Il a 22 ans, un passé chaotique, des antécédents judiciaires lourds et depuis ce mardi midi, dix-huit mois d'emprisonnement ferme à effectuer. Ce jeune prévenu albigeois arrivé à Aire-sur-l'Adour en septembre était jugé par le tribunal correctionnel de Mont-de-Marsan pour avoir frappé l'homme qui l'hébergeait, le nourrissait et lui finançait son cannabis gracieusement depuis plus de deux mois
Le parquet montois avait également retenu des sévices graves sur un animal domestique, en l'occurrence un chiot qui lui avait été offert peu de temps auparavant. Et que les gendarmes ont retrouvé la patte cassée...
Quid des coups de pied et de balais sur un chiot dont les aboiements avaient déjà inquiété le voisinage ? "C'est vrai, j'ai donné un gros coup de pied à mon chien. Je ne savais pas m'en occuper. Mais je l'aime, et j'ai peur qu'on m'interdise de le voir", réagissait-il.
Le ministère public a précisé que le chien n'avait pas été confié à la SPA, mais laissé au sexagénaire aturin. Le tribunal a, lui, suivi à la lettre les réquisitions : dix-huit mois ferme avec mandat de dépôt auxquels s'ajoutent six mois de sursis et une mise à l'épreuve de deux ans.
http://www.sudouest.fr/2016/11/29/bordeaux-un-automobiliste-fonce-deliberement-sur-un-autre-2584418-2780.php
Le parquet montois avait également retenu des sévices graves sur un animal domestique, en l'occurrence un chiot qui lui avait été offert peu de temps auparavant. Et que les gendarmes ont retrouvé la patte cassée...
Alcool et cannabis
À la barre, le jeune récidiviste déjà condamné (entre autres) pour un viol sur mineur, alors qu'il était lui même adolescent, a reconnu l'ensemble des faits. Les violences graves sur son logeur (il lui a notamment arraché une boucle d'oreille avec les dents) s'inscrivait selon lui dans un contexte de dépendance à l'alcool et surtout au cannabis qui, peu à peu, l'a "totalement dépassé".Quid des coups de pied et de balais sur un chiot dont les aboiements avaient déjà inquiété le voisinage ? "C'est vrai, j'ai donné un gros coup de pied à mon chien. Je ne savais pas m'en occuper. Mais je l'aime, et j'ai peur qu'on m'interdise de le voir", réagissait-il.
Le ministère public a précisé que le chien n'avait pas été confié à la SPA, mais laissé au sexagénaire aturin. Le tribunal a, lui, suivi à la lettre les réquisitions : dix-huit mois ferme avec mandat de dépôt auxquels s'ajoutent six mois de sursis et une mise à l'épreuve de deux ans.
http://www.sudouest.fr/2016/11/29/bordeaux-un-automobiliste-fonce-deliberement-sur-un-autre-2584418-2780.php