mercredi 30 septembre 2015

Bergerac : un an de prison pour avoir percuté son ami, devenu paraplégique

Ils étaient tous amis et avaient, semble-t-il, commencé la soirée ensemble, à Bergerac, ce samedi 8 mars 2014. Une soirée qui s'est transformée en drame puisque l'un des Bergeracois, alors âgé de 17 ans, avait fini renversé par une voiture, à Campsegret (24). Un jeune homme de 26 ans a été condamné, mardi, à un an de prison ferme pour blessures involontaires avec délit de fuite.
Ce soir-là, deux véhicules avaient pris la route de Périgueux pour y poursuivre la soirée. Sur le retour, l'une des voitures tombe en panne et deux de ses occupants décident de rentrer à Bergerac à pied, le long de la RN 21.

Projeté à 31 mètres

À hauteur du lieu-dit Touron, l'un d'eux se met au milieu de la route et fait signe au conducteur d'un véhicule qui s'approche. Celui-ci le percute de plein fouet aux jambes. La victime vient heurter le pare-brise et est projetée 31 mètres plus loin. Le chauffard prend la fuite. Il est alors 4 h 30 du matin et c'est une autre voiture qui prévient les secours.
http://www.sudouest.fr/2015/09/30/juge-pour-avoir-percute-son-ami-2139467-1733.php

Appartement en feu à Empalot : on a évité le drame

Un incendie a éclaté, dans la nuit de lundi à mardi, au 5e étage d'un immeuble, rue Saint-Roch dans le quartier d'Empalot à Toulouse. Il n'y a pas eu de blessés mais les habitants ont eu très peur.
«On a eu de la chance. S'il y avait eu du vent comme aujourd'hui (N.D.L.R., hier), l'immeuble aurait pu partir en fumée.» Les locataires d'un des immeubles situés au 64 rue Saint-Roch dans le secteur d'Empalot à Toulouse ont eu une belle frayeur lundi soir. Il était aux environs de 23 heures lorsqu'un riverain a aperçu des flammes sortir d'un appartement du dernier étage.
«Il y a eu de la panique. On a couru dans tous les sens, relatait, quelques heures après l'incendie, un habitant de la barre d'immeuble. On pensait que l'immeuble allait flamber. Il fallait aider les personnes âgées et handicapées.»
Arrivés rapidement sur place, les sapeurs-pompiers ont vite maîtrisé le sinistre. L'appartement, heureusement inoccupé, a été entièrement ravagé par les flammes qui ont léché la toiture. «Avec ces murs en carton, ça aurait pu être pire voire dramatique. Beaucoup de personnes sont très choquées», estime une locataire.
Les appartements mitoyens de celui du sinistre ont été largement inondés par les deux lances utilisées par les pompiers pour venir à bout de cet incendie. Les habitants ont dû être relogés.
Les policiers se sont également rendus sur les lieux afin de les sécuriser. Une enquête a été ouverte et confiée au quart judiciaire. La piste criminelle n'était a priori pas privilégiée hier.
«On a l'impression que cet appartement était squatté. Il y avait des allées et venues jour et nuit. On ne sait pas trop ce qui se passait dans cet appartement.»
Hier dans un communiqué, Habitat Toulouse, bailleur, soulignait : «Immédiatement alertée, l'astreinte d'Habitat Toulouse s'est rendue sur place afin de proposer aux familles des solutions d'hébergement (…) Afin de sécuriser le bâtiment, de nombreuses mesures ont été prises. Les équipes d'Habitat Toulouse sont restées sur place toute la journée afin de répondre aux questions des locataires. Des solutions d'hébergement à plus long terme sont proposées aux trois familles dont les appartements ont subi les plus gros dégâts (…).»

http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/30/2187310-appartement-en-feu-a-empalot-on-a-evite-le-drame.html

mardi 29 septembre 2015

Incendie à Vesoul : une femme et son bébé hospitalisés

A minuit et demi, cette nuit, les pompiers ont été appelés pour un incendie au 2 rue Blaise Pascal, dans le quartier du Montmarin, à Vesoul. Des poubelles et des containers à ordures avaient pris feu.
Les flammes se sont propagées sur la façade de cet immeuble haut de 15 étages. Une femme de 45 ans et son bébé, qui se trouvaient au rez-de-chaussée, ont été légèrement incommodés par les fumées. Ils ont été conduits à l'hôpital de Vesoul mais leur état n'inspire pas d'inquiétude particulière.
Plusieurs appartements du rez-de-chaussée et du premier étage ont été endommagés par les fumées. Plusieurs locataires ont dû être relogés.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/haute-saone/incendie-vesoul-une-femme-et-son-bebe-hospitalises-817965.html

Landes: chute d'un autogire à Mouscardès

Un autogire a été obligé, dimanche soir vers 21 heures, de procéder à un atterrissage d'urgence en rase campagne, sur la commune de Mouscardès.
L'engin avait décollé quelques instants auparavant d'un terrain privé et déclaré, sur la commune d'Estibeaux. Le pilote âgé de 48 ans est sorti indemne de son appareil qui a été endommagé en se posant suite à la défaillance de son moteur.
Le rotor et la dérive ont été endommagés par un arbre. La gendarmerie aérienne de Biarritz a enquêté et confirmé la cause accidentelle de ce crash.

http://www.sudouest.fr/2015/09/29/landes-chute-d-un-autogire-a-mouscardes-2138658-3459.php

Accident de tracteur dans un champ

Un grave accident de travail est survenu hier après-midi vers 15 h 00 sur la commune d'Escoussens, lieu-dit Lespinas
Un agriculteur intervenait dans un champ à bord d'un imposant tracteur où était accrochée une non moins imposante remorque. L'équipage circulait sur un terrain à forte déclivité. Au cours d'une manœuvre, la remorque a glissé ; elle a entraîné le tracteur dans sa descente. L'ensemble a fini par se retourner et se coucher sur le côté. Le tracteur s'est arrêtéle nez vers l'avant écrasant la cabine. Le conducteur s'est alors retrouvé coincé par son volant. Prévenus, les secours ont à un moment craint le pire. Heureusement, il n'en fut rien. La malheureuse victime a été désincarcérée au bout de longs efforts. Vers 17 h 30, l'homme a pu être dégagé de son inconfortable position et transporté sur le centre hospitalier du Pays d'Autan. Au moment de son transfert, le diagnostic se montrait rassurant indiquant qu'il n'était que légèrement blessé. Il en sera sans doute quitte pour une grosse frayeur... et de la paperasse à l'intention de son assureur.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/29/2187039-accident-de-tracteur-dans-un-champ.html

lundi 28 septembre 2015

Villeneuve-Saint-Georges : un ado dans le coma après avoir été frappé avec une pelle

L'adolescent a été placé dans un coma artificiel. Un jeune garçon de 17 ans a été sérieusement blessé ce lundi à la sortie de son lycée François-Argo de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) par un groupe de personnes qui l'ont frappé notamment avec une pelle, a-t-on appris de source policière.


 La victime est «très connue des services de police», a précisé cette source, qui évoque un possible «règlement de comptes». Selon des témoins, le jeune garçon portait avec lui une matraque télescopique «laissant supposer qu'il s'attendait à une éventuelle agression».

Dans un état «très préoccupant»

Selon nos informations, il possédait également une serpette. Ses agresseurs, entre trois et sept, l'auraient désarmé avant de le ruer de coups de pieds et de poings, puis de lui faire des entailles avec la serpette. La victime aurait également une coupure de cutter au visage.

Agressé vers midi par ces jeunes gens «extérieurs à son lycée», il a perdu conscience. Son état est jugé «très préoccupant», il a été transporté dans un hôpital proche puis placé en coma artificiel.

Une petite fille de 5 mois atteinte d'une maladie rare a besoin d'aide

Déborah et Stéphane, un couple de Mandolociens, lancent un appel pour financer le traitement de leur fille de cinq mois, atteinte d'une maladie rare.
Lily-Rose a besoin de votre aide. Bientôt hospitalisée à l'Institut Curie de Paris, la petite fille est atteinte d'une maladie rare: la Recklinghausen.
"C'est une neurofibromatose. On peut vivre avec. Le problème, dans le cas de notre bébé, c'est qu'une tumeur s'est logée dans sa vessie", confient ses parents.
Pour financer ce traitement expérimental, le couple de jeunes parents lancent un appel à l'aide.
Vous pouvez les contacter au 06.63.56.95.77. ou via d.agard@hotmail.fr. Vous pouvez également faire un don sur ce site Internet.
http://www.nicematin.com/cannes/une-petite-fille-de-5-mois-atteinte-dune-maladie-rare-a-besoin-daide.2351272.html

dimanche 27 septembre 2015

Infanticide au Puy-en-Velay : le père mis hors de cause

A l'issue de sa garde à vue, le père du nouveau-né retrouvé mort dans un sac plastique dans le garage de la maison familiale mercredi par la gendarmerie du Puy-en-velay a donc été mis hors de cause et laissé libre. Il n'en va pas de même pour la mère, hospitalisée en urgences mercredi, et donc la garde-à-vue n'est que "suspendue" le temps de cette hospitalisation.

Si les résultats de l'autopsie pratiquée à Saint-Etienne montraient que le bébé était né viable et que son corps ne portait pas de traces de coup, la piste criminelle et intrafamiliale restait néammoins privilégiée par le parquet. La cause de la mort serait l'étouffement.

Le couple, originaire de Haute-Loire, vivait depuis un mois dans un quartier du Puy-en-Velay. Un proche évoque un homme et une femme liés depuis leur jeune âge et apparemment sans histoire.

Les parents vivaient avec leurs quatre enfants âgés de 5 à 15 ans. Ils sont scolarisés dans la ville. Ils ont été pris en charge par leur grand-mère en attendant les suites de l'enquête. La mère est soupçonnée de meurtre aggravé.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne/haute-loire/le-puy-en-velay/infanticide-au-puy-en-velay-le-pere-mis-hors-de-cause-816205.html

Pau: Un homme de 82 ans a fait une chute mortelle en visitant une grotte

Un homme de 82 ans qui participait avec quarante autres randonneurs à la visite de la grotte d’Azaleguiko-Karbea à Aussurucq, près de Pau, ce samedi, a eu un terrible accident, relate Sud-Ouest. L’octogénaire a dérapé sur un sentier et a fait une chute qui l’a entraîné quinze mètres plus bas.

Son décès constaté par les secours

Les secouristes du peloton de gendarmerie de Haute montagne d’Oloron-Sainte-Marie et un médecin du Smur de Pau ont rejoint le lieu de l’accident à bord de l’hélicoptère de la Sécurité civile. Ils n’ont pu que constater le décès de l’octogénaire qui s’est brisé la nuque en tombant

vendredi 25 septembre 2015

Paris: deux pompiers blessés dans un incendie

Un incendie a dévasté ce matin des ateliers de maroquinerie dans le centre de Paris et deux pompiers ont été légèrement blessés au cours de l'intervention, selon des informations communiquées par lessapeurs-pompiers de Paris. Les pompiers ont été appelés à 06h30 pour un feu Cour de l'Ours, dans le 11e arrondissement, à quelques centaines de mètres de la place de la Bastille.

«Le feu a pris dans une impasse dans un atelier de maroquinerie entouré de part et d'autre de logements habités. Le but était d'éviter la propagation du feu, une centaine de sapeurs-pompiers ont été déployés pour prendre le feu en tenaille», a déclaré le capitaine Guillaume Fresse, porte-parole des pompiers de Paris. Les pompiers sont parvenus à éviter la propagation de l'incendie aux habitations mais les flammes ont dévoré 600 m2 d'atelier. Deux pompiers ont été légèrement blessés, l'un souffrant d'une entorse et l'autre d'une luxation d'épaule. Le feu a été maîtrisé à 08H30.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/25/97001-20150925FILWWW00084-paris-deux-pompiers-blesses-dans-un-incendie.php

Tribunal : 18 mois ferme pour trafic de drogue

Dix affaires étaient jugées hier devant le tribunal correctionnel à Cahors. La plupart des prévenus ne se sont pas présentés à l'audience. C'était le cas de Luis Albino Da Costa, 27 ans. Il lui était reproché d'avoir importé, cédé, fait usage d'héroïne, de cocaïne, de cannabis d'avril 2010 à avril 2013. Le 4 août 2013, suite à un contrôle de police à Paris, il est pris en flagrant délit de port de drogue. Les policiers en retrouvent dans ses chaussures. Il sera placé en garde à vue pendant 92 heures à Paris. Une perquisition sera ordonné à son domicile à Cahors. Les policiers découvriront plusieurs produits stupéfiants, 1 600 € en liquide, des téléphones portables. Au cours des auditions, il reconnaîtra être allé aux Pays-Bas pour se fournir de la drogue. Il expliquera que c'était pour sa consommation personnelle, le gramme d'héroïne y est vendu à 20 €, c'est bien plus en France. Dans un second temps, il reconnaîtra avoir sept clients à Cahors. Une étude de son compte bancaire révèle des montants qui dépassent ses revenus officiels. Luis Albino Da Costa a fait un peu plus de 3 mois de détention provisoire, placé sous contrôle judiciaire en juillet 2013. «Le contrôle judiciaire, il ne le respecte plus depuis longtemps. Il ne pointe pas au service pénitentiaire d'insertion et de probation», regrette la présidente Béatrice Almendros. «Il a été pris en flagrant délit. C'est un réel toxicomane. Le contrôle judiciaire auquel il était soumis n'a servi à rien. Il n'a pas daigné se présenter au juge d'application des peines. Je requiers deux ans de prison» indique le ministère public. Le tribunal a condamné Luis Albino Da Costa à 18 mois d'emprisonnement.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/25/2184508-tribunal-18-mois-ferme-pour-trafic-de-drogue.html

jeudi 24 septembre 2015

Une octogénaire se retrouve coincée sous son armoire

«Au secours» ! Des riverains de la rue Joseph-Jacquard, dans le quartier des Minimes à Toulouse, ont entendu des appels à l'aide, peu avant 3 heures, dans la nuit de mardi à mercredi. Ils ont composé le 17 et une patrouille de police est rapidement intervenue. Il s'agissait d'une femme de 87 ans dont l'armoire murale était tombée et qui s'était retrouvée coincée. Les policiers sont parvenus à la dégager. Elle a été prise en charge par sa famille
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/24/2183671-une-octogenaire-se-retrouve-coincee-sous-son-armoire.html

mercredi 23 septembre 2015

Choc frontal : un adolescent grièvement blessé

Ce choc frontal a opposé une voiture et une motocyclette. Le conducteur du cyclo a été projeté à une dizaine de mètres de son véhicule.
Le conducteur de la voiture, un médecin, et un autre automobiliste de passage, pompier volontaire à Guebwiller, ont prodigué les premiers soins au cyclomotoriste en attendant l’arrivée d’importants moyens de secours. Ce cyclomotoriste se trouvait en arrêt cardio-ventilatoire. Il a pu être réanimé et évacué par hélicoptère vers l’hôpital Émile Muller de Mulhouse dans un état très grave engageant son pronostic vital.
Le conducteur de la voiture et son épouse qui était passagère, choqués, ont été hospitalisés à Altkirch.
Cet accident a mobilisé une quinzaine de sapeurs-pompiers des corps de Manspach, Dannemarie, Altkirch et Montreux-Château et une équipe du SAMU de Mulhouse. La route RD-103 est restée totalement fermée à la circulation durant plus de deux heures et n’a été rouverte qu’après 9 h 30.
L’enquête de gendarmerie devra déterminer les circonstances exactes de ce drame qui restent floues à l’heure actuelle.
L’accident pourrait être lié à une manœuvre de dépassement.
Présent sur les lieux du drame, le maire de Romagny, Denis Lewek, a dénoncé la dangerosité de cette portion de la RD-103, un axe qui relie le Territoire de Belfort au Haut-Rhin. Cette route est très fréquentée le matin, notamment par des salariés qui se rendent à leur travail à Mulhouse ou en Suisse. Selon l’élu, « les vitesses y sont souvent très excessives, atteignant les 120 voire 130 km/h sur une portion limitée à 90 km/h où la visibilité n’est pas très bonne ».
http://www.dna.fr/faits-divers/2015/09/23/choc-frontal-un-adolescent-grievement-blesse

mardi 22 septembre 2015

Le monde du spectacle dit au revoir à Guy Béart

Le chanteur Guy Béart, mort mercredi à l'âge de 85 ans, a été inhumé hier matin au cimetière de Garches, en présence de dizaines de personnalités du monde du spectacle.
La cérémonie, réservée aux proches, a débuté à 11h dans le carré israélite du cimetière, situé à quelques centaines de mètres de la maison où vivait le chanteur, sur les hauteurs de cette commune de l'ouest parisien.
La fille de l'artiste, Emmanuelle Béart, accompagnait le cercueil dans le corbillard qui emmenait Guy Béart au cimetière.
Les chanteurs Hugues Aufray, Alain Souchon, Laurent Voulzy, Patrick Bruel, Dave étaient notamment présents, ainsi que l'humoriste Laurent Gerra, l'écrivain et scénariste Jean-Claude Carrière, Igor et Grichka Bogdanov, le journaliste Ivan Levaï ou le comédien Daniel Auteuil, compagnon d'Emmanuelle Béart dans les années 90.
«Je suis triste, j'ai toujours écouté ses chansons», a réagi Alain Souchon à la sortie du cimetière, alors que Jean-Claude Carrière a souligné «une belle mort, après une belle vie».
«C'était une cérémonie très simple, très sympathique : Nilda Fernandez a chanté L'eau vive, je ne veux pas que ce soit une journée triste», a ajouté l'écrivain.
A la sortie du cimetière, Daniel Auteuil s'est dit «fier de l'avoir connu et aimé».
Les dizaines de badauds ont pu accéder au cimetière après la cérémonie, vers 14 heures.
 

lundi 21 septembre 2015

Une maison détruite par les flammes

Une vingtaine de pompiers étaient sur le pont hier matin pour tenter d'éteindre un impressionnant incendie de maison. A 8 h 19, ils ont reçu l'appel, la maison, une vieille bâtisse, située route de Molières à Montauban était en flamme. Les pompiers ont maîtrisé l'incendie moins d'une heure après l'appel. Les trois occupants étaient sur place au moment des faits, heureusement, ils sont sortis à temps, ils vont être relogés dans de la famille. 80 % de la bâtisse ont été détruits.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/21/2181346-une-maison-detruite-par-les-flammes.html

samedi 19 septembre 2015

Le corps d’un homme retrouvé au Havre

Vers 5h30 ce samedi 19 septembre le corps d’un homme a été découvert par un habitant du Havre. Cette personne a prévenu la police qui s’est rendue dans le quartier Sanvic au Havre (Seine-Maritime) au niveau du croisement de la rue Irène Joliot Curie et Ferdinand de Lesseps. Les secours n’ont pas réussi à réanimer l’individu. Le décès est constaté par un médecin du Samu.
Selon les premiers éléments de l’enquête la piste criminelle est privilégiée. Pour l’instant l’homme n’a pas été identifié. Une enquête est ouverte et une autopsie est prévue dans les prochains jours.

Un homme en garde à vue

Un homme suspecté du meurtre a été interpellé et placé en garde à vue ce samedi 19 septembre.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/le-havre/le-corps-d-un-homme-retrouve-au-havre-810727.html

jeudi 17 septembre 2015

Rouen : il descend de voiture et se jette dans la Seine

Emporté vers l'île Lacroix

L'homme habite Hautot-sur-Seine, une commune située entre Canteleu et Sahurs, sur la rive droite du fleuve, en face de Grand-Couronne. Ce mercredi (16 septembre) il est à Rouen, à une dizaine de kilomètres de chez lui.
En fin d'après midi il téléphone à un de ses voisins (et ami) : "Peux-tu venir me chercher et me ramener à Hautot ?"
La voiture arrive et l'homme monte à l'avant. "Peux-tu passer par le pont Jeanne d'Arc ?" Le conducteur s'exécute et les voilà sur le pont, le long des rails du tramway.

"Tiens, je connais cette dame qui marche sur le trottoir, peux-tu t'arrêter ? " Et encore une fois, le conducteur répond positivement au souhait de son ami. La voiture stoppe, la portière s'ouvre, l'homme descend, se dirige vers le trottoir, le traverse, enjambe la rambarde et, sans un mot ni un cri, saute dans les eaux du fleuve !
La scène n'a duré que quelques secondes.  Le conducteur de la voiture est interloqué. Après la surprise, il appelle aussitôt les secours.

La police arrive très vite sur les quais, rejoints par les Sapeurs-Pompiers qui mettent à l'eau un bateau. Il faut faire vite : il y a des rafales de vent, des vagues et un fort courant de marée haute qui emporte l'homme en amont du pont Jeanne d'Arc, en direction de l'île Lacroix.
Ce qui inquiète surtout les secouristes, c'est que le corps de l'homme est maintenant tourné sur le ventre et que son visage est dans l'eau…
Inanimé, il est finalement sorti de l'eau, "non sans mal" et pris en charge immédiatement par une équipe du SAMU, puis conduit (en vie) au CHU de Rouen.
La victime est âgée de 77 ans.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/rouen/rouen-il-descend-de-voiture-et-se-jette-dans-la-seine-809351.html

Étranglé et tabassé à un feu pour son scooter

Un homme qui conduisait son scooter, dans la nuit de mardi à mercredi, dans les rues du centre-ville de Toulouse, a été sauvagement agressé. Il était aux environs de 1 h 30 lorsqu'il s'est retrouvé bloqué, arrêté à un feu rouge, à l'angle du boulevard de Strasbourg et de la rue Roquelaine.
Soudain, deux individus s'en sont pris à lui. Ils lui ont ordonné de lâcher son scooter ce qu'il n'a pas voulu faire. C'est alors que ses agresseurs se sont jetés sur lui sans ménagement. L'un d'entre eux s'est mis à l'étrangler tout en le projetant au sol.
Une fois la victime à terre, les deux hommes n'en sont pas restés là. Le conducteur du scooter a reçu plusieurs coups de pied et de poing sur différentes parties du corps et notamment au visage, dans le dos et sur la nuque.
Par chance, à cette heure-ci, des passants se trouvaient dans la rue. Ils ont donné l'alerte à la police et se sont interposés. Les deux violents ont alors pris la fuite. «Sans leur intervention, ça aurait pu être beaucoup plus grave», observait, hier, un policier.
À l'arrivée des fonctionnaires, la victime, un homme de 40 ans, a été entendue et prise en charge dans la voiture de patrouille. À quelques encablures de là, rue Raymond IV, il a formellement reconnu ses agresseurs. Les hommes de la toute nouvelle BST Centre les ont interpellés à 1 h 40. Les deux garçons, âgés de 33 ans et 37 ans étaient complètement ivres. Ils ont été conduits au commissariat central où ils devaient être placés en garde à vue.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/17/2178916-etrangle-et-tabasse-a-un-feu-pour-son-scooter.html

mardi 15 septembre 2015

Landes : Labeyrie devant la justice pour ses blocs de foie gras

Après Euralis et Delpeyrat, Labeyrie va devoir rendre des comptes à la justice sur la composition de ses blocs de foie gras, notamment sur la période de janvier à juillet 2013.
 
Tout comme ses concurrentes par le passé qui ont toutes été condamnées en appel et même déboutées par la cour de cassation, la firme est poursuivie pour avoir intégré dans ses blocs de foie gras, des parures de déveinage.  En clair, les morceaux du foie gras qui restent attachés à la veine après parage et qui sont séparés après passage dans une machine.
Cette pratique a été relevée suite à l'inspection du site de Saint-Geours-de-Maremne en juillet 2013 par une équipe de la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations. Or en dépit d'un accord interprofessionnel datant de 2010, la loi interdit ce type de pratique. Selon le décret n°93-999 du 9 août 1993, les parures ne doivent pas être intégrées dans les blocs de foie gras mais utilisées pour les farcces, mousses, parfaits, galantines etc.
Sur le même sujet : Le soupçon sur Labeyrie
Les dirigeants de Labeyrie ainsi que la société encourent des peines assez sévères, d'autant que depuis les affaires Euralis et Delpeyrat, ils ne pouvaient ignorer qu'ils étaient en infraction. Mais lundi, les avocats de la société ont laissé entendre que le dossier était vide et qu'ils allaient obtenir l'annulation de cette procédure qui constitue une contre publicité pour la marque. L'affaire sera examinée le 11 janvier prochain par le tribunal correctionnel de Dax.

http://www.sudouest.fr/2015/09/15/saint-geours-de-maremne-40-labeyrie-devant-la-justice-pour-ses-blocs-de-foie-gras-2124684-3517.php

Un ouvrier grièvement blessé à la tête sur le chantier du Polygone Riviera à Cagnes-sur-Mer

A un peu plus d’un mois de son ouverture, le Polygone Riviera de Cagnes-sur-Mer a été le théâtre d’un grave accident de chantier ce lundi après-midi.
Aux environs de 15h30, un ouvrier casqué a chuté à plat dos d’un petit échafaudage, semble-t-il muni d’un garde-corps. Œuvrant à «seulement» 1,50 m de hauteur, l’homme a basculé avant que sa tête n’heurte le sol.
Il a été évacué par les pompiers dans un état grave et, en fin de journée, son pronostic vital était toujours engagé.
Cet accident est le troisième recensé sur le site du futur centre commercial. Le 2 avril, un homme de 56 ans avait été grièvement brûlé aux membres inférieurs alors qu’il travaillait à l’étanchéité d’un toit.
Le 12 mars, un homme de 47 ans avait, lui, trouvé la mort après une chute de sept mètres lors d’une opération de nettoyage.

http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/un-ouvrier-grievement-blesse-a-la-tete-sur-le-chantier-du-polygone-riviera-a-cagnes-s.2338450.html

Un mariage les envoie à la barre du tribunal

Le 26 avril 2014, un mariage n'allait pas tarder à défrayer la chronique. Les nombreux incidents ayant émaillé le cortège depuis l'hôtel de ville de Castres jusqu'à la salle de la papeterie des Salvages de Burlats où devait se tenir la réception avaient ainsi mobilisé 25 gendarmes pour ramener le calme puis plusieurs enquêteurs du commissariat de Castres pour faire la lumière sur les responsabilités de chacun dans ces incivilités ayant parfois mis les autres usagers de la route en danger. Parmi les débordements, plusieurs entraves à la circulation avaient été relevées. Un quad et deux automobiles avaient en effet condamné des intersections afin de permettre au convoi nuptial de franchir des feux rouges et de ne pas être fractionné par l'intrusion de véhicules étrangers. Des comportements qui s'étaient accompagnés, selon des témoins, d'une agressivité importante. Insultes et menaces avaient ainsi fusé à l'encontre des passants et automobilistes manifestant leur impatience. Une piétonne munie d'une poussette avait même failli être renversée. Trois individus identifiés grâce au système de vidéosurveillance de la ville viennent de comparaître devant le tribunal correctionnel de Castres. Leur avocat Me Bertrand Tomasini a toutefois tenu à préciser qu'il ne s'agissait pas de «ceux qui ont insulté ou menacé» mais «simplement» de trois hommes d'une vingtaine d'années «ayant positionné leur véhicule à certains endroits pour aider le cortège à avancer plus rapidement». Exprimant des regrets à la barre, deux d'entre eux – condamnés à 300 € d'amende - ont expliqué avoir été pris dans la folie du mariage. «Je l'ai fait par mesure de sécurité pour les autres passants afin qu'ils ne soient pas perdus dans le cortège» a même justifié le plus jeune. Le dernier prévenu était absent et a écopé d'une peine de deux mois de prison avec sursis. La procureure a quant à elle rappelé quelques règles de savoir-vivre. «Les festivités privées ne donnent pas le droit de gêner la vie des autres. Que se serait-il passé si la police ou les pompiers avaient dû secourir quelqu'un à ce moment ? Personne ne peut décider que la voie publique lui appartient». A bon entendeur…

http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/15/2177289-un-mariage-les-envoie-a-la-barre-du-tribunal.html

lundi 14 septembre 2015

Gironde : le corps sans vie du kayakiste disparu a été retrouvé

Le jeune kayakiste porté disparu depuis dimanche soir à Monségur, en Gironde, a été retrouvé mort ce lundi matin dans la rivière du Dropt. 
La macabre découverte a été faite peu avant 11 heures par les plongeurs de la brigade nautique de gendarmerie d'Arcachon. Les recherches démarrées dès dimanche soir venaient de reprendre.
Une enquête a été ouverte et confiée aux gendarmes de la communauté de brigades de Monségur pour déterminer les causes de la mort. Une autopsie a été ordonnée par le parquet. A ce stade, la thèse accidentelle est privilégiée.  
La victime, un jeune homme de 28 ans de nationalité française et non anglaise, comme indiqué dans un premier temps, était un kayakiste confirmé. En visite dans sa famille installée depuis peu à Monségur, le jeune homme est parti faire du kayak sur le Dropt, dimanche, en fin de matinée. 
L'alerte a été donnée vers 18 h 30, sa famille s'inquiétant de ne pas le voir rentrer tandis que des promeneurs avaient aperçu, quelques heures plus tôt, l'embarcation vide et retournée sur la rivière. D'importants moyens de secours ont été déployés dès dimanche soir, mobilisant des plongeurs et des équipes cynophiles des sapeurs pompiers ainsi que des gendarmes. Les recherches s'étaient poursuivis jusqu'à 23 heures mais n'avaient rien donné
http://www.sudouest.fr/2015/09/14/gironde-le-corps-du-kayakiste-disparu-a-ete-retrouve-2123638-3251.php

Dans le secteur du tribunal, des trafics qui dérangent

Le dédale des petites rues des quartiers du centre-ville est depuis le printemps le théâtre de trafics, d'actes de délinquance et d'incivilités. Une situation qui inquiète les habitants comme les touristes de passage…
Ce sont les mêmes ruelles étroites, faites de vieilles pierres, riches en porches ombrageux, qui de jour font le charme de la cité épiscopale et le régal des touristes. Cependant, la nuit, dans le secteur du tribunal, ces porches, ces places calmes et tranquilles, ces petites rues rustiques abritent des activités beaucoup moins charmantes. Délinquance, incivilités, trafic de drogue… Par ici l'été n'a pas été chaud que du point de vue du thermomètre. Ainsi, des touristes louant un logement non loin du tribunal, ont été témoins de cette vie nocturne peu reluisante. Fin août, l'un d'entre eux a même assisté à une rixe au couteau, commencée à minuit et achevée sur le coup de 7 heures du matin. Au grand dam des riverains, particulièrement inquiets pour les plus jeunes. «Notre quartier a toujours été populaire et a mauvaise réputation auprès des Albigeois», explique un résident du principal lieu de tensions. «Mais depuis 2006, c'est un quartier calme. Et puis au printemps des dealers se sont installés… Notre quartier se situe au centre-ville, à proximité des écoles. On voit des ados venir se fournir ; tout ce trafic se fait sous le nez des enfants… Alors entre ceux qui passent à 60 km/h avec leurs voitures à l'heure où les enfants sortent dans la rue et ceux qui leur refilent des sachets de shit, on n'est pas du tout sereins !»

Pétition

En effet, dans l'un des quartiers concernés, des adolescents vendaient de la drogue sous les yeux d'autres enfants, cherchant même à les recruter au profit de leur petit trafic. Choqué, le voisinage tout entier a adressé une pétition au procureur de la République et à la mairie. Municipalité qui a pris le signalement très au sérieux, Stéphanie Guiraud-Chaumeil, le maire, ayant tout de suite adressé un courrier à l'ensemble des habitants pour les informer des mesures prises. Avec certes quelques effets : les rondes et interventions de police, plus fréquentes, semblent tenir à l'écart cette faune violente depuis la rentrée.
Mais si dans le principal lieu de rixe, on se réjouit du calme peu à peu retrouvé, personne n'est dupe : le problème n'est pas résolu. Les délinquants n'ont probablement fait que se déplacer. Ainsi, un restaurateur, proche des lieux de troubles mais plutôt préservé, déplore-t-il toujours des bruits fréquents et un sentiment d'insécurité permanent. «La BAC est là tous les soirs, mais malgré tout, quand on passe sur la place, on se fait facilement insulter et il ne fait pas bon être une fille…»
Les personnes interrogées ont souhaité garder l'anonymat
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/14/2176339-dans-le-secteur-du-tribunal-des-trafics-qui-derangent.html

dimanche 13 septembre 2015

Un immeuble détruit par un incendie à Châtellerault

L'incendie s'est déclenché au 46 avenue Victor Hugo à Châtellerault vers 22 heures ce samedi.
Un immeuble inoccupé de 500 m2 a entièrement été détruit malgré l'intervention d'une trentaine de pompiers.
Aucune victime n'est à déplorer. La piste criminelle est privilégiée par les enquêteurs.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/vienne/chatellerault/un-immeuble-detruit-par-un-incendie-chatellerault-805871.html

Intempéries : l'Hérault et le Gard touchés par de fortes inondations, les images

Les intempéries qui ont frappé le sud du pays samedi ont fait déborder des cours d'eau dans le secteur de Lodève, toujours inondée ce matin. L'Hérault est notamment placé en vigilance orange "crues" par Météo France. La nuit de samedi à dimanche a été très difficile dans le Sud-Est, notamment dans l'Hérault et le Gard. Samedi après-midi, Lodève a ainsi reçu 336 mm de pluie en quelques heures, un cumul jugé "remarquable" par Météo France puisqu'il représente deux à trois mois de précipitations. Résultat : les cours d'eau ont débordé et ont inondé la localité, notamment le centre-ville. Les sapeurs-pompiers ont mené une centaine d'interventions et ont dû procéder à plus de quarante mises en sécurité de personnes prises au piège des eaux. A Ganges, les secours sont aussi intervenus près de 65 fois pour mettre en sécurité les habitants. La situation reste très critique dans le secteur ce dimanche. 2.000 foyers sont notamment privés d'électricité. Météo France a d'ailleurs placé l'ensemble de l'Hérault en vigilance "crues". Le département voisin du Gard est aussi touché, mais moins fortement. Naufragés de la route L'A75, qui longe Lodève, a aussi été coupée en raison de chutes de roches qui ont créé des trous sur la chaussée. Environ 200 automobilistes, bloqués par ces chutes, ont été pris en charge par la mairie de Lodève, évacués par la gendarmerie et dirigés vers un hébergement mis à disposition par la commune.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/intemperies-l-herault-touche-par-de-fortes-inondations-8656514.html

samedi 12 septembre 2015

Homme percuté par un TGV. Le trafic SNCF interrompu 1h30

A 16h55 ce samedi, un homme d'une trentaine d'année a été percuté par un TGV Quimper - Paris au niveau d'un passage à niveau à Bruz près de Rennes. Le trafic a été interrompu 1h30
L'accident s'est produit à un passage à niveau à hauteur du moulin de Boël à Bruz. Le piéton, percuté par le train est très grièvement blessé. Il a été pris en charge par le SAMU.

Le TGV avec plus de 450 personnes à bord, était parti de Quimper et devait arriver à Paris à 19h. Le trafic a été interrompu près d'1h30, le temps de permettre aux secours d'intervenir et aux gendarmes de réaliser les premières constatations pour l'enquête.

Un TGV a été détourné par Nantes et 2 autres ont du patienter. Les passagers de deux TGV ont été pris en charge par des cars et des taxis. La circulation des trains a repris à 18h17.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/homme-percute-par-un-tgv-le-trafic-sncf-interrompu-1h30-805803.html

Des kits de faux papiers payés 1 500 € pour tenter d'obtenir un vrai passeport

Quatre personnes ont été écrouées après le démantèlement, par la police aux frontières de Haute-Garonne, d'un vaste réseau national de faussaires aidant à l'obtention de vrais passeports.
C'est un business frauduleux à l'échelle nationale que vient de mettre au jour la brigade mobile de recherche de la police aux frontières (PAF) de Haute-Garonne. Quatre personnes d'une trentaine d'années ont été interpellées et écrouées après le démantèlement d'un réseau national de faussaires. Ces individus ont été mis en examen par un juge de la juridiction interrégionale spécialisée de Bordeaux (Jirs) pour «aide à séjour irrégulier en bande organisée, d'association de malfaiteurs, de faux et usage de faux et d'obtention indue de documents administratifs».

400 000 € de gains

Courant 2013, des ressortissants d'Afrique de l'Ouest se présentent massivement dans plusieurs mairies de l'agglomération toulousaine et dans les départements de l'Ariège, du Tarn et du Lot. Munis de documents administratifs type permis de conduire, justificatif de domicile, ces ressortissants déposent des demandes d'obtention de passeport ou de carte d'identité. Sauf que les documents présentés sont des faux. Face à cette recrudescence, les services de la police aux frontières, spécialisés dans l'immigration clandestine, prennent l'affaire en main. Avec leurs collègues de l'office central pour la répression de l'immigration irrégulière et de l'emploi d'étrangers sans titre (OCRIEST), les enquêteurs remontent peu à peu toute la filière. Un réseau national originaire d'Afrique de l'Ouest qui propose pour 1 500 € un kit de faux documents à destination des ressortissants africains. Le kit comprenant des faux documents administratifs arrive par avion. Il est ensuite remis aux étrangers en quête de vrais papiers, par l'intermédiaire de rabatteurs rémunérés. Les ressortissants peuvent effectuer trois tentatives auprès de différentes mairies pour se faire délivrer un passeport. Si le précieux sésame est obtenu, le détenteur s'acquitte à nouveau de 1 500 € auprès de sa filière. Le choix des mairies et l'élaboration des documents présents dans le kit sont préalablement étudiés pour ne pas éveiller les soupçons. Mais la lutte contre ce genre de business est l'une des priorités des enquêteurs de la brigade mobile de recherche de la PAF. Durant deux ans, ils ont méticuleusement traqué les faussaires et leur réseau de rabatteurs. Un travail qui a débouché sur un spectaculaire coup de filet, lundi 7 septembre, en région parisienne, et qui s'est soldé par l'interpellation de 12 personnes. Quatre d'entre elles ont été écrouées. Dans cette affaire, 220 demandes frauduleuses ont été effectuées en France. Quarante dossiers ont abouti à la délivrance indue du titre sollicité mais certains ont été interceptés après coup. D'autres dossiers font d'ores et déjà l'objet d'une procédure d'invalidité. Les organisateurs de ce réseau auraient perçu jusqu'à 400 000 € de gains. Des bénéfices aussitôt réinvestis en Afrique de l'Ouest via des sociétés immobilières.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/12/2175792-kits-faux-papiers-payes-1-500-e-tenter-obtenir-vrai.html

vendredi 11 septembre 2015

Bordeaux : grave accident sur la rocade

Ce sont au total 3 véhicules légers et un poids lourd qui se sont retrouvés impliqués dans cet accident. Cela a concerné sept personnes dont seul un couple de personnes âgés a dû être évacué au plus vite. Les services de secours qui sont intervenus rapidement ont dû désincarcérer au préalable les victimes. De forts ralentissements sur la rocade extérieure au niveau de la sortie Cenon-Artigues se sont produit
http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/gironde/bordeaux/bordeaux-grave-accident-sur-la-rocade-804997.html

Charente-Maritime : séquestré et passé à tabac dans l'île de Ré

Jeudi après-midi, trois Rétais, mineurs, ont été déférés au parquet de La Rochelle à la suite de leur garde à vue. Ils avaient été interpellés mardi par les gendarmes de l'île de Ré, soupçonnés d'avoir participé la veille à la séquestration et au passage à tabac d'un autre Rétais de 19 ans. Ce jeune homme avait fait l'objet d'un guet-apens, via un message SMS censé provenir d'un ami.
Sur le bord d'une route de la commune de Sainte-Marie-de-Ré, il avait été embarqué lundi par quatre personnes, visages encagoulés et mains recouvertes de gants, renforcées de motos et armées de clubs de golf. À pied, ces personnes se sont rendues dans le bois des Grenettes. Là, elles ont frappé et attaché le jeune homme à un arbre et l'ont abandonné.

Pour du cannabis ?

Après une nuit passée ainsi, le blessé a, vers 7 heures, appelé au secours en entendant des pas. Un homme, puis un autre l'ont secouru. Pris en charge par les pompiers - une interruption de travail de dix jours lui été délivrée par un médecin -, le jeune homme a été entendu par la gendarmerie.
Mardi, les gendarmes procédaient à trois interpellations dans l'île. Suivaient autant de gardes à vue. Le quatrième auteur présumé de l'agression est recherché. Une dette de 200 euros pour du cannabis serait à l'origine de l'affaire.
http://www.sudouest.fr/2015/09/11/sequestre-et-battu-2120475-1391.php

L'incendiaire se brûle et est finalement arrêté pour vol

Les faits remontent à un mois pile.
Au cours de la nuit du 11 au 12 août, plusieurs individus sont entrés, sans commettre d'effraction, dans un garage situé sur la commune d'Alzonne. Une fois à l'intérieur, ils ont dérobé un véhicule qui était fermé à clef ainsi que deux gros bidons de carburant…
Quelques heures plus tard, toujours à Alzonne, la voiture volée est retrouvée embrasée. Il est 6 heures du matin et les gendarmes se rendent sur les lieux de l'incendie.
Dans le même temps, le centre opérationnel reçoit un appel d'un habitant du village signalant que des individus tentent de casser la porte d'entrée de la maison d'un voisin.
Et forcément, les gendarmes se transportent sur les lieux. Ils constatent que l'occupant du logement est bel et bien présent et que des copains qui s'acharnent sur la porte en raison du fait que le locataire a égaré ses clés. D'autre part, les militaires se rendent compte que ce garçon, âgé de 22 ans, est très grièvement brûlé et que son état nécessite une hospitalisation. Le lien est immédiatement fait avec l'incendie en cours du véhicule. Les hommes en bleu n'étaient pas au bout de leurs surprises. Tandis qu'ils portaient secours à la victime à l'intérieur de son domicile, en attendant les pompiers, ils ont découvert une petite centaine d'objets, notamment des bijoux et des pièces de monnaie, de provenance manifestement frauduleuse.
L'occupant de la maison a été évacué et hospitalisé au service des grands brûlés de l'hôpital de Montpellier. Une enquête a été ouverte et a révélé que les objets découverts provenaient d'un cambriolage commis quelques jours plus tôt au domicile d'une personne âgée, actuellement résidente d'une maison de retraite.
L'affaire a connu son dénouement hier, les enquêteurs ayant attendu la guérison du principal mis en cause. Un mineur et deux majeurs, l'un d'Alzonne et âgé de 22 ans, l'autre de Carcassonne et âgé de 32 ans, ont été présentés au parquet. Le mineur est convoqué devant le juge des enfants le 6 octobre. Les deux majeurs devraient comparaître dès aujourd'hui dans le cadre d'une procédure rapide et ce, s'ils acceptent d'être jugés en comparution immédiate

http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/11/2174651-l-incendiaire-se-brule-et-tombe-pour-vol.html

jeudi 10 septembre 2015

Des lycéens sans lycée une semaine après la rentrée

Une semaine après la rentrée, quelques centaines de lycéens n'ont toujours pas pu intégrer de lycée et restent dans l'attente d'une affectation.
Les vacances sont finies, retour à l'école... sauf pour une poignée d'élèves qui, une semaine après la rentrée, n'ont toujours pas d'affectation. Comme le relève l'Express cette semaine, dans plusieurs départements, dont les Hauts-de-Seine et l'Ain, quelques centaines de lycéens n'ont pu reprendre le chemin des cours.

Il y a quelques mois, Augustin, qui était en troisième l'an passé, pensait passer un été tranquille et intégrer le lycée qui se trouve près de chez lui. Mais en juin dernier, il découvre que sa demande d'affectation est refusée. "Nous avons demandé le lycée du bout de la rue, qui n'est pas particulièrement côté, en seconde générale avec une option théâtre", raconte à l'hebdomadaire Dominique, la mère de l'adolescent. Avec plusieurs parents dans la même situation, elle va batailler tout l'été avec l'Inspection académique pour tenter de trouver une place pour son fils.
Mais fin août, Augustin est toujours sans lycée. Dans un mail que l'Express a consulté, l'inspection académique explique : "nous déclinons toute responsabilité quant à la non-affectation de votre fils étant donné qu'un voeu a été formulé de votre part pour une formation contingentée qui n'est (pas) sectorisée". On suggère alors à Dominique de faire redoubler son fils. Hors de question, répond-t-elle !
Finalement, mardi, la mère d'Augustin a reçu un coup du fil du lycée demandé par son fils pour lui dire qu'une place avait été trouvée. Mais selon la Direction académique des services de l'éducation nationale, encore 200 lycéens dans les Hauts-de-Seine, dont 80 en seconde, sont sans affectation à ce jour.

mercredi 9 septembre 2015

Grenoble : un homme grièvement brûlé après avoir été aspergé d'alcool

Il était un peu plus de 20 heures dans cet appartement du 35 rue Jean Macé. Les pompiers ont été appelés pour secourir un homme d'une quarantaine d'années. Brûlé au deuxième degré au visage, au torse et aux jambes. C'est un autre homme, du même âge que lui, qui lors d'une dispute l'a aspergé d'alcool à brûler et lui a mis le feu.

La victime, a été transférée par le SMUR au service des grands brûlés de l'hôpital de Lyon. Son pronostic vital est engagé. L'homme, un SDF "défavorablement connu des services de police" était hébergé ponctuellement par son agresseur. Celui-ci, légèrement brûlé à la jambe a été conduit au CHU de La Tronche, sous escorte policière.  Lors de sa première audition, Il a reconnu les faits mais expliqué " qu'il avait agi pour se défendre".

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/grenoble/grenoble-un-homme-grievement-brule-apres-avoir-ete-asperge-d-alcool-802853.html

Béziers : brûlé au 3e degré lors d’un incendie dans une entreprise

Un salarié d'une entreprise spécialisée dans le transport ferroviaire et située non loin de la Cameron à Béziers a été très grièvement brûlé sur la quasi-totalité du corps, ce mardi vers 13 h.
L'accident a eu lieu mardi en début d'après-midi. Un salarié de l'entreprise Freeman industrie, spécialisée dans le transport ferroviaire et située non loin de la Cameron à Béziers, a été très grièvement brûlé sur la quasi-totalité du corps ce mardi vers 13 h.
Un wagon prend feu
Quand les pompiers de Béziers sont arrivés sur place, ils ont découvert le corps de la victime à côté d'un wagon qui avait pris feu. La victime a été immédiatement secourue et l'incendie rapidement maîtrisée. L'hélicoptère du Samu 34 a été requis pour évacuer le blessé vers un centre des grands brûlés. Pour l'heure, les circonstances et les causes de cet accident sont inconnues.
Selon nos informations, la victime serait brûlée au troisième degré et ses jours menacés.
http://www.midilibre.fr/2015/09/08/brule-au-3e-degre-lors-d-un-incendie,1210300.php

mardi 8 septembre 2015

Saint-Omer : le cadavre d’un homme mort depuis un mois découvert à son domicile

Macabre découverte dans un appartement du quai des Salines, à Saint-Omer, lundi 7 septembre soir. Le corps d’un homme en état avancé de décomposition a été retrouvé par les sapeurs-pompiers et la police. Ce sont les voisins, incommodés par l’odeur nauséabonde, qui ont lancé l’alerte

Incommodés par une odeur nauséabonde et la prolifération d’insectes, les habitants du bloc situé au numéro 2 du quai des Salines, géré par Logis 62, ont fini par appeler les secours lundi soir. Sur place, les sapeurs-pompiers audomarois ont profité d’une fenêtre restée ouverte, au deuxième étage, pour entrer dans l’appartement pointé comme étant à l’origine du désagrément.
Une fois à l’intérieur, les secouristes ont alors fait la macabre découverte : le corps d’un homme dans un état de décomposition avancée gisait allongé sur le canapé.
Les constatations médicales, effectuées dans le cadre de l’enquête de police ouverte dans la foulée, ont permis d’établir que le décès remontait à environ un mois. Le dernier courrier retrouvé ouvert au domicile datait d’ailleurs du 3 août, selon un enquêteur.

Vers une mort naturelle

Aucune trace d’effraction n’a été décelée dans le domicile, ni aucune trace de bagarre ou d’intervention d’une tierce personne.
L’enquête s’oriente vers une mort naturelle, « rien de suspect n’a en tout cas été relevé à l’heure actuelle », a commenté le procureur de la République de Saint-Omer, Sébastien Piève, mardi soir.

En arrêt maladie

La victime, Michel Caron, 54ans, travaillait en contrat aidé au service ville propre de Saint-Omer. Il était en arrêt maladie, ce qui explique le fait que son absence n’a pas été repérée tout de suite.
« C’était quelqu’un de calme et de très discret », se souvient le premier adjoint, Frédéric Sablon, sur place lundi soir. Personne ne s’est inquiété outre mesure de ne pas le croiser pendant un mois. Michel Caron avait bien pourtant de la famille, mais avec laquelle les liens semblaient distendus. « Je l’avais croisé une ou deux fois, sans plus », déclarait mardi un habitant de l’immeuble.
http://www.lavoixdunord.fr/region/saint-omer-le-cadavre-d-un-homme-mort-depuis-un-mois-ia37b0n3032926

Enfant ébouillanté à Valenciennes : la mère a menti, ce serait un accident

La garde à vue d'un homme de 26 ans entendu samedi pour "suspicion d'actes de torture et de barbarie" sur son beau-fils de 4 ans a été levée, suite à l'audition de la mère du garçon. Ce lundi matin, les services de police avaient déclaré que l'homme s'était présenté au commissariat "après avoir puni l'enfant en lui plongeant un bras dans une marmite d'eau bouillante", hors il semblerait que les choses ne se soient pas tout fait produites de cette manière.
Thèse accidentelle privilégiée

Selon le procureur de Valenciennes, qui a tenu à communiquer face à l'émotion suscitée par ce fait divers, la mère de la jeune victime "déclarait que son concubin lui avait rapporté que l'enfant avait renversé une casserole d'eau bouillante sur une plaque chauffante en voulant mettre un verre dans l'évier. Elle affirmait avoir menti aux sapeurs pompiers pour se "venger" de son concubin.Lors de son audition, la mère de l'enfant expliquait qu'elle n'était pas présente au domicile lors des faits". Elle aurait donc justifié un probable mensonge dans un contexte conjugal difficile. 
Par ailleurs, le parquet précise que les premières constatations médico-légales effectuées sur la main de l'enfant (et non le bras) démontraient "que seul le dessus de la main avait été brûlé; or, si la main de l'enfant avait été plongée dans l'eau bouillante, la paume aurait également porté trace de brûlure. Cet examen établit que la mère a effectivement menti aux pompiers et aux policiers".

Enfin, François Pérain indique que "l'enquête est toujours en cours pour connaître les circonstances exactes selon lesquelles les faits sont survenus. Au terme de cette enquête, si  la thèse accidentelle était confirmée, nous envisageons de poursuivre la mère de l'enfant pour dénonciation d'infraction imaginaire".

 L'enfant est brûlé au second degré sur le dessus de la main. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/enfant-ebouillante-valenciennes-la-mere-menti-ce-serait-un-accident-801707.html

Un adolescent de 16 ans sauve une septuagénaire de la noyade

Quentin a sorti de l'eau une femme de 77 ans retrouvée dimanche inanimée dans une rivière de Saint-Astier en Dordogne, rapporte le quotidien Sud-Ouest.
C'est un acte de bravoure. Dimanche, Quentin, 16 ans, s'est jeté à l'eau pour secourir une septuagénaire retrouvée inanimée à la surface de L'Isle, une rivière qui passe par Saint-Astier en Dordogne.

L'adolescent jouait au rugby avec un groupe de jeunes quand un homme les a interpellés. "Il nous a dit qu'il n'arriverait pas à la porter seul", a expliqué Quentin au journal Sud-Ouest.
Le lycéen et deux de ses camarades ont alors accouru avec l'homme vers le corps flottant de la dame de 77 ans. "Je n'ai pas vraiment réfléchi. Dès que je l'ai vue, j'y suis allé, a raconté Quentin. Le monsieur est venu m'aider à la redresser. J'essayais d'être délicat, de ne pas faire un mauvais geste qui l'aurait mise davantage en difficulté".
Les bons réflexes
La victime, extraite hors de l'eau a été allongée au bord et a pu finalement reprendre ses esprits avant l'arrivée des secours. Le jeune homme, scolarisé à Périgueux, a eu les bons réflexes: "Je lui demandais son nom, où elle habitait, pour qu'elle reste consciente", a expliqué l'adolescent qui veut devenir mécanicien. En état d'hypothermie, la femme a été conduite au centre hospitalier de Périgueux par les pompiers.
Fier de son acte et de sang froid ? Le jeune homme tient à rester modeste. "C'est normal, répond-t-il. C'est un geste à faire dès qu'on voit ça".

A64 : sortie de route pour le covoiturage

Ils venaient des Landes, des Pyrénées atlantiques, du Puy-de-Dôme et de Haute-Garonne, et étaient étudiant ou «pion» à Toulouse. Pour s'y rendre, hier matin, quatre jeunes de 19 à 28 ans avaient décidé de «covoiturer». Ils circulaient dans une Peugeot 206 sur l'autoroute A64 vers la Ville rose quand, vers 9 heures, un peu après Saint-Gaudens, le véhicule a dévié de sa trajectoire et a frappé de plein fouet le muret de la bande d'arrêt d'urgence. La petite voiture blanche a fait une embardée, plusieurs tonneaux, et a terminé sur le toit. La conductrice et sa passagère avant, respectivement âgées de 21 et 28 ans, ont été grièvement blessées. Elles ont été transportées par les sapeurs-pompiers de Cazères au CHU de Purpan avec un traumatisme crânien. Les deux passagers arrières, une jeune femme de 24 ans et un jeune homme de 19 ans, ont, eux, été blessés plus légèrement. La première a également été évacuée vers Purpan, le second au centre hospitalier de Saint-Gaudens. Un bouchon de 2 km s'est aussitôt formé un peu avant la sortie Martres-Tolosane, où s'est produit l'accident. La voie de droite a été coupée pendant deux heures par les ASF. Selon les premiers éléments de l'enquête de gendarmerie, menée par le peloton motorisé d'Estancarbon, la conductrice se serait penchée pour récupérer un objet dans son sac, aux pieds de sa passagère. C'est à ce moment que la voiture blanche aurait quitté sa trajectoire.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/08/2172100-a64-sortie-de-route-pour-le-covoiturage.html

lundi 7 septembre 2015

Plusieurs commerçants victimes de vols

Fin août dernier, plusieurs commerçants des halles et marchés de Lourdes ont subi des vols ou des tentatives de vol. Certains ont vu leur logement seulement fouillé, sans que les voleurs ne trouvent ce qu'ils cherchaient : de l'argent liquide, supposent les commerçants. «Nous avons trouvé la maison sens dessus dessous. Mais les ordinateurs, par exemple, n'ont pas été pris», confie un commerçant. D'autres ont juste été dérobés d'un peu d'argent. Par contre, pour Nicole et Luc, de la rôtisserie Chez Nicole, le résultat du méfait a été bien plus conséquent. Dans leur appartement du centre-ville, retrouvé saccagé, leurs économies pour le mariage de leur fils et la participation financière à l'intervention chirurgicale de leur fille leur ont été totalement volées. Des «projets que nous n'avons pas vu aboutir», déplore Nicole. Qui tient à remercier, avec son mari, «l'aide et le soutien des commerçants et des clients». Alors, prudence pour les commerçants. Surtout que l'un d'eux rappelle le même cas il y a quelques années.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/07/2171791-plusieurs-commercants-victimes-de-vols.html

Besançon : jugés pour escroquerie à la générosité

Générosité bien ordonnée commence par soi-même. C’est ce qu’a dû se dire l’individu qui a créé le CAAPH (création d’aide à l’animation des personnes hospitalisées). Une association basée dans la Drôme à laquelle s’est intéressé ce vendredi le tribunal correctionnel de Besançon.
En effet, quatre de ses bénévoles se sont présentés à la barre pour répondre d’« escroquerie avec appel au public pour collecter des fonds d’entraide humanitaire ou sociale ».
La police de Besançon les avait interpellés le 7 avril dernier après avoir observé leur manège à l’entrée du CHU. Vêtus de t-shirts blancs avec le sigle de leur association inscrit au feutre, ils arrêtaient les véhicules arrivant à l’hôpital pour proposer à leurs occupants de faire un don « afin de venir en aide aux enfants hospitalisés ».
Les policiers ayant décidé de contrôler les démarcheurs en question, qui venaient de récolter quelque 450€, leur attention devait être alertée par le fait que le nom de l’association comportait une faute d’orthographe sur le document qu’ils fournissaient (« personnes hospitalisés » était-il écrit au lieu de « personnes hospitalisées »), par l’amateurisme de leur tenue (le slogan « Un don, un sourire » inscrit au feutre) et le fait que, s’agissant du contact du siège de l’association en question, les bénévoles donnaient un numéro de téléphone erroné. Sans compter l’absence d’ordre de mission de la part du président de l’association.
Autant d’éléments qui ont conduit les quatre bénévoles en garde à vue puis devant le tribunal.

« C’est vrai qu’une fois payés l’hôtel la nourriture et les trajets, il ne restait pas grand-chose… »

« On allait à Mulhouse lorsque nous avons fait escale à Besançon », explique l’un des prévenus, âgés de 19 à 41 ans.
« Le président nous laissait sillonner la France pour récolter des fonds, on aimait bien, comme on n’avait pas de travail, ça nous permettait de voir du pays. » Quant à l’argent récolté ? « C’est vrai qu’une fois qu’on s’est défrayés en payant l’hôtel, les trajets et la nourriture, il ne restait pas grand-chose. Mais on ne se sent pas escrocs pour autant. »
Si les bénévoles parlent au passé, c’est que l’association a été depuis dissoute. « En fait nous avons été les dindons de la farce. Le président nous a lâchés du jour au lendemain. Comme il a planté tous les hôpitaux dans lesquels nous devions intervenir pour repeindre des chambres, faire des animations, etc. »
« On lui faisait confiance, il s’est servi de nous », lance un autre bénévole en précisant : « Moi j’avais rejoint cette association suite à l’hospitalisation de mon gamin. Nous voulions vraiment être utiles, et voilà le résultat. »
Le parquet ayant requis des peines de travail d’intérêt général pour les uns et jours-amende pour d’autres, en fonction du casier judiciaire de chacun, le tribunal les a finalement tous relaxés. Au bénéfice du doute.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2015/09/06/besancon-juges-pour-escroquerie-a-la-generosite

dimanche 6 septembre 2015

Béziers : sortie de route mortelle, un mort, deux blessés

Un jeune homme de 26 ans a été tué ce dimanche à l'aube, sur la RD 612. La voiture dans laquelle il se trouvait a fait plusieurs tonneaux et a percuté un poteau avant de s'immobiliser. Le conducteur du véhicule est gravement blessé. Les jeunes gens rentraient d'une fête à Adge.
Les trois victimes, deux hommes et une femme, sont originaires de Montpellier. Ils rentraient d'un anniversaire à Agde lorsque le drame est arrivé. Le passager arrière de la voiture est mort, il avait 26 ans.

Le conducteur de la voiture, une jeune homme de 25 ans est gravement blessé. il a été héliporté vers le CHU de Montpellier. Son pronostic vital est engagé.
Sa passagère avant, une jeune femme de 25 ans, elle n'est que légèrement blessée et a été prise en charge par l'hôpital de Béziers.

Les résultats des analyses toxicologiques effectuées sur le conducteur seront connue d'ici 2 à 3 jours.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/herault/beziers/beziers-sortie-de-route-mortelle-un-mort-deux-blesses-graves-800677.html

Chute d’ULM : le pilote tué

Un homme âgé d’une quarantaine d’années est décédé ce samedi vers 18 h 30 après que son ULM a chuté en bout de piste de l’aérodrome de Haguenau.
Le pilote, dont on ignore la nationalité, se trouvait seul à bord de l’autogire. Son décès a été constaté sur place.
La police a ouvert une enquête afin de déterminer les circonstances de l’accident, notamment la hauteur de la chute.
http://www.dna.fr/edition-de-haguenau/2015/09/05/chute-d-ulm-le-pilote-est-tue

Il fonce sur deux piétons pour échapper aux représailles

Une embrouille a failli virer au drame peu après minuit, dans la nuit de vendredi à samedi, impasse Barthe, dans un campement de Roms, du côté de la Barrière de Paris à Toulouse. Des personnes extérieures aux lieux sont arrivées à bord de deux Audi. Un homme en est sorti et a asséné des coups à un habitant du campement. Sitôt son forfait accompli, il est remonté dans sa voiture et les deux véhicules ont pris la direction de la sortie. A ce moment-là, les gens du campement se sont opposés à leur départ en leur barrant la route. Déterminé, l'un des deux conducteurs a forcé le passage et foncé sur les personnes. Deux d'entre elles ont été légèrement blessées. Les deux voitures et leurs occupants ont pris la fuite. Les services de police se sont rendus sur place afin de recueillir les témoignages des victimes et de leurs proches. Une enquête est ouverte.


http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/06/2171459-il-fonce-sur-deux-pietons-pour-echapper-aux-represailles.html

samedi 5 septembre 2015

Dordogne : une septuagénaire se noie au cours d'une partie de pêche

Jeudi après-midi, une femme de 77 ans, qui était en train de pêcher au bord de la Dordogne, a été retrouvée noyée par des canoéistes qui ont aussitôt donné l'alerte.

La victime, qui vivait à Siorac-en-Périgord, a visiblement glissé en voulant s'approcher de l'eau et se serait assommée dans sa chute. Sa tête était coincée entre des racines.
http://www.sudouest.fr/2015/09/04/dordogne-une-septuagenaire-se-noie-au-cours-d-une-partie-de-peche-2114459-2164.php

À l'ombre pour avoir menacé de mort un policier

Comparution immédiate sous tension hier au tribunal correctionnel d'Albi. Les deux jeunes prévenus accusés d'avoir menacé de mort un policier ont écopé chacun de six mois ferme dont trois assortis du sursis mise à l'épreuve. Mandat de dépôt a été requis.
Vendredi dernier en fin d'après-midi, S.V., un policier albigeois a été pris à partie verbalement et menacé de mort par deux hommes âgés respectivement de 18 et 20 ans dans le quartier de Lapanouse. Le représentant de l'ordre n'était pas en service au moment des faits.
Il a déposé plainte au commissariat d'Albi. Sa description des deux auteurs a permis à ses collègues de les identifier. Le duo a été interpellé par les hommes de la brigade anticriminalité (BAC) d'Albi ce lundi à Lapanouse sur la voie publique. Lors de la garde à vue, le jeune majeur âgé de 18 ans s'est vu ajouter une procédure pour dégradations de biens publics suite à son attitude violente en cellule Il s'est d'ailleurs fracturé un os de la main droite.
Déférés ce mardi après-midi devant le juge des libertés et de la détention (JLD), les deux hommes comparaissaient hier devant le tribunal correctionnel d'Albi présidé par la juge Schildknecht.

Violence verbale gratuite

«Ce qui me choque dans cette affaire, a insisté le vice-procureur Suhard dans son réquisitoire, c'est qu'il n'existe pas de contentieux entre les protagonistes au départ et que le contexte d'agressivité et de violence part de. rien. Leurs actes et paroles sont inadmissibles. La maison d'arrêt pour moi est nécessaire pour leur fixer des limites. Je requiers donc une peine de prison ferme oscillant entre deux et quatre mois fermes assortis du sursis avec mise à l'épreuve comprenant une obligation de soins et un mandat de dépôt.»
La présidente Brigitte Schildknecht se chargera de la lecture des préventions, des casiers judiciaires et présentera les parcours de vie des prévenus. «Pour E.R., tout juste majeur, treize condamnations au compteur tournant notamment autour des stupéfiants, des vols et d'actes de violence en réunion, une vie familiale pas facile. «Vous reconnaissez votre impulsivité lorsque vous vous sentez provoqué ou menacé.»
M.B., 24 ans, connu de la justice pour des condamnations pour vol avec effraction, recel de vol, stupéfiants et outrage à personne dépositaire de l'autorité publique. «Vous avez séjourné de 2012 à 2014. Depuis le 14 mai 2014, vous êtes sous suivi judiciaire et suivez une formation dans une entreprise d'insertion. Concernant les faits qui vous sont reprochés, vous admettez avoir agi de manière impulsive.»
Réponse des intéressés. «Je n'ai pas fait de geste d'égorgement et j'ai juste répondu verbalement à ses provocations», a souligné E.R. dans le box des prévenus. «Je reconnais avoir été agressif, indique M.B. Il faisait tout pour que je le frappe.»
La juge reprend, s'adressant à M.B. «Un témoin évoque vous avoir calmé , demandé de rentre chez vous. Il nie avoir entendu des menaces de mort pas plus que le début de l'altercation.»
Me Gemest, avocate de la partie civile louera «le sang-froid de son client» et demandera «une condamnation solidaire à 600 € couplée à 500 € au titre de l'article 475-1.»
Les plaidoiries de la défense tenteront sans succès d'obtenir «la relaxe de leurs clients pour les menaces de mort faute de caractérisation de l'infraction» et souligneront «l'incongruité de l'instruction de la plainte d'un policier par ses collègues.»
Le jugement sera rapidement rendu. «Six mois ferme dont trois avec sursis et mise à l'épreuve avec maintien du mandat de dépôt et obligations de soins, de travailler ou de suivre une formation. Les deux hommes devront aussi indemniser la victime solidairement à hauteur de 600 € de dommages et intérêts, 500 € (art. 475-1) et 127 € de frais de procédure.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/05/2171087-a-l-ombre-pour-avoir-menace-de-mort-un-policier.html

vendredi 4 septembre 2015

Un homme soupçonné d'avoir donné un de ses enfants

Les soupçons sont apparus en marge d'une enquête pour des violences conjugales à Toulon. L'auteur présumé des coups est aussi soupçonné d'avoir donné sa quatrième fille à son frère et à sa belle-sœur.
L'homme, âgé de 35 ans, d'ores et déjà poursuivi pour "violences conjugales" est au cœur d'une enquête pour délaissement d'enfant. Son épouse a confié aux enquêteurs que son mari lui avait retiré sa plus jeune fillette pour la donner à un autre couple infertile.
L'enfant aurait été littéralement donnée à son oncle (le frère de son père) et à sa tante peu de temps après sa naissance, il y a trois ans et demi à Toulon. Le suspect, déjà père de trois filles âgées de moins de dix ans, aurait précisé qu'il n'aurait pas agi de la sorte avec un garçon.
Le prénom de la fillette a été changé et on lui présentait sa mère biologique comme une tante, indique une source proche du dossier.
Des documents auraient été falsifiés pour travestir la filiation de la petite fille au moment de l'inscrire dans une école maternelle toulonnaise cette année.
Le frère du mis en cause et son épouse, domiciliés à Toulon-Ouest, sont actuellement en Algérie, le pays d'origine de la famille, avec la fillette qui leur a été donnée mais aussi avec ses trois grandes sœurs. Des démarches seraient en cours pour qu'elles acquièrent la nationalité algérienne.
Dans le contexte du différend pour "violences conjugales" qui l'oppose à son épouse, le mis en cause s'opposerait à un retour des fillettes. Celles-ci n'ont donc pas pu effectuer la rentrée scolaire cette année.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/un-homme-soupconne-davoir-donne-un-de-ses-enfants.2329037.html

Un mort et un blessé grave à Toulon

Le passager d'une voiture a perdu la vie dans une terrible collision dans la soirée de mardi à Toulon. Un automobiliste a été placé en garde à vue.
Les secours n'ont rien pu faire pour sauver ce trentenaire décédé dans l'accident qui s'est produit, vers 22h45, au niveau d'un carrefour, quai Rivière-Neuve, à l'ouest de Toulon.
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Le véhicule dans lequel il se trouvait comme passager aurait fait des tonneaux après avoir été percuté par une autre voiture. Au lendemain du drame, les circonstances restent floues quant aux circonstances de cette collision.
Le conducteur du véhicule ayant percuté l'autre a été placé en garde à vue. La brigade accidents et délits routiers de La Garde est chargée de l'enquête
http://www.nicematin.com/toulon/un-mort-dans-un-grave-accident-de-voiture-a-toulon.2326963.html

jeudi 3 septembre 2015

Un conducteur poursuivi après la mort d'une jeune femme de 26 ans

Un conducteur de 47 ans a été mis en examen hier pour «homicide involontaire aggravé» et une information judiciaire a été ouverte après la mort d'une jeune femme de 26 ans, mardi matin, sur l'autoroute A61 à Renneville. Ce chef d'entreprise qui rentrait de Marseille, a reconnu avoir fauché la jeune mère de famille. «Il a expliqué qu'il était impossible d'éviter cette femme qui traversait la chaussée en pleine nuit», souligne son défenseur Me Raynaud de Lage. Une circonstance aggravante a été retenue : ce conducteur était positif au cannabis. «Il consomme des tisanes pour soigner un mal au dos chronique. Ce n'est pas un drogué», précise son avocat. Ce conducteur a été placé sous contrôle judiciaire.
L'enquête des gendarmes se poursuit pour savoir quel conducteur est responsable de la mort de la deuxième victime, âgée de 71 ans — mère de la jeune femme et grand-mère des deux enfants également blessés. L'enquête «contre X» se poursuit.
Dans la nuit de mardi, vers 3 heures, la conductrice et sa mère de 71 ans regagnaient Toulouse avec, à l'arrière, les deux enfants de la jeune femme. Après un accident matériel dont on ignore encore la cause, la jeune mère est sortie de sa Peugeot 207 et aurait traversé la route pour mettre ses deux enfants, âgés de 3 et 5 ans, à l'abri. Elle a alors été fauchée par une Opel, dont le conducteur s'est arrêté — cet homme qui a été mis en examen hier.
Un troisième véhicule est alors venu percuter la Peugeot 207, où se serait encore trouvée la grand-mère. Ce choc aurait causé la mort de cette femme. Mais cette hypothèse reste encore à vérifier. Hier soir le parquet s'est montré très prudent dans l'attente de compléments d'enquête. A priori, il n'y aurait pas un quatrième véhicule impliqué dans ce drame de la route comme les gendarmes l‘ont envisagé au départ de leurs investigations.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/03/2169697-conducteur-poursuivi-apres-mort-jeune-femme-26-ans.html

mercredi 2 septembre 2015

Accident du travail mortel à Tailly dans les Ardennes

Un couvreur qui travaillait sur le toit d'une exploitation agricole a trouvé la mort cet après-midi, après être passé à travers le toit. Les pompiers et les gendarmes sont toujours sur place.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/accident-du-travail-mortel-tailly-dans-les-ardennes-797675.html

Meurtre de Sofiane : un homme en garde à vue

Vingt-quatre heures après le meurtre de Sofiane Boudra, 20 ans, tué par arme blanche lundi dans le quartier de la Reynerie à Toulouse (notre édition d'hier), l'enquête a rapidement progressé. Hier soir, un homme de 21 ans était en garde à vue dans les locaux du commissariat central. Il ne s'agirait pas de l'auteur des coups de couteau fatals à la jeune victime mais d'un complice qui se serait trouvé avec lui, rue Jean-Gilles, au moment des faits
Les enquêteurs de la brigade criminelle et de répression des atteintes aux personnes étaient toujours activement à la recherche du meurtrier présumé. Il s'agirait d'une connaissance de la victime, un homme de 20 ans, déjà défavorablement connu des services de police. Hier, une information judiciaire a été ouverte dans le cadre de cette affaire et confiée au juge d'instruction Fabrice Rives. Les motifs de ce drame sanglant restaient flous hier. L'audition, sous le régime de la garde à vue, de ce «témoin important» pourrait permettre aux enquêteurs d'y voir plus clair.

Autopsie

Le corps de la victime a été autopsié hier mais les résultats n'ont pas été communiqués. Sofiane Boudra aurait reçu deux coups de couteau, l'un au niveau de l'épaule, l'autre sous la poitrine. Malgré les efforts des sapeurs-pompiers et du Samu, il n'avait pu être ranimé.
Lundi après-midi, juste avant 14 heures, le jeune homme, qui se trouvait à son domicile du 12 rue Jean-Gilles, dans la zone de sécurité prioritaire du Grand Mirail était tombé dans un guet-apens. Il était descendu dans le hall de son immeuble où l'attendaient ses agresseurs. Rapidement, le principal suspect avait sorti un couteau et asséné un coup sur sa victime qui, elle, n'était pas armée. Lui et son complice avaient pris la fuite.
Malgré leurs efforts, les proches de Sofiane n'avaient pu interpeller les deux hommes.

Vive tension

Après les coups de couteau, Sofiane Boudra s'était rapidement effondré au sol sous les yeux de nombreux habitants du quartier.
Une vive tension avait gagné le secteur et un important dispositif de sécurité avait été déployé. Les techniciens de la police avaient procédé aux relevés des traces et indices et les témoins avaient été entendus.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/02/2169015-meurtre-de-sofiane-un-homme-en-garde-a-vue.html

mardi 1 septembre 2015

Un trafic de drogue démantelé dans le quartier des Moulins à Nice

Plus d'un kilo de cannabis, plus de cent grammes de cocaïne, une arme et une moto volée. La police vient de démanteler une nouvelle fois un trafic de stupéfiants dans le quartier des Moulins situé en zone de sécurité prioritaire.
Plusieurs suspects ont été présentés lundi au parquet de Nice à l'issue d'une enquête marquée par une exemplaire collaboration entre différents services.
C'est le deuxième trafic démantelé dans le quartier en quelques semaines.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/un-trafic-de-drogue-demantele-dans-le-quartier-des-moulins-a-nice.2325537.html

Pesmes : un forcené retranché chez lui, interpellé

«Il était 15 h, j’ai entendu plusieurs coups de feu dans l’immeuble voisin. J’ai vite quitté les lieux en voiture avec mes filles. » Cette mère de famille est encore sous le choc, comme l’ensemble des riverains de la rue du Docteur-Doudier, à Pesmes en Haute-Saône, après l’interpellation d’un forcené par les gendarmes, hier en début de soirée. Si aucun blessé n’est heureusement à déplorer à l’issue de cet événement, la situation aurait pu virer au drame. L’individu, en possession d’armes de chasse, a ouvert le feu à plusieurs reprises.
Les faits ont débuté en début d’après-midi. Les gendarmes de Gray sont appelés au 3, rue du Docteur-Doudier par un voisin qui signale qu’un homme tire des coups de feu dans la rue. A l’arrivée des militaires, le trentenaire est retranché chez lui, en compagnie de quatre membres de sa famille, deux femmes et deux enfants âgés d’une dizaine d’années. Surtout, le forcené est en possession de plusieurs armes de chasse de calibres 12 et 9 mm. En outre, il manifeste une vive intention d’en découdre avec les forces de l’ordre. Les militaires graylois bénéficient rapidement de l’appui de leurs collègues de Vesoul. Le peloton d’intervention de deuxième génération (PI2G) de Dijon, spécialisé dans ce genre d’opération à haut risque, est également dépêché sur place. Au total, une cinquantaine de gendarmes interviennent.

Un différend d’ordre privé à l’origine de l’affaire

Dans Pesmes, le quartier est complètement bouclé, de même que l’accès au village par la route de Gray.
Il faudra aux gendarmes plusieurs heures de négociation, par téléphone, pour convaincre l’homme de sortir de l’immeuble et de déposer les armes, hier aux alentours de 18 h 15. Ce dernier, alcoolisé, a été immédiatement conduit à Vesoul pour être placé en garde à vue dans les locaux de la brigade de recherche. « Ses motivations restent encore assez vagues », détaille le lieutenant-colonel Jean-Michel Blaudez, commandant de groupement de la gendarmerie de Haute-Saône, présent sur place. « Il semblerait qu’un différend d’ordre privé soit à l’origine de cette affaire. »
Immédiatement après l’interpellation, la tension était encore palpable dans le quartier, alors que les autres locataires et voisins de l’immeuble, jusque-là confinés chez eux, étaient autorisés à ressortir. Connu des services de gendarmerie, le forcené habitait dans l’immeuble depuis un peu moins d’un an selon des riverains

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-vesoul-haute-saone/2015/08/31/pesmes-un-forcene-retranche-chez-lui-interpelle