Aujourd’hui, elle ne nourrit plus les pigeons, mais se bat pour conserver son appartement. Un comité de soutien s’est constitué autour d’elle. « Sans famille ni argent, je ne sais pas où je vais aller », témoigne-t-elle au micro de la station héraultaise.
Jusqu’à « trente pigeons sur les fenêtres »
Le syndic de l’immeuble de son côté assure que les recours à l’amiable n’ont pas abouti.« Il y avait parfois dix, vingt, voire trente pigeons sur les fenêtres, précise une responsable du syndicat de la copropriété à France Bleu Hérault. On ne peut pas se poser en victime quand on n’a pas cessé de troubler le voisinage. »
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