vendredi 30 septembre 2016

800 kilos de cannabis saisis dans les Landes

L'affaire n'a été révélée que le 29 septembre au soir par le procureur de la République de Mont-de-Marsan mais les faits se sont déroulés le 20 septembre dernier.
Ce jour-là, deux hommes qui revenaient d'Espagne sont appréhendés par le SRPJ (Service régional de police judiciaire) d'Orléans dans un hôtel de Saint-Pierre-du-Mont dans les Landes. Ils étaient dans le viseur des policiers depuis plusieurs mois.
Dans l'hôtel, les fonctionnaires de police retrouvent 800 kilos de cannabis que les deux malfaiteurs remontaient d'Espagne pour la convoyer jusqu'à la région de Dreux en Eure-et-Loir.
D'après nos confrères de l'
Echo Républicain qui relaient l'information, l'un des deux hommes arrêté est déjà connu des services de police pour trafics de cannabis.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/landes

Yonne : un homme blessé grièvement après une sortie de route

L'accident a eu lieu aux alentours de 7h30 ce matin. Pour une raison encore inconnue, un sexagénaire a fait une sortie de route aux conséquences dramatiques. L'utilitaire a heurté un fossé. Le choc a été extrêmement violent comme en témoigne la carcasse du véhicule.
Les pompiers, venus en nombre de l'Yonne et de Côte-d'Or, ont dû le désincarcérer de son véhicule. L'homme a été transporté par l'hélicoptère du Samu en "état d'urgence absolue" vers le centre hospitalier d'Auxerre, a-t-on appris auprès du Service Départemental d'Incendie et de Secours (SDIS) de l'Yonne.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/yonne

Il avait fait de son «ami» son «souffre-douleur

«C'est une véritable entreprise familiale d'extorsion». C'est par ces mots que le procureur Céline Raygnault a résumé les faits qui ont conduit le tribunal correctionnel de Castres à condamner à 2 ans de prison ferme un homme de 28 ans mercredi qui comparaissait pour extorsion sur une personne vulnérable. Shrefi Messaoudi avait déjà été condamné par défaut pour ces faits mais avait fait opposition du jugement. Mais ses dénégations à la barre mercredi n'auront rien changé au quantum de la peine. Il faut dire que son comportement à l'audience, son lourd passé judiciaire et ses pertes de mémoire n'ont pas plaidé pour ce délinquant connu pour ses accès de violence et son casier judiciaire très chargé. Il était jugé pour avoir en mai et juin 2013 contraint un de ses «amis» d'enfance du quartier du Martinet à le conduire à Toulouse, Marseille ou encore en Espagne et à lui faire payer les séjours : transports, hôtels, repas, prostitués, vêtements… Au total, la victime, connue pour sa gentillesse mais aussi sa fragilité psychologique, aurait déboursé près de 1 000 € alors qu'il avait déjà du mal à joindre les deux bouts avec son petit salaire d'employé dans un magasin de bricolage et la charge de sa fille. «Il était devenu son souffre-douleur, sa principale source de revenu» a continué le procureur indiquant que le prévenu profitait de la vulnérabilité de la victime en laissant planer la menace de violences envers lui mais aussi envers sa famille. Un racket déjà institué par le frère aîné du prévenu, condamné lui aussi il y a quelques mois, qui avait contraint la victime à faire des crédits à la consommation. Une telle emprise qui a poussé la victime à vouloir disparaître et à envisager de se suicider pour s'en sortir en août 2013. C'est d'ailleurs quand il est retrouvé errant et hagard à Réalmont après que sa voiture ait été retrouvée brûlée près du lac de la Bancalié que le jeune homme a raconté aux policiers le calvaire qu'il endurait depuis des années. «Je lui ai peut-être demandé de m'emmener en m'énervant parce que j'ai des problèmes de nerfs mais il ne m'a rien financé du tout. De toute façon, j'avais bu et je prenais des cachets donc je ne me souviens de rien, lâche le prévenu pour sa défense balayant tous les témoignages contre lui. Ils sont tous jaloux de moi. Et je me fais toujours condamner à tort. Il faut qu'on me laisse tranquille dans ma tête.». Un mode «Caliméro» qui n'a évidemment pas convaincu le président Dominique Bardou et ses assesseurs qui ont suivi les réquisitions du procureur en condamnant l'individu, déjà détenu pour autre cause, à deux ans de prison ferme. Il devra aussi verser près de 2000€ de dommages et intérêts à sa victime qui a eu le courage d'être présente à l'audience mais qui n'a jamais voulu croiser le regard de son tortionnaire.
http://www.ladepeche.fr/communes/castres,81065.html

jeudi 29 septembre 2016

Roubaix : un adolescent gravement blessé après être tombé du toit d'un bâtiment désaffecté

L'exploration d'une usine désaffectée, rue de Mascara à Roubaix, a viré au drame ce mercredi en début d'après-midi pour un adolescent de 15 ans, qui s'y trouvait avec un camarade.
Alors qu'ils se trouvaient sur le toit du bâtiment, le jeune homme aurait glissé et fait une lourde chute. Selon les pompiers, il serait parvenu à regagner le premier étage, avant que les secours n'arrivent sur place.
Une équipe spécialisée en sauvetage-déblaiement a évacué la victime "en position horizontale", puis elle a été transportée dans un état très grave à l'hôpital. Son pronostic vital est engagé, et son état est jugé "préoccupant", selon une source policière.
Toujours selon cette source, "on s'oriente vers la piste accidentelle. L'adolescent aurait glissé". Des constatations sont toujours en cours sur place pour déterminer les circonstances exactes de cette chute.
En juin dernier,
une adolescente de 16 ans s'était tuée en faisant une chute de 20 mètres dans les Grands-Moulins de Paris,, une friche industrielle de Marquette, près de Lille. Elle était tombée à l'intérieur d'un silo, alors qu'elle se promenait dans les lieux avec deux amies.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/nord/roubaix

Charente-Maritime : une partie du corps d'Estelle Duran reste introuvable

Le corps de la Saintaise avait été retrouvé démembré dans la maison familiale début septembre. Son frère a été mis en examen pour meurtre.
Une partie du corps d'Estelle Duran, la Saintaise de 45 ans qui avait été retrouvée démembrée à la mi-septembre dans la maison héritée de ses parents à La Vallée (entre Saintes et Rochefort), reste introuvable. D'autres parties de son corps ont, elles, été retrouvées en partie calcinées
Rappel des faits
Estelle Duran, 45 ans, dans le quartier Les Boiffiers à Saintes. Le lundi 5 septembre, des membres de sa famille, inquiets de ne pas avoir de ses nouvelles, lancent un avis de recherche sur les réseaux sociaux. Deux jours plus tard, le parquet de Saintes ouvre une procédure de disparition inquiétante.
  • Des traces de sang et une partie de corps
Des investigations de la gendarmerie sont réalisées au sein et aux alentours de la maison familiale à La Vallée, une habitation qui était auparavant occupée par les parents de la quadragénaire, aujourd'hui décédés. Des traces de sang et une partie de corps sont retrouvées dans la maison. Les analyses ADN confirme qu'il s'agit d'Estelle Duran. A la suite de ces découvertes, l'affaire est confiée au parquet de La Rochelle, compétent en matière criminelle.
frère placé en détention provisoire
Les soupçons des enquêteurs se portent rapidement sur le frère de la victime, Loïc Duran, 39 ans, qui était en conflit avec sa soeur et avait rendez-vous avec elle dans la soirée du 5 septembre. Il est rapidement interpellé et, après une garde à vue de quarante-huit heures, mis en examen pour meurtre et placé en détention provisoire à la maison d'arrêt de Rochefort.
  • Des "indices graves et concordants"
Il est établi que le différend entre la victime et son frère portait sur la succession familiale, consécutive aux décès des parents. Le frère nie avoir tué sa soeur aînée. Le parquet de La Rochelle a cependant indiqué que le juge d'instruction avait retenu "l'existence d'indices graves et concordants pour ordonner la mise en examen ". Et a précisé que Loïc Duran (toujours présumé innocent) avait reconnu avoir eu une dispute avec sa sœur le 5 septembre.

http://www.sudouest.fr/2016/09/29/charente-maritime-une-partie-du-corps-d-estelle-duran-reste-introuvable-2517793-1393.php

Besançon : le CHU jugé pour avoir exposé des agents à l’amiante

Mieux vaut prévenir que guérir. Oui, mais on ne peut combattre que ce que l’on connaît… Le principe de prévention est au cœur du procès de l’amiante au CHRU de Besançon qui s’est ouvert ce mercredi et se poursuit ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Besançon.
La direction du centre hospitalier régional universitaire doit répondre d’avoir mal évalué les risques et manqué à ses devoirs d’information comme de formation envers ses agents de maintenance, les exposant ainsi à inhaler des poussières d’amiante. Ceci de 2009 à juin 2013.

48 salariés parties civiles

Poursuivis pour « mise en danger d’autrui par violation manifeste et délibérée d’une obligation réglementaire de sécurité », la directrice générale, Chantal Carroger, et Samuel Rouget, l’actuel directeur des ressources humaines qui était alors directeur adjoint en charge des infrastructures, doivent faire face à 48 salariés qui se sont constitués partie civile, en plus de la CFDT Santé Sociaux, du CHSCT (Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) et de l’association nationale des victimes de l’amiante.
Les trois épisodes d’exposition potentielle des salariés se sont produits dans le contexte des travaux de rénovation et extension du site du CHRU Jean-Minjoz. Parallèlement au chantier de désamiantage général de la tour centrale mis en œuvre depuis 2009.
« Une problématique insidieuse et sournoise »
Si deux des épisodes d’exposition visés relèvent de faits ponctuels, le troisième porte sur trois mois consécutifs pendant lesquels le service informatique a vécu sous la poussière, laquelle contenait potentiellement de l’amiante, présente dans les enduits du plafond (même si on en peut savoir à quel degré les agents ont été exposés, ainsi que l’a concédé l’inspecteur du travail lui-même).
« L’amiante est une problématique insidieuse et sournoise, sa cartographie évoluait sans cesse au fur et à mesure des diagnostics avant travaux que nous faisions réaliser », explique ainsi le directeur adjoint. « Et là où elle avait été diagnostiquée, les agents de maintenance ne devaient pas intervenir sauf urgence, dans l’attente du désamiantage. »
« Et en cas d’urgence ? », relève le président Pernot. « Ils devaient consulter le plan du réseau informatique et, en cas de présence d’amiante sur leur zone d’intervention, en référer à leur supérieur pour savoir comment intervenir… »
Reste que ces consignes n’ont été édictées qu’en 2011, que les agents ne disposaient alors d’aucune formation en la matière et que le CHRU ne disposait d’aucun équipement spécifique autre que ceux des interventions incendie.
D’où les plaidoiries indignées des avocats des parties civiles : « Ce n’était pas aux salariés de se renseigner mais à leur employeur d’assurer leur sécurité ! » Et en la matière, « la direction aurait dû faire plus, mieux et plus tôt. »
« Il est temps que tous les salariés soient traités de la même manière »
Les débats se rouvriront ce matin avec les réquisitions du ministère public. Suivront les plaidoiries des avocats de la défense, dont Me Claude Évin, ancien ministre de la Santé.
Si le jugement sera vraisemblablement mis en délibéré, ce procès fera date. Et jurisprudence. C’est la première fois en effet qu’une entreprise publique est jugée au pénal pour de tels faits. Sachant que, pour la partie civile, « une sanction, même de principe, permettra d’envoyer un message fort aux entreprises publiques. Il est temps que tous les salariés soient traités de la même manière ».
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2016/09/29/besancon-le-chu-juge-pour-avoir-expose-des-agents-a-l-amiante-lctm

mercredi 28 septembre 2016

Un sanglier provoque un gros accident de la route à Brignoles

Vers 23 heures, un sanglier traverse la route, un conducteur veut l'éviter et percute la voiture en face. 5 blessés sont à déplorer, 3 graves et 2 légers. Un hélicoptère et une vingtaine de pompiers sont intervenus sur l'accident.
Les accidents de la route causés par les animaux sont fréquents. Ce qui l'est moins, c'est le choc frontal entre les deux véhicules. En général, les automobilistes percutent l'animal. Les chasseurs en profitent pour rappeler qu'il a actuellement beaucoup de sangliers dans la nature. Ils parcourent des kilomètres, sans se soucier de ce qui se passe autour d'eux.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/var/brignoles

Lille : elle chute du 7e étage et s'en sort miraculeusement

Une jeune femme de 20 ans a survécu à une chute de plus de 20 mètres, samedi matin à Lille, après une nuit de fête dans un appartement du 7e étage de la résidence Les Saules, avenue du Président Hoover.
Selon la police, qui confirme une information de 20 minutes, la jeune femme était consciente à l'arrivée des secours sur place vers 8 heures ce samedi matin. Elle souffrait de plaies multiples, et a été transportée à l'hôpital, sans que son pronostic vital ne soit engagé. Elle a probablement eu la vie sauve grâce aux buissons dans lesquels elle est tombée, à l'aplomb de l'immeuble.
Selon les premiers éléments de l'enquête, la jeune femme avait participé à une pendaison de crémaillère, puis avait décidé de se défenestrer pour mettre fin à ses jours. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/lille-elle-chute-du-7e-etage-mais-s-en-sort-miraculeusement-1096441.html

Appel à témoins après le vol de la recette de la cathédrale

La brigade de sûreté urbaine de la ville d'Albi est sur les dents depuis hier matin, après un nouveau vol à l'arraché commis en quelques mois au centre-ville. Cette fois, c'est la cathédrale qui a été visée. Les faits se sont produits vers 10 h 30. Un individu âgé de 17 à 19 ans selon les témoins s'en est pris à l'intendant qui traversait la place Sainte-Cécile pour amener la recette à la Caisse d'Epargne.
L'individu, décrit comme faisant 1m70 - 1m75, a arraché une somme conséquente et a pris la fuite d'abord en direction de la rue Mariès, puis rue Saint-Julien, vers le marché couvert. Il était vêtu d'un sweat à capuche de couleur bleue et d'un bas de survêtement moulant, noir. La BSU a lancé un appel à témoins auprès de la population.
Si vous avez remarqué le suspect lors de ses repérages ou après le vol, vous êtes priés d'appeler le commissariat d'Albi au 05 63 36 28 00.
http://www.ladepeche.fr/communes/albi,81004.html

Rans (39) : le parricide est confirmé

L’enquête avance doucement mais sûrement sur le drame familial de Rans (Jura). Il s’agit bien d’un « homicide suivi d’une tentative de suicide », a confirmé le procureur de la République de Lons-le-Saunier, Jean-Luc Lennon, mardi soir.
Par contre, le motif de l’altercation entre le fils et son père, tué d’un coup de couteau à la gorge, demeure encore mystérieux. « Père et fils vivaient plutôt en bonne entente » et le meurtre ne semble pas s’être joué sur fond d’alcool.
Mardi, les médecins ont donné leur accord pour que l’auteur présumé du crime soit entendu, bien que toujours hospitalisé, sous le régime de la garde à vue. Le résultat de ces auditions n’était pas définitivement connu hier soir. Et aujourd’hui, sur le plan de la procédure, c’est le parquet de Besançon qui ouvrira une information judiciaire auprès du pôle régional de l’instruction.
On ne sait toujours pas non plus quand le crime a été commis au cours de la nuit. C’est la mère de famille qui a découvert le drame. Tout d’abord en réveillant son fils, qu’elle a trouvé mal en point, puis son mari, qui baignait dans une mare de sang dans sa propre chambre. Les époux dormaient séparément car le mari faisait de l’apnée du sommeil.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-bar-le-duc/2016/09/28/triple-infanticide-dans-la-meuse-la-faute-d-un-medicament

mardi 27 septembre 2016

Cher: un avion de tourisme s'écrase, 2 morts

Les deux occupants d'un avion de tourisme ont été tués lorsque leur appareil s'est écrasé cet après-midi contre un mur de ballots de paille dans un champ à Saint-Ambroix (Cher), selon les pompiers.
L'avion, qui venait de décoller de l'aérodrome d'Issoudun (Indre), a percuté le mur de plusieurs milliers de tonnes de paille qui avait été élevé lors de la moisson le long de la route, selon la même source. La paille s'est embrasée et une cinquantaine de pompiers sont sur place pour combattre l'incendie.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Charente-Maritime : une cycliste de 63 ans décède dans un accident de la route

L'accident s'est produit sur la commune de Clion, en Charente-Maritime. Une cycliste a été renversée ce matin par un véhicule dans lequel se trouvaient deux personnes. Elle n'a pas survécu à ses blessures.
Le choc, violent, s'est produit à Clion sur la route départementale 2, voiture contre vélo. 9 sapeurs-pompiers du Sdis 17 sont intervenus sur le lieu de l'accident pendant que les gendarmes installaient une déviation de circulation.
Malgrè la présence des médecins urgentistes du SMUR 17, la conductrice du vélo, une femme âgée de 63 ans, n'a pas pu être réanimée en raison de la gravité de ses blessures.

Les deux occupants de la voiture ont également été pris en charge par les secours pour être traités en urgence psychologique.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/charente-maritime/charente-maritime-une-cycliste-de-63-ans-decede-dans-un-accident-de-la-route-1095559.html

Une jeune femme éjectée dans un accident

Un accident impliquant une seule voiture s'est produit ce matin vers 8h40 sur la voie rapide dans le sens Avignon-Carpentras à hauteur d'Entraigues. Les gendarmes de la compagnie de Carpentras ont ouvert une enquête pour déterminer dans quelles circonstances le conducteur a perdu le contrôle de sa voiture. Dans cet accident, une jeune fille de 18 ans a été éjectée de l'habitacle. Grièvement blessée, cette jeune femme a dû être prise en charge par les sapeurs-pompiers et héliportée vers l'hôpital Nord de Marseille. Cet accident a provoqué d'importantes perturbations sur cet axe très emprunté.
http://www.laprovence.com/actu/en-direct/4133405/une-jeune-femme-ejectee-dans-un-accident.html

Biterrois : mis en examen pour l’assassinat de son frère de 12 ans

L ' adolescent de 17 ans a été incarcéré ce lundi soir. Il est suspecté d'avoir tué son demi-frère de 12 ans à Sauvian, samedi 24 septembre.
Depuis samedi soir c'est la stupéfaction à Sauvian. Dans ce paisible village au sud de Béziers, un jeune de 17 ans a tué son demi-frère de 12 ans d'un coup de couteau dans le cou. Après l'avoir étouffé, il l'a transporté et abandonné à moitié nu, dans la rue, à quelques centaines de mètres du domicile familial. Ce sont des passants qui ont fait la macabre découverte chemin de Mazeilles au cœur d'un quartier résidentiel. L'adolescent, qui était en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie de Valras depuis samedi soir a été présenté, ce lundi après-midi, devant le parquet de Béziers, puis devant le juge des libertés et de la détention, pour être mis en examen.

Pas de remords

"Une information judiciaire a été ouverte du chef d'assassinat : le mineur a été mis en examen sous cette qualification, et placé en détention, conformément aux réquisitions du parquet", a confirmé ce lundi soir le procureur de la République de Béziers, Yvon Calvet. "Les investigations qui seront poursuivies dans le cadre de l'information s'attacheront, d'une part, à mieux cerner la personnalité du mineur, en particulier par des expertises psychiatriques et psychologiques, afin d'apprécier pleinement son degré de responsabilité pénale, et d'autre part, à déterminer le contexte, notamment familial, dans lequel ces événements dramatiques sont survenus." Selon nos informations, le suspect n'a pas présenté de remords par rapport à son geste. Il serait même resté très froid dans ses réactions face aux interrogations de tous. Une expertise psychiatrique devrait être diligentée pour être certain qu'il jouissait bien de l'ensemble de ses facultés mentales.
Le suspect était scolarisé au lycée Jean-Moulin à Béziers, la victime au collège de Vendres. Une scolarisation suivie par les trois autres enfants de la fratrie qui ne présentait pas de problèmes particuliers au village. Bien au contraire. Le soir du drame, l'adolescent n'a pas opposé de résistance quand les gendarmes de Valras sont venus le chercher au domicile de la grand-mère qui l'hébergeait depuis quelques jours avec le reste de la famille.

Tous avaient été placés là, depuis l'hospitalisation de la mère

Quand les militaires sont intervenus, le suspect tentait de faire disparaître les traces de son geste. Les enquêteurs ont alors découvert du linge, des vêtements maculés de sang mais aussi l'arme qui aurait servi à commettre le crime. Dimanche, la grand-mère maternelle, a, elle aussi été entendue pour en savoir plus sur le déroulement de la soirée et les relations entre les frères issus de pères différents. Elle n'aurait absolument rien entendu de ce qui se passait dans la maison quand l'aîné s'en est pris à son cadet de cinq ans.
http://www.midilibre.fr/2016/09/26/mis-en-examen-pour-l-assassinat-de-son-frere,1399508.php

lundi 26 septembre 2016

Une jeune femme gravement blessée dans un accident de moto à Éloise en Haute-Savoie

Une jeune femme âgée de 26 ans s’est gravement blessée dans un accident de moto survenu à Éloise ce lundi 26 septembre. Transportée au centre hospitalier d’Annecy, son pronostic vital est engagé.
Il était aux alentours de midi ce lundi lorsque pour une raison encore inexpliquée, la conductrice d’une moto âgée de 26 ans a perdu le contrôle de son engin sur la D1508 à Éloise.

Très gravement blessée, elle a été héliportée vers le centre hospitalier d’Annecy. Son pronostic vital a été engagé.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie/une-jeune-femme-gravement-blessee-dans-un-accident-de-moto-eloise-en-haute-savoie-1094841.html

Elle jette ses meubles et blesse un policier

Une femme de 33 ans, prise d'un coup de folie, a entrepris de vider son appartement en jetant son mobilier dans la rue, à Mulhouse, rapportent Les Dernières Nouvelles d'Alsace.
Les forces de l'ordre, une fois sur place, ont tenté de pénétrer dans le logement, craignant un acte désespéré. La femme, silencieuse et retranchée dans sa chambre, s'est alors jetée sur l'un des policiers, le blessant au couteau.
Elle a ensuite pu être maîtrisée puis emmenée dans une unité psychiatrique, à l'hôpital de Rouffach.

 http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Marne : elle confondait les comptes du comité d'entreprise du E. Leclerc de Fagnières et les siens

C’est en fin d’année 2010 que le scandale éclate. Une nouvelle fois, quelques employés sont obligés de quémander, au nom des près de 350 salariés, leur cadeau de fin d’année au comité d’entreprise du centre Leclerc de Fagnières. «  Il n’y a pas d’argent  », se voient-ils répondre. Devant la fronde, l’équipe dirigeante finit par offrir 20 € de chèque cadeau. Une question brûle les lèvres d’une ancienne membre de l’équipe : comment se fait-il que les caisses soient vides ?
Celle-ci décide de se présenter contre l’employée qui avait gagné les élections en 2007 et les remporte en 2011. En mettant le nez dans les comptes la nouvelle secrétaire découvre que l’ancienne trésorière avait une gestion bien à elle de l’argent destiné aux employés : «  Quand on met le doigt dedans, on en découvre de plus en plus  », se souvient-elle aujourd’hui.
Retrait de 400 € sans justificatif, ayant prétendument servi à payer des boissons lors d’un séjour en Andalousie, achat de 1 720 € de boudin de Rethel en 2007, location d’une voiture pendant ses vacances pour un montant de 786 € à l’été 2010, paiement d’un voyage en Tunisie à 2 255 € pour elle et l’ancienne secrétaire, frais d’organisation de l’anniversaire de son propre père… Tout y passe. «  Elle confondait son compte avec le tiroir-caisse du CE !  »
Au total, la nouvelle équipe établi le préjudice à plus de 20 000 €. Encore aura-t-il fallu verser quelques milliers d’euros à un expert-comptable pour déchiffrer les livres…
Finalement, après un premier classement sans suite au pénal, les avocats du comité d’entreprise ont décidé de poursuivre au civil et ont obtenu, ce 4 mai 2016, le remboursement de plus de 8 000 € d’impayés (plus 2 500 € au titre du préjudice moral).
Dans la foulée, la salariée a été remerciée par son employeur, la cohabitation avec ses collègues étant devenue impossible, d’autant que cette dernière avait accusé la nouvelle équipe dirigeante du comité d’entreprise de la harceler moralement, et avait notamment fait intervenir le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT).
La nouvelle secrétaire tire au moins un enseignement de la mésaventure : «  Lire les comptes rendus du CE, ce n’est pas une faute…  »
http://www.lunion.fr/809144/article/2016-09-25/marne-elle-confondait-les-comptes-du-comite-d-entreprise-du-e-leclerc-de-fagnier

Montpellier : un homme blessé par balle dans la nuit de samedi à dimanche

U n homme a été blessé par arme à feu dans la nuit de samedi à dimanche dans le quartier de La Paillade  à Montpellier. 
Le drame s'est produit avenue Louisville aux alentours de minuit, au pied d'un immeuble. Un homme a été touché par balle. Son pronostic vital ne serait pas engagé. Blessé aux jambes il a été évacué vers les urgences du centre hospitalier. Il pourrait s'agir d'un différend familial.
http://www.midilibre.fr/

dimanche 25 septembre 2016

Le chauffard ivre sème la peur

Grosse frayeur à la fête du hameau de Sainte-Thècle, dans la nuit de vendredi à samedi, à Montesquieu. Alors que la fête foraine et la buvette avaient déjà baissé le rideau, un individu âgé de 31 ans a semé le trouble au milieu de la nuit. Vers 3 heures du matin, cet homme d'origine ukrainienne, particulièrement énervé et mécontent d'avoir été refoulé de l'enceinte de la fête par les services de sécurité pour un état d'ébriété manifeste, est revenu au volant de sa voiture.
En se dirigeant tout droit vers un groupe de personnes, le chauffard a finalement embouti une grosse jardinière qui, par ricochet, a entraîné la blessure au genou d'un jeune homme de 18 ans qui se trouvait juste derrière. Le coup de folie a suscité une vive émotion dans les rangs des organisateurs et des derniers jeunes noctambules qui ont eu le sentiment d'avoir échappé à un incident qui aurait pu avoir des conséquences bien plus graves.
Les gendarmes sont intervenus pour interpeller l'homme qui a été placé en garde à vue à la brigade de Moissac. Même après avoir eu le temps de bien dégriser, le suspect ne pouvait toujours pas s'expliquer. Et pour cause : le travailleur saisonnier d'origine ukrainienne ne parlait pas un mot de français. Un traducteur a été donc été appelé à la brigade.
Face aux enquêteurs, le chauffard ne se souvenait plus de rien. Et ne reconnaissait qu'une chose : d'avoir trop bu durant toute la nuit.
Finalement, en toute fin de journée, la procureure de la République a décidé de lever la garde à vue. L'enquête doit se poursuivre lundi pour consulter le casier judiciaire du suspect en Ukraine et connaître les suites qui seront données aux incidents de Sainte-Thècle.
http://www.ladepeche.fr/communes/montesquieu,82127.html

Il se tire une flèche dans le thorax avec une arbalète

Samedi, à 13 h 30 à l'entrée du village de Montolieu, un automobiliste blessé a été signalé aux pompiers par une témoin et voisine de la victime. L'homme, âgé de 45 ans et résidant dans la commune, avait tenté de mettre fin à ses jours plus de deux heures auparavant dans un bois situé près du bassin de Saint-Denis. Après s'être tiré à l'aide d'une arbalète une flèche dans la poitrine qui a frôlé le cœur, et malgré l'agonie jouant avec le temps, il a fini par reprendre le volant de son véhicule pour rallier son domicile. Réputé bipolaire, souffrant de troubles psychiatriques et récidiviste en matière de tentative de suicide, il a été conduit dans un état grave (la flèche ayant traversé le thorax de part en part) par le SMUR de Carcassonne assisté des pompiers dans un hôpital de Toulouse. Les gendarmes de la communauté de brigades de Conques-sur-Orbiel ont retrouvé dans le sous- bois l'arbalète abandonnée.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/09/25/2425993-tire-fleche-thorax-arbalete.html#M5tOrQB6lkP8Ql1u.99
 

samedi 24 septembre 2016

Gendarme renversé à Saint-Maixent-l'École : le suspect placé en détention provisoire

L'homme, soupçonné d'avoir renversé un gendarme jeudi soir dans une rue de Saint-Maixent l'École, a été déféré ce samedi au parquet de Niort. Il a été placé en détention provisoire et sera présenté en comparution immédiate lundi pour violences volontaires sur une personne dépositaire de l'autorité publique.
Le suspect est un jeune homme de 19 ans originaire des deux-Sèvres et déjà connu des services de gendarmerie. Il conduisait la voiture que le gendarme tentait d'arrêter.

Le militaire, un homme de 39  ans, avait été gravement blessé à la tête, au dos et aux jambes. Il est toujours hospitalisé mais ses jours ne sont pas en danger. 


http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/deux-sevres/niort

Hailles (80) : un conducteur en urgence absolue après avoir percuté un pylône électrique

Cette nuit, peu parès 1h30, une voiture cabriolet a percuté un pylône électrique sur la route entre Castel et Hailles, près de Moreuil dans la Somme. Le conducteur a été transporté au CHU d'Amiens en urgence absolue. L'alimentation en électricité des communes avoisinantes a été perturbée.
L'homme, âgé de 35 ans, a percuté un pylône électrique sur la route entre Castel et Hailles dans la Somme avec sa voiture cabriolet. Le choc a été si violent que l'accident a provoqué une perturbation sur le réseau électrique du secteur. L'alimentation a été rétablie en matinée.
Le conducteur a été transporté en urgence absolue au CHU d'Amiens.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/somme

Une femme tuée par balles à Pantin

Une femme a été tuée ce soir de plusieurs balles dans la tête à Pantin, en Seine-Saint-Denis, par un homme à scooter, selon Le Parisien. 

Le site du journal indique qu'elle se trouvait apparemment au volant de sa voiture lorsqu'elle a été touchée.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

vendredi 23 septembre 2016

Pyrénées : blessée par une chute de pierres provoquée par une vache

Une randonneur espagnole, qui souffrait d'un traumatisme crânien, a été prise en charge par les sauveteurs du PGHM de Pierrefitte-Nestalas
Mercredi vers midi, une randonneuse espagnole a été blessée par une chute de pierres provoquée par une vache, au plateau du Pailla à Gavarnie, rapporte La Dépêche du midi.
Elle était en compagnie de deux autres randonneuses. 
Blessée à un bras, une jambe et souffrant d'un traumatisme crânien, elle a été prise en charge par les sauveteurs du PGHM (peloton de gendarmerie de haute-montagne) de Pierrefitte-Nestalas et a été évacuée par l'hélicoptère de la gendarmerie vers le centre hospitalier de Tarbes. 
http://www.sudouest.fr/2016/09/22/pyrenees-blessee-par-une-chute-de-pierres-provoquee-par-une-vache-2510016-6018.php

Tué par un arbre coupé par son élève

Un enseignant du lycée forestier de Saugues (Haute-Loire) a été tué hier par la chute d'un arbre alors qu'il formait des élèves stagiaires sur une parcelle forestière située sur la commune de Chanteuges, selon des sources concordantes aujourd'hui.
Vers midi, un pin maritime haut de 29 mètres, qui était en train d'être coupé par un des sept élèves adultes du groupe, s'est abattu sur le formateur, situé à 22 mètres de là, selon les gendarmes et les pompiers.
Âgé de 33 ans, l'homme est décédé sur place, ont indiqué ces mêmes sources, confirmant une information du journal La Montagne. Une cellule psychologique a été ouverte au sein de l'établissement, selon le Centre de formation professionnelle forestier de Saugues. A la suite du drame, une enquête a été ouverte pour "homicide involontaire" et confiée à la communauté de brigades de Langeac.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Nancy : « une hausse des agressions »

Après l’agression qui a coûté la vie à un lycéen à la sortie d’une discothèque, le point sur l’insécurité à Nancy avec Abdel Nahass, responsable local d’Unité-SGP-Police-FO

Y a-t-il une hausse des agressions la nuit au centre-ville ?
Pour nous, la réponse est clairement oui. Il y a une hausse des agressions. La majorité des policiers le ressent clairement.
Vous avez des chiffres qui confirment ce ressenti ?
Non. Car quand nous essayons de les obtenir, c’est le black-out. Nous les avons demandés à plusieurs reprises à la direction et on nous les a refusés.
Pourtant, les pouvoirs publics communiquent dessus. Lors d’un conseil municipal de mai, des chiffres ont par exemple été donnés. Ils étaient d’ailleurs bons. Cela contredit votre impression ?
Ce sont des chiffres qui sont donnés de but en blanc, à la volée. Ce n’est pas ça, que nous demandons. Nous voulons des tableaux d’évolutions sur plusieurs années afin de pouvoir les décortiquer. Nous voulons aussi avoir accès à la manière dont les chiffres sont calculés.
Car vous soupçonnez qu’ils sont trafiqués ?
Non. Je ne dis pas ça. Les chiffres ne sont pas trafiqués. Ils sont travaillés. C’est différent. Nous ne sommes pas dupes. Les statistiques ne sont pas faites par une autorité indépendante mais par la hiérarchie policière et il y a de multiples façons d’influer sur leurs résultats. Je vous donne un exemple. Lorsque vous avez un véhicule qui est forcé et un objet qui est pris à l’intérieur, vous pouvez comptabiliser cette infraction, selon ce qui vous arrange, soit dans la catégorie des dégradations, soit dans la catégorie des vols par effraction. Et on peut multiplier ce genre d’exemples à l’infini.
On ne peut donc pas faire confiance aux statistiques de la délinquance ?
Les gens n’ont en tout cas plus confiance dans l’institution policière et ont tendance à régler leurs comptes eux-mêmes. Et ce phénomène joue dans l’augmentation des violences que les collègues constatent sur le terrain.
Y compris au centre-ville de Nancy ?
Oui. Mais ce n’est pas le seul facteur. La ville n’échappe pas aux phénomènes nationaux. Il y a une augmentation générale de la violence.
La création d’une zone de sécurité prioritaire au centre-ville a-t-elle servi à quelque chose ?
Oui. C’était une bonne idée. On a créé le Groupe de sécurité et de proximité qui fait du bon boulot dans les ZSP de l’agglo. Mais, d’une part, les collègues ne sont pas assez nombreux. Et, d’autre part, ils ont été pris dans d’autres services dont on a affaibli les capacités opérationnelles.
Il y a un manque d’effectif ?
Oui. Depuis les attentats, le nombre des missions et servitudes a explosé. A Nancy comme ailleurs. Les policiers ne peuvent pas être partout à la fois. Nous ne cessons d’alerter les élus locaux sur cette situation. Mais seuls les députés Féron et Khirouni ainsi que les maires de Saint-Max et Laxou nous ont répondu.
Pas le maire de Nancy ?
Non, jamais. Nous avons aussi alerté le ministre de l’Intérieur qui a, lui, promis une étude sur la situation à Nancy. Nous l’attendons…
Combien faudrait-il de policiers en plus ?
Au minimum une trentaine pour la sécurité publique et une dizaine pour les enquêtes de police judiciaire. Un chiffre résume l’ampleur du problème : jusqu’au début des années 90, chaque brigade de jour était composée d’une cinquantaine de fonctionnaires alors qu’aujourd’hui elles tournent avec à peine une trentaine de d’hommes chacune.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2016/09/23/nancy-une-hausse-des-agressions

jeudi 22 septembre 2016

Attentat de Nice : en exclusivité dans "Complément d'enquête", le témoignage d'une policière qui a ouvert le feu sur le terroriste


Complément d'enquête. Attentat de Nice : une policière raconte l'intervention pour la première fois "Complément d'enquête" a rencontré les policiers qui sont intervenus le 14 juillet 2016 à Nice. Ils ont stoppé le camion lancé dans la foule sur la promenade des Anglais après une course folle de 2,5 kilomètres. Le conducteur sera finalement neutralisé, après avoir fait 86 morts et 400 blessés.
Pour le magazine, une policière qui a ouvert le feu sur le terroriste a accepté de témoigner pour la première fois. Le visage de Magalie, 36 ans, reste caché alors qu'elle raconte des moments extrêmement éprouvants. 
"Quand on arrive à la cabine, on avait l'arme à la main. Le conducteur, il prend une arme et il nous tire dessus. Moi, c'est la première fois de ma vie que je me prenais un canon à 2, 3 mètres de ma tête, et j'ai encore cette image." 
Des images vidéo amateur montrent Magalie courant, arme à la main, derrière le camion sur la promenade des Anglais, au milieu de la foule. "On repart en courant derrière le camion avec mes deux collègues, et c'est là qu'on commence à voir le massacre. Nous, on court derrière le camion, et il y a des gens qui... il y a des corps."

"Même si on doit mourir, il faut l'arrêter"

"En fait, je le vois comme si je regardais un film, et j'ai pas l'impression que c'est réel, continue la jeune femme. On réalise, en fait... que devant nous, il y a un attentat. Donc là, on court, et plus que tout, on veut que ça s'arrête.
J'avance à la cabine. C'est là que j'entends les deux, trois premiers coups de feu, et je me dis 'faut y aller', 'faut y aller, même... (sa voix se brise) même si on doit mourir, mais il faut l'arrêter'. Donc moi, je m'avance à la cabine, et je tire à plusieurs reprises par la fenêtre passager. Après, je me recule, j'entends encore des coups de feu, des coups de feu, et je vois la tête de... de ce terroriste, qui était inerte sur le côté passager."
http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/terrorisme/attaque-au-camion-a-nice/

Les policiers à la rescousse d'un octogénaire tombé à l'eau

ll était quasiment 10 heures, hier matin, lorsque policiers et pompiers ont été appelés pour intervenir, rue du 8 mai, derrière la Biocoop, à Auch. Un Auscitain de 88 ans, qui promenait son chien le long de la rivière Gers a glissé dans l'eau. Un couple qui se promenait sur la rive opposée du Gers a très rapidement appelé les secours. Trois policiers, arrivés rapidement sur les lieux, ont sorti l'octogénaire du Gers, il était près du bord mais n'était pas parvenu à se relever. Son chien était d'ailleurs lui aussi tombé à l'eau… et a lui été sauvé de la noyade.
L'Auscitain, un habitué de ce lieu de promenade, a été pris en charge par les pompiers auscitains qui l'ont soigné sur les lieux de l'incident.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/09/22/2423848-policiers-rescousse-octogenaire-tombe-eau.html#tryeVgetJOFPwpmH.99
 

Un pompier blessé lors d'un incendie dans l'Hérault en août est mort

Selon le parquet de Béziers, cité par Le Parisien, un des quatre pompiers blessés lors d'un incendie le 10 août dernier dans l'Hérault, est mort des suites de ses blessures ce mercredi. Dimitri Deier, 24 ans, avait été brûlé à 90%.

Les quatre hommes s'étaient retrouvés cernés par les flammes dans leurs véhicules alors qu'un incendie ravageait quelque 200 hectares de végétation près de Béziers. Une information judiciaire avait été ouverte mardi matin.

Il y a une dizaine de jours, les familles de trois des quatre victimes avaient en effet annoncé leur volonté de porter plainte contre X, critiquant l'inertie de la justice. Un syndicat de pompiers, le SNSPP-PATS-FO, avait également accusé le directeur du Service départemental d'incendie et de secours (Sdis) de l'Hérault de n'avoir pas entretenu des véhicules en mauvais état. 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mercredi 21 septembre 2016

Essonne: découverte d’un arsenal d'armes à feu

Deux sacs contenant un arsenal d'armes à feu ont été découverts à Morsang-sur-Seine (Essonne), dissimulés en lisière de forêt, a annoncé aujourd’hui le parquet d'Evry.
Les armes ont été découvertes en fin de matinée par deux promeneurs. Les bagages contenaient un fusil de chasse, un fusil à pompe, une arme de poing, des grenades et des munitions, a détaillé le parquet à l'AFP. Une enquête a été ouverte pour trafic d'armes. "On va essayer de remonter d'où ça vient, mais pour l'instant on n'en sait rien", a expliqué le ministère public. L'enquête a été confiée aux gendarmes de la brigade de recherches d'Evry et à ceux de la section de recherches de Paris.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Tourcoing : un pilote de scooter entre la vie et la mort après avoir grillé un feu rouge

Le pilote d'un scooter a été hospitalisé mardi soir au CHR de Lille après avoir violemment percuté une voiture, à l'angle de la chaussée Denis Papin et de la rue de Roncq à Tourcoing. Selon les premiers éléments, il était 21h10 lorsque le motocycliste aurait grillé un feu rouge, puis percuté une voiture en circulation. L'homme de 26 ans portait apparemment un casque, mais sans que la sangle ne soit attachée. Il a eu le haut du crâne scalpé, souffre de multiples contusions et d'un important traumatisme crânien. Il a été transporté inconscient, avec le pronosotic vital engagé. 
Le conducteur de la voiture, également âgé de 26 ans, a également dû être hospitalisé pour des blessures au visage, dues à l'éclatement de son pare-brise.
Les circonstances exactes de cet accident doivent encore être établies par les enquêteurs du commissariat de police de Tourcoing.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/

Triple meurtre de Châtelet-sur-Retourne: le père mis en examen (vidéo)


Triple meurtre de Châtelet-sur-Retourne: le... par UnionArdennais

Millau : tentatives d'incendie dans trois églises, une arrestation

L e Sacré-Coeur, Notre-Dame de l'Espinasse et Saint-François ont fait l'objet de tentatives d'incendie, lundi en début d'après-midi. Un jeune suspect a été interpellé vers 17 h en flagrant délit.
Vers 13 h, un touriste anglais a donné l'alerte, intrigué par un nuage de fumée qui s'échappait des portes du Sacré-Coeur, à Millau. Le retable de Saint-François (une construction en bois qui entoure une statue) était en train de prendre feu. Les pompiers ont sorti le mobilier (dont un tiers avait brûlé) avant que les flammes se propagent à l'édifice. Dès leur arrivée, les enquêteurs ont constaté que l'incendie avait sans doute été provoqué intentionnellement. De leur côté, des responsables de la paroisse catholique Jean XXIII des grands causses ont signalé les visites fréquentes d'un jeune homme au comportement étrange, ces dernières semaines dans l'église. Et sa présence, le matin-même, dans la nef.

Un suspect arrêté

Vers 14 h 30, un deuxième feu a été signalé, cette fois à l'église Notre-Dame de l'Espinasse, à 400 mètres du Sacré-Coeur. Là aussi, un retable dédié à Saint-Antoine avait commencé à flamber. "Par chance, deux bénévoles ont éteint les flammes avec de l'eau bénite", rapporte le capitaine de police Didier Eugène. Entre temps, la police et la paroisse avaient convenu de placer sous surveillance le dernier lieu de culte catholique ouvert au public, à savoir d'église Saint-Antoine, boulevard de l'Ayrolle. Vers 17 h, un homme correspondant à la description des paroissiens du Sacré-Coeur a été interpellé et placé en garde à vue, alors qu'il s'apprêtait à incendier un élément de l'église, selon nos sources. Il s'agit d'un Millavois d'une vingtaine d'années, au sujet duquel les enquêteurs refusaient, lundi soir, d'apporter davantage de précisions.
http://www.midilibre.fr/2016/09/19/millau-tentatives-d-incendie-dans-deux-eglises-une-arrestation,1395903.php

mardi 20 septembre 2016

Mouthe : une voiture s'embrase après un accident

La sortie de route s'est produite ce matin à Mouthe (Doubs) sur le CD 939. Un jeune homme de 25 ans a pu s'extraire à temps. 
L'automobiliste a percuté un arbre. Il a pu quitter la voiture avant qu'elle ne prenne feu. Il a été transporté à l’hôpital pour examens de contrôle
http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/doubs/haut-doubs

Chavirage au Cap-Ferret : l'homme n’a pas survécu

Il avait fait un arrêt cardiaque quand le bateau dans lequel son frère et lui pêchaient avait chaviré.
Il est décédé dans la nuit de dimanche à lundi. Le sexagénaire qui avait fait un arrêt cardiaque dimanche quand son bateau a chaviré n'a pas survécu au drame. Son frère et lui pêchaient, embarqués sur un pneumatique semi-rigide dont le moteur n'a pas redémarré alors qu'ils étaient dans la passe sud du Bassin, non loin du banc d'Arguin.
Un des frères était parvenu à se hisser sur la coque renversée. Ils avaient été secourus par un autre bateau
http://www.sudouest.fr/2016/09/20/chavirage-dans-le-bassin-d-arcachon-l-homme-n-a-pas-survecu-2507160-2733.php

Var: un avion se pose sur l'autoroute A8

Le pilote d'un avion de tourisme léger avec deux passagers à bord, en difficulté, est parvenu à se poser aujourd'hui sur l'autoroute A8 près de Brignoles (Var), sans faire de blessé ni causer d'accident, selon des source concordantes.
Vers 9h30, les automobilistes qui circulaient sur cet axe, en direction de l'Italie, ont eu la surprise de voir un avion à hélice bleu se poser à leurs côtés sur le bitume. Il a atterri "à un endroit où la bande d'arrêt d'urgence est assez large", et a pu se ranger sur le côté, le bout de son aile dépassant toutefois sur la voie de droite, a précisé une porte-parole de Vinci Autoroutes
Les pompiers, prévenus qu'un avion en détresse se posait sur l'autoroute par la tour de contrôle de l'aérodrome du Cannet des Maures, ont pu le localiser rapidement grâce à un hélicoptère bombardier d'eau, "en formation dans les environs", a précisé un porte-parole des sapeurs-pompiers du Var. "L'avion a pu être déplacé vers une zone de refuge" sur l'autoroute pour éviter tout accident, a-t-il ajouté.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Ardennes: Un père écroué pour le meurtre présumé de sa famille

Huit jours après la découverte d’une femme et de ses deux enfants morts dans leur baignoire à Châtelet-sur-Retourne (Ardennes), le père de famille a été mis en examen pour « homicide volontaire » et placé en détention provisoire, lundi, a annoncé le parquet de Reims. « Benjamin Burel a été placé en détention provisoire cet après-midi (lundi) et les investigations se poursuivent sous l’autorité du magistrat instructeur », a déclaré Matthieu Bourrette, procureur de Reims, lors d’une conférence de presse.
Les corps « tout ou partie dénudés » des deux enfants de deux et sept ans et de leur mère de 29 ans avaient été trouvés sans vie, dimanche 11 septembre, par le compagnon de celle-ci (et père des enfants) dans la baignoire de leur maison d’un lotissement du village de Châtelet-sur-Retourne, à 25 km de Reims.

Un suicide « très hautement improbable »

La thèse du suicide a été qualifiée de « très hautement improbable » par le procureur de la République. Celui-ci avait déjà écarté « l’hypothèse accidentelle » au vu des premières constatations relevant « l’absence de vol ou d’effraction ».
D’après Matthieu Bourrette, « des traces de violences » ont été retrouvées sur le corps de la mère et celui de l’aîné, mais « la cause des décès est celle de la noyade ». Des éléments montrent que « les corps ont séjourné plusieurs heures dans l’eau », ce qui laisserait penser que le drame aurait eu lieu dans la soirée du vendredi 9 septembre, a-t-il poursuivi.

Un problème d’alcool

La version donnée par le concubin lors de sa garde à vue, disant qu’il avait vu sa femme et ses enfants samedi matin avant de partir travailler, ne semble pas coller avec « les éléments techniques médico-légaux. » « L’autopsie laisse penser que la mort est survenue quelques heures après le dîner des défunts », a encore précisé le magistrat.
Agé de 34 ans, cuisinier de profession, Benjamin Burel nie être coupable de ce triple homicide. Il a déjà été condamné pour conduite en état d’ivresse et a reconnu avoir des « accès de violence importants sous l’emprise de l’alcool », a souligné Matthieu Bourrette.
L’enquête avait été ouverte pour « homicide volontaire » et « homicide volontaire aggravé sur mineur de moins de 15 ans », deux chefs de mise en examen retenus contre le père de famille, a encore précisé le procureur.

lundi 19 septembre 2016

Cinq blessés dans une collision

Hier matin, vers 11 heures, une violente collision, impliquant trois voitures, s'est produite entre les deux ronds-points de l'autoroute, à Séméac. Une première voiture aurait percuté par l'arrière une seconde voiture, laquelle a, sous le choc, été projetée sur l'autre voie, alors que survenait la troisième en sens inverse. Quatre blessés légers ont été secourus par les pompiers (une quinzaine d'hommes), alors que la cinquième victime, une femme d'une quarantaine d'années, plus sérieusement touchée, a été médicalisée sur place avant d‘être transportée à l'hôpital de Tarbes.
http://www.ladepeche.fr/communes/semeac,65417.html

dimanche 18 septembre 2016

LE CROTOY (80) Sept personnes prises par la marée, une femme dans un état grave

Un groupe composé de 7 personnes, de nationalité vietnamienne, dont deux enfants, évoluait dans la baie. Ils se sont fait surprendre par la marée montante.
A l’arrivee des pompiers, ils avaient regagné le bord avec une femme d’une soixantaine d’années en arrêt cardio-respiratoire. Elle a été prise en charge par l’hélicoptère du SAMU qui va l’évacuer sur le CHU d’Amiens.
Une autre femme victime d’hypothermie a été prise en charge et va être évacuée vers le centre hospitalier d’Abbeville.

En état de choc

Les sapeurs pompiers des centres de secours de Rue, Abbeville, Le Crotoy, Saint-Valery-sur-Somme, Cayeux-sur-Mer et Amiens (en tout une trentaine) ont été dépêchés sur place sous le commandement du chef de groupe Ponthieu, le lieutenant Beauvisage.
Les 5 autres personnes ont été examinées par un médecin du SAMU, et vont être transportées vers l’hôpital d’Abbeville. Ils sont indemnes mais en etat de choc.
Les hélicoptères du samu et de la marine (Guepard du Cros gris-nez ) se sont rendus sur place. Tout comme les 7 sauveteurs en mer du Crotoy, la gendarmerie et la police municipale.
http://www.courrier-picard.fr/region/picardie-express

Nantes: un jeune tué près de chez lui

Le corps sans vie d'un jeune homme de 24 ans, présentant plusieurs coups de couteau, a été retrouvé samedi à Rezé près de Nantes, indique dimanche le parquet.
L'homme connu des services de police a été retrouvé samedi peu avant 10h00 près du hall de son immeuble, a précisé le parquet.
Il aurait été vu pour la dernière fois vendredi soir dans son appartement où se trouvaient plusieurs personnes.

Une autopsie est en cours tandis que l'enquête a été confiée au SRPJ de Nantes pour déterminer les circonstances du décès.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Blessé à la tête par une clé à molette après une dispute

Aux alentours de 9 heures, samedi, la place Carnot a été le théâtre d'un différend que l'on pourrait qualifier de familial, entre un maraîcher narbonnais installé face au café Chez Félix et un coiffeur de la rue Armagnac. Un différend, - dont seul les protagonistes connaissent l'origine -, qui a conduit à des échanges de mots dans un premier temps avant que la situation empire. Selon nos informations, le coiffeur de la rue Armagnac, qui vivrait désormais avec l'ex-compagne du maraîcher, est venu sur le marché pour demander des comptes. Il était en compagnie de trois ou quatre membres de sa famille. Et là, au beau milieu de la discussion qui s'est envenimée, un téléviseur a été jeté sur l'étal du maraîcher… Qui a également été blessé à la tête après avoir été atteint par un jet de clef à molette. Si l'auteur du jet de clef à molette s'est enfui avant d'aller se livrer à la police municipale, les pompiers ont été amenés à intervenir sur la place Carnot, où ils ont dû prendre en charge le maraîcher blessé à la tête, avant de le transporter au centre hospitalier. Selon nos informations, aucune plainte n'avait encore été déposée hier soir.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/09/18/2421120-blesse-tete-jet-cle-molette.html#9PWByvpbXlYXhAfK.99
 

RD 628 : un blessé grave évacué par hélicoptère

Un accident de la route a fait un blessé grave, hier soir aux alentours de 19 h 15, sur la RD 628 à hauteur de la commune des Bordes-sur-Arize. Pour une raison à déterminer, un conducteur a perdu le contrôle de sa voiture avec trois personnes à bord. Le véhicule a quitté la chaussée pour terminer sa course dans le fossé avant de heurter très violemment un pylône. Aussitôt l'alerte donnée, d'importants moyens de secours ont été dépêchés sur place. Les sapeurs-pompiers du Mas d'Azil renforcés par leurs collègues de Montesquieu-Volvestre (Haute-Garonne) sont intervenus aux côtés d'une équipe du SAMU du CHIVA pour porter secours aux victimes. Les gendarmes ont sécurisé les abords du lieu de l'accident pour permettre aux sauveteurs de travailler. Un des trois occupants, prisonnier de l'amas de tôles, a dû être désincarcéré par les sapeurs-pompiers. Son état a été jugé suffisamment sérieux pour nécessiter son évacuation vers l'hôpital toulousain de Purpan à bord de l'hélicoptère de la gendarmerie. Un autre des trois occupants, blessé également, a été transporté par voie terrestre au centre hospitalier du val d'Ariège.
http://www.ladepeche.fr/communes/les-bordes-sur-arize,09061.html

samedi 17 septembre 2016

En tirant un sanglier, il a tué son ami

"Jean-Louis, mon ami d'enfance, mon premier voisin, il est mort dans mes bras. Cela hante mes jours et mes nuits", confesse D. S. à la barre du tribunal correctionnel d'Auch. Ce retraité agricole de 77 ans devait répondre d'homicide involontaire. Le procès d'un dramatique accident de chasse survenu le 29 décembre 2014 lors d'une battue aux sangliers organisée à Lamaguère, une petite commune proche de Saramon. Une des balles destinées à l'animal avait ricoché au sol pour se loger dans la cuisse de la victime, lui sectionnant l'artère fémorale. Il était décédé avant l'arrivée des secours.
Titulaire du permis depuis 60 ans, D., qui n'allait jamais à la chasse sans Jean-Louis, se reconnaît responsable de la mort de son ami. Responsable et coupable il est pour le ministère public qui lui reproche de s'être affranchi "des règles de sécurité qui protègent les chasseurs". C'est l'angle de tir qui est au cœur de ce dossier. Selon l'accusation, D. aurait dû attendre que le sanglier "passe davantage" qu'à 15° avant de le tirer. Si le prévenu avait respecté la règle qui vaut qu'on ne tire pas un gibier à l'intérieur d'un angle de 30°, "le drame aurait été évité" assure la procureure Alice Rodrigues. Elle cite le rapporteur de l'office national de la chasse pour lequel D. "appartient à une ancienne génération de chasseurs pas formés au tir à balles et pas sensibilisés aux ricochets".
Depuis l'accident, le retraité ne chasse plus. Son avocate, Me Christine Bérenguer-Grelet, a plaidé la clémence du tribunal "pour un homme jamais condamné qui portera ce drame jusqu'à la fin de ses jours". Le tribunal est allé au-delà des réquisitions de la procureure qui avait réclamé 10 mois d'emprisonnement avec sursis, condamnant le septuagénaire à une peine de 18 mois avec sursis, cinq ans d'interdiction de chasser.

http://www.ladepeche.fr/communes/lamaguere,32186.html

vendredi 16 septembre 2016

Charente-Maritime : braquage au tabac-presse de Salignac-sur-Charente

Ce vendredi, un homme armé s'est présenté au tabac-presse de Salignac. La gérante a été contrainte de lui donner la caisse et des cigarettes
Une heure après les faits, la gérante du Mini Market de Salignac, à la frontière Charente/Charente-Maritime, se contient. Mais on la sent sous le choc des événements qui se sont produits ce vendredi matin.
Il est 7 h 50 lorsque cette habitante de Chaniers est surprise dans sa boutique, rue de la Petite Champagne. Elle raconte :
Le matin, j'ouvre les portes en grand pour aérer. Et soudain, j'ai vu un homme habillé tout en noir rentrer dans le magasin. Il était très grand, avec une capuche sur la tête, et un masque de soudeur masquait le haut de son visage
Mais ce qui la marque, c'est l'arme qu'il porte à son bras. "C'était un fusil de chasse, précise celle qui est commerçante depuis treize ans. Il a exigé que je lui donne les cartouches de cigarettes et la caisse."
Elle s'exécute, mais reste surprise par l'attitude du braqueur : "Je pensais qu'il allait passer lui-même derrière le comptoir. Mais non : il est resté devant et a tendu un sac pour que je mette tout dedans."

Caméra de surveillance factice

L'homme, dont la gérante n'a pas pu discerner les traits, quitte les lieux aussitôt son forfait commis. "Il est parti très vite, sans que je vois comment il s'enfuyait. Un client qui passait par là a pu dire aux enquêteurs qu'il était en voiture."
Les gendarmes sont en effet arrivés très vite sur les lieux. Mais leur travail sera difficile. Le malfaiteur portait des gants, ce qui empêche tout relevé d'empreintes. De même, la caméra de surveillance du magasin est factice, et il est peu probable que des caméras extérieures soient installées dans cette petite rue d'un village de 630 âmes
Déjà cambriolée quatre fois en treize ans
La commerçante n'a pas tout de suite fermé son enseigne. Toutefois, elle envisage de le faire ce vendredi après-midi, après avoir porté plainte à la gendarmerie. "J'ai déjà été cambriolée quatre fois en treize ans, souffle-t-elle. J'aurais préféré que ce soit ça, un cambriolage. C'est choquant, mais moins que de se faire braquer !"
Sous le choc, elle n'a pas voulu faire une estimation du montant de son préjudice. " Quelques cartouches de cigarette et mon fonds de caisse... L'assurance va prendre en charge, même si j'aurai une part de franchise."
Aussitôt avertis, les gendarmes ont activé le dispositif d'alerte par SMS des commerçants du secteur. Contactés par "Sud Ouest", ils étaient toutefois injoignables pour préciser si un dispositif de patrouille a été déployé pour retrouver le braqueur.


Un homme meurt après avoir été happé par un train

Aux alentours de 8h du matin ce vendredi 16 septembre, le corps sans vie d'un homme d'environ 35 ans a été aperçu par le chauffeur d'un TER entrant en gare de Saint-Jory, au nord de Toulouse.
L'homme, dont le corps est en plusieurs morceaux, aurait été happé par un train au cours de la nuit. Accident ou suicide ? La gendarmerie estime qu'il est trop tôt pour tirer des conclusions.
Un TER est actuellement bloqué en gare de Saint-Jory mais devrait bientôt repartir. Le trafic SNCF a été perturbé. 
http://www.ladepeche.fr/communes/saint-jory,31490.html

jeudi 15 septembre 2016

Gares de Lillers et Ronchin : deux personnes décédées sur les voies, trafic fortement perturbé

Des milliers de voyageurs se retrouvent bloqués sur les voies dans le Nord et le Pas de Calais, ce matin. En gare de Lillers et en gare de Ronchin, deux personnes ont été happées par un train.
A 7h12, ce matin, une personne a été fauchée, par un TER, en gare de Ronchin. Elle est décédée sur le coup.  La circulation a du être coupée, générant d'énormes retards sur la ligne Lille/Douai/Arras. Aucun train ne circule pour l'heure. Des bus ont été affrêtés, par endroit, par la SNCF, qui estime que le trafic devrait reprendre vers 11heures.

Et à Lillers, à 9h04, le corps d'une femme d'une trentaine d'années, d'après les secours, a été retrouvé sur les voies, après avoir été percuté par un TER. Une enquête este n cours, mais d'après le chargé de communication SNCF, dans les deux cas "il s'agit de suicides avérés".  La ligne Dunkerque/Béthune/Hazebrouck/Arras a été coupée. Là aussi, les voyageurs ont été bloqués. Les retards sont importants. Un TGV Dunkerque/Paris est également bloqué. La SNCF estime que vers 12 heures, la circulation pourrait reprendre.

Dans tous les cas, les conducteurs de train, choqués, sont relevés de leur mission et reçus par un psychologue. Certains reprennent au bout d'une semaine, d'autres après plusieurs mois.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/gares-de-lillers-et-ronchin-deux-personnes-decedees-sur-les-voies-trafic-fortement-perturbe-1086473.html

Charente-Maritime: deux baigneurs disparus

Deux baigneurs sont portés disparus en Charente-Maritime, a indiqué ce soir la préfecture maritime Atlantique dans un communiqué. Vers 16h, les deux baigneurs avaient été signalés "en difficulté, plage de la Coubre" par les pompiers au Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS) d'Étel (Morbihan).
La plage de la Coubre est située à côté du phare portant le même nom et à proximité de la baie de Bonne Anse, près de Royan. Le CROSS d'Étel a diffusé immédiatement un message d'alerte et coordonné les secours aériens et nautiques qui ont mobilisé un hélicoptère de la Sécurité civile et un jet-ski des pompiers. A terre, pompiers et gendarmes ont effectué des patrouilles. "En raison des mauvaises conditions de mer, peu avant 18h00", les recherches nautiques ont été interrompues.

Les recherches aériennes et terrestres se poursuivaient dans la soirée et un hélicoptère de la Marine nationale basé à La Rochelle a pris le relais vers 19H15. Trois autres personnes ont été évacuées par les pompiers vers l'hôpital de Royan pour un début de noyade, précise également la préfecture maritime.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mercredi 14 septembre 2016

Nouvion-et-Câtillon: l’adjointe au maire Nathalie Brazier est décédée dans un accident

hebergement d'image
Ce mercredi 14 septembre, vers 8 h à Couvron-et-Aumencourt, un accident du travail s’est produit à la ferme d’Aumencourt, en retrait de la D634. Il a causé la mort de Nathalie Brazier, 53 ans, adjointe au maire de Nouvion-et-Câtillon. Elle travaillait sur l’exploitation quand le conducteur d’un engin agricole, type Manitou, a fait une marche arrière sans la voir. La quinquagénaire est décédée sur le coup.
http://www.aisnenouvelle.fr/region/region-en-direct

Une femme retrouvée morte sur le parking d'un magasin à Reims

La scène n’a pas manqué d’intriguer les clients du magasin Carrefour Market de la rue de Neufchâtel. Mardi après-midi, pendant trois heures, la police a bouclé une partie du parking où s’affairaient les combinaisons blanches des spécialistes de l’identité judiciaire. Une macabre découverte est à l’origine du déploiement : celle d‘une femme de 53 ans retrouvée morte à côté de sa voiture, portière ouverte.
Les circonstances ont paru assez étranges pour déclencher une enquête approfondie. Alors qu’aucune information n’était communiquée aux médias, la rumeur, très vite, a fait état d’un « coup de feu » qui serait en lien avec le décès de la victime, faisant prospérer dans le voisinage l’hypothèse d’un meurtre. « J’ai entendu comme un gros coup de pétard, puis la police et les pompiers sont arrivés », indique un riverain.
Sauf qu’aucune notion de détonation n’aurait été portée à la connaissance des forces de l’ordre. Il ne s’agirait que d’une coïncidence : des pétards lancés dans le secteur au moment même de la découverte du corps, à 14 h 25 (des pétards continuaient d’ailleurs à se faire entendre plus tard dans l’après-midi).
Aucune plaie saignante n’aurait été constatée sur le cadavre. La victime venait de rejoindre sa voiture après avoir fait quelques courses au magasin. L’enquête est toujours en cours mais les premières indications n’iraient pas dans le sens d’un homicide. L’hypothèse d’un malaise serait la plus réaliste, à confirmer cependant. Les enquêteurs disposent d’une pièce maîtresse pour reconstituer le fil des événements : le parking est dans le champ de vision d’une caméra de surveillance.
Le corps et la voiture enlevés, les policiers ont quitté les lieux à 17 h 30.
http://www.lunion.fr/node/801907

mardi 13 septembre 2016

Giovanni Lava sera-t-il enterré comme il est mort, seul dans la rue à Seclin ?

Vendredi, Giovanni Lava était retrouvé mort dans un buisson près de la collégiale de Seclin. Une annonce qui a suscité des réactions en ville et sur Internet. De la tristesse. De la colère. En attendant, des questions restent en suspens : dans quelles conditions sera-t-il enterré ? Qui prendra en charge l’inhumation ?
On connaît son identité, à peine son histoire. Selon la mairie, Giovanni Lava, quarante-neuf ans, aurait « grandi à Seclin, sans être élevé par ses parents. Il aurait plus tard quitté le Nord avant de revenir il y a peu à Seclin. »
Sur sa page Facebook qui comptait 276 amis, encore active en mai, Giovanni écrivait qu’il était menuisier, vivait à Beauvais après avoir habité Montauban durant trente ans, mais rêvait de retourner à Seclin. Il y est mort.
La Seclinoise Magalie lui apportait cigarettes et nourriture : « Il était agréable. Parlait à mes enfants. Il me disait juste que c’était dur de vivre à la rue. Je lui disais qu’il fallait qu’il demande de l’aide. »

Son copain à sa recherche

Son copain de rue, Olivier Flament, n’en savait guère plus. Il partageait juste les galères, la solitude qu’il noyait dans l’alcool. Depuis sa disparition, Olivier sillonnait la ville à sa recherche. Avant d’apprendre son décès : « Il s’est fait taper c’est ça ? Je vais régler son compte à celui qui lui a fait du mal », lâche-t-il, à peine distinctement. Même si aucun signe de violence n’est apparu à l’examen du corps.
Giovanni est une des victimes de plus de la rue. Un homme sans histoires, inconnu à la mairie de Seclin : « Il ne s’est jamais présenté ici. Les sans domicile fixe peuvent demander une domiciliation ou des bons d’urgence pour se nourrir. Il n’est jamais venu réclamer quoi que ce soit ! Il n’était pas là depuis très longtemps ! »

Au carré des indigents

Sera-t-il enterré comme il est mort ? Si aucune famille ne se manifeste, la ville de Seclin devra prendre en charge les funérailles de Giovanni Lava. Et enterrera le sans domicile fixe au carré des indigents du cimetière de Burgault. « Seuls les ascendants ou descendants ont l’obligation de prendre en charge les obsèques sauf s’ils n’ont pas les moyens », explique Cécile Rocca, du collectif Morts dans la rue, à Paris.
À Lille, Mémoire-fraternité se mobilise depuis dix ans pour les funérailles des personnes sans ressources : « On en a 35 à 50 par an à Lille. Les pompes funèbres nous préviennent et je bats aussitôt le rappel », explique Michel Ruef. Une dizaine de personnes assistent aux cérémonies laïques, préparent des discours. « C’est la sœur Irène Devos qui avait créé il y a vingt ans l’association Magdala après qu’un SDF lui a confié qu’ on n’est tellement rien qu’on est enterrés comme des chiens ».
Le collectif a été créé quand l’association s’est développée. Mais la cinquantaine de bénévoles n’intervient qu’à Lille : « On n’a pas les effectifs suffisants pour gérer les autres communes. Il m’est arrivé à titre personnel d’assister à des funérailles ».

Colmar : un piéton renversé et coincé sous un véhicule

Alors qu'il circulait à pied dans un quartier semi-piéton dans le centre-ville de Colmar, rue de la Corneille, un homme de 25 ans a été percuté par un automobiliste et s'est retrouvé coincé sous le véhicule
L'accident s'est produit à l'angle de la rue de la Corneille et de la rue Vauban peu avant 20 heures lundi 12 septembre. Il a fallu une demi-heure aux pompiers pour dégager la victime coincée sous le véhicule à l'aide d'un coussin de levage Vetter et d'outils de désincarcération. Le jeune homme, âgé de 25 ans, a été transporté en urgence absolue vers l'hôpital Pasteur. Une enquête de police est ouverte pour comprendre les circonstances de ce violent accident.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/haut-rhin/colmar

Une adolescente victime d'une grave chute

Une adolescente de 15 ans a été victime d'une chute, hier soir, à 23 heures. Les circonstances exactes de ce drame  ne sont pas connues, mais l'adolescente serait tombée d'un immeuble de trois étages, à Montauban. Gravement blessée, elle a été transportée à l'hôpital de Montauban
http://www.ladepeche.fr/communes/montauban,82121.html

lundi 12 septembre 2016

Landes : premier jour de chasse et premier accident

Un Landais d'une trentaine d'années s'est tiré une balle dans le pied, plus précisément la cheville, en perdant l'équilibre, dimanche matin à Aureilhan
Un accident de chasse a été déploré à Aureilhan dimanche, vers 9 heures, soit quelques minutes à peine après l'ouverture de cette nouvelle saison. Les circonstances de l'incident sont très claires, puisque c'est la victime elle-même qui s'est accidentellement tiré une balle dans le pied, la cheville plus précisément
Selon les éléments recueillis par les gendarmes du Born, ce trentenaire landais marchait seul dans la forêt aureilhanaise lorsqu'il a été déséquilibré. Le coup de fusil involontaire a été provoqué par la chute de son arme.
Il a été secouru par les pompiers de Mimizan, et rapidement évacué vers l'hôpital Pellegrin de Bordeaux
http://www.sudouest.fr/2016/09/12/landes-premier-jour-de-chasse-et-premier-accident-2497315-3452.php

dimanche 11 septembre 2016

Mornac (16) : impressionnant dispositif pour l'interpellation d'un ex-mari violent

Samedi, le Parquet a demandé l'intervention du Raid par "mesure de précaution" dans le cadre d'une affaire de violences conjugales
La dispute avait commencé samedi dans l'après-midi à Angoulême. Un homme se serait présenté au domicile de son ex-femme et aurait tiré des coups de feu
Vers 17 heures, un impressionnant dispositif a été mis en place pour arrêter l'auteur présumé à son domicile de Mornac, susceptible de détenir des armes. Le Parquet a demandé l'intervention du Raid de Bordeaux, "par mesure de sécurité".
L'ex-conjoint violent s'est laissé interpeller sans problème. Même si aucune arme n'a été retrouvée chez lui lors de la perquisition, l'homme a reconnu les faits de violence. Il bénéficiait également de la garde exclusive des enfants du couple, qui ont été placés.
http://www.sudouest.fr/2016/09/11/mornac-impressionnant-dispositif-pour-l-interpellation-d-un-ex-mari-violent-2496110-813.php

Un an après, le chauffard qui a tué Dimitri est introuvable

Un an jour pour jour après la mort de Dimitri Thoumazeau, un brillant étudiant de 27 ans, fauché par un véhicule qui a pris la fuite, le 9 septembre 2015, dans le quartier du Mirail, l'enquête reste «au point mort».
Les policiers de la brigade des accidents du commissariat central, malgré leur travail de fourmi, ne sont toujours pas parvenus à mettre la main sur l'utilitaire Mercedes de modèle Vito, susceptible d'avoir percuté le jeune homme avant de s'évanouir dans la nature.
Collecte de témoignages, exploitation des bandes de vidéoprotection situées sur le parcours supposé du véhicule en fuite, appels à témoin… toutes les pistes ouvertes par les enquêteurs «sont restées fermées, regrette une source proche du dossier. Un an après, peut-être qu'une conscience se réveillera ?» espère-t-on.
Dimitri Thoumazeau étudiait l'Histoire à l'université Jean-Jaurès du quartier du Mirail à Toulouse. Ce mercredi-là, en début d'après-midi, il traversait l'avenue Louis-Bazerque en dehors des passages piétons.

«La faute d'un lâche»

Selon certains témoins, un véhicule était alors arrivé à grande vitesse. Il avait renversé l'étudiant qui avait été projeté à une trentaine de mètres du point d'impact. Malgré l'arrivée rapide des secours, la victime était décédée sur place.
Le père du jeune homme, originaire de la Réunion, s'était exprimé dans nos colonnes deux semaines après le drame. Il avait estimé : «La vie de Dimitri s'est arrêtée par la faute d'un lâche qui n'a même pas eu le courage d'assumer. Il ne s'est même pas arrêté pour porter secours…»
Un an plus tard, les motivations de la fuite du chauffard et celles du silence de son ou ses passagers restent un mystère. Conduisait-il sans permis ? Avait-il consommé de l'alcool ou de la drogue ? S'agissait-il d'un véhicule volé ? Toute personne susceptible d'apporter un éclairage sur ce drame de la route peut encore contacter les enquêteurs au commissariat central.
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html

Un chasseur se tire deux balles en chutant

Un malheureux accident est survenu ce samedi matin à Saint-Michel de Llotes (Pyrénées-Orientales), révèle l'Indépendant.
En se déplaçant avec son arme chargée, un chasseur sexagénaire aurait trébuché et enclenché la détente du fusil. Deux balles l'ont atteint et sont sorties au niveau du bras et de l’épaule.
Il a eu beaucoup de chance. Ses jours ne sont pas en danger.
http://www.estrepublicain.fr/

samedi 10 septembre 2016

Pau : une bonbonne de gaz retrouvée près de la préfecture

La bonbonne de gaz a été identifiée comme contenant de l'hélium et ne présenterait aucun danger. Une enquête a néanmoins débuté
Ce samedi matin, vers 10h15, une petite bonbonne de gaz a été retrouvée dans une poubelle à proximité de la préfecture des Pyrénées-Atlantiques, rue du Maréchal Joffre, à Pau.
Un périmètre de sécurité a été mis en place, entraînant l'évacuation des commerces à proximité.
La police a demandé l'intervention du service de déminage de Bayonne. La bonbonne de couleur rose a été identifiée comme étant une bouteille d'hélium, sans danger d'explosion. Elle a été enlevée par les forces de l'ordre.
Une enquête, s'appuyant notamment sur les images de vidéo-surveillance, débute. Le dispositif de sécurité dans le centre-ville de Pau est levé
http://www.sudouest.fr/2016/09/10/pau-une-bonbonne-de-gaz-retrouvee-pres-de-la-prefecture-2495743-4344.php

Perpignan: battue, la jeune femme enceinte perd son bébé

La victime était couverte de coups et blessures. Son conjoint âgé de 19 ans a été écroué pour violences habituelles aggravées.Un signalement a été fait mercredi auprès de la police après qu'une jeune femme de 20 ans, enceinte de près de 8 mois, se soit présentée au petit matin accompagnée de son conjoint, aux urgences de la clinique Saint-Pierre à Perpignan.
La patiente, se plaignant de fortes contractions, présentait en outre de nombreuses traces de coups. Son visage était sévèrement tuméfié et de nombreux hématomes, contusions et plaies pouvant correspondre à des blessures par arme blanche apparaissaient sur tout son corps.
Au vu de son état, la malheureuse a aussitôt été hospitalisée et a dû subir un accouchement forcé de son fœtus mort. Auditionnée sur ses blessures, elle a expliqué qu'elle avait été victime d'une agression le dimanche précédent dans le quartier du Moulin-à-vent. Or, les premières investigations ne corroboraient pas sa version, mais portaient plutôt de forts soupçons sur son concubin. D'autant que les services de police avaient déjà été appelés à intervenir le soir du 25 août au domicile de ce couple pour un violent différent familial.
Les agents avaient constaté la présence d'hématomes sur les bras et les jambes de la jeune femme. Or, celle-ci s'était justifiée en affirmant avoir chuté dans les escaliers et avait refusé l'intervention des forces de l'ordre. Une enquête préliminaire a été ouverte concernant les violences par conjoint, encore aggravées par la vulnérabilité de la victime et par l'usage d'une arme.
Le concubin, âgé de 19 ans, a été interpellé dès mercredi et placé en garde à vue. Lors de ses premières auditions, il a nié les faits. Toutefois, les nombreux témoignages recueillis auprès d'amis et de voisins confirmaient les soupçons de violences infligées depuis des mois à sa compagne.
Lacération et brûlures
En outre, l'examen médical a révélé de nombreuses et terribles blessures : des traces de coups, d'origines diverses, de lacération faite à l'aide d'un objet tranchant au niveau de la cuisse et de brûlures faites avec un mégot de cigarette. Les cicatrices d'une maltraitance habituelle sur la future maman qui, après s'être rétractée, a admis le calvaire enduré.
Face à ces éléments, le mis en cause a fini par avouer commettre des violences régulières, depuis des mois, sur des coups de colères. À l'issue de son audition, il a été déféré au parquet hier et présenté en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel. Il a finalement été écroué dans l'attente de son procès reporté au 14 novembre et des résultats des expertises médicales.
Une seconde procédure a été ouverte pour rechercher les causes de la mort du fœtus. Une autopsie a été pratiquée qui n'a pas permis d'exclure que le décès ait été provoqué par les coups portés sur la mère. Des examens médicaux plus approfondis seront effectués ces prochains jours pour attester ou non cette hypothèse.
http://www.lindependant.fr/2016/09/10/battue-la-jeune-femme-enceinte-perd-son-bebe,2254952.php

vendredi 9 septembre 2016

Ax-les-Thermes (Ariège) : un motard de 24 ans tué dans un choc frontal avec une voiture sur la RN20

Un choc frontal entre une voiture et une moto a été fatal à un jeune motard de 24 ans, tué ce vendredi matin sur la RN 20 à hauteur d'Ax-les-Thermes, a-t-on appris auprès des pompiers de l'Ariège.
L'accident s'est produit peu après midi. Le jeune homme était en arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée des secours, qui n'ont pas réussi à le réanimer.
C'est une série noire pour les motards sur les routes de la région. Lundi,
un motard d'une cinquantaine d'années à été tué près de Toulouse après avoir chuté sur la rocade Arc-en Ciel. Jeudi, c'est un homme d'une quarantaine d'années qui est décédé en plein Toulouse après avoir été renversé par une voiture sur les allées Jean Jaurès.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/ariege