mardi 29 août 2017

Vidéo Un canadair heurte une péniche dans le port de Vallabrègues (Gard)

L 'avion intervenait sur un feu de forêt à Collias, près de Nîmes. L'incident n'a pas fait de blessé mais les images, publiées sur Youtube, restent impressionnantes.
Grosse frayeur dimanche 27 août en fin d'après-midi à Vallabrègues dans le Gard : un canadair a heurté au niveau du mât une péniche pendant qu'il effectuait un ravitaillement dans le port. L'avion intervenait sur un feu de forêt à Collias, près de Nîmes. L'incident, très rare, n'a pas fait de blessé mais les images, publiées sur Youtube, restent impressionnantes. D'après nos informations, les images ont été tournées par des touristes australiens en vacances sur les rives du Rhône. 

Deux enquêtes sont ouvertes : la première par le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) ; la seconde, administrative, par l'inspection générale de la Sécurité civile. Le ministère de l'Intérieur entend suivre de près les investigations.*

Le pilote et le copilote suspendus à titre conservatoire

Pour le lieutenant colonel Bernier, chef du bureau communication de la direction de la sécurité civile : "le Canadair est endommagé au niveau de l'aile, il sera indisponible pour plusieurs semaines, il y a eu des projections sur deux bateaux, heureusement sans faire de blessé. Il s'agit de pilotes expérimentés  et confirmés qui connaissaient bien le plan d'eau. Ils ont réussi  à voler jusqu'à la base de Nîmes. Le pilote et le copilote sont choqués, ils ont été suspendus à titre conservatoire et vont être examinés par un médecin spécialisé qui doit s'assurer qu'ils sont en capacité de revoler"

VallabrèguesVallabrègueshttp://www.midilibre.fr/gard/nimes/

dimanche 27 août 2017

Coups de feu à Hautepierre : : un blessé hospitalisé

Une fusillade s’est produite samedi vers 20 h, dans le quartier strasbourgeois de Hautepierre, à proximité du centre social et culturel de Hautepierre Le Galet, boulevard Balzac. Un différend entre personnes issues de la communauté arménienne serait à l’origine des coups de feu. Un homme, blessé par balle, est actuellement hospitalisé. D’après la police ses jours ne seraient pas en danger.
Quatre personnes sont actuellement en garde à vue à l’Hôtel de police de Strasbourg. Pour l’heure, la police tente d’éclaircir les circonstances de la bagarre en faisant le tri entre les nombreux témoignages.
Fil InfoFil Infohttp://www.dna.fr/actualite/fil-info

samedi 26 août 2017

Elle fait un AVC et appelle les urgences... qui lui raccrochent au nez

Valérie Roux, infirmière de formation, a fait un accident vasculaire cérébral (AVC) en 2010. La personne du Samu qu'elle a eu au téléphone lui a raccroché au nez, croyant qu'elle était ivre. Le CHU de Nantes a été condamné à verser plus de 350.000 euros de dédommagements.
Lorsque Valérie Roux, 48 ans, s'est rendue compte de son AVC, elle a tout de suite appelé le Samu de Loire-Atlantique. Le praticien, convaincu que ses problèmes d'élocution et ses fourmillements étaient dus à une consommation d'alcool ou à une dépression, lui a intimé d'aller "se coucher" en lui assurant que "ça ira mieux demain", rapporte le Parisien. Grosse erreur. 
Partiellement paralysée, Valérie Roux a rampé jusqu'à la porte de ses voisins. Elle a fini par être emmenée aux urgences avec une heure de retard. "Ces traumatismes crâniens répétés ont pu jouer un rôle délétère sur l'évolution de l'AVC", ont indiqué les experts mandatés dans l'affaire. 
Lourdement handicapée
Alors qu'elle était infirmière depuis vingt ans au centre de rééducation et de réadaptation fonctionnelles de Pen-Bron, elle se retrouve aujourd'hui secrétaire administrative à temps partiel. 
Valérie Roux a du subir dix-huit mois de rééducation, doit suivre un traitement à vie et se rend chez son kinésithérapeute une fois par semaine. Lourdement handicapée, elle a besoin de l'assistance d'une aide ménagère, à raison de deux heures par jour. 
Les juges du tribunal administratif de Nantes ont estimé que 30% des conséquences de l'AVC de Valérie sont imputables au comportement du Samu.  "Il résulte [...] des rapports des experts [...] que l'intervention de l'assistant de régulation médicale et du médecin régulateur [...] a été totalement inadaptée. Les propos tenus [...] ont été totalement dépourvus d'humanité: le premier s'est limité au strict interrogatoire administratif et le second a spontanément orienté l'interrogatoire sur la dépression et la prise d'alcool. Un interrogatoire correctement effectué aurait permis de suspecter le problème neurologique et aurait évité l'erreur concernant l'heure de début des symptômes", a dénoncé le tribunal. 
En plus des 350.000 euros de dédommagements, le CHU de Nantes et son assureur devront verser plus de 65.000 euros à la Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM) de Loire-Atlantique pour les frais de santé engagés pour Valérie Roux. 
Faits-Divers             http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers

vendredi 25 août 2017

Choc frontal: une conductrice grièvement blessée

Un choc frontal entre une voiture et une camionnette s’est produit tôt ce matin vers 5 h 45 à Berg, sur la RD 1061 en direction de Drulingen. Le conducteur de la camionnette, légèrement blessé, a pu sortir du véhicule par ses propres moyens. Gravement blessée et inconsciente, la conductrice de la voiture a dû être désincarcérée par les pompiers, avant d’être évacuée. Outre les pompiers et les gendarmes, le SMUR de Saverne et l’hélicoptère Dragon 67 de la sécurité civile étaient sur place.
L’accident a entraîné la mise en place de deux déviations: dans le sens Drulingen vers Sarre-Union, le trafic était dévié par les D340-D179 et D96 via Berg et Thal Drulingen. Pour le sens Sarre-Union vers Drulingen, il fallait suivre les D96-D8-D55-D340 via Burbach et Wolfskirchen.
En raison des opérations de secours, la route est fermée à la circulation jusqu'à 9h ce matin.

Faits divershttp://www.dna.fr/faits-divers

mercredi 23 août 2017

Encore une grave chute d'un toit

Les pompiers sont intervenus vers 9h30 ce mercredi à Barr pour une grave chute d'un toit, rue Bannscheid, non loin de la gare.
L'hélicoptère de la sécurité civile a été dépêché pour évacuer la victime vers l'hôpital de Hautepierre. Il a été considéré en état d'urgence absolue par les pompiers, mais son pronostic vital n'était pas engagé.
Selon les premiers éléments recueillis, il s'agit d'un accident du travail. La victime est âgée de 55 ans.

Une chute mortelle à Barr vendredi soir

Vendredi soir déjà, un habitant de Barr avait fait une très lourde chute en voulant arracher du lierre sur le toit du garage de son voisin. Il est décédé dimanche. Il avait 56 ans.

mardi 22 août 2017

Ivre, il tombe dans un puits

Cet habitant de Faucon se souviendra sûrement longtemps de sa soirée alcoolisée avec deux amis... Elle s'est terminée dans un puits ! Et elle a également mobilisé des forces de gendarmerie du pays voconces. Car les militaires ont été alertés par ses deux amis qui ont signalé sa disparition dimanche soir à la gendarmerie de Vaison. Les deux amis ont dit s'être inquiétés parce qu'ils ont entendu un "plouf" évoquant une chute dans un bassin d'eau, après que leur compagnon de beuverie s'est éloigné du lieu où ils passaient la soirée
Les gendarmes ont lancé un dispositif de recherche de personne disparue entre 1h et 6h du matin hier. Plusieurs militaires de la brigade, épaulés par une équipe cynophile venue de Salon, dans les Bouches-du-Rhône, ont ratissé une zone boisée, sans résultat. Jusqu'à ce que l'improbable se produise : la réapparition du disparu ! Il a pu expliquer sa mésaventure aux gendarmes et à ses acolytes. Il est tombé dans un puits mais il a réussi à en remonter. Épuisé, il s'est assoupi puis, au petit jour, est rentré...

Faits divers en directhttp://www.laprovence.com/faits-divers-en-direct

dimanche 20 août 2017

L'Isle-sur-la-Sorgue : deux soeurs grièvement blessées dans une sortie de route

Deux jeunes femmes, deux sœurs de 17 et 25 ans ont été victimes d’un accident de la route, ce matin vers 5 h 30, sur la route de Caumont à l’Isle-sur-la-Sorgue. A l’arrivée des sapeurs-pompiers, les deux victimes étaient prisonnières des tôles du véhicule.

Elles ont dû être désincarcérées par les secouristes. Si la plus vieille a pu être évacuée vers le centre hospitalier de Cavaillon, la plus jeune a été admise dans un état grave, mais consciente, à l’hôpital Nord de Marseille par hélismur, l’hélicoptère du Smur. Le véhicule accidenté était seul en cause.


jeudi 17 août 2017

Une quinzaine de détenus refusent de regagner leurs cellules, tension à la prison de Grasse

Une quinzaine de détenus ont refusé mercredi en fin d'après-midi de regagner leur cellule à la prison de Grasse, empêchant d'autres détenus de descendre en promenade.
Les forces de l'ordre sont intervenues et ont rapidement ramené le calme.
Les raisons de mouvement de mauvaise humeur n'ont pas été révélées

                                     
  • Faits-Divers            http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers
  • lundi 14 août 2017

    Enquête sur l’étrange suicide d’un motard en garde à vue pour excès de vitesse

    Les faits se sont déroulés dans l’Essonne. La famille de la victime doute de la version officielle, selon laquelle une pendaison avec ses chaussettes aurait causé son décès

    Une juge d’instruction d’Évry enquête depuis mi-juillet sur la mort d’un motard de 34 ans lors de sa garde à vue après un excès de vitesse.
    Le 3 juillet en fin d’après-midi, la victime est interpellée pour un excès de vitesse à moto et conduite au commissariat d’Arpajon (Essonne). "La garde à vue se passe bien. Les deux policiers sur place (qui mènent la garde à vue, ndlr) discutent même moto avec lui", rapporte l’avocat de la famille, Jean Tamalet, confirmant une information de Mediapart.
    Ils affirment s’absenter alors quinze minutes et retrouver à leur retour le motard en position assise, dos au mur, pendu à ses chaussettes de sport qu’il aurait fait passer entre deux trous d’aération de la vitre en plexiglas de sa cellule. Alertés, les pompiers et le Samu font repartir le cœur de la victime, transférée à l’hôpital où elle ne se réveillera jamais de son coma.

    Chaussettes ou lacet

    "Il y a de nombreuses incohérences dans ce dossier", pointe Me Tamalet. Le médecin du Samu a ainsi évoqué dans son rapport "un étranglement avec un lacet" et non avec des chaussettes. "Lors de la restitution des effets personnels à la famille, il n’y avait qu’un seul lacet", ajoute l’avocat. Selon l’autopsie, le sillon le plus large au niveau du cou "ne dépassait pas 5 mm", une trace peu compatible avec des chaussettes de sport épaisses.
    Après les faits, les policiers qui avaient interpellé la victime ont porté plainte, expliquant avoir reçu des coups. Une bagarre a-t-elle pu tourner au drame ? "Tout est possible, mais c’est l’hypothèse la moins fiable", tempère Me Tamalet.

    Un suicide pour un simple excès de vitesse ?

    L’avocat privilégie "le maquillage de la scène de suicide", les policiers avançant la thèse des chaussettes pour "ne pas être punis d’avoir laissé la victime avec un lacet" en cellule, ce qui est interdit par la procédure.
    En parallèle de l’instruction, ouverte pour "recherche des causes de la mort" et confiée à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), "la police des polices", Me Tamalet a porté plainte pour "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner", "homicide involontaire par manquement à une obligation", "altération de preuves", "faux en écriture publique" et "non-assistance à personne en péril".
    Dernière zone d’ombre, les causes du suicide pour un simple excès de vitesse. "Il n’avait aucune dette, aucune double vie, venait de décrocher un nouveau poste de cadre bien rémunéré et ne suivait aucun traitement médical", souligne l’avocat. 

    A La Unehttp://www.sudouest.fr/