mardi 31 janvier 2017

Béarn : un corps sans vie découvert aux Eaux-Bonnes

Un homme de 66 ans a été découvert sans vie ce mardi matin au pied d’un hôtel dans la cité thermale
Une enquête de la gendarmerie est en cours actuellement pour déterminer les causes de la mort d’un homme de 66 ans, découvert près d’une prise d’eau aux Eaux-Bonnes
On ignore encore les circonstances du décès.
http://www.sudouest.fr/2017/01/31/bearn-un-corps-sans-vie-decouvert-aux-eaux-bonnes-3155323-4113.php

dimanche 29 janvier 2017

Pau : un corps repêché dans le Gave

La macabre découverte a eu lieu à 14 heures ce samedi. Il s’agit d’un homme d’une cinquantaine d’années.
Un homme d’une cinquantaine d’années a été retrouvé mort noyé ce samedi à 14 heures dans le Gave de Pau. Ce sont des clients d’un restaurant qui donne sur la rivière qui ont donné l’alerte. 
La police a repêché le corps sans vie qui ne portait pas de traces d’autres blessures. Une enquête est en cours.
Un examen de corps devrait être pratiqué dans les heures qui viennent, et peut-être une autopsie si ce dernier n’est pas concluant.
http://www.sudouest.fr/2017/01/28/pau-un-corps-repeche-dans-le-gave-3148295-4344.php

samedi 28 janvier 2017

Charente: Un ouvrier se fait happer le bras par une machine

Les faits se sont produits ce samedi aux alentours de 6h30 du matin. Alors qu’il travaillait à son poste à la Cartonnerie de la Boëme, entreprise située dans la commune de La Couronne, un homme s’est fait happer le bras par une machine sur laquelle il travaillait.

Inspections en cours

Les secours ont immédiatement été avertis et sont arrivés sur les lieux accompagnés d’un médecin du Service mobile d’urgence et de réanimation. Selon Sud Ouest, la victime, âgée d’une quarantaine d’années, a ensuite été conduite au centre hospitalier d’Angoulême.
La police doit faire des constatations d’usage afin d’éclaircir les causes exactes de cet accident du travail.
http://www.20minutes.fr/dossier/accident_du_travail

jeudi 26 janvier 2017

Nice: enquête après le décès d'une fillette dans un incendie

Une enquête a été ouverte après un incendie probablement d'origine accidentelle dans une résidence de logements meublés à Nice qui a coûté la vie à une fillette de 5 ans hier, a indiqué la police aujourd'hui.
L'appartement détruit par le sinistre était situé en rez-de-chaussée d'une résidence de logements en location meublée à bas tarifs. "D'après les premiers éléments, l'incendie pourrait être d'origine accidentelle. Une enfant de 5 ans est décédée et l'enquête est en cours. La mère a été blessée légèrement et hospitalisée", a-t-on précisé de source policière.
Le logement de 40m² était occupé par une famille nombreuse de six personnes selon le quotidien Nice-Matin qui affirme qu'ils devaient s'éclairer à la bougie après que l'électricité ait été coupée, une information que la police n'était pas en mesure de confirmer immédiatement.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mercredi 25 janvier 2017

Un couple fait une pause cigarette, le TGV repart avec le bébé

Descendus sur le quai pour une pause cigarette au Mans, une jeune maman et son compagnon n'ont pas regagné à temps leur TGV qui est reparti sans eux mais avec le bébé de la jeune femme à bord, a-t-on appris mercredi auprès de la SNCF.
Les faits se sont déroulés lundi soir, à bord du TGV Lille-Nantes lorsque la mère âgée de 18 ans et son compagnon de 19 ans ont profité d'un arrêt au Mans pour descendre fumer. Les voyageurs qui étaient dans le même compartiment se sont rapidement aperçus que le train était parti sans eux et que le nourrisson de sept mois était resté à bord, avant de tirer la sonnette d'alarme, a précisé la SNCF.
Pour des raisons de sécurité et de logistique, le TGV n'a pas pu faire marche arrière. Il a été décidé que le TGV poursuive sa route jusqu'à la gare d'Angers à une centaine de kilomètres et que le couple prenne place dans le train suivant.
L'un des contrôleurs s'est occupé du nourrisson tout au long de ce trajet. La SNCF jointe par l'AFP, a indiqué qu'il s'agissait d'un "évènement rarissime" et "de mémoire n'avoir jamais eu à gérer ce genre d'histoire".
http://www.laprovence.com/actu/en-direct/4294449/un-couple-fait-une-pause-cigarette-le-tgv-repart-avec-le-bebe.html

mardi 24 janvier 2017

Ivre, il roule 15 km à contre-sens sur l’A4 avec son poids-lourd

Selon les informations du Parisien, un conducteur d’un poids-lourd a été arrêté par la police cette nuit à hauteur de Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis), après avoir roulé une quinzaine de kilomètres à contre-sens sur l’A4.
Le chauffeur originaire de l'est de l'Europe a emprunté vers minuit l’autoroute dans le mauvais sens au niveau de la porte de Bercy à Paris. De nombreux automobilistes ont réussi à l'éviter, et les policiers ont vite été alarmés par des appels au 17. Si on connait pas les circonstances d'arrestation du chauffeur, on sait néanmoins que son taux d’alcoolémie était positif.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

lundi 23 janvier 2017

Pau : un homme entre la vie et la mort après une chute du 4e étage

Son pronostic vital était engagé dimanche soir. La justice cherche à savoir s’il est tombé ou s’il a été poussé
Que s’est-il passé dans un appartement situé au quatrième étage d’un immeuble du centre-ville de Pau dans la nuit de vendredi à samedi ? C’est ce qu’essaient de comprendre les enquêteurs du commissariat de Pau, mais aussi la juge d’instruction qui a été saisie de l’affaire. Cette nuit-là, un jeune homme âgé de 30 ans a fait une chute du quatrième étage, et a été secouru alors qu’il était grièvement blessé. Dimanche soir encore, son pronostic vital était engagé.
À l’intérieur de l’appartement, les policiers ont trouvé sur place plusieurs individus. Selon les premières constatations, une bagarre a eu lieu ce soir-là, entre des personnes fortement alcoolisées, qui ont été conduites au commissariat dans la nuit. Pour certaines, il a fallu attendre la fin de leur dégrisement pour pouvoir les entendre. Selon leurs déclarations, la victime serait tombée toute seule. Mais le contexte, certaines constatations et notamment la personnalité des protagonistes ont poussé le parquet de Pau à prolonger l’enquête jusqu’à dimanche.

Une information judiciaire

C’est pour cela qu’il a ouvert dimanche une information judiciaire pour « tentative de meurtre ». À charge pour le juge d’instruction saisi, et les enquêteurs du commissariat, de vérifier certaines déclarations des protagonistes de la soirée. Dimanche soir, trois individus âgés de 36, 23 et 25 ans, qui étaient présents cette nuit-là dans l’appartement ont été déférés au parquet, et entendus par le juge, puis ont été présentés devant le juge des libertés et de la détention. A l’heure où nous écrivions ces lignes, on ignorait quel serait leur sort. En tout cas, tous semblent présenter le même profil : déjà condamnés par la justice, notamment pour des faits de violences
http://www.sudouest.fr/2017/01/23/un-homme-entre-la-vie-et-la-mort-apres-une-chute-du-4e-etage-3130413-4344.php

dimanche 22 janvier 2017

Un homme ouvre le feu sur deux adolescents à Montaudran

Deux jeunes garçons qui se trouvaient au pied d'un immeuble hier, vers 15 heures, impasse Lavidalie, dans le secteur de Montaudran, à Toulouse, ont essuyé des coups de feu. Ils ont été menacés par trois hommes arrivés en voiture. L'un d'entre eux a mis pied à terre et a tiré sur ces adolescents de 14 ans et 16 ans. Ils n'ont pas été blessés. Une enquête est ouverte
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html

samedi 21 janvier 2017

Grenoble : une jeune femme attaquée au volant de sa voiture

Vendredi 20 janvier, à 21h43, deux individus s'en sont pris violemment à une jeune femme, qui circulait au niveau de la gare de Grenoble, au volant de sa Hyundai X30.
Ils l'ont immobilisé à l'aide de tasers pour lui dérober sa voiture et s'enfuir. Elle n'a pas été blessée pendant l'attaque.

Les auteurs du car-jacking sont recherchés par la police et une enquête a été ouverte.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/

vendredi 20 janvier 2017

Drame de Sainte-Éanne : le père a été placé en garde à vue

Les faits remontent à une dizaine de jours. Une voiture est retrouvée en flamme sur la commune de Sainte-Éanne. Un homme et sa fille, agée de 5 ans, sont recueillis par des voisins. Ils sont grièvement brûlés, dans un état qualifié par les pompiers "d'urgence absolue", et envoyés immédiatement dans le service des grands brûlés du CHU de Nantes.

Dès sa sortie de l'hôpital, l'homme a été placé en garde à vue.
"Il a expliqué qu'il avait des tendances suicidaires et qu'il ne voulait pas s'en prendre à sa fille" a indiqué le parquet de Poitiers qui a requis la mise en détention provisoire du père de famille dès sa sortie de l'hôpital. La fillette, quant à elle, est toujours hospitalisée.

Ce drame serait lié à une situation très conflictuelle entre ce père de famille et son ex-conjointe. La mère avait d'ailleurs appelé les gendarmes pour les alerter sur le fait que le père ne lui avait pas rendu leur fille après son temps de garde du week-end.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/faits-divers?r=poitou-charentes

jeudi 19 janvier 2017

Gard: un homme frappé à mort

Un homme a été retrouvé mort cette nuit à son domicile de Massillargues-Attuech, au sud d'Anduze, dans le Gard. Il a été à frappé à mort d'une arme blanche qui pourrait être un sabre. L'enquête a été confiée aux gendarmes de la section de recherches de Nîmes.
Le meurtre s'est déroulé mardi en fin d'après-midi. un quinquagénaire a été frappé à mort chez lui à l'aide d'une arme blanche qui pourrait être un sabre. Son chien, retrouvé mort dans le jardin de la villa aurait subi le même sort.

"Son corps portait de nombreuses traces de coups semblant avoir été portés avec un objet contondant et il était entravé aux pieds, a indiqué, le procureur d'Alès. Les gendarmes ont trouvé dans l'habitation "de nombreuses traces de sang, de fouille et un grand désordre." Les coups ont été portés "avec un objet contondant" sur le visage, les épaules, les bras, les poignets, a précisé M. Hennebelle, parlant d'un "coup d'une grande gravité" à l'arrière de la tête.

Son corps portait de nombreuses traces de coups et il était entravé aux pieds

Les gendarmes ont procédé à de vastes investigations: enquête de voisinage et recherche d'indices pour tenter de remonter le fil des événements. La victime, un chef d'entreprise, avait emménagé dans le village et n'avait jamais fait parlé de lui.L'enquête pour homicide a été confiée à la section de recherche de la gendarmerie de Nîmes. Une autopsie doit avoir lieu mercredi à Nîmes
http://france3-regions.francetvinfo.fr/societe/justice/enquete?r=languedoc-roussillon

mercredi 18 janvier 2017

Besançon : une femme retrouvée inanimée dans le Doubs

Il était 17 h 20, quand un corps flottant a été repéré par des passants. Il se trouvait dans l'eau du doubs, à hauteur de Tarragnoz. Les promeneurs ont alerté les gendarmes, tout proches, d'autres, les pompiers.
Il s'agit d'une femme, d'un âge avancé, ne portant aucun papier d'identité sur elle. Elle était, en fin de journée, en réanimation à l'hôpital Jean Minjoz. Son pronostic vital est engagé.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/doubs/grand-besancon/besancon/besancon-femme-retrouvee-inanimee-doubs-1177103.html

mardi 17 janvier 2017

Béarn : un adolescent de 14 ans a tiré au fusil sur sa sœur

Le garçon est mis en examen pour tentative de meurtre mais les circonstances restent à éclaircir
Un adolescent de 14 ans est mis en examen depuis samedi soir pour tentative de meurtre sur sa sœur de quatre ans son aînée. Le drame s’est déroulé vendredi après-midi dans les environs de Pau.
Le collégien rentre chez lui après une journée normale. Les parents sont absents. L’adolescent s’accroche verbalement avec sa sœur mais l’incident retombe rapidement. Quelques minutes plus tard, vers 17 heures, il se saisit d’un fusil de chasse qui appartient à son père. L’arme était cachée, de même que les munitions dans un lieu distinct, mais l’adolescent les avait découverts récemment. Il se dirige vers le balcon et tire.

La victime va mieux

Sa sœur est touchée au visage par plusieurs plombs. Le tireur lui porte immédiatement assistance et prévient les secours. Le père arrive dans la foulée et conduit la victime à l’hôpital. Placée en soins intensifs, elle en est sortie hier et serait tirée d’affaire. Il est trop tôt pour déterminer les séquelles précises du tir. « Elle est consciente, elle peut parler et elle peut manger », rassurait hier soir, l’avocate de l’adolescent, Me Stéphanie Germa, qui s’est longuement entretenu avec la famille.
La sœur admise à l’hôpital, toute la petite famille est à son chevet. C’est là que les gendarmes interviennent pour arrêter le benjamin. Le collégien est placé en garde à vue où il demeurera vingt-quatre heures. « Il est très choqué, très confus, raconte son avocate. Il ne se souvient pas du moment précis où il a tiré. » Dans le flou de ces souvenirs, il explique qu’il a saisi l’arme pour chasser. « Il l’avait prise pour tuer des palombes », confie Stéphanie Germa.
Au terme de cette garde à vue, le petit frère est déféré au parquet et présenté à une juge d’instruction. Il est mis en examen pour tentative d’homicide volontaire. « L’instruction s’ouvre sur la qualification la plus large possible mais les circonstances précises de ce tir sont troublantes et restent à établir », explique Me Germa. L’hypothèse accidentelle n’est pas écartée.

Collégien sans histoire

Le collégien était inconnu des services de police et n’avait jamais fait parler de lui. Il suivait une scolarité normale et pratiquait un sport collectif comme beaucoup d’ados de son âge. Il est désormais libre mais placé sous contrôle judiciaire. Il a été confié à des tiers de confiance proche de la famille.
Ces dernières heures, les parents des deux enfants n’ont eu de cesse de faire la navette entre ce domicile et l’hôpital. « C’est un drame pour ces parents qui travaillent et font tout pour élever leurs enfants, continue l’avocate. Ils sont complètement tiraillés et effondrés. Ils essaient d’être au soutien de leurs deux enfants. Ils sont bouleversés, effondrés, mais ils gèrent cela de manière très digne. »
http://www.sudouest.fr/2017/01/17/un-adolescent-de-14-ans-a-tire-au-fusil-sur-sa-soeur-3112414-4344.php

dimanche 15 janvier 2017

Ce que l'on sait du double meurtre de Molières-sur-Cèze

A près le drame à Molières-sur-Cèze, le suspect a été interpellé. Une voisine a aussi été blessée.
Dans les bâtiments de l'ancienne cité minière de Molières-sur-Céze, dans le Gard, le temps s'est arrêté. Et pas seulement parce que deux femmes ont été poignardées à mort vendredi et une autre légèrement blessée. Les fenêtres, les portes des vieux immeubles ont été murés depuis longtemps. Seuls quelques habitants s'accrochent encore à ce dernier vestige des houillères du nord d'Alès.
Alphonsine Esteban, 86 ans, fait partie des derniers résidents de la cité ouvrière. Ne sortant plus beaucoup, car handicapée, c'était tout de même une figure du village. Un peu après 14 heures vendredi, sa voisine Rébecca entend des cris en provenance de l'appartement de la vielle dame. Dans le couloir, elle tombe sur un individu armé d'un couteau. Celui-ci lui administre un coup qui la touche à la main. Elle parvient à prendre la fuite et à alerter les gendarmes
Plusieurs coups de couteau à la gorge
Rapidement sur place, les militaires entrent dans l'appartement et découvrent l'horreur. Deux personnes gisent au sol. Alphonsine Esteban et une amie venue la visiter, Hélène Vicogne, âgée de 76 ans ont été tuées. Selon les premières constatations relevées par les techniciens en identification criminelle et le médecin légiste, les deux victimes auraient reçu plusieurs coups de couteau au niveau de la gorge.
Dans l'appartement les enquêteurs doivent faire face à un début d'incendie vraisemblablement allumé par le meurtrier. Celui-ci est resté à proximité du lieu du crime. Toujours armé de son couteau, il se rend au gendarme sans opposer de résistance sur les marches de l'entrée du bâtiment.
Il s'agit de Joël, le fils d'Alphonsine qui réside dans le hameau voisin de Gammal, situé à quelques kilomètres, sur la même commune. Il est connu pour ses problèmes psychologiques et un passé de délinquant qui l'aurait conduit plusieurs fois en détention. C'est la brigade de recherches d'Alès qui est saisi des investigations pour ce double homicide volontaire. Le procureur de la République d'Alès, Nicolas Hennebelle, a suivi de près les premiers actes d'enquête.
En début de soirée, il a confirmé les éléments concernant la nature des blessures. Le magistrat a précisé que "les troubles psychologiques du mis en cause devraient faire l'objet d'investigations complémentaires". Le mis en cause, initialement placé en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie de Bessèges pourrait être transféré vers Alès afin d'être interrogé par les enquêteurs de la brigade de recherches.
http://www.midilibre.fr/2017/01/14/ce-que-l-on-sait-du-double-meurtre-de-molieres-sur-ceze,1452718.php

samedi 14 janvier 2017

Un camion rempli de propane se renverse près de Rennes

Un poids lourd transportant 11 000 litres de propane s'est renversé ce matin sur la commune de Dourdain, à l'est de Rennes. Les pompiers spécialistes des risques chimiques sont sur place.
C'est sur la départementale 528, en direction de Liffré, que le camion s'est renversé après avoir probablement glissé sur une plaque de verglas.
La route a été immédiatement coupée et un périmètre de sécurité à été établis afin que les pompiers spécialisés dans les risques chimiques vérifient si la cuve ne fuit pas.
Il y a un risque de combustion ou d'explosion à partir d'un certain niveau de mélange propane-air entre 2,4 (2,4 % de propane et 97,6 % d’air) et 9,5 (9,5 % de propane et 90,5 % d’air). À condition qu'il y ait une étincelle ou un autre élément déclencheur.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/rennes

vendredi 13 janvier 2017

Accident à Saint-Jean-de-Luz : un jeune homme entre la vie et la mort

Le pronostic vital d’un Luzien de 22 ans est engagé, suite à un accident survenu jeudi. Le deuxième passager, âgé de 26 ans, est polytraumatisé
Une collision entre une Clio et une Matiz est survenue jeudi, un peu avant 13 heures, sur l’ex-Nationale 10, à Saint-Jean-de-Luz, le long de la voie ferrée, au pied du lycée Saint-Thomas. Une des deux voitures aurait mordu la ligne blanche avant de percuter l’autre. L’état de la Daewoo orange en dit long sur la violence du choc. Quand les secours sont arrivés pour sortir les trois occupants de l’habitacle, la voiture était retournée sur le toit.
Elle était occupée par la conductrice et ses deux passagers. Grièvement blessés, les deux jeunes adultes ont été transportés au centre hospitalier de la Côte basque, à Bayonne, par les pompiers et les deux équipes du Smur.

Entendues par les enquêteurs

Le pronostic vital du passager arrière, un Luzien de 22 ans, inconscient lors de son transfert à cause de multiples traumatismes, était encore engagé hier soir. Ce n’était plus le cas de l’Urruñar de 26 ans, polytraumatisé lui aussi.
Les deux conductrices, une habitante de Bidart de 27 ans et une sexagénaire d’Ascain, ont été transportées à la polyclinique de Saint-Jean-de-Luz en état de choc. Légèrement blessées. Elles devront s’expliquer sur les circonstances de l’accident auprès des enquêteurs qui ne privilégient aucune piste pour le moment (endormissement, téléphone, alcool, vitesse).
La circulation de la RD 810 a été coupée plus deux heures le temps pour les policiers d’effectuer les premières constatations et pour les dépanneurs de sortir les véhicules de la chaussée. La police municipale a mis en place des déviations ce qui a fluidifié la circulation en début d’après-midi
http://www.sudouest.fr/2017/01/13/collision-spectaculaire-3100723-4018.php

jeudi 12 janvier 2017

Bayonne : les policiers de la BAC sauvent une jeune femme

La Brigade anticriminalité a empêché une jeune Bayonnaise de 21 ans de se jeter dans l’Adour depuis le pont Saint-Esprit, dans la nuit de mardi à mercredi
Dans la nuit de mardi 10 janvier à mercredi 11 janvier, vers 1h50 à Bayonne, une patrouille de la Brigade anticriminalité (BAC) remarque la présence d’une jeune femme qui se tient sur le pont Saint-Esprit, à Bayonne. La personne regarde fixement l’eau, puis avance ses jambes dans le vide, s’apprêtant à franchir le parapet du pont.
 

"Il fallait me laisser faire"

Les policiers ceinturent la jeune femme alors qu’elle va s’élancer dans le vide. ''Il fallait me laisser faire’', s’écrie, une fois en sécurité, la Bayonnaise âgée de 21 ans, qui explique qu’elle a ''beaucoup de problèmes dans la vie'' et souhaite en finir avec celle-ci.
La jeune femme a été prise en charge par les pompiers de la caserne d’Anglet et transportée au Centre hospitalier de la Côte basque (CHCB), à Bayonne
http://www.sudouest.fr/2017/01/12/bayonne-les-policiers-de-la-bac-sauve-une-jeune-femme-3098684-4018.php

mercredi 11 janvier 2017

Charente : elle abuse de l’amabilité d’un octogénaire handicapé pour lui soutirer de l’argent

La victime n’est pas présente, pas plus que la mise en cause. Hier, une femme de 37 ans était poursuivie pour abus de confiance sur personne vulnérable.
Ce qu’on pourrait qualifier de méprisable s’est joué entre mars et août 2015. Cette commerçante itinérante du marché d’Étagnac a lié amitié avec un homme de 81 ans, handicapé, aveugle d’un œil, et sous assistance respiratoire.
L’octogénaire confie à sa nouvelle amie des services du quotidien. Lui retirer un peu de monnaie avec sa carte bleue en faisait partie. Sauf que la commerçante a été gourmande. En août, l’octogénaire découvre qu’il s’est fait léser. Préjudice : 2 900 €. La femme en avait profité pour faire des emplettes, et accessoirement payer le contrôle technique de la voiture de son époux. Un détail qui a facilité l’enquête.

Déjà condamnée pour vol et falsification de chèques

Lors de son audition, elle reconnaîtra de menus larcins à hauteur de 900 €. Le reste, des cadeaux. La victime, qui a toute sa tête, ne l’entend pas de cette oreille. « Aujourd’hui, il est interdit bancaire, ajoute son avocate Me Virginie Mornaud. Il se sent trahi, il ne fait plus confiance à personne. »
Pour la procureure, la commerçante a agi comme « un prédateur  ». Son casier fait déjà mention d’une condamnation pour vol et falsification de chèques.
Elle a été condamnée à six mois de prison avec sursis, mise à l’épreuve pendant trois ans, et à payer 2 900 € de préjudice matériel, et 500 € de préjudice moral à la victime
http://www.sudouest.fr/2017/01/11/-3094070-4583.php

mardi 10 janvier 2017

Vaulnaveys-le-Bas (Isère) : un homme de 76 ans percute un sanglier, sort de son véhicule et se fait renverser

Un septuagénaire a été transporté à l'hôpital après avoir été percuté par une voiture, sur la D524 à Vaulnaveys-le-Bas, au sud de Grenoble.
Lundi 9, vers 19h45, cet homme de 76 ans est sorti de son véhicule à la suite d'un choc avec un sanglier. Il sort alors pour constater les dégâts et ramasser les débris. C'est à ce moment qu'un second véhicule arrive et le percute.

Il a été pris en charge par les secours avec une légère blessure à la tête, ses jours ne sont pas en danger.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/

lundi 9 janvier 2017

Gourette (64) : une voiture fait une chute de 40 mètres

Les deux personnes à bord, légèrement blessées, ont pu être hélitreuillées 
Une voiture qui roulait sur la route entre la station de Gourette et le bourg des Eaux-Bonnes  a basculé dans le vide ce matin. Selon les premiers éléments recueillis sur place, la voiture a dérapé sur du verglas avant de faire une chute d’environ 40 mètres peu après 9 heures.
Les deux personnes à bord, des employés du service des routes qui avaient fini leur service et rentraient chez eux, n’ont été fort heureusement que légèrement blessées. Les deux hommes ont pu être hélitreuillés grâce à l’hélicoptère de la Sécurité civile Dragon 64 et ont été pris en charge par les secours venus de Gourette, Laruns, Lasseube, Oloron et  Pau avec des pompiers spécialisés en milieu périlleux. Les deux occupants de la voiture ont fait l’objet de contrôles.
Une dépanneuse vient d’être dépêchée sur place afin de sortir le véhicule, une Renault Scénic, du ravin.
http://www.sudouest.fr/2017/01/09/gourette-64-une-voiture-fait-une-chute-de-40-metres-3088900-4344.php

dimanche 8 janvier 2017

Deux blessés dans l'ULM

Deux personnes ont été blessées dans un planeur ultra-léger motorisé (ULM), à Villematier, au nord du département, hier après-midi. L'accident s'est produit à proximité de la piste d'atterrissage. Les deux victimes polyfracturées et âgées de 40 et 70 ans ont été prises en charge par les secours et conduites vers un CHU toulousain. L'origine de cet accident n'est pas encore connue. Le pronostic vital des personnes blessées n'est pas engagé.
http://www.ladepeche.fr/communes/villematier,31583.html

samedi 7 janvier 2017

Agen : une enquête ouverte pour violences sur un enfant

Une information judiciaire a été ouverte par le parquet d’Agen à la suite d’un épisode de violence survenu il y a plusieurs jours sur un jeune mineur, au sein de son cercle familial. Un premier certificat médical mentionnait 12 jours d’ITT. Le père de l’enfant a été placé en garde à vue et déféré devant le magistrat de permanence du parquet qui a requis son placement sous contrôle judiciaire.
http://www.sudouest.fr/2017/01/07/-3084452-4583.php

vendredi 6 janvier 2017

Agen : deux personnes intoxiquées au monoxyde de carbone

Un homme de 40 ans a été transporté à l’hôpital en état d’urgence absolue
Les sapeurs-pompiers sont intervenus, jeudi soir, vers 21 h 40, dans un appartement situé rue de la Colonne, à Agen, pour deux cas d’intoxication au monoxyde de carbone. 
A leur arrivée dans le logement, les secours ont tout d’abord pris en charge un homme de 40 ans. Celui-ci a été transporté en état d’urgence absolue à l’hôpital d’Agen, avant d’être transféré au Centre hospitalier de Bordeaux. 
La deuxième victime, une femme de 44 ans, qui semble avoir été exposée moins longtemps au monoxyde de carbone, a, elle aussi, été transportée à l’hôpital d’Agen en état d’urgence relative.
http://www.sudouest.fr/2017/01/06/agen-deux-personnes-intoxiquees-au-monoxyde-de-carbone-3082674-3603.php

jeudi 5 janvier 2017

Perpignan: les policiers ouvrent le feu sur les pneus du véhicule du fuyard

Les circonstances exactes de l’affaire demeuraient encore imprécises hier soir mais le simple contrôle de police aurait pu virer au drame. Selon les premiers éléments, tout s’est déroulé en fin de journée dans le quartier du Bas-Vernet.
Les policiers s’apprêtaient à soumettre un automobiliste à des vérifications à hauteur du centre de secours départemental des pompiers. Or, l’homme n’avait vraisemblablement pas de permis. Il aurait alors refusé de se soumettre aux injonctions des forces de l’ordre, aurait redémarré et, acculé, aurait foncé sur le véhicule de service, mettant en danger les agents, afin de prendre la fuite.
Lancés à sa poursuite, les policiers auraient alors été contraints de faire usage de leurs armes de service et d’ouvrir le feu à plusieurs reprises en direction des pneus de la voiture du fuyard afin de l’immobiliser.
Le mis en cause a finalement été interpellé et a aussitôt été conduit au commissariat où il a été placé en garde à vue.
Dans la soirée, il se trouvait toujours dans les locaux de l’avenue de Grande-Bretagne afin d’être entendu sur les faits
http://www.lindependant.fr/2017/01/04/perpignan-les-policiers-ouvrent-le-feu-sur-les-pneus-du-vehicule-du-fuyard,2284679.php

mercredi 4 janvier 2017

Une ambulance contrôlée pour excès de vitesse en pleine intervention à Poitiers

L’ambulancier a porté plainte contre le policier qui l’a verbalisé alors qu’il transportait une personne en détresse respiratoire
Excès de zèle ? Mercredi 28 décembre, à 16h40, un policier a contrôlé une ambulance pour excès de vitesse sur la rocade de Poitiers. D’après le conducteur du véhicule, il transportait "une femme en détresse respiratoire" et se dirigeait vers le CHU. "Il y avait une longue file de voitures au feu tricolore. J’ai actionné la sirène avec le gyrophare et je me suis faufilé jusqu’à passer le feu", explique l’ambulancier à La Nouvelle République
Afin de mener son contrôle, le policier a arrêté l’ambulance et n’a rien voulu entendre. "Je lui ai expliqué et répété que je faisais un transport pour une urgence vitale et que je ne pouvais pas m’arrêter, explique l’ambulancier. Il a demandé mes papiers. Il a pris mon permis en photo en m’indiquant que je recevrais un procès-verbal par courrier."

Le Parquet ouvre une enquête

Excédé par le comportement de l’agent, l’ambulancier a porté plainte contre lui. Le parquet de Poitiers a ouvert une enquête pour éclaircir les conditions dans lesquelles le contrôle a été effectué. De son côté, le commissariat avance que l’ambulancier a été contrôlé pour "excès de vitesse et conduite dangereuse".
D’après la loi, une ambulance peut être considérée comme un véhicule d’intérêt général et prioritaire si elle exerce une mission d’urgence, sous régulation médicale du Samu, et à ce titre peut se permettre d’enfreindre le code de la route pourvu d’avoir actionné une sirène deux tons ainsi qu’un feu bleu clignotant.
http://www.sudouest.fr/2017/01/04/une-ambulance-controlee-pour-exces-de-vitesse-en-pleine-intervention-a-poitiers-3077051-7048.php

lundi 2 janvier 2017

A 62 : un poids lourd percute un camping-car sur la bande d'arrêt d'urgence

L'image est spectaculaire mais les deux passagers du camping-car sont sains et saufs. Ils étaient en panne sur I'autoroute A62. Ils ont eu le bon réflexe : sortir et se mettre à l'abri. Un poids lourd n'a pas vu leur véhicule et l'a percuté. 
L'accident s'est produit ce matin vers 8h15. Les deux passagers du camping-car sont légèrement blessés. Ils ont adopté la bonne attitude en cas de panne sur autoroute
  1. se mettre en sécurité
  2. signaler sa panne 
Les gestionnaires d'autoroutes doivent organiser un dépannage sûr et rapide. Un dépanneur agréé intervient dans la demi-heure selon un tarif réglementé.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/lot-et-garonne

dimanche 1 janvier 2017

Saintes : une femme happée par un char lors de la cavalcade

L’accident s’est produit au niveau du pont Palissy en fin de défilé
Une femme a été sérieusement blessée à la jambe lors des festivités de la Saint-Sylvestre, à Saintes. Elle a été happée par le dernier char de la cavalcade au niveau du pont Palissy. Prise en charge par les pompiers, elle a été évacuée sur l’hôpital de Poitiers. 
L’accès au pont a totalement été condamné durant une partie de la soirée, les piétons étant invités à emprunter la passerelle pour accéder à la rive opposée. 
http://www.sudouest.fr/2017/01/01/saintes-une-femme-happee-par-un-char-lors-de-la-cavalcade-3069754-1531.php