mardi 30 juin 2015

Charente-Maritime : une mère veut faire la lumière sur le décès de son fils

Le 3 mars 2012, à 5 h 11, Frédéric Tessier, âgé de 18 ans, s'effondrait alors qu'il dansait dans une discothèque de Saintes. Deux de ses amis l'avaient immédiatement transporté à l'extérieur de l'établissement, en ouvrant eux-mêmes une porte de secours. Le jeune homme avait alors été conduit par ses proches au centre hospitalier de la ville. Pris en charge, il n'avait pas pu être ranimé.

Sa mère, Caroline Hot, mène depuis un long combat afin de faire la lumière sur la disparition de son fils. Ce lundi matin, elle a été auditionnée par un juge d'instruction au tribunal de Saintes. Une première pour cette mère de famille : « Je ne m'attendais pas à être écoutée comme ça. » Si aucun élément nouveau n'est venu étayer ce dossier ces derniers mois, l'enquête suit son cours, affirme une source judiciaire.

« J'ai apprécié ce geste »

« Ça fait plus de trois ans que nous sommes dans l'attente », résume Caroline Hot. Ce lundi matin, cette mère de famille a également pu visionner la vidéo filmée le matin du drame par le système de surveillance de la boîte de nuit. La direction de l'établissement avait transmis cet enregistrement à la police et à la justice.
http://www.sudouest.fr/2015/06/30/une-mere-de-famille-se-bat-depuis-trois-ans-1975538-1531.php

Fusillade à Nantes : des policiers visés

Ce soir, vers 21 heures, des coups de feu ont été échangés sur l'Ile de Nantes selon une information de Ouest-France. Ces tirs visaient des policiers. Une course-pousuite s'en est suivi. Les policiers ont riposté. Il n'y a pas eu de blessés.

Deux hommes, au volant d'une Clio grise, ont été interpellés dans la soirée à Rezé, près de Nantes. Un troisième homme, parti dans une autre voiture, est toujours recherché. Il est armé.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/06/29/97001-20150629FILWWW00415-fusillade-a-nantes-des-policiers-vises.php

lundi 29 juin 2015

Gray : le syndicat Sud lance l'alerte, un professeur s'est suicidé

Le syndicat SUD de l'Education Nationale accuse : un professeur s'est suicidé après un entretien avec sa direction, le lycée Cournot de Gray.
Franck B*., professeur de Science de la Vie et de la Terre (SVT) au lycée Cournot de Gray est décédé dans la nuit du dimanche 7 au lundi 8 juin.
Le 2 juin, après toute une journée à faire passer des examens oraux de baccalauréat, il a été convoqué par l’administration de l’établissement. Monsieur
B. ignorait l’objet de la convocation ce qui ne lui a pas laissé la possibilité de se faire accompagner. Le proviseur, en présence de 3 autres personnels du lycée l’a informé que, dans la journée, il avait reçu une élève et ses parents venus porter des accusations à son encontre sur des faits remontant à deux ans. L'administration avait déjà procédé à un signalement en direction de l’inspection académique. Monsieur B. a dénoncé les faits reprochés, le seul soutien apporté a été de lui demander s'il avait une assurance pour préparer sa défense…
Mr B. a tenté de mettre fin à ses jours dans la nuit qui a suivi. Réanimé par les services de secours, il est décédé quatre jours plus tard.
Ce professeur, estimé de tous, actif et impliqué dans différents domaines, n’avait jamais fait l’objet de reproches particuliers. Bien au contraire, tous louaient ses grandes qualités, son humanisme, sa générosité, son humour. Comment ne pas s'interroger sur le lien entre la façon dont l’entretien s'est déroulé et le geste désespéré de notre collègue ?
Face à ce type de situation et pour éviter que de tels drames se reproduisent, l’Éducation nationale doit faire preuve de discernement, entendre et écouter ses personnels, aussi, nous demandons au rectorat l’ouverture d’une enquête administrative.
Par ailleurs, les personnels du lycée ont saisi les Comités Hygiène Sécurité et Conditions de Travail compétents. Le Comité Hygiène Sécurité et Conditions de Travail Académique se réunira le mercredi 1er juillet en session extraordinaire.
"

*Nous ne communiquons pas le nom de ce professeur, compte tenu des circonstances de son décès

http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/haute-saone/gray-le-syndicat-sud-lance-l-alerte-un-professeur-s-est-suicide-759545.html

Un enfant de 5 ans frôle la noyade au parc Quercyland

Un drame s'est déroulé hier au parc aquatique Quercyland à Souillac situé au bord de la rivière Dordogne.
Un petit garçon âgé de 5 ans a été réanimé in extremis. Les secours ont été alertés par Quercyland peu après 16 heures pour un enfant en arrêt cardio-respiratoire, après être resté immergé dans l'eau de la pataugeoire. Un médecin et un sapeur-pompier qui se trouvaient à proximité ont repéré l'enfant qui était en mauvaise posture sous l'eau.
Ils ont prodigué les premiers gestes de secours. Des sauveteurs maîtres nageurs sont également intervenus. Les sapeurs-pompiers ainsi que le Smur de Gourdon ont repris la main dès leur arrivée, avec l'intervention d'une infirmière sapeur-pompier. L'enfant a repris un pouls, le défibrillateur a bien fonctionné.
Les sapeurs-pompiers de Souillac sont restés sur place près de trois heures avant l'arrivée de l'hélicoptère qui s'est posé sur le terrain de foot.
Le petit garçon a été transporté médicalisé au service pédiatrique du centre hospitalier de Purpan à Toulouse, les médecins ne se prononçant pas sur son état.
Le sous-préfet de Gourdon Afif Lazrak s'est rendu sur place.
La sécurité est l'affaire de tous rappelle Catherine Ferrier préfète du Lot, les enfants doivent obligatoirement porter des brassards lorsqu'ils se trouvent dans l'eau.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/29/2134166-un-enfant-de-5-ans-frole-la-noyade.html

dimanche 28 juin 2015

Charente-Maritime : une personne dans le coma à la suite d'un accident de la route

Jeudi soir, vers 19 heures, un accident de la route a eu lieu à Soulignonne au carrefour de la D117. Une femme de 40 ans a été percutée par un automobiliste arrivant de la gauche.
La victime, transportée par un hélicoptère de Dragon 17 à l'hôpital de Poitiers et qui est toujours dans le coma, aurait franchi le carrefour sans respecter le stop.
L'automobiliste, un homme de 48 ans originaire de Coivert, l'a percuté au niveau de la portière conducteur.
La victime, inconsciente après l'accident, souffre de multiples fractures.

http://www.sudouest.fr/2015/06/27/charente-maritime-une-personne-dans-le-coma-suite-a-un-accident-de-la-route-1970647-1531.php

Collision avec un tracteur : un blessé désincarcéré

Un accident de la circulation s'est produit vendredi peu avant 21 heures, commune de Payrac. Une voiture et un tracteur sont entrés en collision. Le conducteur du véhicule, un homme âge de 33 ans a dû être désincarcéré. Assez gravement blessé, il a été pris en charge par les sapeurs pompiers de Gourdon et le SAMU, et transporté au centre hospitalier de Gourdon.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/28/2133840-collision-avec-un-tracteur-un-blesse-desincarcere.html

samedi 27 juin 2015

L'empoisonneuse de la Côte d'Azur convoquée par un juge lundi à Nice

Patricia Dagorn, soupçonnée d'avoir séduit et empoisonné cinq hommes plus âgés sur la Côte d'Azur, dont deux sont morts en 2011, a été convoquée lundi à Nice devant un juge d'instruction, a précisé son avocat.
Patricia Dagorn, une femme d'une cinquantaine d'années, avait été placée en garde à vue début juin à Roanne (Loire) par des enquêteurs de la brigade criminelle de la police judiciaire de Nice dans le cadre d'une commission rogatoire d'un juge d'instruction de Nice.
Toujours en détention, elle avait été extraite de sa cellule pour pouvoir être placée en garde à vue.
>> RELIRE. L'empoisonneuse "obsédée par l'argent" selon son fils
Cette femme, qui recrutait ses proies dans une agence de rencontres, est en prison après avoir été condamnée à cinq ans en 2013 pour avoir dépouillé et empoisonné un retraité à Annemasse, en Haute-Savoie, en 2012. L'homme avait miraculeusement survécu.
>> RELIRE. Une de ses victimes: "Je me dirigeais doucement vers la mort"
L'avocat de Patricia Dagorn, Me Cédric Huissoud, qui l'accompagnera lundi, rappelle qu'elle a "toujours contesté les accusations d'empoisonnement".
"Elle a eu un parcours chaotique. Placée en famille d'accueil très jeune, elle a fait de mauvaises rencontres. Son ex-mari, magnétiseur et escroc, était violent à son encontre", a indiqué l'avocat.
Cette femme peu loquace, qui a beaucoup vécu des aides sociales, "dit se sentir mieux avec des gens âgés", plaide-t-il, en la décrivant comme "une personne fragile".
>> RELIRE. Qui est Patricia Dagorn, l'empoisonneuse en série de la Côte d'Azur
http://www.nicematin.com/nice/lempoisonneuse-de-la-cote-dazur-convoquee-par-un-juge-lundi-a-nice.2266373.html

Un motard gravement blessé dans un accident

Un motard a perdu le contrôle de son engin hier, aux alentours de 14 h 30, au rond-point de la Cépière à Toulouse. Il a terminé sa course dans un îlot herbeux. Les sapeurs-pompiers et le Samu lui ont prodigué les premiers soins sur place avant de le conduire à l'hôpital Purpan. Très gravement blessé, cet homme souffrait notamment de fractures au niveau des jambes. Son pronostic vital était engagé
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/27/2133418-un-motard-gravement-blesse-dans-un-accident.html

vendredi 26 juin 2015

Deux policiers blessés par un chauffard à Toulouse

Deux policiers toulousains ont été blessés par un chauffard ce jeudi après-midi rue Pelleport. L'automobiliste avait brûlé un feu rouge et a refusé de se laisser interpeller. Selon le syndicat alliance, il a renversé les fonctionnaires qui étaient descendus de leur véhicule pour l'arrêter et les a traînés sur une trentaine de mètres. Il a ensuite percuté la voiture de police.

Des policiers ont tout de même réussi à entrer dans le véhicule et à tirer le frein à main. Le chauffard, finalement interpellé, était sous l'emprise de stupéfiants. Les policiers ne sont que légèrement blessés et ont été admis aux urgences.

Depuis quelques semaines, les infractions routières graves et les incivilités se multiplient dans la région.
Début avril, un policier a été tué par un chauffard qui tentait de contourner un contrôle routier près de Decazeville
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/haute-garonne/toulouse/deux-policiers-blesses-par-un-chauffard-toulouse-756883.html

Bagatelle : des policiers caillassés par une vingtaine d'individus

Encore une fois, des policiers ont été caillassés, quartier Bagatelle, mercredi soir. Deux adolescents ont été arrêtés lors de ces nouvelles violences urbaines.
Des policiers ont été la cible de caillassages, mercredi vers 20 heures, entre les quartiers Bagatelle et la Faourette, à Toulouse. Une vingtaine d'individus ont jeté divers projectiles sur les forces de l'ordre qui ont fait usage à plusieurs reprises de grenades lacrymogènes et de flash-ball pour disperser les fauteurs de trouble. Parmi eux, deux adolescents de 14 et 16 ans ont été interpellés pour jets de cailloux. Une voiture de police a été dégradée et deux fonctionnaires ont été légèrement blessés à la suite de ces incidents.
«Unité SGP-Police dénonce ces prises à partie récurrentes envers les forces de l'ordre, avec mise en danger systématique des policiers, lesquels s'efforcent de préserver leur vie à l'occasion de ces tentatives délibérées de s'en prendre à leur intégrité physique», a déclaré, hier, le syndicaliste Didier Martinez. Vers 20 heures, mercredi, un équipage de police contrôle un véhicule dans le cadre d'un trafic de stupéfiants, à l'angle de la rue du Lot et de l'avenue Henri-Desbals.

Un enfant blessé

Les policiers procèdent à l'enlèvement de la voiture suspecte, appuyés par les CRS. Dans le même temps et hors contexte, un différend éclate entre des commerçants ambulants, autorisés à vendre de la nourriture en cette période de ramadan, et des commerçants traditionnels du quartier. L'un des protagonistes est aperçu, tenant une barre de fer pour en découdre. La tension est vive et pour éviter des échauffourées, les policiers s'interposent. Une vingtaine de jeunes gens se rassemblent autour des policiers qui sont aussitôt pris à partie. Jets de cailloux, insultes et divers objets volent en rafale en direction des forces de l'ordre. Des renforts sont appelés sur place pour ramener le calme et deux adolescents sont interpellés, soupçonnés d'avoir jeté des cailloux sur des fonctionnaires.
Un enfant qui se trouvait sur les lieux a été blessé à l'entrejambe par un éclat de projectile. Il a été conduit à l'hôpital par son père. Les deux adolescents ont été présentés hier soir au palais de justice.
La semaine dernière, des incidents ont éclaté quartier Reynerie. Un contrôle routier ou une opération «classique» de voie publique dans les cités toulousaines classées en zone de sécurité prioritaires ont tendance à déclencher l'hostilité de groupes de jeunes gens. «Ils considèrent que ces quartiers leur appartiennent, d'où leur réaction face à la police», résume une source syndicale.Quatre adolescents avaient été arrêtés pour des jets de projectiles sur des voitures de police.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/26/2132605-bagatelle-des-policiers-caillasses-par-une-vingtaine-d-individus.html

jeudi 25 juin 2015

Puy-de-Dôme : un an après sa disparition, une septuagénaire retrouvée enterrée dans sa ferme

Le corps d'une septuagénaire, portée disparue depuis un an à Saint-Eloy-les-Mines, a été retrouvé enterré dans sa ferme. Son fils a été placé en garde à vue.
Il s'agit probablement d'un drame familial. Une septuagénaire, disparue depuis un an à Saint-Eloy-les-Mines, un petit village au Puy-de-Dôme, a été retrouvée enterrée dans sa ferme. C'est le propre fils de la victime, qui vivait avec sa mère, qui a indiqué l'endroit
"Il a été entendu mercredi par les gendarmes qui enquêtaient depuis plusieurs mois sur cette disparition dans le cadre d'une information judiciaire", a déclaré le procureur de la République à Clermont-Ferrand, Pierre Sennès, confirmant une information du quotidien régional La Montagne.


"Le fils leur a indiqué qu'il avait enterré le corps dans le jardin. Cela ferait plusieurs mois", a ajouté le magistrat. Le fils est désormais interrogé sous le régime de la garde à vue pour éclaircir les circonstances du décès. Une autopsie doit également être pratiquée une fois l'exhumation achevée.
Selon La Montagne, le fils, dont l'âge n'a pas été précisé, vivait seul avec sa mère depuis le décès du mari et d'un autre enfant en 2013.

Un motard grièvement blessé

Un motard s'est grièvement blessé, hier soir peu avant 20h30, après une sortie de route à Seebach sur la RD 249 en direction de Schleithal, a-t-on appris ce matin dans un compte-rendu des sapeurs-pompiers du Bas-Rhin.
A l'arrivée des secours, l'homme de 51 ans présentait une fracture du tibia gauche avec un garrot, précisent les pompiers.
Contrairement aux premières informations à notre disposition,  la victime n'a été pas évacuée en urgence absolue, par l'hélicoptère de la sécurité civile Dragon 67, vers le CHU de Hautepierre à Strasbourg.
L'homme a fait l'objet d'un transport en ambulance vers le centre hospitalier de Wissembourg, indiquent les gendarmes.
http://www.dna.fr/actualite/2015/06/25/seebach

mercredi 24 juin 2015

A Antibes, il tente de tuer sa mère âgée de 78 ans à coups de maillet

C'est une affaire sordide qui passerait même pour irréaliste dans un scénario de polar. Et pourtant…
Lundi, un homme âgé de 57 ans a été écroué pour «tentative d'homicide» sur sa mère, après avoir été déféré au parquet de Grasse où une information judiciaire a été ouverte.
Les faits remontent au 19 juin dernier. Ce soir-là, le fils unique, demeurant dans le Gard, vient rendre visite à sa mère, née en 1937, et qui occupe un petit appartement à Antibes.
Il essaye de l'étouffer avec une serviette
La conversation se passe bien jusqu'au moment où l'homme sort un maillet en bois et commence par frapper sa génitrice au visage. Il essaye ensuite de l'étouffer avec une serviette trouvée dans la salle de bains. Les cris de la malheureuse en sang alertent un voisin et font fuir le quinquagénaire. L'identité du mis en cause étant vite établie, la police nationale se lance à sa recherche.
"Agi par pulsion"
Il est finalement contacté sur son portable, le lendemain, et consent à se rendre aux gendarmes de son domicile gardois où sera menée une perquisition. Placé finalement en garde à vue au commissariat central d'Antibes, il reconnaît les faits, évoquant avoir agi par pulsion. Très choquée, sa mère a d'abord été conduite pour des soins au centre hospitalier de Nice, recevant une ITT (interruption totale de travail) de 45 jours, puis a pu finalement être entendue.
Le passé familial intéresse les enquêteurs pour déterminer précisément le mobile d'une agression qui laissera des traces aussi physiques que psychiques.
http://www.nicematin.com/antibes/a-antibes-il-tente-de-tuer-sa-mere-agee-de-78-ans-a-coups-de-maillet.2262236.html

Gironde : un enseignant handicapé frappé et filmé par des élèves

Plusieurs élèves du lycée professionnel Émile Combes de Bègles, en Gironde, ont frappé un enseignant malentendant au début du mois de juin, rapporte Sud Ouest. La scène, violente, a été filmée puis diffusée par les lycéens sur internet. Une plainte a été déposée.
La vidéo a été découverte par hasard par la mère d’un élève sur les réseaux sociaux. On y découvre l’agression d’un professeur handicapé par des jeunes lycéens. Des images filmées avec un téléphone portable et considérées comme « insoutenables » par un professeur qui a pu les visionner. Au moins trois élèves auraient porté des coups et proféré des insultes à l’encontre de cet enseignant, en plein cours.
Suite à cette agression, les enseignants de l’établissement ont fait valoir leur droit de retrait. Le professeur victime des coups, actuellement en arrêt de travail, a déposé plainte au commissariat de police. Quant aux agresseurs, trois d’entre eux ont été exclus définitivement du lycée à l’issue d’un conseil de discipline.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/24/2131165-gironde-un-enseignant-handicape-frappe-et-filme-par-des-eleves.html

mardi 23 juin 2015

Sortie de route à Rosporden. La conductrice décède

Une jeune femme est décédée dans une sortie de route ce lundi soir peu avant minuit sur la RD765 entre Rosporden et Saint-Yvi dans le Finistère.
Il était 23h35 ce lundi soir lorsque les secours ont été appelés à Rosporden pour un accident de la circulation. Une voiture venait d'effectuer une sortie de route sur la départementale 765 entre Rosporden et Saint-Yvi. Selon les constatations de la gendarmerie sur place, la voiture se serait déportée sur la gauche, puis la conductrice aurait donné un coup de volant pour revenir sur la chaussée avant de percuter un poteau électrique.

La conductrice, une habitante de Rosporden de 33 ans, a été éjectée de son véhicule. Elle était décédée à l'arrivée des secours. Elle était apparemment seule à bord.

Une enquête de gendarmerie doit permettre de déterminer les circonstances exactes de l'accident

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2015/06/23/sortie-de-route-rosporden-la-conductrice-decede-754063.html

Léa est sortie du bloc après 10 heures d’opération

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Ce lundi fut sans aucun doute la plus longue et la plus angoissante journée pour la famille de la muyoise Léa Baba, petite prématurée atteinte de cinq malformations cardiaques. Mais aussi pour les milliers de soutiens qui la suivent au travers de l’association Tous derrière Léa, Jade... et sur les réseaux sociaux.
Admise à l’hôpital Necker, à Paris, dimanche, la fillette a été opérée durant plus de dix heures, ce lundi par le professeur Raisky, qui tentait l’intervention de la dernière chance.
>> RELIRE. Au Muy, l'opération de la dernière chance pour Léa
Dès 8 heures, au moment de son entrée au bloc opératoire, Facebook s’est enflammé. Des milliers de messages de soutiens provenaient des quatre coins de France, voire de l’étranger. Des messages accompagnés, comme le souhaitaient Roland et Jessica Baba, de photos de bougies allumées dans toutes les maisonsPour lui donner la force de mener ce combat à bien. 
Peu après 18 heures, Léa est sortie du bloc opératoire. En vie. Prouvant une fois encore qu’elle était une force de la nature.
Placée en réanimation, ses proches savent que les prochaines heures seront cruciales pour leur petite fille. Ils appellent toutes les personnes qui les suivent depuis la naissance de Léa à poursuivre leur mobilisation, à prier pour eux et allumer à nouveau des bougies. 

http://www.nicematin.com/derniere-minute/lea-est-sortie-du-bloc-apres-10-heures-d%E2%80%99operation.2260701.html

Un mort dans une rixe cette nuit à Toulouse

Un homme est mort cette nuit, peu avant 1 heure, à l'hôpital Rangueil, à la suite d'une rixe. Il avait été blessé de plusieurs coups de couteau vers 22h30 lors d'une bagarre entre plusieurs individus dans un squat, rue des Amidonniers, à Toulouse. Ses agresseurs sont en fuite. La police judiciaire a été saisie.
 http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/23/2130431-un-mort-dans-une-rixe-cette-nuit-a-toulouse.html

lundi 22 juin 2015

Des bougies pour la petite Léa du Muy, opérée ce lundi

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La petite muyoise Léa Baba, 3 ans, sera opérée du coeur ce lundi. Une intervention de la dernière chance pour le bout de chou qui se bat depuis sa naissance contre des malformations cardiaques.
>> RELIRE.
Opérée à l'âge de cinq mois, elle subira à l'hôpital Necker à Paris ce lundi une intervention dont les chances de réussite sont infimes.
Ses parents Roland et Jessica appellent toutes les personnes qui la soutiennent depuis le début, notamment à travers les réseaux sociaux, à allumer une bougie, comme lors de la première opération.
Des milliers d'ondes positives qui pourraient donner à Léa la force de remporter cette nouvelle bataille.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/des-bougies-pour-la-petite-lea-du-muy-operee-ce-lundi.2259606.html

Coup de fusil hier : il tire sur son frère puis se rend

Les habitants de Finhan ont eu la surprise de voir le lotissement au pied du château d'eau bouclé par les gendarmes hier en milieu d'après-midi. La circulation à proximité de la D813 a même été déviée le temps de mettre en place des barrages autour du domicile de Gilles M., un quadragénaire activement recherché pour avoir tiré quelques minutes plus tôt sur son frère avec son fusil de chasse. Problème familial, dispute, y avait-il préméditation ? intention de tuer ?... le mobile restait encore hier soir à éclaircir par les gendarmes qui devraient caractériser l'agression en violence avec armes ou tentative d'homicide. Au moment des faits, l'agresseur se trouvait donc au domicile de son frère âgé de 47 ans et domicilié à Monbéqui, au lieu-dit Villenayssague. Blessée légèrement aux jambes par des plombs et présentant une plaie au visage (coup de tête ?), la victime a été transportée au centre hospitalier par les pompiers. Durant ce temps, l'agresseur restait introuvable. Il s'est finalement laissé convaincre par téléphone de se rendre de lui-même à la gendarmerie où il a été placé en garde à vue. Les barrages ont pu ainsi être vite levés et les enquêteurs sont allés inspecter le domicile de l'agresseur.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/22/2129303-coup-fusil-hier-tire-frere-puis-rend.html

dimanche 21 juin 2015

Bretagne: Il fracasse la vitre du véhicule de gendarmerie avec sa tête

Les Bretons ont la tête dure. Un jeune homme l’a démontré vendredi soir à Dol-de-Bretagne en Ille-et-Vilaine. Appelés pour un différend familial dans la nuit de vendredi à samedi, les gendarmes sont intervenus dans un appartement vers minuit pour séparer tous les protagonistes de cette dispute, rapporte Le Télégramme. Un jeune homme âgé de 18 ans est arrêté dans cette affaire, menotté et enfermé dans le véhicule de gendarmerie.
C’est alors que l’individu, très remonté, a donné des coups de têtes dans la vitre de la voiture et endommagé la portière arrière droite du véhicule. Déjà connu des services de gendarmerie, il a été placé en garde à vue. Le 6 juin, un détenu en permission avait déjà fracassé la vitre d’une voiture de police avec sa tête dans le quartier du Blosne à Rennes.
http://www.20minutes.fr/rennes/1636207-20150621-bretagne-fracasse-vitre-vehicule-gendarmerie-tete

Clamart : 4 policiers blessés alors qu'ils procédaient à des contrôles de routine

Quatre fonctionnaires de police ont été blessés vendredi soir alors qu'ils procédaient à des contrôles de routines dans les Hauts-de-Seine, à la lisière des communes de Clamart et de Meudon.
Quatre policiers ont été blessés vendredi soir à la lisière entre Meudon et Clamart dans les Hauts-de-Seine. Deux d'entre eux ont été renversés par un scooter alors qu'ils effectuaient un contrôle dans le secteur des cités "3F". C'est à ce moment que l'autre deux-roues leur a foncé dessus. Peu après, un attroupement s'est formé et les forces de l'ordre ont essuyé quelques jets de pierre. Le calme est revenu au bout d'une heure.
Ces deux fonctionnaires -un homme et une femme- qui souffraient de blessures sérieuses sont sortis de l'hôpital et leur état de santé n'inspire aucune inquiétude.
Les deux autres policiers eux ont été blessés dans le cadre de faits de "rébellion", a indiqué le parquet. Les quatre membres des forces de l'ordre se sont vu prescrire de 2 à 7 jours d'incapacité temporaire de travail.
Quatre interpellations
Quatre personnes dont les deux conducteurs des scooters et un mineur, ont été interpellés dans la soirée, leurs gardes à vue se poursuivaient toujours samedi soir.
Depuis une semaine, les quartiers populaires à cheval entre Meudon et Clamart, sont secoués par une série de rixes entre bandes rivales. Le week-end dernier, dans la cité "3F" côté Clamart ces affrontements ont fait deux blessés, dont l'un par un tir d'arme à feu à la jambe. 

Un parapentiste trouve la mort

Journée noire, hier, dans le ciel ariégeois avec deux accidents graves de parapente, dont un mortel.
Le premier accident est survenu aux alentours de 13 heures, sur la commune du Port.
Un parapentiste confirmé de 48 ans, demeurant à Pechbonnieu en Haute-Garonne, prend l'air de la piste de décollage de l'étang de Lers.
Après quelques minutes de vol, le parapente perd rapidement de l'altitude et le parapentiste s'écrase violemment au sol.
C'est un témoin de la scène qui donne l'alerte. Une colone de secours composée de sapeurs-pompiers de Massat, d'une équipe médicale et de gendarmes sauveteurs en montagne du PGHM de Savignac à bord de l'hélicoptère de la sécurité civile Dragon 66, converge vers le lieu de l'accident.
C'est dans un secteur situé à plusieurs centaines de mètres d'une piste carrossable qu'est découvert le parapentiste. Malheureusement, il est décédé.
Les gendarmes du PGHM de Savignac ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de l'accident. A-t-il été victime d'un malaise avant de chuter ? Sa voile s'est-elle prise dans les suspentes suite conduisant au drame ?
Le corps a été redescendu sur Tarascon.

Polytraumatisé

Un autre accident de parapente s'est déroulé vers 16 h 30, dans le secteur de Moulis cette fois.
Un parapentiste âgé de 50 ans a lui aussi lourdement chuté.
Il a été découvert inconscient dans un secteur accessible, blessé sérieusement aux membres inférieurs.
Là encore, les pompiers, une équipe médicale et les gendarmes du PGHM de Savignac sont intervenus pour assurer le secours.
Le parapentiste a été pris en charge et évacué sur un centre hospitalier de Toulouse à bord de l'hélicoptère du détachement aérien de la gendarmerie des Pujols.
 

samedi 20 juin 2015

Oise : le compagnon de la femme égorgée interpellé à Orléans

La cavale n'aura pas duré longtemps. Recherché par les gendarmes de Senlis (Oise) et Amiens (Somme) depuis la découverte de sa compagne, morte égorgée dans sa maison à Mareuil-sur-Ourcq (Oise), jeudi 18 juin, le compagnon de la victime a été retrouvé à Orléans (Loiret), vendredi après-midi.

L'homme a été interpellé par la police d'Orléans, qui l'a immédiatement remis aux enquêteurs de la section de recherches de Senlis. Il serait en garde-à-vue. L'hypothèse d'un crime passionnel est étudiée.

La procureure Amélie Cladière, qui refuse pour le moment de confirmer ces informations, devrait s'exprimer dans l'après-midi..

http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2015/06/20/oise-le-compagnon-de-la-femme-egorgee-interpelle-orleans-752149.html

Meurtre de Maureen : «Je veux voir mon frère dans les yeux pour savoir»

Le frère du principal suspect dans le meurtre de Maureen Jacquier parle pour la première fois. Il dresse le portrait d'un homme «non-violent» et «introverti» qui adorait faire la cuisine.
«Un homme discret, introverti et jamais impulsif». Pour la première fois depuis l'incarcération de Sylvain B., 25 ans, soupçonné du meurtre sanglant de Maureen Jacquier, la mécanicienne d'Airbus de 19 ans tuée à coups de couteau dans son studio, chemin Tricou à Toulouse, le 27 février, ses proches sortent de leur silence. Groggy et abasourdis par les révélations de l'enquête, ils décrivent un homme aux antipodes de la violence du crime dont Sylvain reste le principal suspect.
Écroué depuis huit jours, ce garçon nie toute participation à ce meurtre. Depuis son incarcération, sa famille qui vit à Colomiers est effondrée par les accusations qui pèsent sur cet homme. «Quelle que soit la personne responsable de ce meurtre, il faudra qu'elle paie car, bien sûr, ce qui s'est passé est horrible pour Maureen et sa famille. Mais tout ce que je connais de mon frère est à l'opposé de ce qu'on lui reproche aujourd'hui. Notre famille est sous le choc. Mon frère n'a jamais été violent. On s'est revu début mars pour son anniversaire, soit une semaine après les faits. Rien dans son comportement ne pouvait laisser penser qu'il pourrait être impliqué dans ce meurtre. Il souriait et n'a jamais manifesté de signes d'angoisse ou de peur. Il adorait faire la cuisine pour ses copains», réagit Frédéric, 33 ans, le frère de Sylvain dont deux traces ADN ont été retrouvées sur la couette de Maureen et sur une serviette de salle de bain, chez elle. Des éléments à charge pour lesquels il ne s'est jamais vraiment expliqué. Quelle était la nature exacte de sa relation avec la jeune mécanicienne ?

Dernière soirée ensemble

Les enquêteurs du SRPJ poursuivent leurs investigations sous l'autorité de la juge d'instruction Ethel Larrieu. Sylvain et Maureen travaillaient sur le même poste de montage dans les hangars d'Airbus de l'usine Clément-Ader, à Colomiers. Ils faisaient partie d'un même groupe d'amis qui avaient pour habitude de finir leur soirée dans des bars à tapas, route de Blagnac, ou dans des pubs. Avenante et épanouie à Toulouse, Maureen, originaire de Lyon, était très amie avec la future petite copine de Sylvain. Maureen était à l'origine de leur rencontre, il y a environ un an. Le 26 février, la veille de la découverte du corps de Maureen, les «Airbusiens» passent une soirée ensemble en sortant du boulot. «Mon frère était présent ce soir-là avec le groupe. Il y avait Maureen mais pas la petite amie de mon frère. Ils se sont envoyé des SMS durant la soirée. J'ai demandé à son amie, avec qui il vivait à Tournefeuille, à quelle heure était rentré mon frère ? Je n'ai jamais eu de réponses précises, poursuit Frédéric, c'est dommage car cela permettrait d'y voir plus clair sur son emploi du temps», poursuit-il, persuadé que trop de questions restent encore sans réponse. Le lendemain, vendredi 27, Maureen devait se présenter à son boulot à 12 heures. Elle n'y sera pas. Son corps, lardé de 63 plaies, est découvert par ses parents dans la soirée. La petite amie de Sylvain a rompu avec lui après sa mise en examen. «J'attends de voir mon frère en prison pour le regarder dans les yeux.»
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/20/2128714-meurtre-maureen-veux-voir-frere-yeux-savoir.html

vendredi 19 juin 2015

Perpignan : Ecroué pour maltraitance sur son bébé de 3 mois

L’affaire a commencé au début du mois de juin lorsque la brigade des mineurs du commissariat de Perpignan a été destinataire d’un signalement émanant des autorités médicales suite à l’admission d’un bébé de 3 mois à l’hôpital de Perpignan. Après examens, le petit garçon présentait des lésions hémorragiques cérébrales, sans traumatisme externe apparent. Il avait aussitôt été transféré dans un service pédiatrique spécialisé à Montpellier tandis que les médecins, dans les conclusions de leur rapport, faisaient état de leurs soupçons quant à « un syndrome du bébé secoué ».
Autrement dit, les blessures pouvaient correspondre à des actes de maltraitance infligés au nourrisson. Une enquête a aussitôt été lancée. Les investigations minutieuses, et toujours délicates dans ce genre d’affaire, ont permis de confirmer ce premier diagnostic et les doutes. Les parents de l’enfant ont été placés en garde à vue en début de semaine pour « violences aggravées sur un nourrisson ».
Selon les premiers éléments, les faits remonteraient au 28 mai dernier, comme semble l’attester un appel au secours de la mère, âgée de 24 ans, passé ce jour-là aux pompiers et signalant que son enfant était inconscient. Au cours de son audition, le père a reconnu les faits. Il a expliqué qu’il n’avait pas eu conscience des conséquences de ses actes et qu’il avait agi sur un coup de colère, ne supportant plus les pleurs incessants de son bébé. Âgé de 31 ans et déjà connu des services de police pour des faits de violence, il a été déféré au parquet à l’issue de sa garde à vue, mercredi, et écroué.
La mère a été laissée libre sous contrôle judiciaire. Une information judiciaire a été ouverte afin de procéder à des investigations supplémentaires qui se poursuivent. Le pronostic vital du bébé n’est pas engagé. Toutefois, il demeure sous surveillance médicale et des séquelles neurologiques ne peuvent être pour l’heure exclues. 
http://www.lindependant.fr/2015/06/19/perpignan-ecroue-pour-maltraitance-sur-son-bebe-de-3-mois,2046936.php

Deux policiers roués de coups en portant secours à une jeune femme à Nice

Deux policiers de la Bac de Nice ont été roués de coups par un groupe d'individus ce vendredi matin vers 5 heures dans le vieux-Nice.
Hors service, ils ont porté secours à une jeune femme agressée et ont annoncé leur qualité de policiers, provoquant un déferlement de coups.
L'un d'eux a dû être hospitalisé.
Un suspect a été interpellé
http://www.nicematin.com/nice/deux-policiers-roues-de-coups-en-portant-secours-a-une-jeune-femme-a-nice.2256494.html

Deux hommes arrêtés à l'Aiguille

Un accès de violence s'est brusquement produit, hier, dans le quartier de l'Aiguille, en plein centre de Trèbes. Deux hommes ont été interpellés par les forces de l'ordre mobilisées sur place.
Le quartier de l'Aiguille a vécu une chaude fin d'après-midi hier. Pour des raisons qui n'ont pas été clairement explicitées, cet ensemble d'immeubles s'est brusquement enflammé sous les agissements de plusieurs individus. Aux alentours de 18 heures, plusieurs jeunes hommes se seraient affrontés. Un conteneur à ordures ménagères a été enflammé face à la piscine municipale.
Cet embrasement a rapidement mobilisé les forces de l'ordre et les sapeurs-pompiers. En raison de cette brusque montée de violence dans ce quartier populaire, plusieurs unités de gendarmerie ont été mobilisées. Aux militaires de la brigade de Trèbes sont venus en renfort le peloton de surveillance et d'intervention (PSIG) de Carcassonne, l'escadron départemental de la sécurité routière (EDSR), les militaires des brigades de Conques-sur-Orbiel et de Peyriac-Minervois. Entre vingt-cinq et trente gendarmes ont été dépêchés sur les lieux afin d'empêcher les premiers incidents commis de dégénérer.
Au cours de leurs investigations entre les barres d'immeubles où les fauteurs de troubles s'étaient dispersés, deux hommes ont été arrêtés pour outrages. Sur le coup de 19 h 30, le calme était semble-t-il revenu dans le quartier, que les forces de l'ordre ont, cependant, maintenu sous surveillance.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/19/2127530-deux-hommes-arretes-a-l-aiguille.html

jeudi 18 juin 2015

Houlgate : une personne handicapée se noie dans la Dives

L'homme est tombé de la digue alors qu'il circulait sur son fauteuil-roulant. Les pompiers ne sont pas parvenus à le sauver.
L'alerte a été donnée à 14h50. Les pompiers de la caserne de Periers-en-Auge près de Cabourg se sont immédiatement rendus sur place. Ils ont reçu le renfort des plongeurs de Caen. La victime est tombée dans le chenal à la sortie du port de Dives-sur-mer à l'endroit où la Dives se jette dans la mer - l'intervention des pompiers a d'ailleurs été rendue difficile par le courant et la marée. Son corps sans vie n'a été récupéré que vers 17 heures.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/basse-normandie/2015/06/17/houlgatte-une-personne-handicapee-se-noie-dans-la-dives-750013.html

La fête du village endeuillée

Tout avait bien commencé vendredi soir dans le cadre de la fête locale avec un concert donné par les Chanteurs montagnards de Lourdes, Avisatz Pé et les chanteurs de la vallée de Castelloubon. Le samedi, la fête se poursuivait avec l'équipe du comité des fêtes et son nouveau président, Marc Mathedarré, avec ball-trap, apéritif et bal pour tous. Dimanche matin, tristesse, le maire du village de Gazost, Pierre Darré, avec émotion, annonçait le décès d'un jeune homme de 23 ans, originaire de Biarritz, venu faire la fête chez ses amis, comme il avait coutume de le faire chaque année à Gazost. Une minute de silence était observée dimanche lors de la réception des élus et des habitants. Le maire, dans son discours, rappelait qu'en février dernier, sa commune avait été bien éprouvée avec le glissement de terrain qui a coupé du monde le hameau d'Aranou, heureusement sans faire de victimes! «Je peux vous confirmer que Michel Pélieu, président du conseil départemental, s'est engagé à ce que la route soit refaite avant l'hiver, les appels d'offres sont déjà lancés. Espérons que nous aurons les moyens financiers pour assurer la consolidation. Une réunion à ce sujet doit se tenir prochainement en préfecture».
Josette Bourdeu, conseillère départementale, confirmait en donnant des précisions sur les travaux. Parmi les invités : le conseiller régional Claude Gaits, les conseillers départementaux José Marthe et Bruno Vinualès, ainsi que de nombreux maires et élus des communes de la vallée de Castelloubon. Isabelle Rebattu, sous-préfète, était excusée ainsi que Jeanine Dubié, députée.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/18/2126864-la-fete-du-village-endeuillee.html

mercredi 17 juin 2015

Le bus perd ses roues dans le tunnel

Grosse frayeur, hier, vers 15 h 40, pour les trente-quatre passagers — dont une majorité d'enfants — d'un autobus. Le véhicule venait d'entrer dans le tunnel de Foix, sur la RN 20, lorsqu'il a perdu les deux roues jumelles situées à l'arrière, côté gauche, pour une raison indéterminée.
Alertés, les agents de la direction interrégionale des routes sud-ouest (Dirso) et les policiers de Foix se sont immédiatement rendus sur place, à environ 300 mètres de l'entrée sud du tunnel, afin de réguler la circulation dans l'ouvrage d'art. Lequel a immédiatement été fermé à la circulation.
Hier soir, la police nationale et la Dirso s'accordaient à dire que le pire avait été évité. Car l'une des roues perdues a roulé sur une grosse centaine de mètres dans le tunnel, mais sans, heureusement, percuter les véhicules circulant en sens inverse. En outre, aucun des passagers de l'autobus n'a été blessé.
Les enfants ont été transférés dans un autre véhicule pour continuer leur trajet. Il était envisagé de réparer le bus à l'intérieur même du tunnel.
Le temps de ces opérations, le tunnel est donc resté fermé. Ce qui a occasionné de grosses difficultés de circulation dans le centre-ville de Foix par où la circulation avait été déviée.
 

mardi 16 juin 2015

Crash d'hélicoptère près de Longuyon, le pilote grièvement brûlé

Un hélicoptère s'est écrasé quelques secondes après son décollage lundi 15 juin 2015 à l'aérodrome de Villette, près de Longuyon. Le pilote a réussi à s'extraire de l'appareil en feu, mais est grièvement brûlé. Il est actuellement au service des grands brûlés de l'hôpital Mercy à Metz.
L'incident a eu lieu en début de soirée, raconte le Républicain Lorrain. Lundi 15 juin 2015 vers 18h, un hélicoptère s'est écrasé à l'aérodrome de Villette, près de Longuyon. L'appareil s'est emballé à 50 centimètres du sol, juste après son décollage, avant de piquer du nez. Le pilote, un homme de 58 ans, a réussi à s'extraire de la cabine en défonçant la vitre, malgré les flammes qui rongeaient l'hélicoptère. Il est grièvement brûlé et est soigné à l'hôpital Mercy de Metz.

Comme le raconte le quotidien, l'homme avait construit lui-même sa machine. Il avait même réussi, une première en France, à le faire homologuer et immatriculer. Il appartenait à la classe 6, des appareils ultra-légers. Il n'en reste plus que les pales, seuls éléments à avoir résisté aux flammes.


VIDEO sur ce lien ............   http://france3-regions.francetvinfo.fr/lorraine/2015/06/16/crash-d-helicoptere-pres-de-longuyon-le-pilote-grievement-brule-748303.html

Brigitte Barèges en garde à vue dans une affaire de détournement de fonds publics

La maire "Les Républicains" de Montauban, Brigitte Barèges a été convoquée ce matin par la Police judiciaire dans une affaire de détournement de fonds publics. L'élue a été placée en garde à vue, comme l'a confirmé le procureur de la Républiqueà La Dépêche Premium. Trois autres personnes sont également entendues.
Il s'agit de Stéphane Bensmaine, ancien directeur de cabinet de la mairie de Montauban, Jean-Paul Fourment, ancien chargé de communication à la mairie de Montauban et directeur de campagne pour les élections municipales de 2014, et d'Alain Paga, gérant de la SARL Arc-en-Ciel et directeur du "Petit Jounal".
Les quatre personnes ont été placées en garde à vue pour les chefs de "détournements de fonds publics, complicité et recel de ce délit, faux et usage."
"Ces faits font l'objet d'une enquête préliminaire confiée au SRPJ de Toulouse. Ils concernent le financement par la municipalité de Montauban d'un emploi possiblement fictif d'un chargé de communication à la mairie de Montauban", explique le procureur
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/16/2125752-brigitte-bareges-garde-vue-affaire-detournements-fonds-publics.html

Braquage à Pantin: 540.000 euros de smartphones volés

Près de 2.000 smartphones d'occasion ont été dérobés, lundi, lors du braquage d'une société à Pantin (Seine-Saint-Denis) pour un préjudice estimé à 540.000 euros.
Lundi vers 10h30, trois ou quatre individus cagoulés et armés ont fait irruption dans une société, ont fait usage d'un pistolet à impulsion électrique, de type Taser, contre le gérant et son employé, qu'ils ont ensuite ligotés.

Selon une source policière, les malfaiteurs se sont emparés de 1.800 téléphones d'occasion de marque Samsung et Apple lesquels, a précisé le parquet de Bobigny, étaient reconditionnés et destinés à la revente.

Le préjudice à la revente est estimé à 540.000 euros, a ajouté le parquet. L'enquête a été confiée à la Brigade de répression du banditisme de Paris.
 

lundi 15 juin 2015

Un adolescent se noie lors d'une fête champêtre dans le Gard

Un jeune homme de 17 ans a coulé à pic alors qu'il faisait du paddle avec des amis dans un Parc aventure, selon Le Midi libre.
La noyade n'a pu être évitée, selon Le Midi libre. Dimanche pourtant, les adolescents ont très vite réagi lorsqu'un de leurs camarades est tombé à pic dans l'eau de la Vidourle. Les jeunes étaient en train de faire du paddle, dans le cadre d'une fête de l'association culturelle évangélique de Montpellier. L'eau était calme mais l'endroit extrêmement profond.

Très rapidement arrivés sur place, les pompiers du Gard ont effectué une heure de recherche pour retrouver le corps de la victime à 6 mètres de profondeur. Malgré un long massage cardiaque, ils n'ont pu sauver l'adolescent de 17 ans.  

"Selon les premières investigations, diligentées par les gendarmes de la compagnie de Vauvert, la jeune victime n'avait pas son gilet de sécurité au moment des faits", rapporte le quotidien. Selon des témoignages, la victime ne savait pas nager ou pas très bien nager. Une enquête a été ouverte et les parents seront interrogés. Une cellule psychologique a immédiatement été mise en place après l'accident avec l'aide de bénévoles de la Croix-Rouge

Lesparre : il vole du gaz hilarant à la clinique mutualiste

Venu se faire soigner, un jeune d'Hourtin est reparti avec une bouteille de Kalinox. Il s'est ensuite rendu de lui-même à la gendarmerie
Samedi, un jeune d'Hourtin s'est rendu à la clinique mutualiste de Lesparre. Donnant nom et adresse, il a reçu des soins. Après son départ, le personnel s'est aperçu qu'une bouteille de gaz hilarant analgésique utilisé pour les anesthésies avait disparu !
 
Le bien nommé Kalinox a des vertus relaxantes, euphorisantes, antalgiques. Il n'a cependant pu être utilisé de façon récréative par son voleur. Se sachant recherché, il s'est présenté à la gendarmerie où il a été placé en garde à vue.
http://www.sudouest.fr/2015/06/15/faits-divers-1951467-4584.php

Un adolescent écroué pour tentative de meutre

Un adolescent de 14 ans, soupçonné d'avoir poignardé deux soeurs de 11 et 15 ans, vendredi dans l'Yonne, a été écroué hier soir, a indiqué le parquet d'Auxerre ce matin, confirmant une information de l'Yonne Républicaine. Le dépit amoureux était l'une des pistes envisagées par les enquêteurs et les victimes étaient hors de danger , a précisé le parquet. L'agresseur, qui "a reconnu les faits", a été mis en examen pour "tentative d'assassinat" et "violence volontaire avec arme".

Vendredi vers 18h00, le collégien, scolarisé dans le même établissement que les victimes, attendait les deux soeurs à la descente du bus scolaire à Nailly, petite commune située à côté de Sens. La plus jeune avait été grièvement blessée après avoir reçu 8 ou 9 coups de couteau de cuisine,tandis que son aînée souffrait de blessures plus superficielles. L'adolescent avait aussitôt pris la fuite à vélo. Il avait été rattrapé quelques mètres plus loin par un témoin, après avoir chuté sur le bas-côté.

Vendredi soir, le recteur de l'académie de l'académie de Dijon, Denis Rolland, qui avait fait part dans un communiqué de sa "vive émotion" après les faits, avait annoncé la mise en place d'une "cellule psychologique, dès lundi" dans le collège, où sont scolarisés les trois adolescents.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/06/15/97001-20150615FILWWW00086-un-adolescent-ecroue-pour-tentative-de-meutre.php

La victime était assise dans le coffre

Depuis samedi soir, les gendarmes de la compagnie d'Agen cherchent à recomposer les dernières minutes qui ont conduit une jeune fille de 17 ans jusqu'à la mort. Les enquêteurs veulent par exemple savoir où se trouvait la Citroën dans la file de trois ou quatre voitures à l'entrée de Pont-du-Casse et poursuivent les auditions des automobilistes témoins sur cette portion de la D 656.
Aux environs de 17 heures samedi, le conducteur de cette Citroën de location n'a pas été en mesure d'en garder le contrôle. La voiture a franchi la ligne médiane, a percuté un talus avant de s'immobiliser dans le terrain d'un centre d'éducation pour chiens qui borde la route départementale.
Dans le véhicule, un père de famille de 46 ans,domicilié à Laroque-Timbaut, son fils assis à ses côtés et la cadette de 17 ans derrière. Mais le modèle de Citroën que conduisait l'automobiliste est sans siège à l'arrière, et donc sans ceinture de sécurité. Le père et le fils sont sortis de l'habitacle par leurs propres moyens mais la jeune fille était grièvement blessée après les embardées de la voiture.
Vers 19 heures, son pronostic vital était déjà engagé et les secours affichaient leur pessimisme. Les urgentistes du SAMU47 l'ont réanimée à deux reprises mais elle est décédée pendant son transport au centre hospitalier. Il était envisagé de l'évacuer vers Bordeaux par hélicoptère.
Sur place, les gendarmes ont procédé aux premiers relevés mais aussi à un dépistage d'alcoolémie sur le conducteur. Il s'est avéré positif. Une prise de sang doit dans les prochains jours confirmer, ou pas, le dépassement des taux autorisés.
Au lendemain du décès de sa fille, le père a souhaité donner sa version de ce qui s'est passé samedi. Il ne conteste pas avoir emmené ses enfants dans un véhicule non-équipé à l'arrière pour les passagers. En revanche, «j'ai voulu doubler une voiture. Le conducteur a accéléré pour ne pas se faire doubler. En haut de la côte dans le virage, deux voitures arrivaient en face je n'avais pas le temps de freiner car il y avait d'autres véhicules derrière. Sa voiture a percuté l'arrière de la mienne je ne sais pas pourquoi j'ai ressenti un choc et on est parti dans le fossé.» Cette version ne coïncide pas avec les témoignages.
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dimanche 14 juin 2015

Deuxième fusillade de L'Haÿ-les-Roses: Un homme en garde à vue

Un homme de 20 ans, soupçonné d'être impliqué dans la fusillade qui a blessé grièvement un homme de 22 ans vendredi soir à L'Haÿ-les-Roses (Val-de-Marne), est en garde à vue depuis dimanche matin, a-t-on appris de sources judiciaire et policière.
«Un homme s'est présenté dans les locaux de la brigade criminelle de Paris», chargée de l'enquête, a indiqué une source judiciaire. «Son avocat avait d'abord appelé pour dire que son client avait des choses à dire sur la fusillade», a poursuivi cette source.

Un enfant de 10 ans avait été blessé par des éclats de verre

Le suspect, originaire du Val-de-Marne et qui «habiterait maintenant dans l'Essonne», est «bien connu de nos services», a indiqué une source policière. «Le domicile de ses parents a été perquisitionné dimanche matin» à L'Haÿ-les-Roses, a ajouté cette seconde source. D'abord annoncée dans un état grave, la victime de la fusillade, touchée de deux balles dans un probable règlement de comptes, «va mieux» après avoir été opérée dans un hôpital parisien.
Vendredi matin, dans cette même commune résidentielle de 31.000 habitants, un enfant de 10 ans avait été blessé par des éclats de verre dans la voiture de ses parents sur laquelle deux hommes avaient tiré, dans ce qui semblait être déjà un règlement de comptes. Le père, 40 ans, «extrêmement connu» des services de police et déjà «lourdement condamné» à deux reprises pour trafic de stupéfiants, était en permission de sortie.
A ce stade de l'enquête, aucun lien n'a été établi entre ces deux affaires.
http://www.20minutes.fr/societe/1630979-20150614-deuxieme-fusillade-ha-roses-homme-garde-vue

Incendie dans le XVIIe : dix blessés, dont deux enfants

Dix personnes légèrement blessées, parmi lesquelles deux petits enfants. Un violent incendie survenu samedi à 13h40 dans un immeuble situé rue Claude-Debussy (XVIIe), à deux pas de la caserne des sapeurs-pompiers de Paris, a provoqué un véritable mouvement de panique dans l’immeuble, au point qu’à leur arrivée, les sauveteurs ont trouvé deux personnes réfugiées sur le toit de la bâtisse.
Le sinistre s’est déclenchée dans la cuisine d’un appartement du deuxième étage, ravageant les 70 mètres carrés du logement, avant de se propager au niveau supérieur et de de provoquer un «bouchon» de fumée opaque qui a mis en panique les résidants. Après avoir évacué les lieux, secouru les blessés, extrait les deux enfants des flammes et être allés chercher les personnes qui avaient trouvé refuge sur le toit, les pompiers ont conduit tous les habitants jusqu’à un poste de secours avancé, installé dans les locaux d’un concessionnaire automobile. Les jours des victimes ne sont pas en danger, mais l’appartement a été totalement détruit.
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-75017/incendie-dans-le-xviie-dix-blesses-dont-deux-enfants-13-06-2015-4859971.php

Le choc frontal fait trois blessés graves

Un terrible choc frontal s'est produit hier en milieu d'après-midi sur la RN 21, à hauteur de la commune de Sainte-Mère. L'accident a fait trois blessés graves, tous Gersois. Conditions météo ? Chaussée rendue glissante par les intempéries ? On ignore encore pourquoi un utilitaire Ford et une Mercedes Class A sont entrés en collision frontale, vers 16h30, juste dans le premier virage signalé comme dangereux après la longue ligne droite qui longue Sainte-Mère. Mais sous la violence de l'impact, la voiture s'est trouvée propulsée dans le fossé en contrebas de la route. Les pompiers de Lectoure, Miradoux et Astaffort ont désincarcéré un homme de 30 ans, et retrouvé une femme du même âge dans le champ. Autre victime du drame, un homme de 35 ans. Tous ont été transférés vers le centre hospitalier d'Agen après avoir été stabilisés sur place par les secours. Les brigades de Fleurance, Lectoure et Saint Clar ont procédé aux constatations.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/14/2124287-le-choc-frontal-fait-trois-blesses-graves.html

samedi 13 juin 2015

Accident sur la D 1044 à Charmes: un motard gravement blessé

Un accident impliquant une voiture et une moto s’est produit ce samedi après 17 h 30 à hauteur de la commune de Charmes dans l’Aisne. La collision a eu lieu sur la D1044 qui relie Laon à Saint-Quentin. La moto Kawasaki qui roulait en direction de Laon a heurté l’arrière d’une Peugeot 306 stoppée à un feu de travaux au rouge. Après ce premier choc d’une grande violence, la moto a encore percuté l’aile conducteur d’une Ford Fiesta qui arrivait en face et une autre voiture.
« J’ai vu sa moto glisser et lui rouler sur le macadam » témoignait le conducteur de la 306, choqué après cet accident. Les sapeurs-pompiers étaient encore à 18 h 30 autour du pilote de la moto, conscient mais gravement blessé, avant son transfert vers un centre hospitalier. L’axe de circulation était encore coupé dans les 2 sens. Aucune déviation n’est mise en place.
http://www.lunion.com/node/485965

Seconde fusillade à l’Haÿ-les-Roses : un jeune homme de 22 ans grièvement blessé

Quelques heures après la première fusillade qui a blessé un enfant de 10 ans à l’Haÿ-les-Roses, dans le Val-de-Marne, une deuxième a éclaté en fin de journée touchant par balles un homme de 22 ans.
Un vendredi noir à l’Haÿ-les-Roses, commune du Val-de-Marne, après la fusillade matinale qui a blessé un enfant de 10 ans. Un deuxième règlement de compte a éclaté aux alentours de 19h15 blessant grièvement un homme de 22 ans par balles.

Entre la vie et la mort

Les faits se sont déroulés dans la rue de Bicêtre où le jeune homme âgé de 22 ans, « connu des services de police pour de la petite délinquance », se promenait. Selon les témoins, une voiture est venue percuter le jeune homme, le bloquant contre le mur. Un homme casqué a tiré à deux reprises sur la victime, « dans le mollet et dans l’aine », avant de prendre « la fuite en voiture ».
L’homme a été transporté dans un état grave dans un hôpital parisien et se trouve entre la vie et la mort. Une enquête a été ouverte pour « tentative d'homicide volontaire avec arme » et confiée à la Brigade criminelle de la police judiciaire de Paris. Selon les premiers éléments « le lien entre les deux affaires n'est pas avéré ». Le maire espère que les « futures installations de vidéoprotection » permettront d’éviter de nouvelles affaires de ce genre.

vendredi 12 juin 2015

Le Havre: un enfant jeté par la fenêtre sauvé

Une mère a sauvé son enfant en le réceptionnant dans ses bras après qu'il eut été jeté par la fenêtre par le père, du deuxième étage d'un immeuble du Havre (Seine-Maritime), a-t-on appris aujourd'hui de source policière. La nuit dernière, dans un petit immeuble du centre-ville, le mari violent, âgé de 29 ans, s'était disputé avec sa femme. Il l'avait mise dehors et avait fermé la porte à clé, tout en menaçant de passer leur enfant de 5 ans par la fenêtre.

Prenant cette menace au sérieux, la mère s'est précipitée au bas de l'immeuble et a eu tout juste le temps de réceptionner l'enfant. Le père a ensuite sauté par le fenêtre sans trop se blesser, tombant sur le capot d'une voiture.

Restant très agressif, le père n'a pu être maîtrisé par la police qu'après l'usage d'un pistolet à impulsion électrique. Il a été placé en garde à vue dans un premier temps au centre hospitalier, avant d'être transféré, sur avis médical, dans un établissement psychiatrique.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/06/12/97001-20150612FILWWW00405-le-havre-un-enfant-jete-par-la-fenetre-sauve.php

Haÿ-les-Roses: un enfant de 10 ans blessé dans une fusillade

Un enfant de 10 ans a été blessé par des éclats de verre après des coups de feu tirés à l'Haÿ-les-Roses (Val-de-Marne), victime collatérale d'un probable règlement de comptes, a-t-on appris ce matin. "Deux individus à pied ont ouvert le feu en direction de la lunette arrière d'une voiture arrêtée à un feu rouge", dans laquelle se trouvait le jeune garçon, sa mère et son père, a indiqué une source policière.

Selon les premiers éléments de l'enquête, le père, qui "venait de sortir récemment de prison", a "probablement été la cible d'un règlement de comptes sur fond de trafic de drogue", a précisé la source policière. L'enfant a pour sa part été légèrement blessé par des éclats de verre, une balle ayant brisé la vitre du véhicule, selon une deuxième source policière. Il a été pris en charge à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre.

Les trois occupants du véhicule pris pour cible se sont réfugiés dans le commissariat de l'Haÿ-les-Roses, a précisé cette même source.
L'enquête pour "tentative d'homicide volontaire" a été confiée à la police judiciaire du Val-de-Marne, a indiqué une source judiciaire.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/06/12/97001-20150612FILWWW00117-ha-les-roses-un-enfant-de-10-ans-blesse-dans-une-fusillade.php

Lille: un trentenaire blessé par balles

Un homme de 33 ans a été blessé par une arme à feu cet après-midi dans le quartier sensible de Lille-Sud, mais son pronostic vital n'était pas engagé, a-t-on appris auprès des pompiers. "L'homme a été touché par une arme à feu à l'abdomen droit et l'antagoniste a été interpellé par les forces de l'ordre", a indiqué le Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (Codis). "La victime a été transportée dans un état grave au CHR de Lille, mais son pronostic vital n'est pas engagé", a ajouté la source.

L'agresseur a tiré deux coups de pistolet mitrailleur, de type Uzi, de la fenêtre de son appartement situé au 4e étage, vers 18H30, a indiqué une source policière. La victime et le tireur "sont connus des services de police, mais pas pour des faits graves", a fait savoir une source policière, qui a précisé que l'origine du différend entre les deux hommes n'était pas connu. L'enquête a été confiée à la Sureté urbaine de Lille

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/06/11/97001-20150611FILWWW00416-lille-un-trentenaire-blesse-par-balles.php

jeudi 11 juin 2015

Ajouter un lienSaint-Jean-de-Luz : un jeune homme tombe de la falaise Sainte-Barbe

Le périmètre de Sainte-Barbe à Saint-Jean-de-Luz était bloqué par la police ce jeudi matin suite à la chute d'un jeune homme du haut de la falaise vers 9 h 30. La victime est tombée 15 à 20 mètres plus bas au niveau des rochers.
Grièvement blessé, le jeune homme est toutefois resté conscient durant l'intervention des sapeurs pompiers hendayais et luziens et relayés ensuite par le Samu.

Un lieu difficile d'accès

Une fois conditionné pour pouvoir être sorti en toute sécurité de ce lieu difficile d'accès, il a été conduit par l'hélicoptère de la gendarmerie jusqu'à la Digue aux chevaux. Là, il a été aussitôt pris en charge dans l'ambulance du Samu postée sur le boulevard Thiers, d'où il devait être conduit, une fois stabilisé, jusqu'au centre hospitalier de Bayonne. 
http://www.sudouest.fr/2015/06/11/saint-jean-de-luz-un-jeune-homme-tombe-de-la-falaise-sainte-barbe-1948484-4099.php

mercredi 10 juin 2015

Faches-Thumesnil : un blessé grave dans une collision automobile-TER à un passage à niveau

Une voiture a été percutée par un TER mardi 9 juin, vers 17h30, à Faches-Thumesnil au niveau d'un passage à niveau. 
Le conducteur du véhicule est gravement blessé et a été transporté au CHR de Lille selon Marc Bidon, commandant en charge des opérations de secours. Dans le TER, plus d'une centaine de personnes ont été évacuées, dans une salle de sport à proximité selon les pompiers. Quatre ont été blessées très légèrement par des éclats de verre dans le train mais n'ont pas été hospitalisées. Le conducteur du TER a été très choqué, mais pas blessé.

Les moyens engagés étaient nombreux, notamment parce qu'on ne savait pas, au départ, s'il y avait des blessés en plus parmi les passagers du train. Environ 80 pompiers se sont rendus sur place ainsi qu'une trentaine de véhicules.

Sur les circonstances de l'accident,
un témoignage cité par La Voix du Nord explique que l'automobiliste était coincé dans la circulation lorsque les barrières se sont fermées. "On lui a crié de dégager tout de suite de sa voiture mais il est resté comme sidéré." Quant au véhicule, projeté après le choc sur le bas-côté, il aurait rebondi contre le train, qui continuait à avancer malgré le freinage. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2015/06/10/faches-thumesnil-cinq-blesses-dans-une-collision-automobile-ter-un-passage-niveau-743475.html

«Disparues de l’A6»: Jean-Pierre Mura devant les assises pour le meurtre de Christelle Maillery

Trente longues années d’attente. Ce mercredi après-midi, le procès du meurtre de Christelle Maillery, tuée en 1986 au Creusot, va s’ouvrir devant la cour d’assises de Saône-et-Loire. Le premier d’une série d’une dizaine de meurtres non élucidés de jeunes filles surnommées « les disparues de l’A6 ». Toutes ont été tuées dans les années 1980 et 1990 dans un triangle, le long de l’autoroute, entre Mâcon, Chalon-sur-Saône et Montceau-les-Mines.
Jusqu’à présent, la justice n’a retrouvé aucun meurtrier. Sauf, peut-être, celui de Christelle, Jean-Pierre Mura, soupçonné de lui avoir porté 33 coups de couteau dans une cave HLM d’une cité à quelques centaines de mètres de chez elle. Ce jour-là, le 18 décembre 1986, le facteur, qui faisait sa tournée, a vu un homme s’enfuir de l’immeuble avant de le bousculer sur un sentier qui mène à l’entrée du sous-sol où le corps est retrouvé.
http://www.20minutes.fr/societe/

mardi 9 juin 2015

Wattrelos : la mère de famille retrouvée morte vendredi a été étranglée

Mystère autour du décès d'une femme de 44 ans à Wattrelos jeudi soir. La piste de l'homicide est privilégiée mais les enquêteurs restent prudent et ouverts à toutes les hypothèses.
Les résultats de l'autopsie sont tombées vendredi soir. Selon La Voix du Nord qui cite une source judiciaire, ils révèlent que Valérie Dewinne, 44 ans, mère de famille habitant à Wattrelos est décédée des suites d'un étranglement. Elle n'est pas morte seule. Une autre personne au moins est intervenue.

Valérie Dewinne, auxilliaire de vie à Roubaix,
a été retrouvée à moitié nue près de son canapé vers 22h30 jeudi soir par un de ses fils âgé de 16 ans, inquiet de ne pas avoir de nouvelles. Un plaid était autour de son cou. Du verre brisé a également été retrouvé à proximité faisant penser, selon une source policière à des traces de lutte.

Un homme en garde à vue

Autre détail troublant : la porte était fermée à clé et aucune trace d'effraction n'a été décelée. Malgré ces éléments, la plus grande prudence est de mise. Le Parquet de Lille a choisi de ne pas communiquer sur cette affaire : "On est toujours dans le flou".

On sait tout de même qu'un homme de 42 ans, en lien avec la victime, a été placé en garde à vue ce week-end mais rapidement relâché. L'enquête a été confiée à la Police Judiciaire de Lille. 


http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2015/06/09/wattrelos-la-mere-de-famille-retrouvee-morte-vendredi-ete-etranglee-742691.html

Agression d'une soignante à l'hôpital Lenval de Nice: 18 mois de prison dont 6 avec sursis

Un homme de 42 ans, ivre, avait agressé le 8 mai une auxiliaire puéricultrice aux urgences pédiatriques de l'hôpital Lenval de Nice. La victime souffre d'une fracture du nez. L'homme écope de dix-huit mois de prison dont six avec sursis.
Le procureur de la République a requis ce lundi, en correctionnelle, huit mois de prison ferme. Le tribunal correctionnel a condamné mardi ce repris de justice à 18 mois de prison dont 6 mois avec sursis et deux ans de mise à l'épreuve.
>> RELIRE.
La peine est assortie d'une interdiction de paraître à Lenval.
L'agresseur s'était énervé alors qu'il avait dans les bras la fillette, petite Algérienne de 3 ans en crise d'épilepsie.
Il reprochait à l'hôpital de ne pas vouloir la prendre en charge.
http://www.nicematin.com/nice/agression-dune-soignante-a-lhopital-lenval-de-nice-18-mois-de-prison-dont-6-avec-sursis.2243984.html

«La justice fait du surplace et nous mène en bateau»

Et maintenant on doit face à une occupation illégale du bâtiment, il est ouvert aux quatre vents et les jeunes et moins jeunes, qui ont dégradé tout ce qui pouvait l'être, passeront au tribunal.» Ce qui ne rassure pas pour autant Jean-Pierre Gaillard, le directeur général d'Habitalys parlant de gâchis, d'écœurement, de manque de respect pour la mission de bailleur social. Ce ne sont pas les jeunes vandales qui ont, ainsi, droit à la colère de Jean-Pierre Gaillard, «mais bien les promoteurs ! Le projet de la Résidence d'Aquitaine date d'avant 2010 et dans le cadre de ce projet-là, la mairie de Boé donna son aval à condition qu'un quota de logements sociaux soit intégré dans le projet.» C'était la première fois que le bailleur social, «d'autres le font et cela marche plutôt bien», s'engageait dans une procédure de VEFA, «vente en l'état futur d'achèvement.»

500 € d'astreinte par jour

Sur le projet Habitalys a investi 500 000 €, «ce qui correspondait à un des 5 bâtiments et à 8 logements. Le cahier des charges a été accepté par le promoteur et la construction a été réalisée. «Avec suffisamment de problèmes pour que le bâtiment ne soit jamais réceptionné, que l'architecte déclare forfait et que les entreprises se retirent parce qu'elles n'étaient pas payées. Depuis 2012 on attend la réception et que les réserves que nous avons posées soient levées.» Une action a été conduite, en contentieux contre le promoteur : l'astreinte, décidée par la justice, pour lui forcer la main est de 500 € par jour depuis plusieurs années, «cela correspond à plusieurs dizaines de milliers d'€» ajoute Bruno Guirandie, «mais je crois que l'on va s'asseoir dessus…» Les autres propriétaires (pour les 4 autres bâtiments de la résidence) ont intégré les locaux mais font face eux aussi au promoteur via une association de défense. Jean-Pierre Gaillard «se désole de voir ce bâtiment à l'abandon, cela fait mal au cœur quand on voit l'état de l'immeuble.» Et il se dit «indigné, nous avons bonne presse, une réputation de bailleur social solide, nous respectons profondément les gens qui nous font confiance.» Pour la résidence d'Aquitaine, «nous avions déjà attribué les logements à des locataires qui, eux, avaient donné congé pour les logements qu'ils occupaient alors. Certains se sont donc trouvés dans une situation dramatique. Nous avons répondu présent en prenant en charge, par exemple, les frais de déménagements… Aujourd'hui nous remboursons le prêt de 500 000 € et le manque à gagner est de 30 000 € par an !» Et les solutions manquent, «pendant que le bâtiment se dégrade». Jean-Pierre Gaillard ajoute : «On ne voit pas comment on va s'en sortir… On est otage d'un promoteur, d'une justice qui patine et qui refuse de prendre une décision. On a essayé une solution à l'amiable, en vain. La décision qui devait être prise en mai par la justice est de nouveau repoussée en octobre…»
(N.D.L.R. : joint par e-mail, le promoteur n'a pas donné suite à la demande de précisions )
 

Perpignan : évadé de prison, il menace de mort son ex-petite amie

U ne jeune femme vit dans la terreur depuis qu'elle a appris l'évasion de son ex-compagnon qui était violent avec elle.
Elle vit un véritable calvaire. S., cette jeune femme de 28 ans, habitant dans le quartier du Bas-Vernet à Perpignan, est aujourd'hui obligée de se cacher, avec sa fille âgée de 8 ans. Elle a dû quitter son appartement et a été mise en sécurité dans un hébergement d'urgence en raison de menaces de mort réitérées de son ex-petit ami.
la prison de Poitiers-Vivonne mardi dernier, où il était incarcéré dans le cadre d'une affaire de trafic de stupéfiants. Durant trois ans, à Perpignan, S. a fréquenté M.*, sans pour autant habiter avec lui. Le couple s'est séparé en novembre 2013, sur décision de la jeune femme. "Il ne supportait pas la séparation, raconte-t-elle. Il m'appelait sans arrêt, m'envoyait des messages où il me menaçait de mort. Il est venu devant ma porte, armé, m'a poursuivie dans la rue. Il a même brûlé la voiture de mes parents. J'ai déposé 17 plaintes au commissariat contre lui".

"Tu vas mourir"

C'est avec des tremblements dans la voix que la jeune femme revient sur son histoire. Elle raconte que l'homme, aujourd'hui âgé de 37 ans, a été arrêté en août 2014 avec 506 g d'héroïne sur lui. "Il avait forcé un barrage et blessé un gendarme. Il avait réussi à s'enfuir et avait passé une semaine en cavale. Finalement arrêté, il a été incarcéré à la prison de Poitiers-Vivonne. J'ai été convoquée le 3 décembre 2014 par le juge d'instruction à Perpignan pour mon affaire de menaces de mort. Nous ne savions pas, à ce moment-là, qu'il était en prison. Il m'appelait tout le temps, même quand il était en prison. Il me disait : 'Tu vas mourir'. 'Dieu m'a envoyé pour te tuer'. 'Je vais te dégommer'. 'Même la police ne m'arrêtera pas'. 'Je vais faire comme Mohamed Merah, je vais tout faire exploser et tu vas mourir'".
S. est aujourd'hui terrorisée à l'idée que cet homme tente de la retrouver et mette ses menaces à exécution. "Il fumait beaucoup. C'est un toxicomane. Il parlait souvent de partir faire le jihad. Pendant trois ans, j'étais sa prisonnière. Un jour où je voulais le quitter, il m'a rouée de coups, m'a enfermée dans le coffre de sa voiture et m'a emmenée jusqu'à Paris. Il m'a ensuite dit qu'il me pardonnait, en me mettant une arme sur la tempe. Je lui ai dit que je lui pardonnais parce que j'avais peur et que je n'avais pas d'autre échappatoire".
Aujourd'hui, la peur tenaille toujours la jeune femme qui espère que cet homme va être très rapidement retrouvé et interpellé.

http://www.midilibre.fr/2015/06/08/perpignan-evade-de-prison-il-menace-de-mort-son-ex-petite-amie,1172479.php

lundi 8 juin 2015

Escaudain : un jeune homme prend la foudre par son téléphone, paralysie partielle de la main

Une affaire peu banale confirmée par les pompiers du Nord et révélée par La Voix du Nord. Alors que vers 19h30, les pompiers sont appelés à Escaudain, près de Denain, par des particuliers dont les trois maisons ont été touchées par la foudre - il y a eu un départ de feu sur une toiture - les hommes du feu constatent la blessure à la main d'un jeune homme.

Ce dernier, prénommé Anthony, tenait son téléphone portable en charge lorsque la foudre s'est abattue sur la maison de ses parents. La Voix du Nord relate le témoignage de sa mère : "la porte d’entrée a claqué, on a entendu une détonation et on a vu une boule de feu entrer à l’intérieur de la maison". Bilan, les pompiers conduisent Anthony en transport non médicalisé au CH de Valenciennes, et aujourd'hui, le jeune homme ne parvient à se servir que de deux doigts sur la main touchée.

Conseils de prudence

Les pompiers rappellent que, même si ce type d'accident est de plus en plus rarissime, notamment en raison des recommandations et des nouvelles normes sur les protections des maisons, il est conseillé de débrancher un maximum d'équipements électriques pendant l'orage. En ce qui concerne le téléphone portable, il n'y a normalement pas de risque, sauf si - comme c'était malheureusement le cas pour Anthony - il est branché sur le secteur.

La paralysie, en général, et on l'espère pour Anthony, est, selon les pompiers, le plus souvent, momentanée. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2015/06/08/escaudain-un-jeune-homme-prend-la-foudre-par-son-telephone-paralysie-partielle-de-la-main-741755.html