mardi 24 octobre 2017

Une vieille station spatiale chinoise va bientôt s'écraser sur Terre

La vieille station spatiale Tiangong-1 n'est plus sous contrôle depuis fin 2016 et a entamé sa chute vers la Terre. Une chute qui a de quoi inquiéter puisque la station pèse plus huit tonnes.
Bien sûr, une grosse partie de l'appareil va brûler et se désagréger après son entrée dans l’atmosphère. Mais pas entièrement, note Europe 1, qui explique que des morceaux de plusieurs centaines de kilos pourraient quand même atteindre notre planète.
L'impact devrait avoir lieu d'ici trois ou quatre mois. De quoi avoir le temps de se préparer au pire ? Pas vraiment puisqu'on ne disposera d'estimations sur ses points de chute que quatre à cinq jours avant. 

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vendredi 13 octobre 2017

Carcassonne : faute de relogement d’urgence, elle se met en grève de la faim

Sabine Parsy se bat depuis le 25 juin suite à une expulsion.
C’est le 25 juin dernier, à la demande de Marcou Habitat, que Sabine Parsy a fini par être expulsée du logement social qu’elle occupait à Salsigne depuis trois ans... Depuis, et malgré les démarches qu’elle a pu entreprendre pour être relogée dans l’urgence, cette femme âgée de 52 ans se retrouve à la rue avec 680 € par mois, comprenant une petite pension alimentaire et le RSA.
Hier matin, devant la préfecture de l’Aude, c’est dans ce contexte que cette femme en détresse a décidé d’entamer une grève de la faim pour dénoncer « l’incompétence totale des services sociaux... »

arcassonne : faute de relogement d’urgence, elle se met en grève de la faimhttp://www.lindependant.fr/2017/10/12/carcassonne-faute-de-relogement-d-urgence-elle-se-met-en-greve-de-la-faim,3059751.php

mardi 10 octobre 2017

Rhone: enfant de 10 ans porteur de la rage

Un enfant de 10 ans habitant le Rhône a contracté la rage après avoir été mordu en août par un chiot porteur de la maladie sur une plage du Sri Lanka, a annoncé aujourd'hui l'Agence régionale de santé (ARS) Auvergne-Rhône-Alpes.
Aucun détail sur l'état de santé de l'enfant, hospitalisé depuis le 4 octobre, n'a été donné par l'ARS qui précise avoir identifié les personnes "ayant été au contact direct avec la salive ou les larmes de cet enfant", compte tenu de la "gravité" de la maladie déclarée.
L'incubation chez l'homme de cette maladie, "presque constamment mortelle une fois déclarée", varie entre 20 à 60 jours en moyenne, rappelle l'ARS.
La France est reconnue indemne de la rage mais depuis 1970, 23 cas ont été observés sur des personnes après des retours de voyage à l'étranger

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dimanche 1 octobre 2017

L'enquête commence après l'effondrement d'une barrière qui a fait 29 blessés lors du match Amiens-Lille

Une enquête pour "blessures involontaires" va devoir déterminer les causes de l'effondrement d'une barrière qui a blessé 29 supporteurs de football de Lille, dont cinq grièvement, samedi soir à Amiens lors du match de Ligue 1 Amiens-Lille.
La rencontre comptant pour la 8e journée de L1 avait débuté depuis 16 minutes lorsque, après avoir ouvert le score, le Lillois Fodé Ballo-Touré s'est dirigé vers le kop du Losc.
Les fans nordistes se sont rués comme un seul homme sur le grillage séparant la tribune latérale de la pelouse. Des dizaines d'entre eux se sont alors retrouvés sur le sol, écrasés par leurs camarades.

"Ca s'est passé d'un coup"
"Ca s'est passé d'un coup. Je ne sais même pas qui avait marqué. D'un coup, ça m'est tombé dessus. Plus de son, plus d'image, et après je suis reparti avec les pompiers", a témoigné Georges Penel, un supporteur lillois de 21 ans, blessé à la jambe et au dos.
Le match a aussitôt été arrêté, définitivement par l'arbitre Thomas Leonard qui a renvoyé les deux formations aux vestiaires. Une scène de confusion a suivi l'effondrement de la barrière, des soigneurs de la Croix-rouge et des pompiers prodiguant les premiers soins aux blessés, devant les CRS sur la pelouse.
Selon un dernier bilan communiqué à l'AFP par le CHU d'Amiens, 29 supporteurs ont été blessés - à l'abdomen, au thorax, au crâne... - dont cinq grièvement. Trois mineurs de 17, 16 et 14 ans font partie des victimes.
Parallèlement, une enquête en flagrance pour "blessures involontaires" a été ouverte sous l'autorité du parquet d'Amiens. Elle devra "déterminer pourquoi il y a eu cette rupture", a affirmé le procureur Alexandre de Bosschère.
"Nous cherchons à savoir s'il y a eu des manquements particuliers", a-t-il dit, précisant: "nous avons placé des scellés sur le site qui fera l'objet d'une expertise dans les prochains jours".

"200 ultras très énervés"
Un début de polémique a opposé les dirigeants lillois et amiénois sur l'état du stade de la Licorne, inauguré en 1999 et d'une capacité d'environ 12.000 places.
Le Losc s'est en effet interrogé par la voix de son directeur général Marc Ingla sur "les conditions d'organisation et de sécurité proposées par le stade et le club d'Amiens".

Le président de l'Amiens SC, Bernard Joannin, avait, lui, plus tôt dans la soirée, balayé devant la presse toute polémique sur l'état de la barrière: "Il n'y a pas de problème de barrière. Les services de police nous avaient prévenus que 200 ultras très énervés étaient dans le parcage réservé aux Lillois. Ils se sont lancés de façon désordonnée, plus de 500 personnes, sur cette barrière qui était en parfait état".
Une mise en cause que Marc Ingla a jugé "irresponsable".

"Arrêtons les polémiques"
La maire de Lille, Martine Aubry, a voulu calmer les esprits. "Arrêtons les polémiques sur l'accident. Pensons d'abord aux blessés, et attendons les résultats de l'enquête", a-t-elle twitté.
"Quand il y a des polémiques comme ça, la première des choses est qu'on pense à ceux qui sont blessés", selon Xavier Bertrand, président LR des Hauts-de-France.
"La prise en charge des victimes reste évidemment la priorité absolue avant de faire toute la lumière sur les circonstances de cet accident", a réagi le président de la fédération française de football, Noël Le Graet. 

Le stade de la Licorne d'Amiens est en travaux de rénovation pour toute la saison, sa première en Ligue 1. La tribune latérale face à celle de l'incident est d'ailleurs fermée pour réfection.
"Ce qui est arrivé n'a strictement aucun rapport avec les travaux du stade", a asséné Alain Gest, député Les Républicains et président d'Amiens Métropole, propriétaire du stade.



                                     
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