mardi 28 février 2017

Accident dans le centre-ville de Périgueux : le conducteur aurait fait un malaise

La voiture a fini devant la vitrine d’un commerce de la rue Wilson
Lundi, en début de soirée, un automobiliste a été transporté d’urgence au centre hospitalier de Périgueux après avoir vraisemblablement été victime d’un malaise cardiaque.
Le conducteur, âgé de 62 ans, circulait dans la rue Wilson à Périgueux, en direction du centre-ville, lorsqu’il a subitement perdu le contrôle de son utilitaire au niveau de la rue Ernest-Guillier. Le véhicule a traversé la chaussée, est grimpé sur le trottoir au niveau du magasin Optical Center, avant de s’immobiliser. 
Les pompiers et une équipe médicalisée du Samu sont rapidement intervenus pour lui porter assistance. L’homme a été évacué dans un état critique.
La circulation a été interrompue le temps des opérations de secours.
http://www.sudouest.fr/2017/02/28/accident-dans-le-centre-ville-de-perigueux-le-conducteur-aurait-fait-un-malaise-3235460-1980.php

lundi 27 février 2017

Dax : il se brûle en tentant d’éteindre l’incendie de sa maison

Le quadragénaire a pu être relogé, après avoir reçu des soins à l’hôpital
Samedi après-midi, une habitation de plain-pied de 100 mètres carrés a pris feu, rue de Benedit, à Dax. Deux pièces de vie (chambre et salon) ont été entièrement détruites.
Le propriétaire de la maison, un homme de 46 ans, qui avait tenté d’éteindre lui-même les flammes, a été transporté à l’hôpital par les pompiers suite à des brûlures au cou et sur les mains. Il a pu être relogé par des membres de sa famille.

dimanche 26 février 2017

Charente : une vieille dame s’étouffe au restaurant, trois gendarmes lui sauvent la vie

Dans un restaurant de Roullet-Saint-Estèphe, la cliente âgée de 91 ans s’étouffait avec un morceau de viande à la table voisine des gendarmes 
Elle voulait profiter pleinement de son petit-fils en l’emmenant au restaurant ce samedi midi à l’Olivette à Roullet-Saint-Estèphe, en Charente. Cette résidente de 91 ans de la maison de retraite de Maine-de-Boixe a failli y perdre la vie.
Vers 13h15, elle s’est étouffée avec un morceau de viande. L’incident était grave. Son visage a viré au bleu et elle a perdu connaissance. Une chance pour elle, trois gendarmes-réservistes étaient en train de déjeuner sur la table voisine. L’un d’eux lui a appliqué la méthode de Heimlich, laquelle consiste à faire des compressions abdominales pour évacuer le corps étranger coincé dans la trachée. Et il lui a sauvé la vie. La nonagénaire a recraché le morceau de viande.
Elle a été prise en charge par les pompiers et transportée à l’hôpital d’Angoulême pour examen.
http://www.sudouest.fr/2017/02/25/charente-une-vielle-dame-s-etouffe-au-restaurant-trois-gendarmes-lui-sauvent-la-vie-3229135-813.php

samedi 25 février 2017

Labrit (40) : ivre et jaloux, il frappe et laisse pour mort un rival

La rencontre imprévue a eu lieu dans la nuit de lundi à mardi. L’homme dort déjà en prison. Il est mis en examen pour tentative d’homicide
Un trentenaire de Labrit dort depuis jeudi soir au centre pénitentiaire Pémégnan de Mont-de-Marsan, incarcéré en détention provisoire et officiellement mis en examen pour tentative d’homicide. Dans la nuit de lundi à mardi, à Labrit, cet homme né au Portugal en 1982 a passé à tabac et laissé pour mort un autre Landais de 34 ans, originaire lui de Saint-Pierre-du-Mont.
La rencontre entre les deux individus n’était ni prévue ni prévisible. Elle intervient au retour d’une soirée passée à Mont-de-Marsan. Un repas et des verres partagés par le Landais de Labrit et une amie intime du même village. Un repas arrosé qui devait se conclure à Labrit, sans heurts.
L’ambiance semble parfaitement bonne jusqu’au retour au domicile de la jeune femme. Le couple d’amis très proches descend de la voiture, entre dans la maison et là, surprise, quelqu’un est déjà là.
http://www.sudouest.fr/2017/02/25/ivre-et-jaloux-il-frappe-et-laisse-pour-mort-un-rival-3228000-3396.php

vendredi 24 février 2017

Tours: une main sectionnée par un train

À Joué-lès-Tours, en Indre-et-Loire, un homme de 21 ans a été grièvement blessé hier par un train, rapporte France Bleu Touraine. L'homme, qui a reconnu avoir pris de la drogue, a perdu l'une de ses mains dans l'accident.
C'est un passant qui a alerté les secours, après avoir entendu des hurlements près de la gare. Sur place, le SAMU trouve un homme allongé dans les ronces, sur la voie ferrée, et grièvement blessé.
Il semblerait que le jeune homme soit descendu d'un train à la gare de la ville. Il a ensuite décidé de marcher le long des rails où il a été percuté par un train qui passait. L'homme a été pris en charge pour sa grave blessure à la main et pour un traumatisme crânien
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

jeudi 23 février 2017

Fusillade à Pau : les quatre hommes mis en examen, trois placés en détention

Les quatre Palois sont poursuivis pour trafic de stupéfiants et violences avec armes en réunion
Les présentations des quatre hommes gardés à vue depuis dimanche à Pau, se sont succédé jusque tard mercredi soir. Au terme de ces interrogatoires de première comparution, les quatre Palois âgés de 19 à 29 ans ont été mis en examen pour trafic de stupéfiants et violences en réunion avec armes.

Armés de fusil à pompe

Le quatuor avait débarqué dans le quartier du Triangle dimanche matin afin d’y régler un contentieux avec l’agresseur présumé de l’un d’eux. Les deux membres de l’expédition punitive les plus jeunes étaient alors armés de fusil à pompe. Ils ont tiré trois fois en l’air alors qu’une franche explication avait lieu dans le local d’une pizzeria de la rue Emile-Garet.
Un homme a été légèrement blessé, non par les balles mais par le souffle d’un des tirs qui a entraîné une surdité passagère. La police est intervenue peu de temps après et a interpellé les quatre hommes sur place. Ils ont été placés en garde à vue et en sont sortis mercredi pour leur présentation devant la juge d’instruction

Versions différentes

Les versions des uns et des autres divergent. Les deux porteurs de fusils reconnaissent qu’ils étaient armés. Les deux armes ont été saisies. Toutefois, chaque membre du quatuor livre des explications qui ne corroborent pas celles des trois autres.
Au terme de leur présentation, trois des quatre mis en examen ont été placés en détention provisoire à Pau, Bayonne et Mont-de-Marsan. Le dernier, moins impliqué, est placé sous contrôle judiciaire avec obligation de pointer trois fois par semaine au commissariat.

http://www.sudouest.fr/2017/02/23/fusillade-a-pau-les-quatre-hommes-mis-en-examen-trois-places-en-detention-3222555-4344.php

mercredi 22 février 2017

Saint-Brieuc : un enfant de 3 ans chute du troisième étage d'un immeuble

Les faits se sont produits mardi peu avant midi. Un enfant âgé de trois ans est tombé du troisième étage d'un immeuble situé dans le quartier de l’Europe à Saint-Brieuc.
Il a atterri sur de l'herbe et était toujours conscient après cette chute de 7 à 8 mètres de haut. C'est un témoin qui a alerté la mère de l'enfant. Les sapeurs-pompiers, le SAMU et la police se sont rapidement rendus sur place.

Le petit garçon a été transporté au centre hospitalier de Saint-Brieuc avant d'être transféré vers le CHU de Rennes. Son pronostic vital ne serait pas engagé.

Une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances de cet accident.

  http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/cotes-d-armor/saint-brieuc

mardi 21 février 2017

Jetée à terre pour son sac à main près de l'hôtel de ville de Rouen

Jetée à terre
Il est 18h30 ce lundi soir (20 février 2017) quand, informé par un appel à Police-Secours, le centre de commandement de l'hôtel de police de Rouen lance une alerte à tous les équipages présents dans le centre-ville : une femme vient d'être victime d'un vol à l'arraché dans le jardin de l'hôtel de ville.

Deux jeunes hommes l'ont jetée sur le sol et lui ont volé son sac à main. La victime a réussi à décrire ses deux agresseurs, et le signalement est communiqué par radio à toutes les patrouilles. Les deux suspects ont été vus se diriger vers la place du Boulingrin.

Place de la gare

Des recherches sont entreprises dans le secteur et, vers 19h10, un équipage du groupe de sécurité de proximité situé positionné sur le parvis de la gare SNCF de Rouen, repère deux jeunes qui sortent de la station souterraine du métro par l'escalier qui débouche place Bernard Tissot.
Ils correspondent à la description des suspects.
A la vue des policiers, ils prennent  la direction de la rue Jeanne d'Arc.

Téléphone et cartes bancaires

C'est en bas de la rue Verte que les policiers les rattrapent et les contrôlent. Ils ont tous les deux 16 ans. Le premier est de Rouen, l'autre de Thiais (Val de Marne). Sur ce second jeune homme, on retrouve un téléphone portable et deux cartes bancaires. L'une des cartes est au nom de la victime du vol de sac à main. Le portable était aussi dans le sac à main…

Le jeune homme reconnait être l'auteur du vol. Pas son compère.
Les deux ont été emmenés à l'hôtel de police et placés en garde à vue.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/seine-maritime/metropole-rouen-normandie/rouen

lundi 20 février 2017

Arengosse (40) : un homme dans une situation critique après un choc frontal

L’accident de la route est survenu dimanche, vers 19 h 30. Une autre personne est blessée, plus légèrement
Un homme d’une cinquantaine d’années, évacué par les pompiers après un choc frontal entre deux voitures intervenu ce dimanche sur la route de Luglon, à Arengosse, dans les Landes, était toujours, ce lundi matin, dans un état critique.
Une autre victime, une femme âgée de 38 ans, a été, elle, blessée plus légèrement.
La dizaine de pompiers de Morcenx et Ygos appelée à intervenir sur les lieux avait dû procéder à la désincarcération du conducteur quinquagénaire. Et son pronostic vital était engagé au moment de son admission à l’hôpital. 
La compagnie de gendarmerie de Parentis-en-Born, en charge de l’enquête, attend toujours, ce lundi matin, des nouvelles de son état de santé.
http://www.sudouest.fr/2017/02/20/arengosse-40-un-homme-dans-une-situation-critique-apres-un-choc-frontal-3213366-3274.php

samedi 18 février 2017

Une fusillade à Bobigny fait trois blessés dont deux graves

Trois jeunes ont été blessés, dont deux gravement, lors d’une fusillade à Bobigny dans la nuit de vendredi à samedi
Dans la nuit de vendredi à samedi, aux alentours de 00h20, une fusillade a éclaté dans un quartier de Bobigny, en Seine-Saint-Denis, faisant trois blessés dont deux graves, selon L’Express, confirmant une information dévoilée par Le Parisien.
Un ou plusieurs individus ont tiré sur un groupe de jeunes et blessé trois d’entre eux. Les deux plus graves ont été touchés au cou et au thorax. Le troisième a été touché à la jambe en tentant de fuir.
Le ou les tireurs sont toujours en fuite. D’après une source policière, citée par L’Express, les victimes auraient refusé de parler aux enquêteurs de la police judiciaire de Seine-Saint-Denis. Elles seraient défavorablement connues des services de police.
http://www.sudouest.fr/2017/02/18/une-fusillade-a-bobigny-fait-trois-blesses-dont-deux-graves-3209521-7.php

vendredi 17 février 2017

Cinq voitures personnelles de policiers brûlées à Soissons(02) et dans l'Oise

Cinq voitures personnelles de policiers ont été incendiées depuis lundi dans l'Aisne et l'Oise sans pour autant qu'à ce stade un lien entre les différentes affaires soit clairement établi, a  appris jeudi l'AFP de sources concordantes.
Dans la nuit de lundi à mardi d'abord, les voitures personnelles de deux policiers ont été brûlées à Sainte-Geneviève et à Lachapelle-Saint-Pierre, dans l'Oise, a affirmé le parquet de Beauvais, selon lequel les deux véhicules étaient garés à proximité du domicile des policiers.
Mercredi matin, dans une petite ville près de Compiègne, dans l'Oise, deux voitures d'un couple de policiers ont été brûlées.
Et enfin, dans la nuit de mercredi à jeudi, "la voiture d'un policier, garée à proximité de son domicile, a été brûlée dans le centre-ville de Soissons", dans l'Aisne, a indiqué le parquet de cette ville. Selon cette source, ce policier travaille au commissariat de Soissons.
Pour l'heure, "il n'y a rien qui permette de dire qu'il y a un lien entre toutes ces affaires si ce n'est qu'effectivement il s'agit à chaque fois de voitures de fonctionnaires de police, que ce sont les mêmes types de cibles. Mais les individus qui ont brûlé ces différentes voitures sont-ils les mêmes ? On ne sait pas", a ajouté le parquet de Soissons, précisant qu'il n'y pas eu d'interpellations à ce stade.
Une enquête pour "destruction par incendie" a été ouverte et confiée à la section de recherches d'Amiens et à la police judiciaire de Lille.

jeudi 16 février 2017

Il tente de noyer et d'ébouillanter son bébé de trois semaines à Grenoble

C'est vraisemblablement l'intervention rapide de la patrouille grenobloise qui a sauvé la vie du nouveau-né. Mais aussi les deux appels de la mère. Mercredi vers 21 heures, elle a d'abord averti le SAMU que son compagnon était en pleine crise de démence, et se promenait en slip dans la rue...
C'est la procédure pour ce que l'on appelle une SDRT, un secours demandé par une personne requérante en vue d'une hospitalisation d'office.

Mais ensuite, les choses ont pris une autre ampleur... Le forcené est revenu chez lui, et s'en est pris à son propre enfant, un bébé de trois semaines.

La mère a alors appelé directement la police. Et lorsque les trois policiers sont arrivés dans l'appartement, ils ont assisté à une scène affreuse... Le père tenait le bébé sous l'eau bouillante du robinet, tentant de le noyer et de l'étrangler.

L'un des fonctionnaires a essayé d'étrangler l'individu pour le maîtriser, mais celui-ci l'a mordu au poignet. Il lui a alors asséné un coup de poing au visage pour lui faire lâcher le bébé.

L'homme âgé de 36 ans a été interpellé mais son état de santé ne permettait pas une garde à vue. Il a donc été hospitalisé d'office. Il était connu pour avoir des antécédents psychiatriques.

La petite fille est elle brûlée au premier degré au visage et au torse. Par ailleurs, elle a été vraisemblablement secouée... 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/isere/grenoble

mercredi 15 février 2017

Baillargues : miraculée après avoir heurté deux trains sur un passage à niveau

U n véhicule a heurté un train au passage à niveau de Baillargues avant d'être projeté sur un TGV ce mardi soir peu avant 18 h. La conductrice a été prise en charge par les pompiers. 
Un spectaculaire accident  s'est produit, ce mardi, peu avant 18 h, au passage à niveau de Baillargues. Une automobiliste aurait calé sur la voie ferrée et aurait percuté un TER. Son véhicule a alors été projeté sur un TGV Ouigo qui reliait Montpellier à Marne-la-Vallée. La conductrice, âgée d'une cinquantaine d'années, a été prise en charge par les pompiers de Castries. Miraculée, elle est blessée mais hors de danger.
La circulation des trains a repris vers 19 h 30 après avoir été interrompue dans les deux sens pendant deux heures.
http://www.midilibre.fr/2017/02/14/blessee-apres-avoir-heurte-deux-trains-a-un-passage-a-niveau-a-baillargues,1466663.php

lundi 13 février 2017

Gironde : un homme tué par arme à feu à Floirac

Un Cenonnais de 24 ans a été atteint par une balle tirée par un de ses copains. Une enquête est en cours.
Que s’est-il passé dans la nuit de samedi à dimanche dans un appartement de la rue Pablo-Picasso à Floirac ? Difficile pour l’instant de le savoir. Un drame s’est noué vers 1 h 15 du matin alors que trois copains avaient passé la soirée ensemble.
Le locataire des lieux, un jeune homme de 20 ans, s’était armé depuis peu d’un pistolet acheté à un particulier via une petite annonce sur Internet. Dans la nuit de samedi à dimanche, cette arme se trouvait à la vue, dans son appartement. Son propriétaire la détenait depuis plusieurs jours, semble-t-il, et pensait qu’elle n’était pas chargée. Or, une balle était dans le chargeur. Et c’est en manipulant l’arme que le coup serait parti, blessant mortellement Yassine Bouzit, un Cenonnais de 24 ans.
Le tireur qui est, semble-t-il, une de ses très bonnes connaissances serait alors allé chercher son deuxième copain, dans une autre pièce de l’appartement. Ils ont ensuite transporté leur ami aux urgences de la clinique des Quatre Pavillons à Lormont où, hélas, il devait décéder quelques minutes plus tard.
http://www.sudouest.fr/2017/02/13/un-homme-tue-par-arme-a-feu-3192899-2874.php

vendredi 10 février 2017

RN10 en Charente : un camion percute une pile de pont à Champniers

C’est à hauteur des Chauvauds que cet accident sans gravité s’est produit, jeudi vers 17 heures, perturbant la circulation
Un camion affrété par une société portugaise, venant d’Espagne et se dirigeant vers Paris a percuté une pile de pont de la RN10 à hauteur des Chauvauds sur la commune de Champniers, vers 17 heures.
Le chauffeur français, de l’ensemble routier transportant des pièces automobiles pour Renault, a perdu le contrôle de son poids-lourd, mordu l’emprise herbeuse de l’axe routier avant de taper l’ouvrage. Le conducteur s’en sort indemne. 
La circulation réduite à une voie, le temps de l’intervention de la dépanneuse et des agents de la Direction interrégionale des routes Atlantique, a été fortement perturbée, à cette heure où le trafic est particulièrement dense.
http://www.sudouest.fr/2017/02/09/rn10-en-charente-un-camion-percute-une-pile-de-pont-a-chepniers-3183322-813.php

jeudi 9 février 2017

Prison ferme pour le braquage la station Total

L'affaire ayant été correctionnalisée après avoir été instruite au pôle criminel de Narbonne pour «vol avec arme», c'est finalement hier matin que les trois auteurs présumés du braquage de la station Total Access de la route de Limoux, le 6 septembre 2015 , étaient convoqués devant le tribunal pour enfants, pour répondre de «vol aggravé par plusieurs circonstances» (en réunion et avec arme, Ndlr).

Un des prévenus toujours à Mayotte

Les prévenus étant mineurs, nous n'avons donc pas pu assister aux débats mais nous avons appris tout de même que seuls deux des trois prévenus étaient présents à la barre, hier, le troisième étant, semble-t-il, désormais à Mayotte...
Le 6 septembre 2015, c'est aux alentours de 19 h 05 que les trois prévenus, encapuchonnés et gantés, ont fait irruption dans la station-service Total de la route de Limoux. Aussi, pendant que l'un d'eux faisait le guet à l'extérieur, les deux autres, l'un étant muni d'une arme de poing, sont rapidement rentrés dans la boutique en braquant le caissier présent : «Bouge pas, sinon je te bute !» Les trois malfaiteurs avaient ensuite pris la fuite en courant vers le stade Mazet avant de disparaître dans le quartier du Viguier.
Sur les lieux du braquage, des prélèvements avaient pu être effectués par les policiers de l'identité judiciaire...

Confondus grâce à leur ADN

Au final, le résultat avait été payant puisque les enquêteurs sont parvenus à confondre les trois jeunes du quartier du Viguier grâce à leur ADN. Interpellé en janvier 2016, quatre mois après les faits, les trois prévenus, déjà connus pour de menus larcins, avaient reconnu leur participation à ce braquage.
Jugés à huis clos hier matin, l'un des trois par défaut, ces tmineurs braqueurs ont été condamnés à une peine de deux ans de prison, dont un avec sursis assorti d'une période de mise à l'épreuve. Une peine prononcée, conforme aux réquisitions du ministère public.
A noter que deux des prévenus, ceux qui étaient présents hier, ont déjà effectué plusieurs mois de détention qui vont se substituer au quantum de la peine prononcée.

http://www.ladepeche.fr/communes/carcassonne,11069.html

mercredi 8 février 2017

Sortie de route : un blessé grave

Un automobiliste de 31 ans a perdu le contrôle de son véhicule, hier vers 18 h 30, rue de Rheinhausen à Wittisheim. Sa voiture s’est immobilisée sur le flanc.
À l’arrivée des pompiers, le conducteur était coincé dans l’habitacle et inconscient. Il a été évacué dans un état grave au CHU de Strasbourg-Hautepierre en présence du Samu.
http://www.dna.fr/faits-divers/2017/02/08/sortie-de-route-un-blesse-grave

mardi 7 février 2017

Charente : il tire sur son fils de 14 ans "pour le calmer

Le père a été condamné à douze mois de prison avec maintien en détention, hier, par le tribunal d’Angoulême.
« C’est un adolescent très difficile à gérer, il conduit sans permis, il fugue, il nous tape dessus », contextualise très vite ce père célibataire de 40 ans dans le box des prévenus. Vendredi, une dispute démarre quand l’adulte se rend compte que sa moto a dû encore servir à un rodéo nocturne de sa progéniture. Le ton monte, le jeune jette le sac de son père et quitte à pied la maison de Saint-Avit. Son père lui crie de ne pas bouger, rentre chercher une arme, se met sur le pas de la porte et tire deux fois en direction de conteneurs à ordures situés à 25 mètres, derrière lesquels l’ado est caché. Un plomb l’atteint au visage. Il est légèrement blessé. La dispute se poursuit. La grand-mère prévient les gendarmes.

"Je ne voulais pas le tuer !"

Hier, à l’audience, le père n’assume pas réellement son acte ; justifie : « Je ne voulais pas tuer mon fils, je n’en ai qu’un » ; explique, alors qu’il n’en a pas les moyens, tout offrir à son garçon déscolarisé depuis un an.
La procureure Marie Terrades le met face à ses responsabilités : « Moi, je dis, bel exemple ! ». Elle requiert dix mois de prison et deux mois de révocation d’un précédent sursis. Le conseil du prévenu, Me Brunaud, souligne que le fils ne s’est pas senti en danger puisqu’il est retourné auprès de son père après les coups de feu. Malgré cette défense, le tribunal choisit de suivre les réquisitions. Le père dort en prison
http://www.sudouest.fr/2017/02/07/il-tire-sur-son-fils-de-14-ans-pour-le-calmer-3174925-813.php

lundi 6 février 2017

Cognac : il frappe et tente d’étrangler le pompier qui lui vient en aide

Cet homme était blessé, alcoolisé et suicidaire. Les faits se sont déroulés ce dimanche au petit matin
Ce dimanche au petit matin, vers 5h15, policiers et pompiers sont appelés pour venir en aide à un homme blessé, alcoolisé et suicidaire dans le centre de Cognac. Mais voilà que dans l’ambulance, l’individu de 39 ans se rebelle.
Il frappe d’un violent coup de poing le pompier à son chevet, puis commence à l’étrangler ! Nouvelle intervention de la police, qui immobilise et menotte l’indélicat jusqu’à l’hôpital…
Cet homme violent, demeurant dans le quartier de Crouin, s’expliquera lorsque son état de santé le permettra.
http://www.sudouest.fr/2017/02/05/cognac-il-frappe-et-tente-d-etrangler-le-pompier-qui-lui-vient-en-aide-3170055-882.php

dimanche 5 février 2017

Elle s'endort au volant entre Canet et Perpignan : la voiture se retourne et la passagère disparaît

Samedi matin vers 7 h 30, un véhicule circulait sur la RD 617 entre Canet-en-Roussillon et Perpignan avec à son bord deux personnes.
Il semblerait que la conductrice se soit endormie au volant. La voiture s’est alors retrouvée sur le toit. Sur place, les sapeurs-pompiers ont pris en charge une jeune femme, âgée de 21 ans, légèrement blessée, qui a été évacuée vers l’hôpital de Perpignan.
La seconde femme qui se trouvait à bord de la voiture avait quant à elle mystérieusement disparu à l’arrivée des secours.
Une enquête a été ouverte par le commissariat afin de déterminer les circonstances exactes de cet accident et de retrouver cette seconde personne
http://www.lindependant.fr/2017/02/04/perte-de-controle-sur-la-rd-617-la-voiture-se-retrouve-sur-le-toit,2289744.php

samedi 4 février 2017

Agen : quatre ans de prison pour l’agresseur du train

Sous curatelle renforcée, depuis mars 2016, pour des troubles schizophréniques paranoïdes, Yassine Ouali ne peut s’empêcher d’interrompre le tribunal, alors qu’il se trouve à quelques mètres de sa victime. L’homme poignardé le 26 décembre dernier par le prévenu dans le train Marseille-Bordeaux affiche, au contraire, une mine inquiète. Le regard rivé au sol, ses doigts nerveusement emmêlés. « Je sais que j’ai beaucoup de chance d’être là. Et même si j’ai dû subir une intervention en janvier à cause d’une lésion artérioveineuse, ça va mieux. » Des derniers examens médicaux restent à produire.

Plus de 2 g dans le sang

La double expertise psychiatrique soutient que le jeune prévenu est accessible à une sanction pénale. Incarcéré à la suite des faits, il a depuis été transféré au centre psychiatrique de la Candélie à la suite d’une « décompensation délirante » en détention.
Sur les faits, il en dit finalement peu. Les témoins relatent un homme ivre, insistant auprès de jeunes femmes et interrompu par un passager volant à leur secours. Le mis en cause n’aurait pas supporté son intervention. Les insultes fusent alors, les coups pleuvent. Jusqu’au coup de couteau de cuisine qu’il plante en dessous de la clavicule de son contradicteur. L’individu est maîtrisé mais la victime perd beaucoup de sang. L’agression, survenue à proximité d’Agen, permet son évacuation rapide vers l’hôpital.

« Ce n’était pas volontaire »

« Le coup de couteau ? Ce n’était pas volontaire. J’étais bourré », consent le jeune homme en guise d’aveu. Face au président, il se montre tatillon sur le déroulé de la bagarre, l’emploi des mots, réfute s’être pris une gifle. « C’est un détail, vous êtes là parce que vous aviez un couteau », le reprend Bertrand Quint.
Mes Grolleau et Moldovan, pour la défense, insistent sur le déni de leur client quant à sa maladie et la nécessité qu’il reçoive des soins. Celui-ci, un peu plus tôt, avait affirmé à coups de néologismes : « Je suis en forme. Je ne prends pas mes médicaments car sinon je suis “cachetonné” et je me sens “psychiatreux” ». La question du libre arbitre, de l’altération du discernement est posée par le duo d’avocates.
Yassine Ouali a finalement été condamné à quatre ans de prison ferme, dont dix-huit mois avec sursis et mise à l’épreuve pendant trois ans. Le tribunal a souhaité une sanction « tenant compte des troubles du prévenu mais aussi la gravité des faits. »
http://www.sudouest.fr/2017/02/04/quatre-ans-de-prison-pour-l-agresseur-du-train-3168087-3603.php

Un ado blessé par balle à Saint-Ouen

Selon des informations du Parisien, un adolescent de 16 ans a été blessé par balle ce soir, vers 21h30, à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis. Le jeune homme serait sérieusement blessé.
L'adolescent discutait avec des amis devant une pizzeria quand deux coups de feu ont retenti. L'auteur a pris la fuite. Pour l'heure, on ignore les mobiles du tireur, et si le jeune homme était personnellement visé
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mercredi 1 février 2017

Angoulême : ils kidnappent leur propre enfant

Le bébé a été placé en foyer et ses parents interpellés
Lundi soir, la brigade anticriminalité a interpellé un couple rue Boissières à Angoulême à leur domicile vers 23 h 50. La femme de 19 ans et son compagnon de 24 ans étaient recherchés pour soustraction d’enfant depuis un mois. Leur fils d’un an, dont la garde leur avait été retirée par décision de justice, avait été placé dans une famille d’accueil.
Suite à une visite en lieu neutre, ils avaient suivi la famille d’accueil pour connaître leur domicile et enlevé l’enfant. Le petit garçon a été retrouvé chez eux et placé en foyer. Le couple a reconnu les faits et devrait être condamné prochainement. 
http://www.sudouest.fr/2017/02/01/-3156054-4583.php