psychologique. 
    Le poids lourd polonais aurait freiné sur la voie de droite et le bus néerlandais l'aurait alors percuté de plein fouet, a pour sa part indiqué le Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours du Nord. Le bus transportait 51 personnes en tout: 45 adolescents et cinq accompagnateurs en plus du chauffeur.

    re blessés, dont un grave, dans un accident sur l'A16 entre un bus et un camionhttp://www.lindependant.fr/2017/06/01/quatre-blesses-dont-un-grave-dans-un-accident-sur-l-a16-entre-un-bus-et-un-camion,3020741.php


    L’acte terrible d’un époux trompé

    « La peine encourue est la perpétuité », cadre le président Yves Plantier. Prostré dans son box, Stéphane Mignard, 51 ans, a été mis en examen pour assassinat. Le procès de cet homme aux cheveux gris, mal à l’aise dans sa chemise bleu clair, s’est ouvert ce mercredi devant la cour d’assises de la Haute-Saône, à Vesoul.
    Le 31 mars 2014, l’accusé, qui avait apporté deux armes blanches avec lui, avait convenu d’un rendez-vous avec l’amant de son épouse. Les deux adultes, décrits comme non-violents, s’étaient retrouvés à Dampierre-sur-Salon avant de circuler aux alentours, sans but précis. Mais après quelques bières, la rencontre avait dégénéré. Dans quelles circonstances ?
    Toujours est-il que le 1er avril 2014, aux environs de 8 h, le cadavre de Dany Trinquesse, âgé de 39 ans, avait été découvert par deux électriciens qui se rendaient au travail, abandonné au bord de l’étang communal de Theuley, un village situé à l’ouest du département. Lardé de 21 coups de couteau. Une des armes avait été retrouvée à l’intérieur du Citroën C8 maculé de sang avec lequel l’accusé a aussi roulé, comme l’a confirmé l’autopsie, sur le corps de sa victime.
    De retour à son domicile, à Lavoncourt, Stéphane Mignard avait tenté de se suicider en absorbant des médicaments. À l’hôpital où il avait été transporté, il avait confié à une infirmière qu’il avait laissé son rival pour mort sur un parking. « À l’issue d’une enquête sans complication », l’auteur des faits avait été interpellé le lendemain même de ce crime passionnel sur fond de misère sociale, d’oisiveté et de jalousie.
    Ce premier jour du procès a permis de mieux cerner la personnalité de l’ancien menuisier, dont l’alcoolisme et la dépendance aux stupéfiants se sont aggravés après plusieurs opérations du dos et la perte de tout emploi. Un homme à la jeunesse malheureuse, humilié par sa mère. Un père de trois enfants bafoué par sa femme, qui le trompait avec cet ami que le couple avait accueilli durant près de deux ans sous son toit. Un individu bipolaire et dépressif, qui a essayé à de nombreuses reprises de mettre fin à ses jours. Il était régulièrement admis en urgence à l’hôpital de Gray ou en séjour psychiatrique à Clairefontaine. Le dernier était intervenu après que sa conjointe lui avait annoncé son intention de divorcer. Son internement avait pris fin le 27 mars 2014. Quatre jours avant le drame.
    « Je risque d’aller en prison quand j’aurai réglé mes comptes », avait-il alors confié à son fils. Ce fils dont le témoignage l’a fait craquer hier, obligeant le président Plantier à demander une suspension d’audience pour lui permettre de se remettre de ses émotions. 
    S’il rejette la thèse de l’assassinat, Stéphane Mignard reconnaît le meurtre « dans une scène qu’il est incapable de décrire ». « Jamais il ne s’est présenté à moi en minimisant son acte, qu’il appelle le « point noir », a expliqué son visiteur de prison. Un enseignant à la retraite, « touché de la façon dont il bataille avec sa personnalité ».
    « Une des questions de ce procès, c’est la préméditation », a résumé l’avocat général, Gabi Bouyssou. Le verdict est attendu ce jeudi, au cours de la soirée.