jeudi 31 mars 2016

Biesheim : un employé de l'entreprise Constellium grièvement brûlé

Un salarié de l’entreprise Constellium à Biesheim a été gravement brûlé ce mercredi. L'accident s'est produit alors qu'il nettoyait une machine. Celle-ci se serait enflammée
La victime âgée de 55 ans été transportée en hélicoptère vers le centre des grands brûlés de Lyon. Son pronostic vital est engagé.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/biesheim-un-employe-de-l-entreprise-constellium-grievement-brule-963869.html

"Je vais te tuer" : un homme arrêté après avoir tenté d'étrangler une passante à Périgueux

La victime, choquée, a dû être hospitalisée. Un homme qui s'est interposé a été frappé. Les faits se sont déroulés mardi soir, dans le quartier du Toulon
Mardi soir, un homme de 20 ans a été arrêté à Périgueux, après avoir tenté d'étrangler une passante, dans le quartier du Toulon. Peu avant 20 heures, un groupe de personnes se rendant place de Verdun, à Périgueux a croisé la route de cet individu. Il aurait notamment attrapé une femme de 49 ans par le cou et tenté de l'étrangler avec son foulard en répétant : « Je vais te tuer. » Un homme de 50 ans s'est interposé. Lui aussi aurait essuyé des coups.
La scène s'est conclue par un jet de pierre sur la voiture d'un des membres du groupe. L'homme mis en cause, âgé de 20 ans et domicilié aux Chalets du cœur, a été placé en garde à vue.
La quadragénaire, choquée, a dû être prise en charge par les pompiers. Elle a été transportée au centre hospitalier de Périgueux. Trois plaintes ont été déposées.
http://www.sudouest.fr/2016/03/31/je-vais-te-tuer-un-homme-arrete-apres-avoir-tente-d-etrangler-une-passante-a-perigueux-2317194-1980.php

Un homme expulsé d'un avion pour des menaces de mort

Un homme a été expulsé d'un avion à destination de Constantine, en Algérie, mardi à l'aéroport de Marignane rapporte La Provence. Deux femmes auraient entendu l'homme très agité proférer en arabe et en français des menaces de mort, il "disait qu'il allait mourir et eux avec", explique leur frère au quotidien.

La police de l'air et des frontières est alors alertée par les passagers mais l'homme se calme et finit par passer les contrôles malgré les plaintes à son encontre. Il aurait recommencé àproférer des menaces en salle d'embarquement où le staff de la compagnie Aigle Azur aurait été averti. N'ayant aucune preuve, l'équipage laisse l'homme monter à bord. Avant le décollage l'homme se fait à nouveau menaçant et de plus en plus agité. Les passagers auraient alors menacé de quitter l'avion.

Le commandant a donc fini par demander le renfort de la police pour le débarquer avant de faire sortir tous les bagages des soutes afin de s'assurer de l'absence de danger. L'aéroport n'était "pas au courant" de l'incident.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Toul : « Tout ça pour une casquette… »

L’énoncé des faits est conséquent : dix chefs de poursuite, tous pour des faits qui se sont déroulés le 4 mars 2016 à la maison d’arrêt de Toul-Ecrouves. Insultes, menaces et même des coups ont été portés à l’encontre du personnel pénitentiaire.
Erol Kavak, le prévenu, reconnaît les faits. « Cependant, vous déclarez en avoir oublié une grande partie », note la présidente. La première magistrate attaque d’emblée avec l’analyse psychiatrique. « Lors de l’expertise, il s’est avéré que vous souffrez d’un état dépressif qui pourrait expliquer ces événements. Toujours selon l’expert, vous souffrez d’un mal-être, d’un désarroi moral et affectif intense. »
Tout part d’une scène banale, lors du repas de midi. Dans sa cellule, Erol Kavak garde sa casquette vissée sur la tête. Alors qu’il s’approche du chariot des repas, la surveillante lui demande de retirer son couvre-chef. Il refuse. Et lui lance une insulte sexiste. « J’étais encore dans ma cellule », se défend le plaignant. Trois autres personnes arrivent alors pour tenter de le maîtriser. Impossible. Alors que le personnel s’apprête à enfermer le jeune homme de 23 ans dans une cellule de prévention, celui-ci se révolte et monte une barricade de fortune composée du frigo de sa cellule. « Quand je les ai vus arriver avec leurs boucliers, ça m’a encore plus énervé. Tout ça pour une casquette… Je voulais juste me calmer, moi. » Il refuse que les menottes lui soient passées, il se débat. « Je crois que j’ai craqué parce que je supportais plus l’enfermement », se défend le prévenu.
Il recommence alors à insulter la surveillante, tord le doigt à un autre. Il ira même jusqu’à cracher au visage d’un gradé. « Je suis désolé d’en être arrivé là… Tout ça pour une casquette… »

Défiance envers l’autorité

« Monsieur Kavak a un grave problème de défiance envers l’autorité. En réalité, il ne l’a jamais vraiment connu, à cause d’un contexte familial compliqué », note l’avocate de la partie civile. « Il a surtout un problème avec l’autorité quand elle est exercée par les femmes. » Après les faits, le prévenu appelle la surveillante via l’interphone et profère à son encontre des menaces de mort. L’avocate de la partie civile demande près de 9.000 € en dommages et intérêts pour les trois personnes touchées par les violences du prévenu.
Le ministère public requiert un an d’emprisonnement dont trois mois avec sursis, assorti d’une mise à l’épreuve de deux ans.

Douze mois de prison dont six ferme avec mandat de dépôt à la barre

Au vu des faits, l’avocate ne peut « s’empêcher de croire que le trait a été forcé ». Pour elle, « la répression ne ferait qu’empêcher une possible réinsertion ». Erol Kavak est condamné à douze mois de prison, dont six ferme, avec mandat de dépôt à la barre. Les six autres sont assortis d’une mise à l’épreuve avec injonction de soins et de travail.

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-toul/2016/03/31/nancy-tout-ca-pour-une-casquette

mercredi 30 mars 2016

A Sassenage (Isère), une collision entre une moto et un vélo fait un blessé grave

Un accident a eu lieu ce mercredi 30 mars, vers 7 heures, avenue de Valence. Une moto est entrée en collision avec un vélo. Le motard est légèrement blessé. Le cycliste, en revanche, est dans un état grave
C'est à hauteur du site d'Emmaüs à Sassenage que le choc s'est produit. On ne connaît pas encore les circonstances exactes de l'accident. Les deux victimes ont été évacuées vers le CHU de Grenoble-La Tronche. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/grenoble/sassenage-isere-collision-entre-une-moto-et-un-velo-un-blesse-grave-963223.html

mardi 29 mars 2016

Albi : un homme de 59 ans décède après une altercation

À Albi, un homme de 59 ans est décédé dans la nuit de samedi 26 à dimanche 27 mars après une altercation devant un appartement du quartier de Cantepau. La police Albigeoise a ouvert une enquête.

Une bombe lacyrmogène, jetée au moment d'une altercation devant un appartement, serait à l'origine du décès du quiquagénaire. Cardiaque, l'homme est décédé avant même son arrivée à l'hôpital d'Albi.

Une autopsie doit être pratiquée pour déterminer la cause exacte de la mort de l'individu. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/tarn/albi/albi-un-homme-de-59-ans-decede-apres-une-altercation-962689.html

lundi 28 mars 2016

Dijon : un homme tué par balle dans une fusillade

L'enquête est menée par la direction interrégionale de la police judiciaire afin de déterminer ce qui s'est passé vers 20h dimanche 27 mars 2016 rue de Malines, dans le parc d'activités Cap Nord à Dijon, selon une information révélée par le Bien Public.

Deux véhicules ont été impliqués dans une fusillade. Le conducteur de l'un des véhicules, grièvement touché par balle, a succombé à ses blessures ce lundi 28 mars 2016 au matin à l'hôpital de Dijon. On ne connaît pas son identité. Une autopsie sera pratiquée demain, nous a confié la procureure de la République de Dijon Marie-ChristineTarrare.

Une enquête de flagrance et une enquête balistique sont actuellement en cours, ainsi que la recherche de témoins. L'autre véhicule impliqué est activement recherché. On ne sait pas encore si une ou plusieurs personnes se trouvaient à bord.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/cote-d-or/dijon/dijon-un-homme-grievement-blesse-par-balle-dans-une-fusillade-961815.html

Assassinat d'Aurore Picart : l'ex-compagne du suspect mise en examen pour complicité

Dénoncé par son ex, un homme a été placé en garde à vue depuis ce dimanche dans le cadre de l’enquête sur le meurtre d’Aurore Picart en février dernier. Ce lundi, cette ex-compagne a été mise en examen pour complicité.
Les policiers ont-ils mis la main sur le meurtrier d’Aurore Picart, cette Rémoise de 46 ans exécutée par balles le 22 février dans la cour de son immeuble ? Ils en semblaient convaincus, ce dimanche soir, alors que s’achevait la première journée de garde à vue d’un homme interpellé en pleine nuit, à la suite d’une spectaculaire confidence recueillie lors d’un tout autre dossier.
C’est son ex-compagne qui a affirmé aux enquêteurs qu’elle savait qui avait tué Aurore Picart. Ce dimanche, cette femme a été présentée à un juge d’instruction et mise en examen pour complicité. Elle a été écrouée.
Son ex-compagnon, quant à lui, sera présenté à un juge ce lundi après-midi.
http://www.lunion.fr/691960/article/2016-03-28/assassinat-d-aurore-picart-l-ex-compagne-du-suspect-mise-en-examen-pour-complici

Angoulême : grièvement blessé après une chute de trois étages

Un homme de 25 ans a fait une chute du troisième étage de la tour René-Pajot, rue des Eyssard à Angoulême, vendredi soir vers 18h45.
Il est tombé sur le toit-terrasse de Maison de la justice, située au pied de cet immeuble du quartier de la Grande Garenne, ce qui a nécessité l'intervention des pompiers du Groupement de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux (Grimp).
Grièvement blessé, il est toujours hospitalisé. Une enquête a été ouverte pour connaître les circonstances de cette dramatique chute, dont l'origine ne serait pas criminelle.
http://www.sudouest.fr/2016/03/28/angouleme-grievement-blesse-apres-une-chute-de-trois-etages-2314830-813.php

dimanche 27 mars 2016

Deux blessés dans un accident de voiture à Fresnois-en-Thelle (60)

L'accident a eu lieu ce matin à 7h30 sur la D49 à Fresnois-en-Thelle, dans l'Oise. Il n'a impliqué qu'un seul véhicule mais a fait deux blessés dont un grave. Les deux victimes ont été transportées au centre hospitalier de Beaumont-sur-Oise.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/deux-blesses-dans-un-accident-de-voiture-fresnois-en-thelle-60-961453.html

Incendie à Saintes : un homme grièvement brûlé

L'homme de 58 ans a été sauvé par des voisins
Un feu s'est déclaré ce samedi à la mi-journée dans un appartement au premier étage du 19, rue Chaudruc-de-Crazannes, à Saintes, dans le quartier Saint-Eutrope. Là, un homme de 58 ans a été sauvé par des voisins qui se sont munis d'une échelle pour le sortir du brasier. 
Relogé par la Ville
Brûlé grièvement, il a été transporté au centre hospitalier de Saintes. Il était le seul occupant de l'appartement. Celui du rez-de-chaussée est également détruit mais son résidant n'était pas sur place au moment de l'incendie. Il devrait être relogé par la Ville.
Des pompiers de Saintes, Saint-Jean-d'Angély, Pons et un responsable de Rochefort étaient présents pour éteindre le feu. Cela a nécessité trois lances en manoeuvre. La police nationale et scientifique était également sur les lieux afin de déterminer l'origine de l'incendie. 
http://www.sudouest.fr/2016/03/26/incendie-a-saintes-un-homme-grievement-brule-2313764-1391.php

mercredi 23 mars 2016

Deux hommes brûlés en fabriquant du savon Provendi, à Bons-en-Chablais

Saviez-vous que les vieux savons jaunes des écoles sont fabriqués en Haute-Savoie ? Plus précisément : à Provendi, sociétée basée à Bons-en-Chablais (qui s'est diversifiée avec la fabrication de savons liquides de Marseille). Le laboratoire a malheureusement été le théâtre d'un accident de travail, mardi 22 mars.

Brûlés au 2e degré, selon les pompiers


Vers 20h30, deux salariés âgés d'environ 40 ans ont été brûlés alors qu'ils travaillent autour d'un chaudron, avec un liquide bouillant à l'intérieur, probablement des huiles végétales servant de base au savon.

Selon les pompiers, la substance chauffait à 200°C et des projections ont atteint les visages des deux hommes, brûlés au deuxième degré. Elles ont même été transférées à l'hôpital de Lyon, vu la gravité apparente des blessures.
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"Plus de peur que de mal" ?


Mercredi matin, la direction de Provendi se veut très rassurante : "C’est bien moins grave qu’on pensait. Ils vont très bien et vont revenir rapidement au bureau. Les brûlures étaient surtout aux mains."
Contactée par téléphone mercredi midi, la gendarmerie n'a pas d'informations nouvelles à ce sujet.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie/deux-hommes-brules-en-fabriquant-du-savon-provendi-bons-en-chablais-haute-savoie-958371.html

mardi 22 mars 2016

Un cas de vache folle suspecté dans un élevage des Ardennes

Le statut obtenu il y a près d’un an par la France, , va-t-il être remis en cause ?
>> A lire aussi : La France passe de « risque maîtrisée » à «risque négligeable» pour la vache folle
Un cas d’ESB, la maladie de la vache folle, est soupçonné dans un élevage de vaches salers des Ardennes, a annoncé ce mardi le ministère de l’Agriculture.
Une éventuelle confirmation interviendra dans une dizaine de jours, a souligné le ministère.
La France avait été requalifiée pays à "risque négligeable" pour l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) en mai 2015 par l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE), le dernier cas d’ESB remontant à avril 2004 dans l’Hexagone.
http://www.20minutes.fr/sante/1811731-20160322-cas-vache-folle-suspecte-elevage-ardennes

lundi 21 mars 2016

Il double les gendarmes et termine dans le fossé

Hier, vers 3 h 50, un homme, au volant de sa voiture, a doublé à toute allure une patrouille du peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie. Les gendarmes ont tenté de rattraper le chauffard. Le conducteur sera finalement assez facilement retrouvé : sa voiture a terminé sa course dans le fossé, à Saint-Elix-d'Astarac. Sa passagère, légèrement blessée, a été transportée à l'hôpital d'Auch par les pompiers de Saramon. Le conducteur sorti indemne de l'accident, a refusé de se soumettre au dépistage d'alcoolémie… et il roulait sans permis. Après avoir passé la nuit en cellule de dégrisement, il a été mis en garde à vue par les gendarmes de Saramon. Le trentenaire d'origine parisienne, Gersois depuis peu, était connu de la Justice. Dans la semaine, il avait déjà été contrôlé au volant sans permis…
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/21/2308461-il-double-les-gendarmes-et-termine-dans-le-fosse.html#QTPprMtRv8D0hCIB.99
 

dimanche 20 mars 2016

De faux papiers finançaient le train de vie de deux escrocs

Algérien ou Marocain ? Peut-être Irakien ou… «Ils sont connus sous une dizaine d'alias différents et nous les avons arrêtés avec des jeux de faux papiers qui portent, encore, plusieurs noms !»
De quoi compliquer les investigations des policiers de la brigade de voie publique. Après plusieurs semaines de traque, ces membres de la sûreté départementale ont interpellé la semaine dernière dans le quartier Saint-Michel à Toulouse, deux suspects qui les ont fait beaucoup courir.
Ce duo serait spécialisé dans les escroqueries grâce à des comptes bancaires ouverts sous un faux nom. Avec les chéquiers, et les faux papiers qui vont avec, ils achetaient aussi bien des vêtements de marque que du matériel de sonorisation pour, le week-end venu, jouer les disc jockeys. Une carrière qui ne va pas prospérer la maison d'arrêt, où ils dorment étant peu propice à ce genre de passe-temps.
Parmi les multiples escroqueries dont ce duo est soupçonné, l'une d'elle concerne un spécialiste du matériel photo et vidéo. Les deux individus avaient loué dans cette boutique spécialisée pour plus de 5 000 € de matériel qu'ils se sont empressés de proposer à la vente sur internet pour 700 € ! Sans d'ailleurs que cela ne choque, ou étonne, l'acheteur… À force de croiser les éléments, les policiers ont fini par avoir un peu de chance et ont réussi à loger les deux individus qui partageaient un appartement, bien sûr loué sous un faux nom, dans le quartier Saint-Michel.
La perquisition a permis de saisir différentes marchandises achetées à très bon compte. Mais également du matériel issu d'une précédente escroquerie en 2013 qui a déjà valu à un des suspects une condamnation par le tribunal correctionnel !
Le parquet a ouvert une information judiciaire pour «escroquerie» avec usage de faux papiers. Les enquêteurs doivent désormais identifier la vingtaine de chèques utilisée par le duo mais également vérifier les inscriptions à la CAF ou à la sécurité sociale, bien sûr sous de faux noms…
Quant aux faux papiers, des cartes d'identités françaises, elles seraient fabriquées du côté de Marseille selon les confidences d'un des suspects. «De l'excellente qualité» juge un policier
http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/20/2307724-faux-papiers-financaient-train-vie-deux-escrocs.html

jeudi 17 mars 2016

Plus de vingt voitures détruites par des incendies

Après une série de cambriolages de bâtiments publics, qui s'était étendue jusqu'au pays de Mirepoix, une nouvelle vague de délinquance s'abat depuis quelques jours sur le pays d'Olmes. Des atteintes aux biens qui, depuis ce début de semaine, concernent essentiellement des véhicules.
Ainsi, après trois fourgons et une automobile, à Lavelanet, dans la nuit de lundi à mardi, plus d'une vingtaine de voitures ont été incendiées, à Lavelanet et à Villeneuve-d'Olmes dans la nuit de mardi à mercredi.
Cette série a démarré vers 0 h 30, dans un garage automobile de Villeneuve-d'Olmes. Là, une vingtaine d'automobiles, principalement des épaves, ont été détruites. Puis, quelques minutes plus tard, les sapeurs-pompiers ont été mobilisés rue Jacquard, à Lavelanet, où, toujours dans un garage, une voiture a été incendiée. Enfin, vers 2 h 30, rue de La Poste, à Villeneuve-d'Olmes, une ou plusieurs personnes ont mis le feu à trois voitures stationnées l'une à côté de l'autre et à un container d'ordures ménagères.
Dernier événement, enfin, hier, vers 8 heures, toujours dans la cité villeneuvoise : c'est le cabanon installé à l'entrée du stade, où il était utilisé comme billetterie, qui a été la proie des flammes.
Les gendarmes de Lavelanet sont, bien entendu, à la recherche des auteurs de ces multiples dégradations. Lesquelles causent un sérieux «ras-le-bol» aux habitants du pays d'Olmes.
Ce dont les élus, au premier rang desquels Gérald Sgobbo, président de la «com-com» et maire de Villeneuve, sont bien conscients. La preuve, un plan d'installation de caméras de vidéosurveillance est en cours d'élaboration sur tout le territoire. «Il s'agit de mailler les entrées et sorties de la communauté de communes. Ces caméras devraient donc être posées sur les principaux carrefours», indique Gérald Sgobbo. Hasard du calendrier : une rencontre entre l'élu en charge du dossier et les gendarmes était programmée, et s'est déroulée, hier matin. Un programme de protection des bâtiments publics est également à l'étude.

http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/17/2305796-plus-de-vingt-voitures-detruites-par-des-incendies.html
«Nous avons bientôt une réunion du groupe local de traitement de la délinquance. On ne manquera pas, bien évidemment, d'évoquer ce sujet, et les récents événements même si, à mon avis, c'est “l'œuvre” de jeunes qui font de la provocation», estime Gérald Sgobbo.

http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/17/2305796-plus-de-vingt-voitures-detruites-par-des-incendies.html

mercredi 16 mars 2016

Accident mortel hier soir à Nogna dans le Jura

Un jeune de 18 ans a trouvé la mort dans une sortie de route hier soir peu avant 21 heures.
L'accident s'est produit sur la RD4 en direction Publy. La voiture est seule en cause. Elle a terminé sa course contre un arbre.

Le jeune conducteur n'a pas pu être réanimé par les pompiers. 


http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/jura

Décès d'une patiente à la maternité d'Orthez : un deuxième médecin mis en examen

L'obstétricien, présent dans le bloc lors de l'accouchement qui avait coûté la vie à une jeune femme en 2014, est mis en examen pour  "pour non assistance à personne en danger"
Après l'anesthésiste Helga Wauters, déjà mise en examen pour "homicide volontaire aggravé", un deuxième médecin fait aujourd'hui l'objet d'une mise en examen dans l'affaire du décès d'une patiente en septembre 2014 à la maternité d'Orthez.
Il s'agit de l'obstétricien présent ce soir-là. Sa mise en examen pour "non assistance à personne en danger" date du 25 février dernier, et est assortie d'une mesure de contrôle judiciaire.
"L'obstétricien n'a pas l'interdiction d'exercer, car sa pratique professionnelle n'est pas en cause. C'est son comportement dans le bloc opératoire après l'accouchement qui est visé" Procureur de Pau
Cette mise en examen "n'enlève en rien la responsabilité et aux  fautes commises par l'anesthésiste le Dr Helga Wauters, qui ont conduit à l'arrêt de coeur" de la patiente", estime l'avocat, Me Philippe Courtois, l'avocat de la famille de la victime.

http://www.sudouest.fr/2016/03/15/maternite-d-orthez-un-deuxieme-medecin-mis-en-examen-2302229-4329.php

lundi 14 mars 2016

Yonne : Deux véhicules entrent en collision, un blessé grave

Dans la matinée de lundi 14 mars, un accident est survenu sur la D103 sur la commune de Domats (Yonne) entre deux véhicules, dans la direction de Montacher. La collision a fait un blessé grave, incarcéré dans son véhicule.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/yonne

samedi 12 mars 2016

Loire-Atlantique et Vendée : 800 enfants malades simultanément

Au moins 800 écoliers ont été victimes de troubles digestifs dans le Loire-Atlantique et la Vendée.
Depuis mercredi, la  Vendée et en Loire-Atlantique sont frappées par une épidémie gastrique fulgurante. 800 élèves répartis sur 12 écoles et 9 communes sont tombés malades. Les symptômes : vomissements et diarrhées. 
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Selon France 3 Pays de la Loire, tous fréquentent des écoles dont les cantines sont approvisionnées par le même prestataire : la cuisine centrale de La Roche-sur-Yon.
La Direction départementale de protection des populations (DDPP) et l'Agence régionale de santé (ARS) ont ainsi réalisé des prélèvements sur les repas servis lundi et mardi aux enfants. 
Les résultats devraient être connus en milieu de semaine.
http://www.sudouest.fr/2016/03/12/loire-atlantique-et-vendee-800-enfants-malades-simultanement-2299497-4696.php

mercredi 9 mars 2016

Montpellier: On ne veut pas leur rendre le corps d'un proche, ils sèment la pagaille à la morgue

Le CHU de Montpellier (Hérault) a confirmé à 20 Minutes ce mercredi qu’il allait déposer plainte après des violences survenues mardi vers midi à la morgue de l’institut médico-légal de l’hôpital Lapeyronie.
En milieu de journée, la famille d’un défunt, lassée d’attendre qu’on leur restitue le corps qui faisait l’objet d’une ordonnance d’autopsie par le parquet, a semé la pagaille dans l’établissement, causant plusieurs centaines d’euros de dégâts.
>> A lire aussi : Un braqueur de 26 ans retrouvé mort dans sa cellule

La famille finalement autorisé à récupérer le corps

Le ton est rapidement monté avec les membres du personnel, des agents de la morgue auraient été violentés et du matériel aurait été endommagé. Plusieurs dizaines de policiers sont intervenus pour ramener le calme à l’hôpital.
Finalement, en début de soirée ce mardi, la famille aurait été autorisée à récupérer le corps, pour qu’il puisse être veillé avant les funérailles, qui devraient avoir lieu ce vendredi en fin de matinée à Alès (Gard).
Le corps est celui de Thierry, surnommé Pépino, un détenu de 26 ans retrouvé mort dans sa cellule, à la maison d’arrêt du Gasquinoy, à Béziers, dimanche. L’homme a été condamné en 2014 à 10 ans de prison pour des arrachages de billets commis en 2010 et 2011. Il devait être rejugé en novembre pour un braquage et l’agression d’une chef d’entreprise.
http://www.20minutes.fr/montpellier/1802927-20160309-montpellier-veut-rendre-corps-proche-sement-pagaille-morgue

mardi 8 mars 2016

Couple retrouvé pendu à Condé-sur-l’Escaut : l'enquête s'oriente vers un meurtre

Le 28 février à 18 heures, deux corps étaient retrouvés dans leur appartement de Condé-sur-L’Escaut. Celui d’une femme de 61 ans Michèle P. et de son mari, âgé de 54 ans, Pascal H..

Etranglé

Les enquêteurs, qui avaient d’abord cru à un double suicide par pendaison ont conclu à un meurtre : l’homme présente en effet des marques de strangulation. La femme, elle, est morte par pendaison. «  La thèse privilégiée  par les  enquêteurs s’oriente vers un étranglement de Pascal H. par Michèle P. qui se serait par la suite donnée la mort en se pendant », explique le parquet de Valenciennes, en charge de l’enquête.

C’est le fils de Michèle P. qui, le 28 février, ne parvenant pas à joindre sa mère, avait demandé à une voisine de se rendre à leur domicile.Celle-ci ne trouvant personne avait alerté les pompiers, qui avaient retrouvé le couple pendu.

Les analyses se poursuivent

Le corps de l'homme se trouvait une remise attenante à la maison. Un cordon électrique avait été accroché à la poutre centrale mais le corps avait été trouvé au sol. Le cordon était manifestement trop long pour permettre une pendaison. La femme était trouvée pendue dans la salle de bain avec une laisse de chien, précise le parquet de Valenciennes.

Plusieurs proches indiquent que la femme était dépressive, souffrant d’une maladie handicapante. Un bol alimentaire (vomissement) a été retrouvé pour Pascal H. Des analyses toxicologiques vont être menées pour vérifier si Pascal H. n’aurait pas ingéré des antidépresseurs prescrits à sa femme, ce qui aurait facilité l’étranglement


http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/nord/valenciennes/couple-retrouve-pendu-conde-sur-l-escaut-la-piste-du-meurtre-privilegiee-946051.html

lundi 7 mars 2016

Dunkerque : un homme dans un état grave après l'incendie de son appartement

Un homme de 43 ans a été hospitalisé dans un état grave dans la nuit de dimanche à lundi, évacué par les pompiers dans l'incendie de son appartement rue Saint-Jean à Dunkerque
Les pompiers et la police sont intervenus dans la nuit de dimanche à lundi, vers 2 heures, pour intervenir sur l'incendie d'un appartement rue Saint-Jean à Dunkerque. Ils ont évacué un homme de 43 ans en arrêt-cardio respiratoire. L'homme a été réanimé et transporté au centre hospitalier de Dunkerque. Son pronostic vital est engagé.

Les pompiers ont forcé six portes d'appartements voisins, dont la plupart semblaient inhabités et évacué deux autres personnes, qui n'étaient pas blessées. Aucun relogement n'est envisagé.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/nord/dunkerque/dunkerque-un-homme-dans-un-etat-grave-apres-l-incendie-de-son-appartement-945511.html

dimanche 6 mars 2016

Dépakine : le combat d'une mère pour faire éclater la vérité

Durant de longues années, Laurence a cherché à comprendre pourquoi ses trois enfants sont atteints de diverses pathologies. L'an dernier, elle apprend enfin que la cause en est la dépakine, un traitement qu'elle utilise contre l'épilepsie. Depuis, elle se bat contre Sanofi, qui commercialise ce médicament en France depuis près de 50 ans.
Avant Laurence se battait contre des fantômes, un combat dans lequel "on s'épuise", dit-elle. Désormais, depuis qu'elle sait enfin qui est responsable des difficultés de santé de ses enfants, elle affronte "un mur" appelé Sanofi. Cette mère de famille, qui a accepté de confier son histoire à Thierry Demaizière pour Sept à Huit, a une fille et deux fils.
Lisa est née au début des années 90. A l'école primaire, on lui diagnostique des troubles de la concentration. Elle apprendra plus tard qu'elle a un trou de la colonne vertébrale. Son frère cadet, Lucas, a quant à lui un visage bizarre à la naissance. Atteint de troubles autistiques, il est aujourd'hui handicapé à plus de 80%. Le petit dernier, Loïc, est quant à lui tombé malade rapidement après sa naissance en raison d'une atrophie cutanée au niveau du dos et une hyperlaxité ostéo articulaire.
Durant des années, Laurence (à qui l'on prescrit de la dépakine) et son mari vont tenter de comprendre pourquoi leurs enfants ont une santé si défaillante. Mais les médecins restent sans réponses. En tout cas, d'un point de vue médical. Si Lisa, Lucas et Loïc sont atteints de pathologies si différentes, c'est parce que Laurence et son mari sont "de mauvais parents", conclut un médecin.
Quand les problèmes digestifs de Lisa débutent, un autre thérapeute accuse cette mère d'en être responsable. "Les femmes contemporaines travaillent donc elles stressent et nourrissent mal leurs enfants", lui a-t-on dit. Et puis finalement, l'an dernier, c'est un généticien qui a révélé à cette famille la cause réelle de tous ces problèmes de santé. Le responsable, c'est la dépakine, commercialisée en France par Sanofi depuis 1967 pour traiter l'épilepsie.
"Toute ma vie sera un combat"
Selon l'Igas, ce médicament a provoqué au moins 450 malformations congénitales chez des bébés exposés in utero en France. Mais d'après Laurence, le nombre d'enfants touchés serait beaucoup plus important. Elle évoque jusqu'à 30.000 victimes potentielles. Aujourd'hui naturellement, elle en veut au corps médical. "On se retrouve à aller voir les médecins pour leur demander de l'aide et au bout du compte, on retrouve à être jugé à chaque rendez-vous et être vus comme de mauvais parents".
Après tant d'années passées dans le noir, Laurence redoute à présent que ses petits-enfants soient également malades. "Dans notre association, on a déjà quelques familles, malheureusement, qui sont touchées, où la troisième génération est parfois atteinte d'autisme ou de malformations", explique-t-elle. Des études, encore en cours, devraient permettre de confirmer s'il existe ou non un risque pour les générations suivantes. "On a démarré notre combat il y a 20 ans, j'ai pleuré tous les jours et je me dis en fait que toute ma vie sera un combat. Peut être qu‘on risque d'avoir des petits enfants handicapés, ça c'est mon cauchemar, j'y pense tous les jours".
Pour rester debout, Laurence refuse de pousser la porte d'un thérapeute. Ce qui l'aide au quotidien, c'est son combat contre Sanofi. "C'est le fabricant de ce produit et il doit en assumer les conséquences", assure-t-elle. Et ce combat, elle se dit persuadée de le gagner car contrairement à un fantôme, "un mur, on peut le voir. Et je le démolirai !".
 

Il se brûle en incendiant la voiture

La présidente lui demande son adresse, mais manifestement il ne comprend pas. Quand on lui demande ce qu'il fait comme travail, il ne comprend pas bien non plus. Bref, Pascal «n'y est pas tout», comme disaient nos anciens dans les campagnes. Pour faire plus moderne, on peut dire qu'il n'a pas la lumière à tous les étages. En face de lui, sur le banc des parties civiles, un copain à lui, qui n'est pas beaucoup plus éclairé non plus. «Des pieds nickelés», observera le procureur Jardin. Le 25 octobre dernier, dans le cadre d'une enquête qui n'avait rien à voir avec l'affaire qui occupait le tribunal, les policiers se présentent au domicile de Pascal : c'est une quasi-momie qui leur ouvre la porte : il est torse nu, bandé de partout. Grièvement brûlé. Aussitôt, les policiers font le lien avec une plainte qui vient tout juste d'être déposée par Gérald pour l'incendie de sa voiture, un peu plus tôt dans l'après-midi. «Alors, qu'est-ce qui s'est passé ?», interroge Élisabeth Gadoullet. à la barre, Pascal bafouille un peu, mais reconnaît : «Ben oui, c'est moi. Mais en fait, on était tous les deux. C'est Gérald qui a mis l'essence sur la voiture et moi j'ai allumé. Et paf, y a eu le feu !» Mais au lieu de faire un bond en arrière, Pascal est resté là, planté comme un pépiot : «Et vous avez reçu un beau retour de flammes…», soupire la magistrate. C'est pour cet incendie volontaire que Pascal est poursuivi. Mais il insiste : «J'étais pas tout seul, j'étais avec Gérald, on l'a fait tous les deux». L'histoire débute quelques jours plus tôt avec la vente de cette fameuse voiture : Gérald la cède à son copain Pascal pour 1.000 €. 500 € sont avancés, le reste étant promis pour plus tard. Mais des pannes à répétition surviennent et Pascal décide de rendre la voiture. Il réclame aussi ses sous. Il ne recevra que 400 €. L'idée de mettre le feu à la voiture pour toucher la prime d'assurance va finir par germer sur le terreau très peu fertile de leurs pauvres cervelles. Et ce brillant stratagème va conduire Pascal tout droit à l'hôpital. Quand on interroge Gérald, il nie tout en bloc avec un entêtement voisin de l'absurde : «Si le dossier n'était pas bien clair au départ, les déclarations que vient de faire votre ami expliquent tout. Si vous disiez la vérité, ce serait mieux». Mais Gérald n'en démord pas : «Regardez-le dans les yeux, ordonne la présidente et dites la vérité». Rien n'y fait. «Dans ce cas, on verra si le parquet décide de vous poursuivre aussi.» Pour Emmanuel Tandonnet, qui défend Gérald, la tâche n'est pas facile : «Il a du mal dans l'expression et la compréhension…» C'est peu de le dire. Mais enfin, il a tout de même eu cette idée qui démontre qu'il n'est pas totalement pinpin. Pour Pascal, les choses sont plus claires : «Il a tout perdu en définitive, explique son défenseur Christelle Marbais. Il a acheté un véhicule en panne, n'a rien touché de cette manœuvre puisque Gérald a tout gardé et il perd 100 €. Et par-dessus le marché, il finit brûlé». Et il écope en prime de 60 jours-amendes à 10 €, mais n'aura rien à verser à la partie civile : «Votre ami ne mérite pas le moindre centime !», assène la présidente. Malgré tout ça, ils sont toujours copains. Comme quoi…
http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/06/2298252-il-se-brule-en-incendiant-la-voiture.html

samedi 5 mars 2016

Orelle - La Plagne : deux skieurs en arrêt cardio-respiratoire héliportés au CHU de Grenoble

Coup sur coup, ce vendredi 4 mars en milieu d'après-midi, la CRS Alpes a géré le secours de deux skieurs qui étaient en arrêt cardio-respiratoire. L'un après une chute, l'autre après un malaise sur les pistes. 
Dans la station d'Orelle, un homme de 40 ans a fait une chute de 4 à 5 mètres après avoir sauté une barre rocheuse. Sa tête a percuté le sol, et à l'arrivée des secours le skieur était inconscient. Le médecin dépêché avec les CRS a réussi à relancer l'activité cardiaque du blessé qui a ensuite été transporté en urgence au CHU.

A La Plagne, c'est un touriste de 35 ans environ qui a été victime d'un malaise cardiaque sur les pistes. Des témoins l'ont vu tomber et un massage a permis de le tirer d'affaire avant son transport à l'hôpital.

A chaque fois, les pisteurs des stations sont également intervenus pour participer à l'intervention. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/savoie/orelle-la-plagne-deux-skieurs-en-arret-cardio-respiratoire-heliportes-au-chu-de-grenoble-944320.html

Haute-Savoie: Il fait exploser sa cuisine en fumant une cigarette

On ne le répétera jamais assez, fumer peut tuer. S’il a évité le pire, un habitant de Seyssel (Haute-Savoie) s’est fait une belle frayeur vendredi après-midi à cause de… sa cigarette. Comme le relate Le Dauphiné Libéré, l’homme venait d’allumer une cigarette dans sa cuisine. Problème : il était juste côté d’une bouteille de camping gaz à priori mal refermée.

Les deux occupants du logement sont légèrement blessés

Du coup, tout a explosé. Heureusement, les deux occupants du logement, transportés au centre hospitalier de Belley, ne sont que légèrement blessés. Par contre, leur logement est inutilisable, des fissures étant apparues dans les murs. La famille sera relogée par la mairie de Seyssel.
http://www.20minutes.fr/lyon/1800215-20160305-haute-savoie-fait-exploser-cuisine-fumant-cigarette

Enlèvement de mineurs : plus dealers que ravisseurs

Les cinq personnes placées en garde à vue dans la nuit de lundi à mardi après une «tentative d'enlèvement» sur deux mineurs, faubourg Bonnefoy auraient voulu régler un différend «commercial» sur fond de trafic de stups.
Les témoins ne s'étaient pas trompés. Deux jeunes mineurs victimes de coups, ceinturés et embarqués de force par plusieurs hommes dans deux voitures différentes, vers 0 h 10, dans la nuit de lundi à mardi, rue du Faubourg-Bonnefoy à Toulouse.
Vite signalé à la police, l'enlèvement avait été aussi rapidement résolu grâce à l'intervention des hommes de la brigade anticriminalité. Les deux véhicules avaient été interceptés, avenue Yves-Brunaud et boulevard Marengo, et les ravisseurs présumés placés en garde à vue.

Une dette de 2000€

Ravisseurs… ou pas. Au fil des auditions de chacun, victimes comme suspects, l'affaire de rapt s'est vite dégonflée. En revanche, la thèse du règlement de comptes sur fond de trafic de stupéfiants a pris le dessus.
Au cours des gardes à vue, auxquelles les victimes ont également eu droit, il s'est avéré qu'un «carottage» d'herbe de cannabis était à l'origine du coup de colère des cinq agresseurs. L'un d'entre eux aurait en effet «prêté» pour 2000€ du produit stupéfiant à l'un des mineurs de 17 ans. Somme que le malfaiteur devait lui-même «à un Grand» qui le «terrorise» et dont il n'a évidemment pas donné le nom.
Afin de récupérer son argent, il aurait donc organisé l'expédition punitive de lundi soir et demandé le «transport» brutal des deux victimes dont l'un n'était pas au courant du deal.

Jugés le 18 mars

Hier, les cinq suspects, âgés de 19 ans à 27 ans, qui se trouvaient dans les véhicules, devaient être jugés en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Toulouse du chef de violences aggravées et, pour certains, de trafic de stupéfiants. Quatre d'entre eux ont comparu libres, la plupart n'ayant pas d'antécédents judiciaires.
Ils ont demandé un délai afin de préparer leur défense. Quatre sont ressortis libres du tribunal, le cinquième a été placé en détention provisoire. Ils devront comparaître le 18 mars
http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/05/2298056-enlevement-de-mineurs-plus-dealers-que-ravisseurs.html

vendredi 4 mars 2016

Une Super 5 fait une sortie de route à Aiton (Savoie): un mort et un blessé grave

L'accident s'est produit à minuit sur la RD 1090 entre Albertville et Saint-Pierre-d'Albigny. Pour des raisons encore indéterminées, une renault Super5 est venue percuter un arbre en contrebas de la chaussée après une sortie de route. Les pompiers ont dû désincarcérer les deux occupants du véhicule. Le passager, un jeune homme de 28 ans habitant les environs d'Aiton, est décédé.

Le conducteur, également âgé de 28 ans, a été héliporté vers l'hôpital de Grenoble dans un état critique.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/savoie/une-super-5-fait-une-sortie-de-route-aiton-un-mort-et-un-blesse-grave-943333.html

Accident mortel des Barthes : le vrai conducteur a été écroué

C'est, pour le moins, un rebondissement judiciaire qui s'est produit dans l'accident mortel des Barthes ayant coûté la vie à Romain Marrou, 18 ans. Le 19 février dernier, une automobiliste de 21 ans en avait endossé la responsabilité.
Quelques jours après le drame ayant endeuillé la famille Marrou et tout le village des Barthes, l'enquête des gendarmes, qui aurait pu en demeurer là, a pris un nouveau tournant. Saisi d'un soudain remords ou, sans doute, de peur que sa copine ne craque sous la pression des événements, un Barthais de 21 ans s'est manifesté auprès des fonctionnaires de police du commissariat comme étant le véritable conducteur du véhicule ayant percuté et tué Romain Marrou

Il avait demandé à sa copine d'endosser la responsabilité

Placé en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Moissac, il a confirmé avoir demandé à sa copine, qui n'était pas présente dans le véhicule et qui n'a donc pas assisté à l'accident, de prendre sa place. Et pour cause, l'individu, interpellé à plusieurs reprises par les gendarmes pour circuler sans permis, n'a jamais passé son permis de conduire. Des révélations qui étaient rapidement corroborées par des témoins oculaires de l'accident. Parmi eux, un autre jeune Barthais, passager dans le véhicule ayant percuté de plein fouet Romain qui circulait sur sa motocyclette 50 cm3, chemin de Labastide. Le parquet réclamait finalement une autopsie. Cette dernière a confirmé que le défunt avait été polytraumatisé par le terrible impact.
Au terme d'une garde à vue prolongée, le chauffard a été déféré devant le parquet qui a réclamé l'ouverture d'une information judiciaire. Au vu de la gravité des faits, la juge d'instruction Nicole Bergougnan, saisie de cette affaire, l'a mis en examen pour homicide involontaire et a réclamé son placement en détention provisoire. Une requête que le juge des libertés et de la détention (JLD) a suivie.

La copine devrait être mise en examen pour dénonciation mensongère

Quant à sa copine, elle a également été auditionnée quarante heures durant sous le régime de la garde à vue. Elle a toutefois été relâchée dans l'attente d'une future comparution devant la juge d'instruction, qui devrait également la mettre en examen pour le délit de dénonciation mensongère. L'enquête n'en est pas pour autant achevée pour les gendarmes de la compagnie de Castelsarrasin, plusieurs témoins qui s'étaient portés sur les lieux quelques minutes après la collision ne s'étant pas encore manifestés et n'ayant pu être auditionnés par les enquêteurs
http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/04/2296935-accident-mortel-des-barthes-le-vrai-conducteur-a-ete-ecroue.html

Pontarlier : un policier blessé dans une course-poursuite

Un policier a été blessé dans une course-poursuite avec des cambrioleurs présumés, ce jeudi aux alentours de 14h30 à Pontarlier. Les malfaiteurs, recherchés après une série de vols par effraction, ont pris la fuite à l'arrivée de la police . Ils ont immédiatement été pris en chasse. Une course-poursuite s'est engagée dans les rues de Pontarlier. Sur la chaussée rendue glissante par la neige, les fuyards ont perdu le contrôle de leur véhicule immatriculé en Meurthe-et-Moselle au niveau de la rue Jeanne-d'Arc, à l'entrée de la Place des Bernardines. Ils ont percuté une première voiture qui circulait en sens inverse avant de heurter très violemment deux voitures en stationnement. L'une d'elle s'est immobilisée à quelques centimètre de la vitrine d'un cabinet d'expertise automobile. L'automobile des policiers est à son tour entrée en collision avec les malfaiteurs.
Trois individus ont alors immédiatement pris la fuite rue des Ecorces. Le quatrième, le conducteur dont la portière était bloquée a mis plus de temps à sortir de la voiture. Il a violemment projeté la portière au visage d'un policier qui a été atteint à l'arcade sourcilière. La course-poursuite s'est poursuivie à pied cette fois. L'individu a pu être interpellé et maîtrisé. 
Les sapeurs-pompiers sont intervenus sur place pour prendre en charge le jeune policier. Le quartier a été bouclé et plusieurs patrouilles ont ratissé le secteur. Les gendarmes ont également été alertés.  
Au total, trois hommes sont en  fuite. Il est probable qu'ils constituent avec leur complice interpellé l'équipe qui sévit depuis plusieurs jours dans le Haut-Doubs multipliant les cambriolages. Il semble qu'ils soient spécialisés notamment dans le vol de véhicules. Le cabinet d'expertise automobile avait lui-même été cambriolé le matin même. Une série de faits similaires était en cours sur le secteur, avec deux cambriolages perpétrés samedi  à Pontarlier.
http://www.estrepublicain.fr/edition-haut-doubs/2016/03/03/pontarlier-un-policier-blesse-dans-une-course-poursuite-avec-des-braqueurs

jeudi 3 mars 2016

Accident mortel : une voiture tombe dans un canal à Lagnes

Ce mercredi après-midi, une conductrice de 83 ans a eu un accident de voiture sur la commune de Lagnes. La voiture est tombée dans le canal de Carpentras. La conductrice est décédée.
Une femme âgée de 83 ans a été retrouvée dans le canal de Carpentras.

Elle a quitté la route, la D100, au volant de sa voiture. Cette conductrice est décédée dans l'accident, à Lagnes (près de l'Isles-sur-la-Sorgue.)

http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/vaucluse/accident-mortel-une-voiture-tombe-dans-un-canal-lagnes-941914.html

Lot-et-Garonne : ivre, il poursuit sa femme avec une hache

Le sexagénaire, résidant à Pujols dans le Villeneuvois, a été placé en garde à vue mercredi pour ces faits. Il devrait être prochainement convoqué par la justice
Lundi, une Pujolaise de 61 ans s'est présentée au commissariat pour porter plainte contre son mari, âgé de 65 ans. Depuis 2014, la femme explique subir des violences, des gifles, de la part de son mari alcoolisé. Jusqu'à ce jour, où il défonce la porte de la salle de bain à coup de hache, alors que la malheureuse s'y était enfermée.
Placé en garde à vue mercredi matin, le mari violent a cherché à minimiser les faits, non sans être placé en cellule de dégrisement dès son arrivée au commissariat.
Menaces de mort répétées, violences et menaces avec une arme, l'homme devrait être prochainement présenté à un juge pour répondre de ces faits.
http://www.sudouest.fr/2016/03/03/lot-et-garonne-ivre-il-poursuit-sa-femme-avec-une-hache-2290120-3603.php

Il avait dépouillé des automobilistes sur l'A62

Juillet 2013. Deux automobilistes bordelais qui stationnaient sur l'aire de repos de l'A 62, à Saint-Porquier, étaient passés à tabac et dépouillés de 8 500 €. Après un an d'enquête, les gendarmes arrêtaient l'un des braqueurs. Jugé, ce dernier a écopé de quatre ans.
Cheveux rasés, lunettes, Abdelkader Bennabi, 34 ans, a des faux airs de Malcom X. Incarcéré depuis plus d'un an, cet ancien électricien reconverti en braqueur n'avait pas manqué de culot. Un mois avant son audience, ce mardi, il avait, en effet, présenté une demande de libération. Une requête bien pensée par son avocat, Me Alexandre Parra-Bruguière, l'un des ténors du barreau toulousain, que ne suivait pas l'expérimentée juge d'instruction Nicole Bergougnan qui présidait, ce mardi-là, l'audience du tribunal correctionnel de Montauban. C'est donc encadré de son escorte du centre pénitentiaire de Mont-de-Marsan qu'Abdelkader Bennabi s'est présenté devant le tribunal. Avant de l'interroger, le président Michel Redon revenait sur cette affaire qu'il qualifiait, d'emblée, de «brigandage de grand chemin». En effet, le 17 juillet 2013, deux Bordelais de 21 et 40 ans se rendent à Nîmes, chez un particulier, pour lui acheter son véhicule dont l'annonce a été publiée sur le web. La transaction faite, contre 8 500 € en liquide, les deux hommes regagnent la Gironde. Seul hic, près de Toulouse, le véhicule récemment acquis tombe en rade. Ils rappellent l'ancien propriétaire qui se montre disposé à rembourser la somme s'il ramène l'auto à Nîmes. Après quelques appels, ils trouvent un dépanneur qui les ramène dans la préfecture gardoise. La transaction achevée, les deux amis acceptent, par la suite, la proposition du garagiste de prendre leur automobile sur son plateau pour regagner ensemble Toulouse.

Un véritable guet-apens

«Il est 6 heures le 18 juillet lorsqu'ils reprennent leur Peugeot 206 sur le périphérique de Toulouse et repartent en direction de la Gironde», confirmait le président Redon. Quarante-cinq minutes plus tard, sur l'aire de repos de l'A 62, à Saint-Porquier, les deux Bordelais tombent dans un véritable guet-apens. Un fourgon avec trois individus les attend, ils leur réclament, d'emblée, les 8 500 € qu'ils ont en leur possession. «L'un d'eux est sorti avec un couteau en ma direction, Aziz a été tabassé par les deux autres», confirmait le juge Redon en lisant le procès-verbal de l'une des victimes. «Je l'ai juste poussé alors qu'il partait en courant», arguait l'accusé. «Il a tout de même eu sept jours d'ITT délivré par un médecin légiste, ce n'est pas rien qu'une bousculade», tonnait le magistrat. «Mon client est traumatisé, il a interrompu, depuis, ses études, il fait des insomnies et est incapable de reprendre l'autoroute depuis ces faits», plaidait Me Jérémie Glories pour l'une des victimes. «Vous étiez bien trois?», poursuivait Michel Redon. «Oui», répondait laconiquement A. Bennabi.

Le dépanneur a échangé 75 messages avec lui

«Et votre cousin, le garagiste qui a assisté au remboursement des 8 500 €, il n'y est pour rien?», insistait le juge, qui rappelait que le dépanneur avait été entendu comme témoin assisté durant l'instruction. «Non, en rien», lâchait le mis en cause sans sourciller. Des réponses qui faisaient sortir de ses gonds le substitut du procureur Mathias Marchand. «Ces faits, qui ont été requalifiés (le couteau n'ayant pas été retrouvé) et qui vous auraient sinon conduit devant les assises, sont des plus crapuleux. L'opération était programmée et préméditée, votre trio était sûr de son coup», tempêtait le magistrat, qui n'oubliait pas de rappeler les soixante-quinze messages téléphoniques échangés entre le cousin garagiste et A. Bennabi le jour des faits. Regrettant que l'accusé ne donne pas le nom de ses comparses, Mathias Marchand donnait l'estocade en faisait une remarque des plus pertinentes : «Lorsqu'on vient à trois pour braquer deux automobilistes sur l'autoroute, on ne vient pas sans arme, juste les mains dans les poches...»
De son côté, Me Alexandre Parra-Bruguière, qui ne minimisait pas la responsabilité de son client, rappelait toutefois avec justesse que l'on ne pouvait lui reprocher de ne pas donner le nom de ses comparses, son client «ayant déjà endossé le plus grave dans ce dossier, celui d'avoir organisé ce vol». Revenant sur les onze condamnations de A. Bennabi, l'avocat toulousain pointait du doigt que dix d'entre elles étaient des délits routiers. «Mon client était artisan, il avait perdu son permis, il lui fallait continuer à travailler», assurait l'avocat de la défense qui réclamait une peine plus magnanime que les quatre ans requis par le Ministère public. Le verdict tombait, sans surprise, identique aux réquisitions. Abdelkader Bennabi regagnait sous bonne escorte sa cellule pour au moins deux ans.

http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/03/2296727-il-avait-depouille-des-automobilistes-sur-l-a62.html

Montpellier : roué de coups par six personnes dans le tramway

L es faits se sont produits dimanche 28 février en fin d'après-midi à hauteur de la gare. Six suspects ont été arrêtés. Et doivent être déférés.
Pas sûr que ce jeune homme, âgé d'une vingtaine d'années, reprenne le tramway de sitôt. Alors qu'il se trouvait dans une rame, dimanche 28 février, vers 18 h 30, à hauteur de la station Saint-Roch, dans le quartier de la gare, il a été pris à partie par six personnes du même âge qui se trouvaient déjà dans la rame dans laquelle il venait de monter. Un sextette qui se serait mis à rigoler en le voyant. Puis, l'un se serait approché de la future victime. Laquelle lui aurait fait part de son interrogation. Les cinq autres se sont alors avancés et ont littéralement passé à tabac le garçon.

Une agression stoppée par les passagers

Dans la bagarre, il a même été sérieusement mordu à un bras par l'un de ses agresseurs. Certains auraient également tenté de le dépouiller de ses effets personnels. Une agression d'une violence inouïe stoppée par l'intervention de passagers. Prévenu, un équipage de la brigade anticriminalité a appréhendé les suspects. En garde à vue, ces derniers ont évoqué un différend mais réfuté la tentative de vol. Ce que viendrait contredire les images issues de la vidéo de la rame. Ils doivent être déférés au parquet aujourd'hui
http://www.midilibre.fr/2016/03/02/roue-de-coups-dans-le-tramway,1294113.php

mercredi 2 mars 2016

Un cadavre retrouvé au bord du Gardon à Sanilhac-Sagriès dans le Gard

Une enquête a été ouverte et une autopsie sera réalisée pour déterminer les causes du drame.
Le site où le corps a été retrouvé est situé près de La Baume, en bordure du Camp des garrigues.
Selon nos confrères de
midilibre.fr, la victime était en possession de papiers d'identité et gisait dans une anfractuosité. Cet homme, domicilié à Milhaud, dans le Gard, serait âgé d'une cinquantaine d'années.
Toutes les hypothèses, dont celle d'un accident, restent ouvertes

http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/gard/nimes/un-cadavre-retrouve-au-bord-du-gardon-sanilhac-sagries-dans-le-gard-941700.html

Paris: Une pharmacie du Marais braquée par un homme armé

Après le braquage de la bijouterie Chopard, Place Vendôme, c’est une pharmacie située dans le Marais (4e arrondissement) qui a fait l’objet d’un vol à main armée, ce mercredi, a appris Metronews de sources policières. 

« Il s’est fait remettre le fond de caisse »

Peu avant 10h, un homme est entré dans cet établissement, situé rue du Pont Louis Philippe. « Il a exhibé ce qui ressemble à une arme de poing et s’est fait remettre le fond de caisse », précise une source policière. 
Contacté par Metronews, un commerce voisin ajoute que les policiers sont actuellement en train de faire les premières constatations dans la pharmacie. « Tout est allé très vite. Il n’y a pas de blessé », ajoute cette même source. L’homme, qui a pris la fuite, est actuellement recherché par les policiers.
http://www.20minutes.fr/paris/1797927-20160302-paris-pharmacie-marais-braque-homme-arme

Vols à l'arraché à Laden : un jeune mineur interpellé

Les policiers du commissariat de Castres ont interpellé lundi matin un très jeune mineur, à peine âgé de 14 ans, soupçonné d'être l'auteur de trois vols (ou tentative) de sacs à mains commis dimanche 21 février au quartier de Laden. Le jeune garçon, habituellement placé en foyer à Albi, se trouve actuellement dans sa famille à Castres et plusieurs éléments concordants recueillis par les enquêteurs le désignent comme étant l'auteur de ces trois agressions. Le premier vol a été commis le dimanche à 14h30 et la victime âgée de 58 ans a été blessée (3 jours d'ITT : incapacité temporaire de travail). Le deuxième vol n'est pas à la arraché mais concerne un sac à main volé dans le même secteur, vers 18h30 rue de Laden, dans une voiture dont la propriétaire avait laissé la portière non verrouillée le temps d'aller à la Poste. Le lendemain, c'est une tentative de vol à l'arraché qui a échoué devant la gare SNCF. La jeune femme a qui on a essayé d'arracher le sac à mains est parvenue à mettre en fuite son agresseur.
Durant sa garde à vue, le garçon a nié en bloc les faits qui lui sont reprochés mais les policiers disposaient de suffisament d'élements pour le présenter au parquet des mineurs puis au juge des enfants de Castres. Lequel a décidé de son placement dans un foyer à Toulouse. Ce même garçon très jeune donc, manifestement en perte de repères, devra aussi répondre d'un «refus d'obtempérer» et de circulation sur un scooter volé. Des faits constatés par les policiers eux mêmes vendredi après-midi alors qu'ils réalisaient une vague de contrôles dans le même quartier de Laden.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/02/2287434-vols-a-l-arrache-a-laden-un-jeune-mineur-interpelle.html

Verdun : intoxication collective dans un restaurant chinois

Depuis quelques jours, sur les réseaux sociaux, on entendait tout et son contraire sur le nouveau restaurant chinois de la zone du Dragon. Certains clients étaient ravis de l’accueil, du service, de la qualité du buffet à volonté proposé. Quand d’autres se plaignaient d’avoir été malades après leur repas.
Info ou intox ? Le 25 février dernier, l’établissement se voyait dans l’obligation de rétablir certaines vérités sur sa page facebook : « Cher client, nous tenons à vous informer que les rumeurs concernant le restaurant ne sont pas fondées. Les services sanitaires ont confirmé qu’il n’y avait aucun problème. » Le lendemain cependant, une mesure d’urgence était prise par la préfecture de la Meuse qui décidait de fermer administrativement le restaurant jusqu’à nouvel ordre.

Analyses et désinfection

Chargé du dossier, le directeur départemental de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDSPP) Laurent Dlévaque explique l’évolution de la situation : « En début de semaine dernière, nous avons reçu un signalement de suspicion d’intoxication collective dans ce restaurant qui venait d’ouvrir. » Des agents se rendent alors sur place et inspectent les lieux. « Nous avons alors remarqué des dysfonctionnements dans la manipulation des denrées alimentaires, et certaines ruptures de la chaîne du froid. » Rien cependant qui nécessitait une fermeture de l’établissement. Les jours passants, les plaintes se sont accumulées.
« Notre problème de départ c’est qu’il n’y avait aucun certificat médical pour appuyer une intoxication. D’autant que nous traversons actuellement une épidémie de gastro-entérite. » Jusqu’à l’hospitalisation d’un jeune homme de 21 ans mercredi dernier, qui s’était rendu dîner dans ce restaurant : « Il souffrait d’une diarrhée sanglante et n’arrivait plus à tenir debout. » Des analyses de selles ont été faites mais rien d’anormal n’a été décelé.

Une vingtaine de cas pour le moment

Vendredi, la décision a été prise de fermer purement et simplement l’établissement en attendant d’avoir plus d’informations.
Dès le lendemain, une société de nettoyage spécialisée a désinfecté le restaurant. « Toute la nourriture a également été jetée », précise Laurent Dlévaque. Ce mardi matin, des agents se sont rendus sur les lieux pour des prélèvements sur les surfaces : « Nous aurons les résultats en fin de semaine. » D’où vient le problème ? « Les analyses nous le diront. Si tout est normal il n’y a aucune raison de ne pas abroger l’arrêté préfectoral de fermeture du restaurant. L’autre source possible serait un porteur sain comme un salarié du restaurant. Dans ce cas, il faudrait d’autres analyses… »
À préciser que le gérant possède un restaurant du même type (et du même nom) dans un département voisin et qu’il n’a jamais eu le moindre souci dans ce domaine.
À Verdun, cependant, selon l’Agence Régionale de Santé, ce sont plus d’une vingtaine de malades qui ont été recensés après avoir mangé dans ce restaurant, entre le 13 et le 23 février, dont cinq cas de diarrhée et une hospitalisation. « Et il est possible que ce chiffre soit plus élevé », complète la préfecture.

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-verdun/2016/03/01/verdun-intoxication-collective-dans-un-restaurant-chinois

mardi 1 mars 2016

Dans l'enfer de la Tramontane : des rafales jusqu'à 160 km/h

L'Aude et surtout les Pyrénées-Orientales ont vécu un 29 février sous extrême pression de Tramontane. Le classement en vigilance orange de ces départements n'était certainement pas usurpé avec des rafales record enregistrées à la fois en bord de mer et sur les sommets.
Ainsi à Leucate hier en fin de matinée on a enregistré un souffle à 130 kilomètres heure, 138 en vitesse de pointe au Cap Béar, la zone la plus exposée de la Côte Vermeille. En Roussillon, les sapeurs-pompiers sont intervenus plus de 130 fois avec d'infinies précautions. «Dans ce genre de situation de vent très violent, on ne peut pas sortir la grande échelle ni le bras articulé. On se contente de faire des reconnaissances et de baliser les zones périlleuses et de mettre les personnes en sécurité» explique un des responsables du Codis66 qui espérait pour ce matin une véritable accalmie après une nuit de dimanche à lundi et une journée suivante éprouvante. Ainsi les pompiers sont-ils intervenus pour évacuer et pour sécuriser quatre entreprises du marché Saint Charles dont les toits menaçaient de s'envoler.
Ils ont fait de même dans une demi-douzaine de moyennes surfaces et ont dû également sécuriser le secteur d'une ligne électrique de moyenne tension à Thuir, provoquant une coupure de courant pour un millier de foyers.
Dans l'Aude, des chutes d'arbres ont eu pour conséquence de priver 750 foyers d'électricité. La situation a été rétablie dans l'après-midi.
L'accident le plus spectaculaire a eu lieu hier matin lorsqu'un camion et sa remorque se sont couchés en travers des voies de l'autoroute A9 à hauteur de Fitou.
Un camion comme soulevé… sur l'A9 Le poids lourd a été comme soulevé par une violente rafale. Dans un tel contexte de violente Tramontane, les équipes de l'autoroute n'ont pas réussi à dégager le camion. Ils se sont contentés de le déplacer pour libérer deux voies de circulation. Dans l'autre sens, sud-nord, les mêmes causes ont provoqué les mêmes effets : un autre camion dans le décor avec le conducteur légèrement blessé. Les deux préfectures avaient pourtant réduit la vitesse autorisée à 70 km/h pour les poids lourds sur le tronçon traditionnellement le plus exposé.
Devant le danger réel de la circulation, la route, déjà vertigineuse en temps normal, entre Cerbère Et Portbou en Espagne a été fermée à la circulation dès le matin.
Dans le même secteur, deux voitures sont entrées en collision, alors que l'une d'elle avait été déportée par le vent, faisant deux blessés légers.
Dans les montagnes, la Tramontane a soufflé avec la même violence avec des rafales au-dessus de 150 km/heure. Dans cette situation de nombreuses remontées mécaniques de Font Romeu, des Angles ou de Puyvalador n'ont pas pu fonctionner normalement. Le retour à la normale est attendu pour aujourd'hui.
 

Trois policiers blessés par un homme survolté

Les policiers du commissariat de Castres ont dû faire face à un homme dans un état de surexcitation incroyable avant-hier en fin d'après midi. Au final, alors qu'ils tentaient de maîtriser ce jeune adulte âgé de 20 ans, domicilié à Lameilhé, au niveau du rond-point de Wakefield, celui-ci s'est rebellé, n'hésitant pas à porter des coups à l'encontre des trois hommes de la patrouille de Police-Secours. Deux d'entre eux n'ont pas pu reprendre leur poste hier avec dix jours d'ITT (incapacité temporaire de travail) pour l'un, souffrant notamment d'une côte cassée et l'autre de 5 jours d'ITT pour une entorse au poignet. Le troisième policier n'a pas d'arrêt de travail mais nécessite toutefois des soins.
Tout avait commencé l'après-midi même alors que les policiers étaient appelés au domicile de l'amie de cet individu pour un différend dans le couple. La patrouille s'est rendue sur place une première fois afin d'avertir le conjoint et lui demander de se calmer. La même équipe est passée une seconde fois dans l'appartement pour s'assurer que tout se passait bien et enfin une troisième fois.
C'est au cours de cette troisième visite que la compagne, profitant de la présence de la Police, pour lui annoncer qu'elle souhaitait une séparation.
Une annonce qui a déclenché une réaction d'une violence incroyable chez le jeune homme éconduit. Un solide garçon haut de 1,90 m, sans emploi. Parti à pied de l'appartement, il s'est dirigé vers le centre-ville et c'est au niveau du rond-point de Wakefield que la patrouille a décidé de l'interpeller vu son attitude et qu'il s'est rebellé.
Placé depuis lors en garde à vue, le jeune homme sera présenté au parquet ce matin et pourrait faire l'objet d'une comparution immédiate pour violences, outrage et rébellion.
Les syndicats Unité SGP Police FO et Alliance Police Nationale ont réclamé la plus grande fermeté à l'égard de l'auteur. Alliance Police ajoutant : «Les policiers en ont marre de servir de défouloir. Nous demandons la dotation du Taser pour chaque équipage de Police-Secours et nous dénonçons une nouvelle fois les comportements de ces délinquants qui ne craignent plus la Police car ils sont persuadés de ne pas être sévèrement punis.»
http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/01/2286920-trois-policiers-blesses-par-un-homme-survolte.html