lundi 24 novembre 2014

Apt : il emmène son bébé à pied à l’hôpital après une sortie de route

Le bébé, âgé d’un peu plus de deux ans, souffrait d’un traumatisme crânien. Il a été héliporté au CH de Marseille, les médecins ne se prononçaient pas hier sur la gravité de ses blessures.
Ce bébé avait été blessé vers 22h30, dans une sortie de route. Son père était au volant. Alors qu’il circulait sur la route de Marseille, vers 22h30 samedi soir, il a perdu le contrôle de sa voiture et percuté un mur d’habitation.
L’enfant n’était pas attaché et a été éjecté de son siège. Comme il se trouvait à proximité immédiate de l’hôpital aptésien, le père a alors décidé d’emmener directement, et à pied, son fils aux urgences.
C’est là qu’il a été décidé de le transférer immédiatement à Marseille

http://www.ledauphine.com/actualite/2014/11/23/il-emmene-son-bebe-a-pied-a-l-hopital-apres-une-sortie-de-route

dimanche 23 novembre 2014

A Rouville (Oise), une voiture touche un train sur le passage à niveau

On a frôlé l'accident grave. "Frôlé", c'est bien le mot. La Sncf rapporte qu'une voiture a "griffé" un Transilien, samedi 22 novembre à Rouville, dans l'Oise, sur le passage à niveau du chemin des meuniers. Vers 11h40, le train a été touché à l'arrière, mais sans que sa circulation ne soit perturbé et sans faire de blessé.

L'incident a eu un impact limité sur le trafic. L'extraction de la voiture impliquée, opérée avec une dépanneuse, a engendré des retards de 49 et 17 minutes sur deux trains (ligne Laon-Paris) qui suivaient celui touché, la circulation étant rétablie à 13h05.

Les circonstances des faits demeurent floues. Le conducteur pourrait avoir tenté de traverser la voie juste après le passage du train et se serait engagé trop tôt. Une autre version veut que l’homme était fatigué et n’a pas vu qu’il fallait s’arrêter. Un dernier témoignage rapporte que son véhicule était "coincé", que l’homme a paniqué et qu’il est sorti de la voiture en voyant le train arriver. On en saura peut-être davantage lundi.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2014/11/23/rouville-oise-une-voiture-touche-un-train-sur-le-passage-niveau-598268.html

A 12 ans, il tombe de la tondeuse... elle lui coupe trois doigts

Les sapeurs-pompiers et une équipe du Samu 38 ont porté secours, hier après-midi, à un garçon de 12 ans grièvement blessé lors d’un terrible accident domestique à La Murette.
L’enfant est en effet tombé d’une tondeuse autotractée _dans des circonstances qui restent à établir_ et l’une de ses mains est passée sous la lame.
Trois de ses doigts ont ainsi été sectionnés, dont le pouce.
Médicalisé sur place, la victime a été transportée en urgence à l’hôpital Michallon de Grenoble-La Tronche
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2014/11/22/les-doigts-d-un-enfant-coupes-par-une-tondeuse

samedi 22 novembre 2014

Chavanoz : une femme meurt dans une sortie de route

Le terrible accident est survenu très tôt ce samedi.

Peu avant 5 heures du matin, une voiture, circulant sur la RD 55 à Chavanoz, a effectué une violente sortie de route, venant s"encastrer dans le portail d'une maison. Réveillés par le bruit du choc, les occupants ont donné l'alerte. Rapidement sur place, les sapeurs-pompiers et une équipe du Smur de Bourgoin-Jallieu ont alors constaté que la conductrice avait été éjectée de l'habitacle. En arrêt cardio respiratoire, elle n'a pu être ramenée à la vie. La victime était âgée de 22 ans.
Les gendarmes de Pont de Cheruy ont procédé aux constatations.


http://www.ledauphine.com/isere-nord/2014/11/22/chavanoz-une-femme-meurt-dans-une-sortie-de-route

vendredi 21 novembre 2014

Marcheuse tuée à Echillais (17) : ce que l'on sait de l'affaire

Ce vendredi, à 17 heures, la procureure de la République de La Rochelle devrait en dire plus sur l'avancée de l'enquête de la gendarmerie concernant le meurtre de Catherine Gardère, début octobre à Echillais, et sur l'identification de l'auteur présumé, un Rochefortais de 22 ans originaire de Libourne, mis en garde à vue ce jeudi. Voici, pour l'heure, ce que l'on sait de cette effroyable affaire :
 

Les faits

Jeudi 2 octobre 2014, vers 16 h 20, Catherine Gardère, une femme de 51 ans originaire de Marmande (Lot-et-Garonne), quitte son domicile pour aller marcher seule, en tenue adéquate et munie de bâtons, dans un sous-bois d'Echillais, une commune située au sud de Rochefort, en Charente-Maritime. 
Adepte de marche nordique, cette mère de deux grandes filles, décrite comme une femme « sans histoires », a l'habitude d'emprunter ces voies, en solitaire ou accompagnée de son époux. Pourvu de nombreux chemins, l'espace est fréquenté par des cavaliers, joggeurs, vététistes, promeneurs ou encore pêcheurs. Ce jeudi, elle croise d'ailleurs d'autres marcheurs sur sa route.
Vers 20 heures, ne la voyant pas revenir et après avoir tenté de la joindre à plusieurs reprises sur son téléphone, son mari, ancien conseiller municipal de 1989 à 2001, donne l'alerte. Des moyens nautiques, terrestres et aériens sont déployés jusqu'à la tombée de la nuit pour la retrouver. Y participent des pompiers, des gendarmes, des unités cynophiles et des riverains.
Catherine Gardère est finalement retrouvée sans vie le lendemain, vendredi 3 octobre, à 10 h 15. Elle a le crâne fracassé, porte des traces de coups au visage et la partie inférieure de son corps est dénudée. Les techniciens en police technique et scientifique de la gendarmerie procèdent à divers prélèvements sur le corps de la victime et autour de cette dernière.
Les conclusions de l'autopsie
Les premières conclusions de l'autopsie, réalisée en urgence le soir de la découverte du corps de Catherine Gardère, indiquent que la quinquagénaire est décédée des suites de fractures multiples sur la face, d'une fracture du crâne et d'une plaie au niveau du cuir chevelu. Les coups ont été portés avec un bâton ou une pierre, mais pas par une arme blanche. Des lésions qui ont occasionné des hémorragies cérébrales. Quelques fractures sont relevées sur les côtes.
Aucun élément ne permet de dire si la quinquagénaire a été ou non victime d'un viol, mais le fait que la partie inférieure de son corps était dénudée oriente les enquêteurs de la section de recherches de la gendarmerie de Poitiers vers la piste d'une agression sexuelleUne information judiciaire pour meurtre est ouverte.
Deux départements sous le choc
Quelques heures après l'annonce des premières conclusions de l'autopsie, Michel Gaillot, maire d'Echillais, appelle la population du village à "rester digne, à être attentive à ce qu'on dit et à ne pas raconter n'importe quoi" pour ne pas alimenter spéculations et rumeurs, et enfin "à ne pas céder à la psychose".
Quelques jours plus tard, samedi 11 octobre, une marche blanche est organisée à Echillais. 650 personnes se retrouvent pour ce dernier rendez-vous avec Catherine Gardère, organisé par les proches de la défunte pour dire leur émotion et leur tristesse. L'époux, Jean-François, et l'une des deux filles préfèrent rester à l'abri des regards.
Des gens affluent de tout le pays rochefortais, hommes, femmes, enfants, jeunes et seniors, sans oublier plusieurs élus de l'agglomération rochefortaise. Dans un silence de recueillement, le cortège de deuil parcourt quelque 800 mètres jusqu'à la place du foyer, au cœur du village. La cérémonie, très simple, a duré une demi-heure et s'est terminée par un merci rempli d'émotion, prononcé par l'une des amies de la victime.
Dans le même temps, une autre marche blanche est organisée à Virazeil, près de Marmande (Lot-et-Garonne) d'où Catherine Gardère, née Manec, était originaire. Des membres de la famille, des cousins et des amis, mais aussi des anonymes, constituaient le cortège qui a réuni 450 personnes. Cette deuxième initiative avait bien sûr été prise pour faire écho à la première.

L'enquête se poursuit

Parallèlement, une enquête de proximité et des auditions sont menées, et de nombreux contrôles ADN sont effectués localement auprès de chasseurs, pêcheurs, joggeurs et cavaliers amenés à fréquenter les bois où le corps sans vie de la victime a été découvert.
Au regard de la scène du crime, les enquêteurs de la gendarmerie émettent (entre autres) l'hypothèse d'un meurtre par opportunité, peut-être en rapport avec une pulsion sexuelle. Cette hypothèse, synonyme d'acte non prémédité, expliquerait pourquoi l'homme aurait pu faire preuve de beaucoup de maladresse en laissant de nombreuses traces autour de lui et sur le corps de sa victime. Tout ce qui était présent autour du corps de Catherine Gardère a été scrupuleusement gardé. Après analyses, une trace ADN est trouvée.
http://www.sudouest.fr/2014/11/21/marcheuse-tuee-a-echillais-17-retour-sur-une-effroyable-affaire-1743226-1336.php

Elle ne trouve pas de médecin en soirée pour son bébé malade

Son bébé malade, une maman a couru un véritable marathon pour trouver un médecin qui veuille la recevoir en consultation.
Marie Tabosa, une jeune mère de famille de Lasbordes, a eu la frousse de sa vie. Une peur légitime que toutes les mamans comprendront. Quand sa petite Jeanne, 13 mois, s'est réveillée de la sieste, ce mercredi après-midi, elle n'était pas bien du tout. Grognon, et surtout rouge, très rouge et le visage tout boursouflé. «C'est comme si elle avait eu des multiples piqûres. C'était impressionnant», témoigne un ami de la famille. Bref, le nourrisson était dans un état qui a inquiété la maman. Celle-ci avait d'ailleurs emmené Jeanne chez son médecin traitant pas plus tard que lundi, lequel avait suspecté une allergie. En ce mercredi après-midi, comme il ne consulte pas, Marie prend donc son bébé et se rend dans une pharmacie chaurienne. Dès qu'il voit l'enfant, le responsable lui conseille de prendre contact avec le service pédiatrie au centre hospitalier de Carcassonne. Ce que fait Marie aussitôt. «Là, on m'a expliqué que la tournée des pédiatres était finie, qu'il n'y en avait plus dans le service, que je pouvais, bien sûr, me rendre aux urgences mais que je n'avais pas fini d'attendre sans, en plus, la certitude de voir un spécialiste qu'on hésite à appeler, passé 20 heures. On aurait dit que l'on voulait me dissuader d'y aller». Marie décide donc d'appeler un pédiatre, sans plus de succès. «Trop de monde, pas de place», s'entend-elle répondre. Commence alors un véritable marathon téléphonique. Marie et sa mère téléphonent à tous les médecins alentour. Stressées et de plus en plus inquiètes à l'idée de voir l'enfant enfler encore plus au risque de s'étouffer… La maman en appelle dix, sans compter ceux que passe la grand-mère du bébé. «L'un m'a répondu qu'il ne traite pas les enfants, l'autre était tout seul avec la salle d'attente pleine, ses collègues étaient déjà partis, un a fait un diagnostic au téléphone sans même voir l'enfant. «Ce qui m'a le plus choqué, c'est que l'on ne prenne pas un bébé d'un an en consultation. Un bébé, vous vous rendez compte ?» Elles trouvent enfin un praticien qui accepte de les recevoir et de revenir à son cabinet. Finalement Jeanne a une roséole. Carabinée certes, à un point qui étonne d'ailleurs le médecin. Avec un traitement, Jeanne va mieux. Rassurée, la maman veut néanmoins poser le problème. «Comment fait-on en cas d'urgence, le mercredi en fin d'après-midi ? Et si cela avait été grave ? Si Jeanne s'était étouffée ? Aujourd'hui, mon bébé ne serait plus là». Une histoire qui n'est pas sans rappeler celle de petits jumeaux de 5 mois qu'un cabinet médical avait refusé de recevoir malgré leur fièvre élevée parce qu'ils étaient deux.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/21/1995786-pas-de-medecin-en-soiree-pour-le-bebe.html

jeudi 20 novembre 2014

Loon-Plage : deux migrants meurent dans l'incendie d'un poids-lourd au terminal ferry

Deux corps ont été trouvés mercredi en début de soirée lors de l'extinction de l'incendie d'un poids-lourd au terminal ferry de Loon-Plage (Nord), près de Dunkerque. Selon nos informations, il s'agit de migrants qui tentaient de traverser vers l'Angleterre. A l'arrivée des pompiers, appelés vers 19H10 par la supervision du terminal, le camion était entièrement embrasé, composé d'une plateforme bâchée située à l'arrière de la cabine puis d'une remorque. Les deux corps ont été trouvés dans l'élément rattaché à la cabine, a précisé le procureur à Dunkerque Eric Fouard.

Les enquêteurs soupçonnent qu'il s'agissait de deux migrants tentant de rejoindre l'Angleterre, lieu de destination du véhicule. Selon la préfecture du Nord, le poids-lourd, qui se préparait à embarquer, venait de passer les contrôles de douanes et de police lorsqu'une explosion s'est produite dans la remorque.

Les deux victimes, non identifiées, ont été intoxiquées et carbonisées. Il ne restait pas grand chose du camion, a rapporté Eric Fouard, qui s'est rendu sur place. Le chauffeur, polonais, était interrogé par les policiers afin de savoir s'il s'était rendu compte de la présence des deux personnes et afin de tenter de déterminer les causes de l'incendie. Le camion transportait de la mousse expansive, une matière isolante.

Selon les premières constatations, l'origine de l'incendie semblerait accidentelle. Les corps ont été transportés à l'institut médico-légal et un expert incendie a été dépêché sur place. La police aux frontières et le commissariat de Dunkerque ont été co-saisis de l'enquête.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/11/19/loon-plage-deux-morts-dans-l-explosion-d-un-camion-596054.html

Une victime dans l'incendie d'un appartement à Nice

L'incendie d'un appartement situé boulevard Carnot, à Nice, a fait une victime et deux intoxiqués légers.
L'incendie s'est déclaré ce jeudi matin au premier étage d'un immeuble du 17 boulevard Carnot. A l'arrivée des pompiers, le logement était déjà "complètement embrasé", raconte le colonel Olivier Riquier, chef du GT Sud, parlant d'un "appartement très encombré". Selon lui, la victime, dont l'identité n'est pas encore connue, était "sûrement déjà décédée" avant l'arrivée des pompiers. 
Les fumées ayant gagné la cage d'escalier de l'immeuble, "une quinzaine de personnes a été évacuée par échelle aérienne [grande échelle, ndlr]". Deux d'entre elles, légèrement intoxiquées par les fumées, ont été évacuées vers l'hôpital Saint-Roch.
L'incendie a mobilisé 40 sapeurs-pompiers ainsi que la police municipale, la police nationale et le Samu. 
http://www.nicematin.com/nice/une-victime-dans-lincendie-dun-appartement-a-nice.1992161.html

Soupçons de matchs truqués: L'actionnaire de Nîmes aurait avoué des manipulations

Il a craqué. Interrogé par les enquêteurs du service central des courses et jeux (SCCJ) de Nanterre, Serge Kasparian, actionnaire du Nîmes Olympique, aurait reconnu son implication dans l'affaire des matchs présumés truqués, annonce Le Parisien dans son édition de jeudi. Le dirigeant de 59 ans admet avoir tenté d'arranger le résultat d'au moins trois rencontres de championnat la saison dernière.
Toujours selon le journal, Kasparian, mais aussi Jean-Marc Conrad (président), Michel Moulin (ancien président du PSG et proche de l'actionnaire), Jean-François Fortin (patron de Caen) devraient être présentés à un juge d'instruction. Ils devraient être mis en examen pour «corruption active et passive de personnes dans le cadre de manifestations sportives», révèle encore le quotidien.
Depuis mardi, les auditions se succèdent dans cette affaire. Mercredi, Benoît Poulain, capitaine du Nîmes Olympique au moment des faits, avait donné à 20 Minutes sa version d'un match dans le viseur, celui de Caen (1-1). «Les deux équipes ont clairement levé le pied après la 60e minute environ. Nous avons gardé le ballon car nous étions satisfaits de ce point du nul et Caen n’essayait pas non plus de nous presser car ce résultat les satisfaisait tout autant. On peut dire que les équipes n’ont pas joué à fond la deuxième mi-temps pour gagner ce match

http://www.20minutes.fr/sport/1484423-20141120-soupcons-matchs-truques-actionnaire-nimes-avoue-manipulations

Grenoble, quartier Mistral : cerné par la police, le suspect saute par la fenêtre…

Un jeune homme soupçonné d’être impliqué dans une affaire d’agression à l’arme à feu a été blessé, hier, après avoir sauté du deuxième étage d’un immeuble du quartier Mistral, à Grenoble, à l’instant où la police tentait de l’interpeller.

Une balle lui traverse le mollet

Selon les premiers éléments, cette affaire est liée à l’attaque dont ont été victimes trois hommes, le mardi 16 septembre, au cœur de la cité.
Ce soir-là, tous trois se dirigeaient en voiture vers l’avenue Albert-Thomas, où habite l’un d’entre eux, lorsqu’un jeune homme à scooter leur a barré le chemin.
Un groupe d’autres habitants du quartier a ensuite attaqué le véhicule et brisé le pare-brise à coups de pierres. Alors que deux des trois occupants sortaient de la voiture pour se défendre, l’un des agresseurs a ouvert le feu à une demi-douzaine de reprises dans leur direction avec une arme de poing.
Deux projectiles ont touché l’une des victimes à un mollet, un troisième lui frôlant le thorax. Les trois jeunes gens ont alors pris la fuite en voiture et ont trouvé refuge dans la caserne de la CRS 47, située à proximité du quartier Mistral. Le blessé, qui est âgé de 24 ans, a dû subir une opération, l’une des balles lui ayant traversé un mollet.
Saisis de cette affaire, les policiers de la Sûreté départementale enquêtaient donc depuis septembre sur ce dossier. Ayant identifié l’auteur principal, c’est-à-dire le tireur présumé, ils se sont présentés hier dans le quartier pour l’interpeller, mais l’homme a tenté de leur échapper en sautant du second étage. Blessé aux jambes, il a été secouru et transporté au CHU sous bonne garde.

Des incidents dimanche soir

Dans les instants qui ont suivi cette interpellation mouvementée, des jeunes du quartier ont tenté de s’opposer aux forces de l’ordre, mais l’intervention d’une unité de CRS et des effectifs du corps urbain a permis de rétablir le calme.
Hier soir, des renforts ont été envoyés dans le secteur et vers 20 heures, aucun incident n’était à déplorer.
Dimanche soir, deux abribus avaient été cassés et des poubelles avaient été renversées et incendiées au milieu de l’avenue Rhin-et-Danube, à la suite d’une interpellation pour refus d’obtempérer : après avoir pris la fuite lors d’un contrôle routier dans un autre secteur de Grenoble, un automobiliste avait été localisé et arrêté dans le quartier Mistral, ce qui avait déclenché la colère de certains habitants de la cité.

http://www.ledauphine.com/isere-sud/2014/11/20/mistral-cerne-par-la-police-le-suspect-saute-par-la-fenetre

mercredi 19 novembre 2014

Le Mas-d'Agenais (47) : un automobiliste fait un malaise au volant sur l'A62

Plus de peur que de mal... Un homme de 70 ans a fait un malaise, mardi, au volant de son véhicule, sur l' A 62, au niveau de l'aire du Mas-d'Agenais. Il était environ 16 h 30.
 
Sa voiture est allée cogner la barrière de sécurité, située sur le côté de l'autoroute. L'homme a été conduit à l'hôpital de Marmande. La circulation a été perturbée durant près d'une heure. 
http://www.sudouest.fr/2014/11/19/malaise-au-volant-sur-l-a-62-1740426-3755.php

La voiture d'auto-école fait une cascade

Hier vers 9 h 30, un accident spectaculaire impliquant un véhicule d'auto-école s'est déroulé rue de Rochefort, sans dommage corporel pour les deux occupantes. Suite à une erreur de conduite, la petite Citroën C3 s'est retournée après avoir heurté une bordure de trottoir. Un accident rarissime. La monitrice, surprise, n'a pu rien faire pour rattraper l'erreur de l'élève. Les pompiers d'Eauze les ont dégagées rapidement toutes les deux. Correctement attachées à l'intérieur, la conductrice et la passagère en ont été quittes pour une grosse frayeur.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/19/1994413-la-voiture-d-auto-ecole-fait-une-cascade.html

Montpellier : Alain Gilles est décédé, le monde du basket est sous le choc

A dieu “Monsieur Basket“ ! Le légendaire Alain Gilles est décédé mardi soir à Montpellier. La maladie a été plus forte et, l'a terrassé dans une clinique du Clapas.
Le monde du basket est sous le choc, ce mardi, c'est l'un de ses plus beaux fleurons, Alain Gilles qui, à 69 ans, a rejoint au paradis les Jean-Paul Beugnot et Robert Monclar, deux autres “vieilles gloires“ venues s'installer dans l'Hérault. Tout sauf un hasard puisque Gillou, installé à Saint-Jean-le-Sec, a des racines très fortes du côté de Saint-Géniès des Mourgues, où il a brièvement vécu, et que divers membres de sa famille sont encore domicilés à Montpellier, Lunel, Balaruc-le-Vieux, Saint-Geniès... Après moult épisodes douloureux, traversés au cours de ces dernières années, on avait encore espoir qu'il vaincrait, comme sur les terrains... la maladie a été plus forte et, l'a terrassé dans une clinique du Clapas.
Né le 5 mai 1945 à Roanne, où il a grandi chez ses grands parents avec Arlette, sa sœur, Alain Gilles avait démarré une carrière fabuleuse dès 15 ans (!) à l'occasion d'un match de Coupe de France seniors avec la mythique Chorale de Roanne d'André Vacheresse. Très vite, ce génial meneur de jeu enfilait le maillot (n° 4) de l'Asvel Lyon-Villeurbanne et y sera fidèle pendant plus de deux décennies (1965-1986). Sa carte de visite, sportive, fait mention de huit titres de champion, de deux Coupes de France et d'une finale de Coupe Saporta sous le maillot “vert“. Capé à 177 reprises en équipe de France entre 1966 et 1981, il a également été retenu 8 fois dans la sélection de l'Europe.

Un monument du sport français

Un talent, une carrière qui lui ont valu les distinctions les plus hautes : nommé dans le Cinq des Légendes de l'Asvel et, de la première promotion de l'Académie du basket français (2004) aux côtés de sa cousine - ils avaient des liens familiaux - Jackie Chazalon, Jean-Paul Beugnot, Hervé Dubuisson... Élu basketteur du siècle en 2000, il figure parmi les Gloires du Sport depuis 2007, a été fait chevalier de la Légion d'honneur et titulaire de l'Ordre national du Mérite... Après cette exceptionnelle carrière de joueur, avec un dernier titre, la Coupe de la Fédération, à 39 ans, Alain Gilles sera l'entraîneur de l'Asvel (1980-1989) qu'il conduira au titre en 1981.

Très bon vivant, un rythme parfois peu ordinaire pour un sportif

En 1990, son parcours le menait à Montpellier, l'espace de trois saisons et demi, sauvant l'équipe de la relégation à son arrivée, en barrages. Après quoi, il œuvrera pour la société Jet Services auprès du club de l'Élan Béarnais Pau-Orthez, tiendra la Maison de la Presse à Saint-Jean -de-Védas, commune dont il a été l'adjoint aux sports et à la culture, tout en étant le conseiller de l'ancien président de l'Asvel, Gilles Moretton. En septembre dernier, déjà très affaibli, il n'avait pu se rendre à l'Appart City Cup à l'Arena mais Tony Parker, très respectueux de la personne, s'était manifesté, à sa façon. Très bon vivant, un rythme parfois peu ordinaire pour un sportif, Alain Gilles aimait la vie au sens large.
Personnage attachant, il était ô combien généreux, inspirant le respect partout là où il passait. Sa disparition est une immense perte pour le basket mais aussi pour le sport français dans son ensemble. « Avec Alain, c'était une amitié de cinquante ans et, autant de bons moments partagés. Nous avons joué trois saisons ensemble. C'était quelqu'un de très facile dans le contact », s'est fendu, très ému, le Montpelliérain Jackie Caballe qui avec son épouse, était très lié à Alain et à sa femme, Martine, partie un peu plus tôt, hélas... Aujourd'hui, toutes nos pensées vont vers sa maman, Camille, sa sœur, Arlette, son frère, Eric, ses trois fils, Grégory, Stéphane, Emmanuel et tous leurs proches, préparés à la nouvelle certes, néanmoins anéantis et auxquels Midi Libre présente ses plus sincères condoléances. Samedi, l'Asvel, plutôt mal en point en Pro A, lui a glissé un ultime clin d'œil en s'imposant à Boulogne. Le légendaire Gillou, dit “Monsieur Basket“ n'a pu la savourer, il avait déjà arrêté de dribbler depuis quelques jours... Toute une famille pleure sa disparition

http://www.midilibre.fr/faits-divers/

mardi 18 novembre 2014

Villeurbanne : le jeune homme qui s'est jeté sous les roues du métro est décédé

Le trafic sur la ligne A du métro a été interrompue entre 9h40 et 11h30 ce mardi. Selon nos informations, il s'agit d'une tentative de suicide. Transportée à l'hôpital dans un état très grave, la victime, un jeune homme, est décédé des suites de ses blessures.
Les sapeurs-pompiers ont été appelés à 9h41. L’homme a pu être extrait un peu avant 10h30 et évacué dans un état grave à l'hôpital Edouard-Herriot à 10h45. Son pronostic vital était alors engagé. Il devait décéder quelques minutes plus tard.
En conséquence, la circulation du métro A a été interrompue jusqu'à 11h30. Sept bus relais avaient été mis en place entre les stations Charpennes et Valux-en-Velin La Soie.
Concernant la ligne B entre les stations entre Charpennes et Gare Part-Dieu, le trafic avait repris progressivement peu après 11h sur l’ensemble de la ligne.


http://www.leprogres.fr/rhone/2014/11/18/metro-la-ligne-a-a-l-arret

Un homme s'est tué en se jetant de la station de traitement de l'eau de la Bastide, à Limoges

Un père de famille de 40 ans a mis fin à ses jour dans les environs de 10h30, lundi 17 novembre, en sautant de la la station de traitement de l'eau de Limoges. Il travaillait comme agent de maîtrise au bureau de l'eau et de l'assainissement et était engagé par Limoges Métropoles. Au niveau professionnel, tout semblait bien se passer d'après ses collègues. Même l'évaluation qu'il avait faite la semaine précédente était bonne.

En revanche, le quadragénaire connaissait une période difficile du point de vue personnel. Il venait de divorcer ou était en instance de divorce et ne voyait ses deux enfants que par intermittence. Il venait d'ailleurs de passer le week-end avec eux. Un quotidien lourd à porter dont il avait fait part à ses collègues et qui l'avait amené à consulter un psychologue du travail.

Une cellule psychologique a été mise en place dès le début d'après-midi grâce à l'intervention de deux psychologues du Centre hospitalier d'Esquirol.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/2014/11/17/un-homme-s-est-jete-de-la-station-de-traitement-de-l-eau-potable-limoges-593980.html

Drame, un lycéen se jette du 7e étage au Havre

Un jeune homme de 16 ans s'est défenestré dans la nuit du samedi 15 au dimanche 16 novembre depuis le 7e étage d'un immeuble situé rue Anatole France au Havre.
Après une soirée, trois des convives restent sur place pour ranger les lieux, puis ils vont tous se coucher. Peu avant 5 heures du matin, deux des jeunes entendent des bruits suspects et ne trouvent plus leur camarade. Celui-ci, après avoir rédigé une lettre d'adieu, s'est précipité depuis le balcon de l'appartement situé au 7e étage de l'immeuble.
A l'arrivée des secours, le jeune homme était déjà décédé. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes du suicide.
http://www.tendanceouest.com/

Un sexagénaire tue sa fille puis se suicide

Un homme de 69 ans a tué sa belle-fille avant de retourner l’arme contre lui, à Graulhet (Tarn), à la suite d’un «contentieux familial», selon une source judiciaire.
Le sexagénaire a appelé la gendarmerie lundi peu après 15h, annonçant qu’il allait commettre un «double meurtre». En réalité, comme allaient le constater les gendarmes en se rendant à l’adresse indiquée, l’homme venait de tuer sa belle-fille, âgée de 43 ans, avant de retourner l’arme, un fusil de chasse, contre lui, a expliqué le procureur de la République de Castres (Tarn), Manuella Garnier.
Selon les premiers éléments de l’enquête, l’homme «est arrivé au domicile de sa belle-fille avec l’intention de tuer». La victime, qui était seule, sans ses enfants, «a tenté de s’échapper». «Il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’un drame familial. On sait qu’il y avait un contentieux familial entre eux: il rendait sa belle-fille responsable d’une plainte qui a été déposée contre lui», a ajouté Mme Garnier. Cette plainte «vise des faits de nature familiale», a-t-elle ajouté sans précisions.
L’enquête a été confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie de Castres.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/faits-divers

Coulounieix-Chamiers (24) : il renverse une cycliste de 12 ans et prend la fuite

Lundi, un peu avant 9 heures, avenue Charles-de-Gaulle à Coulounieix-Chamiers (24), cette enfant de 12 ans suivait son frère de 13 ans, pour se rendre à vélo au collège Jean-Moulin. Une voiture a alors doublé la jeune fille et, en se rabattant, l'aurait heurtée et fait tomber. Elle a été conduite à l'hôpital de Périgueux. Ses blessures lui valent l'équivalent d'une interruption temporaire de travail de quatre jours.
L'automobiliste ne s'est pas arrêté. La police lance donc un appel à témoins. Toute personne qui se trouvait sur les lieux est priée de se faire connaître auprès de la brigade des accidents et des délits routiers du commissariat de Périgueux, au 05 53 06 44 19

http://www.sudouest.fr/2014/11/18/coulounieix-chamiers-24-il-renverse-une-cycliste-de-12-ans-et-prend-la-fuite-1739751-1809.php

Ensisheim: un enfant de dix ans décède

Un enfant âgé de 10 ans qui circulait à vélo rue de Pulversheim à Ensisheim, devant une grande surface, a été percuté par un véhicule peu après 18h.
Le décès du jeune cycliste a été constaté par les pompiers. Alors que l'enfant sortait d'un garage, il a été renversé par une voiture dans laquelle circulaient deux hommes qui rentraient de leur travail. Les deux occupants de l'automobile, choqués, ont été pris en charge par les secours.

http://www.dna.fr/actualite/2014/11/17/ensisheim-un-enfant-de-dix-ans-decede

Labrune, Perez et Dassier : trois dirigeants de l'OM en garde à vue

Les dirigeants actuels de l'OM, ainsi que son ancien patron ont été interpellés et placés en garde à vue, révèle mardi matin Le Point. Des malversations financières autour du transfert du joueur André-Pierre Gignac en 2010 serait à l'origine de ces arrestations.
"Vincent Labrune, le président de l'Olympique de Marseille, et Philippe Perez, son directeur général, ont été interpellés à leur domicile de Marseille et de Saint-Rémy-de-Provence ce matin. Jean-Claude Dassier, ancien président du club, a également été interpellé et est entendu actuellement au parquet financier de Nanterre", révèle mardi matin Le Point sur son site internet. Selon des proches de l'enquête, il s'agirait d'une "affaire financière", précise le quotidien.
Selon plusieurs médias, ces interpellations interviendraient dans le cadre de l'enquête sur le transfert du joueur André-Pierre Gignac du FC Toulouse à l'Olympique de Marseille en 2010. Enquête qui avait déjà conduit à une série de perquisitions au siège de l'OM il ya quelques temps. Le 20 août 2010, le Téfécé avait accepté que son joueur vedette rejoigne l'OM pour un montant de 18 millions d'euros plus les primes.
 

Une octogénaire extorquée de 900€ par une fausse directrice de banque

Des vagues de tentatives d'escroqueries à la fausse qualité ont lieu depuis quelque temps à Auch. Hier en début d'après-midi, une femme d'environ 30, 35 ans a essayé de s'introduire chez plusieurs particuliers de la place Masséna où de nombreuses personnes âgées résident. En arguant être une directrice d'agence bancaire, cette brune au teint hâlé a essayé de récupérer les cartes bleues et les codes des personnes visitées. N'essuyant que des refus, elle s'est alors dirigée vers 14 h 30 dans la rue Alsace où elle a repéré Jeanne, 84 ans qui se rendait à la pharmacie. Sur le chemin, la jeune femme lui explique qu'elle est sa directrice d'agence et qu'elle avait besoin de son code pour «réinitialiser sa carte». Alors Jeanne lui laisse le précieux sésame. L'escroc lui assure alors lui ramener le tout au laboratoire où la vieille dame devait aller effectuer des analyses. «Je l'ai crue, dira-t-elle lors de son dépôt de plainte au commissariat. Elle m'inspirait confiance… Mais quand j'ai vu qu'elle n'arrivait pas, j'ai compris…» La fausse directrice d'agence a retiré 900 € sur le compte de Jeanne. Pour rappel, il y a quinze jours, c'était un faux agent SNCF qui spolier un couple de ses bijoux près de la gare. Sans compter le faux plombier où l'assureur factice. Dans tous les cas, les personnes âgées restent la cible privilégiée de ces malfrats.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/18/1993203-extorquee-de-900e-a-84-ans.html

lundi 17 novembre 2014

Un septuagénaire blessé dans un accident de tracteur à Méharin (64)

Les faits se sont déroulés samedi, à 11h30, route d'Armendarits à Méharin. Selon les premiers témoins, un septuagénaire a perdu le contrôle de son tracteur à cause d'un malaise. Il s'est déporté sur la droite en heurtant une clôture en béton. Semi-conscient, l'homme est tombé de la cabine, se blessant au sol.
Un pompier d'Iholdy a donné l'alerte, prodiguant les premiers secours. Le blessé a ensuite été évacué par l'hélicoptère du Samu vers l'hôpital de Bayonne.

http://www.sudouest.fr/2014/11/17/un-septuagenaire-blesse-dans-un-accident-de-tracteur-a-meharin-64-1738599-4277.php

Accident dans les Bouches-du-Rhône: qui sont les 4 étudiants varois tués?

Samedi après-midi, un dramatique accident a coûté la vie à Chloé, Emilie, Johan et Simon, tous âgés de 21 ans et étudiants à l'université de Toulon.
Tous les quatre étaient étudiants en 2e année de l’école d’ingénieurs de Toulon, SeaTech, née cet été de la fusion de Supméca et de l’ISITV.
Partis vendredi à un soirée étudiante organisée par AssoM aux Docks des Suds, une salle de spectacle du port de Marseille, ils avaient choisi de passer la nuit sur place par précaution, et de ne rentrer que le lendemain.
Choc frontal entre Marseille et Cassis
Mais en début d’après-midi près de Carpiagne, la voiture dans laquelle ils avaient embarqué a heurté un véhicule arrivant en sens inverse.
Le conducteur, un autre étudiant présent à la soirée, a été légèrement blessé.
Dimanche, il était toujours en garde à vue pour homicide involontaire.
Le conducteur de l’autre voiture impliquée dans le choc a également été choqué et légèrement blessé, d’après les marins-pompiers cités par l’AFP.
L'accident s'est déroulé sur la route de la Gineste, qui relie les villes de Marseille et Cassis en passant par le massif des Calanques.
Colocataires à La Garde
Chloé, Johan et Simon étaient bretons d’origine. Emilie était Jurassienne, orginiaire d'après Le Progrès d'un petit village, Le Vaudioux, situé à une trentaine de kilomètres à l'Est de Lons-le-Saunier.
Tous les quatre partageaient une colocation à La Garde, tout près du campus, avec un autre étudiant, absent de la voiture au moment du drame.
Les deux filles préparaient ensemble le 4L Trophy de février prochain, qui doit se dérouler au Maroc. Elles relataient la préparation de leur périple sur une page Facebook et un blog hébergé sur Tumblr.
Cellule d’écoute lundi matin à l’université
Une cellule d’écoute, avec un psychiatre, devait être mise en place lundi matin dans le campus de La Garde, selon les informations de nos confrères de La Provence.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/accident-dans-les-bouches-du-rhone-qui-sont-les-4-etudiants-varois-tues.1987416.html

Meurtre de Léa: ouverture du procès

Le procès d'un homme de 28 ans, accusé du viol et du meurtre de Léa, une lycéenne de 17 ans, le 1er janvier 2011 à Montpellier s'est ouvert ce matin devant la cour d'assises de l'Hérault à Montpellier.
Gérald Seureau avait reconnu les faits en garde à vue avant de se rétracter puis d'obtenir l'annulation de ses aveux par la cour d'appel de Toulouse. Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une peine de sûreté de 22 ans. Le député Bleu Marine Gilbert Collard est l'un des avocats de la partie civile, représentant le père de la victime.

Les faits s'étaient passés après une soirée de la Saint-Sylvestre. Selon les témoins, l'accusé et la victime qui flirtaient, avaient bu et pris de la drogue. Ils avaient quitté ensemble une fête vers 6h00.
La disparition de le jeune fille avait été signalée par son père au soir du 1er janvier 2011 au commissariat de Montpellier. Il était accompagné d'un jeune homme de 24 ans qui affirmait avoir passé la soirée du nouvel an avec la lycéenne avant de la perdre de vue.

Le corps de Léa avait été retrouvé sur les indications de Seureau dans un parc à 200 m de la fête, près d'une gourmette du tueur présumé, enfouie sous terre. Selon l'autopsie, la jeune fille était décédée par asphyxie et des suites d'un traumatisme crâno-cérébral, avec comme facteurs aggravants une hypothermie et une intoxication éthylique et probablement quelques deux heures d'agonie. Selon les experts, les lésions retrouvées sur le corps de la lycéenne témoignaient de la violence des coups subis et du viol.

Les auditions des participants à la soirée ont mis en évidence une grande consommation d'alcool et de drogues, cannabis et amphétamines. Ils ont relaté avoir vu Léa et Gérald Seureau qui ne se connaissaient pratiquement pas, en train de flirter avant de partir ensemble.

Certains ont fait état d'une tentative de relation sexuelle dans les toilettes, Gérald Seureau ayant regretté ensuite de ne pas "avoir pu". Pour une des experts, cette "humiliation narcissique peut constituer" une explication du passage à l'acte. L'accusé, au casier vierge, a été décrit comme inhibé voire violent, par des jeunes filles de son entourage.

L'affaire a donné lieu à une bataille juridique. L'avocat de l'accusé, Me Laurent Epailly, a fait annuler une partie des gardes à vue lors desquelles son client qui n'avait pas été informé qu'il pouvait se taire, a avoué. Il a argué de leur illégalité faute de la présence d'un avocat à ses côtés. Le verdict est attendu vendredi.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/17/97001-20141117FILWWW00147-meurtre-de-lea-ouverture-du-proces.php

dimanche 16 novembre 2014

Cran-Gevrier : un cadavre découvert près du Fier

Les policiers d’Annecy ont été alertés, hier par un promeneur, qu’un cadavre gisait près du torrent le Fier (commune de Cran-Gevrier). L’homme, âgé de 67 ans et habitant de Seynod, était signalé disparu depuis le 6 novembre dernier par la gendarmerie. Selon le procureur de permanence, le corps ne présente aucune lésion. Une enquête est en cours et un examen du cadavre est prévu demain pour en savoir un peu plus sur les circonstances de la mort.

http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2014/11/16/un-cadavre-decouvert-pres-du-fier

Recrudescence de vol sur des chantiers dans l'Aude : la maison vidée de tous ses câbles électriques

Dans la nuit de jeudi à vendredi, des voleurs ont fait main basse sur le matériel. C'est le 4e vol du genre constaté en moins d'un mois dans le secteur 
Après Montréal, Alairac et Pennautier, c'est cette fois-ci sur le chantier d'une maison en construction à Monze, que des voleurs ont opéré, vraisemblablement dans la nuit de jeudi à vendredi. C'est d'ailleurs vendredi, à 10 h 30, que le vol a été constaté par le propriétaire des lieux. Là, les voleurs ont fait main basse sur tous les câbles électriques installés dans chacune des pièces.

Ce nouvel épisode vient confirmer la recrudescence des vols sur des chantiers de maisons en construction, pour lesquels la gendarmerie tente de veiller au grain en mettant en place des patrouilles de surveillance.
Les faits constatés à Monze constituent ainsi le 4e épisode du genre en moins d'un mois.
A Montréal, dans la nuit du 18 au 19 octobre, les voleurs avaient fait main basse sur du mobilier de cuisine, de salle de bain, des plaques de plâtre, pots de peinture, luminaires, une vingtaine de sacs de ciment, une centaine de parpaings ou encore des radiateurs électriques.
A Alairac, dans la nuit du 3 au 4 novembre, les visiteurs avaient emporté la porte d'entrée, son encadrement, une porte-fenêtre, toutes les prises électriques, les interrupteurs et les prises téléphoniques.
Enfin, à Pennautier, dans la nuit du 5 au 6 novembre, les cambrioleurs étaient repartis avec une palette complète de sacs de ciment, ainsi que de la ferraille.

http://www.lindependant.fr/2014/11/16/une-maison-en-construction-videe-de-tous-ses-cables-electriques,1955967.php

Le Pouzin : une aide à domicile arnaque une octogénaire de 64 000 euros

64 000 euros. C’est la somme qui aurait été dérobée à une vieille dame du Pouzin, par son aide à domicile de 42 ans. Alors que la femme, âgée de 82 ans, épluche ses comptes bancaires, au mois de janvier dernier, elle se rend compte de prélèvements suspects, effectués depuis 2009. Des sommes débitées avec ses chèques et sa carte bleue.

Des crédits à la consommation soldés avec l’argent volé

Elle dépose une plainte et commence alors une longue investigation de la part des gendarmes de la communauté de brigades de La Voulte-sur-Rhône. Le 13 novembre, l’aide à domicile de la vieille dame, résidant au Pouzin, est placée en garde à vue. L’enquête a révélé que des chèques ont été encaissés sur son compte bancaire. Des sommes ont également servi à solder des crédits à la consommation à son nom. Le mari de la quadragénaire a également été placé en garde à vue. Les gendarmes l’ont rapidement mis hors de cause.
Quant à son aide à domicile, elle a reconnu les faits. Elle a été remise en liberté et devra se présenter devant le tribunal correctionnel de Privas le 22 janvier.
http://www.ledauphine.com/ardeche/2014/11/15/il-prend-en-chasse-son-chauffard

samedi 15 novembre 2014

Puyoô (64) : un chasseur blessé lors d'une battue

Un accident de chasse s'est produit ce samedi après-midi peu après 15 heures sur la commune de Puyoô, au lieu-dit Cassou. Un chasseur de 60 ans, demeurant la commune, a été gravement blessé par balle au cours d'une battue au sanglier.
Le projectile aurait ricoché contre un arbre avant de frapper le chasseur, rentrant dans son dos et ressortant par son ventre.
L'hélicoptère de la Sécurité civile a été dépêché sur place pour récupérer le blessé et le transporter à l'hôpital.
Selon les premiers éléments, son pronostic vital n'était pas engagé

http://www.sudouest.fr/2014/11/15/puyoo-64-un-chasseur-blesse-lors-d-une-battue-1737308-4360.php

Un homme connu pour méfaits dans les années 90 assassiné près de Marseille

Un homme a été tué par balles vendredi à Trets (Bouches-du-Rhône), à une quarantaine de kilomètres au nord-est de Marseille.
Un homme a été tué par balles vendredi à Trets dans les Bouches-du-Rhône, à une quarantaine de kilomètres au nord-est de Marseille, selon les gendarmes de la localité. La victime a été atteinte par plusieurs balles, vers 18h, dans l'agglomération de Trets, sur la route de Saint-Maximin.
Un témoin aurait signalé "deux voitures semblant se donner la chasse, se poursuivre" avant que la seconde voiture ne tire sur la première. "Le conducteur du véhicule, atteint, se réfugie dans un commerce où il est assez rapidement en détresse ventilatoire. Les pompiers arrivent et il décède peu après", a dit cette source à l'AFP. "C'est quelqu'un qui a plus d'une cinquantaine d'années, connu sur des faits antérieurs, dans les années 90, à la fois pour un homicide et pour séquestration", a précisé la source. Elle n'a pu affirmer s'il s'agissait d'un règlement de comptes, étant donné que l'homme n'était pas connu pour des faits délictueux récents. Le déroulement de la scène "témoigne d'un contentieux violent", a-t-on ajouté de même source.
Le préfet de police des Bouches-du-Rhône Jean-Paul Bonnetain avait évalué début novembre à 20 le nombre de règlements de compte enregistrés dans les Bouches-du-Rhône au cours des neuf premiers mois de l'année, contre 17 homicides de ce type en 2013. Le dernier homicide par balles était celui d'un détenu de 35 ans, condamné à de multiples reprises, tué le 27 octobre vers 06H30 devant le centre pénitentiaire d'Aix-Luynes, à 25 km de Marseille, où il purgeait une peine sous le régime de semi-liberté. La victime, qui allait travailler, venait de mettre en marche son automobile, une Citroën grise, en face de l'établissement pénitentiaire quand un homme est sorti d'une autre voiture et l'a tué.
 

Appel à témoin après la disparition de Marie-Alice Da Cunha

La gendarmerie de Saint-Lys est à la recherche de tout renseignement permettant de localiser Marie-Alice Da Cunha Fernandes Jourda, demeurant Fonsorbes, qui n'a plus donné signe de vie depuis le samedi 8 novembre dans la soirée. Marie-Alice Da Cunha est brune, de corpulence forte (1m54 pour 62 kg), a les yeux marron et porte des lunettes à montures grises. Lors de sa disparition, elle était vêtue de bottes en cuir noires, d'une jupe courte ondulée noire et d'une veste courte en cuir noir. Elle circulait à bord d'un véhicule 4x4 Suzuki Vitara gris clair immatriculé 121 CCT 31. Toute personne susceptible de fournir le moindre renseignement est priée de se rapprocher de la brigade de gendarmerie de Saint-Lys au 05 34 47 01 80 ou au 17

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/15/1991892-appel-temoin-apres-disparition-marie-alice-da-cunha.html

Au moins trois cas de gale à l’école Hector-Berlioz à Saint-Priest

Une épidémie de gale s’est déclarée depuis début novembre à l’école Hector-Berlioz de Saint-Priest. Trois cas en maternelle ont été signalés au retour des vacances scolaires. Si les enfants sont restés à la maison, deux autres élèves semblaient présenter des symptômes ces derniers jours
La médecine scolaire a averti la mairie ce jeudi et une opération de désinfection des locaux a été effectuée ce vendredi matin. Certains parents qui ont contacté « Le Progrès » déplorent « un manque de transparence ». Du côté de l’école comme de la ville, on assure que tout a été fait dans les règles.
La gale est une maladie bénigne mais contagieuse due à un parasite. Une infection qui n’est pas soumise à déclaration, en revanche, dans le milieu scolaire, les élèves atteints doivent rester à la maison afin d’éviter tout risque de contagion.
http://www.leprogres.fr/rhone/2014/11/14/au-moins-trois-cas-de-gale-a-l-ecole-hector-berlioz-a-saint-priest

vendredi 14 novembre 2014

Telgruc-sur-Mer : le corps du second plaisancier disparu retrouvé sur une plage

Après le corps du fils (25 ans) retrouvé jeudi matin échoué sur une plage de Plonévez-Porzay en baie de Douarnenez, c'est le corps sans vie du père (54 ans) qui a été découvert ce vendredi matin vers 10h sur la plage de Telgruc-sur-Mer.

Les deux hommes étaient partis pêcher mercredi matin entre Tévennec et la pointe du Raz.
Leur disparition avait été signalée par un témoin en fin d'après-midi et des recherches conséquentes aériennes et maritimes avaient été menées jusqu'à jeudi 15h30 avant d'être suspendues entre autre pour des raisons de conditions météo difficiles.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2014/11/14/telgruc-sur-mer-le-corps-du-second-plaisancier-disparu-retrouve-sur-une-plage-591906.html

Un trafic de voitures volées démantelé à Orléans

Les véhicules étaient stockés dans des parkings de la ville d’Orléans avant d’être maquillés puis revendus à l’étranger. A l’issue d’une enquête rondement menée, la police d’Orléans a procédé vendredi dernier à l’interpellation d’un Lituanien
L'un des receleurs, un Lituanien de 34 ans, était dans le collimateur de la Police judiciaire d’Orléans depuis plusieurs semaines. C’est à lui que revenait la charge de convoyer les véhicules vers l’étranger. Direction l’est de l’Europe où les grosses cylindrées sont très prisées. La police judiciaire d’Orléans a recensé une quinzaine de véhicules haut-gamme volés aux quatre coins de la France, rapporte la République du Centre. Exclusivement des modèles de la marque Toyota, d’une valeur avoisinant les 30 000 euros qui ont été découverts par les enquêteurs dans les parkings d'Orléans. 

Un mode opératoire bien rodé

Ce trafic de voitures s’est appuyé sur un véritable réseau de malfaiteurs. Une filière organisée autour du vol des véhicules et de cartes grises correspondant à chaque modèle. Le maquillage des voitures avait lieu dans des ateliers de la région où les plaques d'immatriculation étaient changées, le numéro des moteurs modifié. L’arrestation d’un premier suspect, après seulement trois semaines d'enquête, devrait permettre d’identifier ces lieux de "transformation".

La personne interpellée a été mise en examen le week end dernier pour association de malfaiteurs et recel en bande organisée et placée en détention provisoire au centre pénitentiaire de Saran.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/centre/2014/11/14/un-trafic-de-voitures-volees-demantele-orleans-591964.html

Vols violents chez des personnes âgées : sur la piste d'une bande ?

Lundi, à Tourcoing, deux personnes âgées de 90 et 93 ans sont attachés et baillonnés avec de l'adhésif à leur domicile par des individus encagoulés. Selon La Voix du Nord, les cambrioleurs (deux ou trois ?) emportent des bagues de valeur et plusieurs centaines d'euros en liquide. Avant de fuir, ils détachent le couple et emporte l'adhésif pour ne pas laisser de traces.

Mardi, à Sequedin,  une femme âgée de 82 ans, est attaquée par trois hommes encagoulés.  Louise* (prenom modifié) a raconté son calvaire à nos journalistes Jean-Louis Manand et Jean-Marc Vasco : "Ils m'ont attaché tout de suite les mains, ils ont arraché ma bague. Ils m'ont attaché les deux bras en l'air sur le lit. Je ne me suis pas laissé faire. J'ai gesticulé dans tous les sens. Ils m'ont arrosé d'essence et d'un produit corrosif. Ils m'ont dit de leur donner mon or. Mais je n'en ai pas. "Sinon, on te brûle". J'ai eu très peur." Les voleurs sont repartis avec plusieurs dizaines de milliers d'euros.

Mercredi, à Villeneuve d'Ascq, un couple est violemment agressé par 3 ou 4 individus toujours encagoulés. Gustave, âgé de 84 ans, est violemment frappé à la tête. Sa femme le retrouvera mort quelques minutes plus tard.

Y-a-t-il un lien entre ces trois affaires ? Pas forcément. Même si certains éléments sont similaires, la police judiciaire écarte tout lien entre l'affaire de Sequedin et de Villeneuve d'Ascq, selon La Voix du Nord. Elle n'est pas saisie de l'affaire de Tourcoing. Ces agressions de personnes âgées n'ont donc peut-être aucun lien entre elles.

Pour la police, l'affaire de Villeneuve d'Ascq est devenue la priorité Numéro 1, elle déploie sur le terrain des moyens très importants pour mettre la main sur la bande de malfaiteurs responsable de la mort d'une personne âgée. 


http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/11/14/vols-violents-chez-des-personnes-agees-sur-la-piste-d-une-bande-591726.html

Un couple de personnes âgées percuté par un automobiliste à Domfront

Au lendemain de l'accident, les causes ne sont pas encore déterminées avec précision. Les faits se sont déroulés en fin de journée, à 17 h 50, ce mardi 11 novembre, rue du Maréchal Joffre à Domfront, dans l'Orne. Alors qu'ils traversaient la rue, deux personnes âgées ont été percutées par une voiture. Le conducteur, âgé de 65 ans, a été très légèrement blessé dans la collision. Son état n'a pas nécessité d'hospitalisation.

En revanche, l'état d'une des victimes était mardi soir beaucoup plus préoccupant. Une femme de 84 ans s'est retrouvée coincée sous le véhicule. Les gendarmes ont dû recourir à un cric pour la dégager avant de la transporter vers le centre hospitalier de Flers. Très gravement blessée, ses jours étaient en danger ce mardi soir. Elle a finalement succombé à ses blessures. Son mari, âgé de 88 ans et moins grièvement blessé, a également été hospitalisé. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/basse-normandie/2014/11/12/un-couple-de-personnes-agees-percute-par-un-automobiliste-domfront-590112.html

Fontaine-lès-Dijon : 2 enfants sont brûlés dans l’incendie d’un squat

C’est une bougie qui serait la cause du sinistre. Elle aurait mis le feu aux rideaux et le local se serait embrasé rapidement. Des familles d’origine roumaine vivaient dans le squat. Deux enfants âgés de 11 mois et 3 ans, ont été brûlés, dont un gravement. Ils ont été transportés au CHU de Dijon pour des brûlures aux visages et aux mains.

Les familles ont été logées à l’hôtel pour la nuit par le 115. Les membres du collectif de la « cabane du 108 » qui visitent régulièrement ces travailleurs devaient se réunir dans la journée pour faire le point sur des solutions de relogement. Sollicitée par le 115, l'ADEFO, l'Association Dijonnaise d'Entraide des Familles Ouvrières devrait trouver un hébergement d'urgence pour les autres habitants de la cabane du 108, au moins, jusqu'à lundi.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/2014/11/13/fontaine-les-dijon-2-enfants-sont-brules-dans-l-incendie-d-un-squat-591062.html

Rossay (86) : un jeune motard décède des suites d'un choc contre un véhicule

L'accident a eu lieu en début d'après midi rue des Tilleuls dans la commune de Rossay. Le motard est âgé d'un peu moins de 17 ans et il est décédé carbonisé à la suite du choc contre un véhicule utilitaire
Deux véhicules de pompiers et une dizaine d'hommes ont été envoyés pour démarrer l'intervention à 13h19. Sur place ils se sont rendus compte que le conducteur du 2 roues avait été brûlé après l'inflammation de son réservoir d'essence à la suite du choc contre un véhicule conduit par une femme de 54 ans qui a été prise en charge par une ambulance dépêchée sur place.

Le motard était âgé de 16 ans 1/2 et d'après les premières constatations qui restent à vérifier par l'enquête de gendarmerie, il conduisait un 2 roues de 50 cc, une sorte de scooter de faible puissance.



http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/2014/11/13/rossay-86-un-jeune-motard-decede-des-suites-d-un-choc-contre-un-vehicule-591406.html