samedi 31 octobre 2015

Accident de la route : un ado évacué par hélicoptère

Une violente collision s'est produite hier peu après 17 heures, sur la D612, dans la traversée de La Richarde. Un adolescent de 15 ans, résidant à Caucalières, qui arrivait de Mazamet au guidon de son scooter, est entré en collision avec une voiture qui circulait dans le même sens. Le choc se serait produit lorsque la voiture a voulu tourner sur sa gauche. Le pilote du deux-roues a été grièvement blessé à la tête. Les sapeurs-pompiers et les médecins du Smur ont longuement médicalisé l'adolescent avant de l'évacuer en hélicoptère sur le centre hospitalier Purpan à Toulouse. Les policiers mazamétains ont constaté les faits et sont chargés de l'enquête.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/31/2208126-accident-de-la-route-un-ado-evacue-par-helicoptere.html

vendredi 30 octobre 2015

Découverte macabre dans une voiture à Calais : deux hommes en garde à vue

Un Polonais et un Lituanien ont été placés en garde à vue ce vendredi matin à Calais après la découverte, vers 7h30, d'un homme mort dans sa voiture sur le boulevard du Général de Gaulle, indique le parquet de Boulogne qui confirme une information de La Voix du Nord. Les deux hommes sont soupçonnés d'avoir commis des violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner.

La victime, un ressortissant Polonais de 52 ans, était recroquevillée sur le siège passager de la voiture et portait des "traces sur le corps". Alors qu'une première source avait évoqué une possible mort naturelle, l'enquête est en fait de nature criminelle. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/decouverte-macabre-dans-une-voiture-calais-deux-hommes-en-garde-vue-840993.html

jeudi 29 octobre 2015

Marseille: un mineur blessé par arme blanche

Ce mercredi 28 octobre, vers 19h30, dans le 10ème arrondissement de Marseille, un mineur de 17 ans a été blessé par arme blanche sur le flan gauche par un autre mineur de 16 ans . La victime a été transportée à la Timone par les secours. Son état est jugé sérieux. 
C'est à l'issu d'un match de foot entre amis sur le terrain de la résidence les marronniers dans le 10ème arrondissement de Marseille, sur le boulevard Romain Rolland, qu'un jeune homme de 16 ans a poignardé son camarade de 17 ans. Une dispute aurait éclaté peu entre les deux jeunes hommes poussant le plus jeune à sortir une arme et blesser sérieusement le plus âgé sur le flan gauche. Il était environ 19h30 quand les secours sont arrivés pour prendre en charge la victime dont le pronostique vital n'est pas engagé mais dont l'état était jugé sérieux. Le jeune homme de 17 ans était alors transporté de façon médicalisée vers la Timone. A  22h, la mère du jeune de 16 ans a présenté son fils aux services de police, ce dernier est toujours en garde à vue.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/bouches-du-rhone/marseille/marseille-un-mineur-blesse-par-arme-blanche-839901.html

Toul-Vannes-le-Châtel : sortie de route contre un poteau et électricité coupée

Mercredi à 14 h, pour une raison encore inconnue, une automobiliste de 57 ans circulant sur la D4 entre Vannes-le-Châtel et Colombey-les-Belles a perdu le contrôle de son véhicule à la hauteur de l’accès à la cristallerie.
Dans sa course, la quinquagénaire a percuté et a entraîné au sol un poteau électrique. La victime, consciente, n’a pas été électrifiée. Suite à sa désincarcération par une dizaine de sapeurs-pompiers venus de Colombey-les-Belles, dirigés par le lieutenant Garnier de Toul, elle a toutefois été transportée vers l’hôpital Saint-Charles pour y subir des examens de contrôles.
Les secours ont également délimité un périmètre de sécurité pour protéger les neuf habitations avoisinantes. L’électricité a été coupée, ainsi que la circulation routière durant le temps nécessaire au remplacement du poteau par les services d’ERDF.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-toul/2015/10/28/toul-vannes-le-chatel-sortie-de-route-contre-un-poteau

mercredi 28 octobre 2015

Accident à Toulouse : un motard grièvement blessé et un trafic routier sérieusement perturbé

L'accident a eu lieu vers 7h30 mercredi matin.
Selon les pompiers, le motard qui remontait une file de voitures a percuté un véhicule qui était en train de faire demi-tour.
Le choc a été très violent. Le motard, grièvement blessé souffre d'une fracture du bassin et de blessures aux membres inférieurs. Il a été immédiatement transporté à l'hôpital Purpan à Toulouse.
Ses jours ne seraient pas en danger.

L'accident a très sérieusement perturbé le trafic routier, très dense à cette heure sur cet axe. Un bouchon important s'est formé.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/haute-garonne/toulouse/accident-toulouse-un-motard-grievement-blesse-et-un-trafic-routier-serieusement-perturbe-839409.html

Autopsie des deux corps : la piste du crime écartée

Les résultats de l'autopsie montrent qu'il n'y pas de traces criminelles. La femme de 92 ans aurait succombé à une mort naturelle tandis que le mystère subsiste autour de la mort de sa fille de 45 ans.
«Pas de traces criminelles, de violences, de coups sur les deux corps. Les résultats de l'autopsie de ce matin n'ouvrent pas de piste criminelle.» C'est l'information essentielle à retenir de l'examen médico-légal opéré à la demande du procureur de la République, hier matin, sur les deux corps découverts vendredi soir, dans un appartement du 4e étage de la résidence Le Palais, boulevard Maréchal-Juin à Lourdes.
«Pour la plus âgée des deux personnes, on pense que ce serait une mort naturelle», précise le vice-procureur de la République François Jardin. La femme de 45 ans n'aurait donc pas tué sa mère de 92 ans.
Mais une part d'ombre subsiste dans le huis clos qui s'est joué dans l'appartement situé à l'avant-dernier étage de la résidence proche de l'hôtel de ville de Lourdes. Le voile mystérieux qui entoure la mort de la fille n'a pas été levé par l'examen médico-légal. Tout laisse à penser que la quadragénaire n'aurait pas supporté le décès naturel de sa mère adoptive désormais établi. Elle aurait succombé éventuellement à une mort violente liée à un choc émotionnel, juste après la disparition de sa maman de cœur, avec laquelle elle entretenait des relations fusionnelles.
Mais a-t-elle pour autant mis fin à ses jours ? «Pour la plus jeune des deux personnes, il y a peu d'éléments qui nous laissent penser à un suicide», répond le parquet, préférant laisser ouvertes les hypothèses plutôt que de s'aventurer trop loin sur une piste qui n'a pas été totalement vérifiée. Alors, quelles peuvent être les causes et les circonstances de sa mort ? Le vice-procureur de la République évoque à demi-mot la piste de la mort naturelle sans l'affirmer. «Nous avons affaire à une personne qui présente une santé fragile», souligne-t-il, comme l'attestent les nombreux témoignages de voisins que nous avons recueillis sur place.
À moins qu'il ne s'agisse d'une mort par overdose. Les deux corps vont faire l'objet d'un examen complémentaire, en particulier d'une analyse de sang dans un laboratoire spécialisé, pour voir s'ils livrent encore d'autres secrets.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/28/2205669-autopsie-des-deux-corps-la-piste-du-crime-ecartee.html

lundi 26 octobre 2015

L'enfant chute du 3e étage

Une chute spectaculaire s'est produite hier, vers 12 h 40, chemin Croix-Bénite, au Nord de Toulouse. Un enfant de 2 ans qui avait échappé quelques instants à la vigilance des adultes a chuté du troisième étage de l'immeuble. Prévenus, les sapeurs-pompiers sont rapidement arrivés sur les lieux. Ils ont prodigué les premiers soins à la victime avant de la transporter à l'hôpital. Conscient, l'enfant était hier dans un état stable. Son pronostic vital n'était pas engagé
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/26/2204831-l-enfant-chute-du-3e-etage.html

dimanche 25 octobre 2015

Douai : un homme sauvé par deux témoins après s'être projeté dans le canal avec sa voiture

Il a fallu le sang-froid et la réaction spontanée de deux témoins, vendredi matin vers 10h45, pour sauver la vie d'un homme qui s'était volontairement projeté au volant de son véhicule dans le canal à grand gabarit à Douai.

Venu de Lallaing, d'où il est originaire, cet automobiliste de 28 ans a foncé dans le canal longeant le boulevard Albert 1er, entre la faculté de droit et la sous-préfecture. Immédiatement, deux personnes ont plongé dans l'eau froide pour lui porter secours. L'homme était sorti du véhicule lorsque les témoins sont arrivés à lui. Il a pu être ramené sur la berge, aidé par d'autres personnes qui assistaient à la scène.

Pris en charge par les secours "épuisé et refroidi" selon la police, il a été transporté au CH Douai pour observation. Ses jours n'étaient pas en danger. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/douai-un-homme-sauve-par-deux-temoins-apres-s-etre-projete-dans-le-canal-avec-sa-voiture-836955.html

Le cambrioleur en fuite se jette dans le port et finit... à l'hôpital, en hypothermie

Un homme de 35 ans a été interpellé ce samedi soir dans les eaux du port de Villefranche-sur-mer, où il avait plongé à la suite d'une course-poursuite avec les forces de l'ordre.
Alertés peu avant 21h, les sapeurs-pompiers ont repêché le fuyard vers 21h20 à bord de la vedette Commandant-Croizé.
Stoppé à une cinquantaine de mètres du rivage, il a été confié à la police municipale puis à la gendarmerie.
En hypothermie, le fuyard a été évacué à l'hôpital Pasteur 2. Des voisins avaient donné l'alerte en soirée, après avoir repéré deux cambrioleurs en action à Èze.
Les suspects ont pris la fuite à moto, et été pris en chasse sur la basse corniche jusqu'à Villefranche.
Une fois arrivés là, les deux individus se sont séparés.
L'un d'eux a plongé dans la rade, tandis que le second disparaissait dans le centre-ville. A 23h, il était toujours recherché.
http://www.nicematin.com/nice/le-cambrioleur-en-fuite-se-jette-dans-le-port-et-finit-a-lhopital-en-hypothermie.2377451.html

samedi 24 octobre 2015

Picardie: pour son dernier numéro, Agir en Picardie en appelle aux internautes

Après 33 ans de bons et loyaux services et 173 numéros parus, le magazine Agir en Picardie va s’arrêter pour laisser la place au futur magazine de la nouvelle Région Nord Pas de Calais – Picardie.
A l’occasion du dernier numéro, qui paraitra fin novembre 2015, les internautes ont la possibilité de réaliser la dernière Une du magazine.
Pour cela, il suffit de suivre les étapes suivantes :
1) Choisir une photographie parmi celles proposées dans la photothèque ou importer une photo (attention, pour pouvoir être imprimée, la photographie doit impérativement être en haute définition, 300 dpi et au minimum 4,5 Mo) ;
2) Recadrer la photo et valider le choix ;
3) Choisir un titre et le positionner ;
4) Valider et envoyer la proposition de couverture.
Les internautes ont jusqu’au 4 novembre à minuit pour imaginer la dernière couverture de leur magazine. Les plus belles couvertures seront publiées sur le site et l’une d’entre elles choisie pour faire la Une du dernier numéro, édité à 886 258 exemplaires et distribué dans toutes les boîtes aux lettres de Picardie.
Rendez-vous sur http://agir.picardie.fr/

http://www.aisnenouvelle.fr/region/picardie-pour-son-dernier-numero-agir-en-picardie-en-ia44b0n283405

Réchésy : un quadragénaire suspecté d’une vingtaine de cambriolages en Alsace et dans le Sud Territoire

Le profil du suspect est assez étonnant. Il est ingénieur de formation, a créé une autoentreprise dont il ne tirait quasiment pas de revenu. Alors pour vivre, il avait mis en place un stratagème original pour cambrioler, en pleine journée, des pavillons. Il s’habillait avec un costume pour donner le change. Et il louait une voiture qui lui servait à écumer le Sundgau et le Sud du Territoire de Belfort où il ciblait des maisons de ses victimes. Son mode opératoire ne variait pas beaucoup. Il sonnait à la porte. Si les propriétaires répondaient, il se faisait passer pour un représentant commercial, avant de prendre la tangente tranquillement sans éveiller les soupçons. Si personne ne répondait, il fracturait le barillet de la porte pour faire main basse sur de l’argent, des bijoux, du matériel hi-fi, vidéo et informatique.
Son manège aurait pu continuer s’il n’avait pas commis une erreur. Sur une tentative de cambriolage, il a été mis en fuite par la propriétaire. Mais la femme a communiqué aux enquêteurs une description assez précise de son interlocuteur. Ces élements permettent aux gendarmes d’identifier un Rixheimois de 40 ans, qu’ils connaissent déjà. Et pour cause, le suspect fait l’objet d’une procédure pour un autre cambriolage. Il a été interpellé en juillet et devait répondre de ses actes en décembre devant le tribunal correctionnel de Mulhouse. Et son casier judiciaire porte aussi mention d’une condamnation du 19 mars 2009, pour une série de cambriolages.

En détention provisoire

À partir de ces premiers éléments, les gendarmes mettent en place une surveillance physique et électronique de l’Alsacien, avec l’assentiment du parquet de Mulhouse. Leur objectif est de l’interpeller en flagrant délit. En cas d’impossibilité, ils se sont fixés comme date butoir du 12 octobre, pour passer à l’action.
Entre-temps, les gendarmes du Territoire de Belfort ont aussi collecté des informations sur le suspect et notamment des traces d’ADN. Le parquet de Belfort se dessaisit au profit de son homologue alsacien.
Et le 12 octobre, l’habitant de Rixheim est appréhendé à son domicile et est placé en garde à vue.
Lors de ces auditions, il n’a reconnu qu’une dizaine de cambriolages sur Walheim, Niffer, Labaroche (68) mais aussi Réchésy, Lebetain et Villars-le-Sec (90). Déféré au juge d’instruction, il a été placé en détention provisoire à la prison de Belfort. Son incarcération vise à permettre sa représentation à l’audience de décembre.
L’enquête de la BR d’Altkirch se poursuit néanmoins. Elle vise notamment à vérifier si l’auteur présumé n’a pas commis d’autres faits dans la région.
De source proche de l’enquête, on parlait d’une vingtaine de faits qui pourraient lui être imputés.

http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/10/23/rechesy-un-quadragenaire-suspecte-d-une-vingtaine-de-cambriolages-en-alsace-et-dans-le-sud-territoire

vendredi 23 octobre 2015

Une randonneuse se tue au Montenvers

En milieu de journée, à 12h40, le PGHM de Chamonix était appelé par des témoins, suite à une chute sur le chemin du Montenvers.
L’hélicoptère de la gendarmerie a déposé sur place deux secouristes et le médecin urgentiste, qui ne purent rien pour la malheureuse, âgée de 76 ans, décédée après une chute d’une cinquantaine de mètres.

http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2015/10/23/chamonix-une-randonneuse-se-tue-au-montenvers

Une mère de famille blessée par arme à feu à Toulon

La victime, touchée à la poitrine, a été hospitalisée dans la soirée de jeudi à Toulon dans un état critique. Son concubin a été interpellé dans la nuit.
Les faits se sont produits dans un quartier pavillonnaire de l'ouest de la ville. La veille, la jeune femme avait déposé plainte pour des violences conjugales. Le suspect aurait pénétré dans la maison par une fenêtre donnant sur un jardin.
L'individu a pu être localisé par les policiers du service du quart qui se sont rendus sur les lieux de l'agression. Il s'était réfugié chez un voisin et a été interpellé sans heurt.
Ce vendredi matin, l'état de la jeune femme, mère de deux enfants en bas âge présents dans la maison au moment des faits, était jugé critique.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/une-mere-de-famille-blessee-par-arme-a-feu-a-toulon.2375769.html

«Le chauffeur de bus a pris ma copine par le cou et l'a tirée par les cheveux ! Il voulait la taper !»

Deux adolescentes de 14 ans ont porté plainte après avoir, selon elles, été violentées par un chauffeur de bus, lundi soir, en plein centre de Toulouse. Elles avaient brisé les vitres du bus afin de se libérer.
Deux collégiennes choquées et meurtries, deux témoignages qui font froid dans le dos. Léonor*, 14 ans, et son amie du même âge se trouvaient, lundi, vers 18 h 20, dans le secteur de François-Verdier, à Toulouse. Les deux jeunes filles, d'abord soupçonnées d'avoir volontairement saccagé un bus Tisséo (notre édition de mercredi), ont été blanchies après une garde à vue éprouvante de 27 heures. De son côté, le chauffeur du bus a, à son tour, été placé en garde à vue après le visionnage, par les enquêteurs, des images de vidéoprotection. Il est ressorti libre mais devra s'expliquer devant un juge. Les images transcrivent une scène édifiante. Léonor a accepté de nous raconter les faits tels qu'elle les a vécus.
Que s'est-il passé lundi en fin d'après-midi ?
On était toutes les deux au Grand-Rond et on voulait aller à Saint-Cyprien. Là, on a vu le bus numéro 1. Ma copine a crié «Monsieur ! Monsieur !». Le chauffeur s'est arrêté. Il n'était pas content. Je lui ai dit de se calmer et je lui ai demandé si le bus allait à Saint-Cyprien. Il n'y avait personne dans le bus. C'est vrai, je n'avais pas ma carte mais ma copine a validé la sienne.
Que s'est-il passé ensuite ?
Je suis partie à l'arrière. Il criait toujours et s'en prenait à ma copine. Tout à coup, il l'a prise par le cou et l'a soulevée. Moi j'étais choquée. Il a pris mon amie par les cheveux et l'a jetée. Là, je me suis mise entre les deux.
S'est-il calmé ?
Non ! Il a commencé à me taper aussi. On lui a donné des coups de pied au ventre. Il a arrêté. Moi j'ai dit à ma copine d'appeler la police mais elle tremblait tellement qu'elle n'y arrivait pas. Il a fermé le bus et il a avancé vers nous. Il criait, il nous insultait et il a refrappé ma copine.
Qu'avez-vous fait ?
On a pris des marteaux brise vitre. On tapait pour que les témoins nous voient. Je suis allée devant, j'ai cassé la première vitre et je me suis ouvert la main. J'ai pu parler à un Monsieur et je lui ai dit d'appeler la police. Le chauffeur nous a dit «Comment on fait maintenant ?» Il était en face de nous avec un brise vitre et nous menaçait. Moi j'étais à l'avant avec le témoin. Le chauffeur a sauté sur ma copine et a voulu la taper avec le brise vitre. Elle s'est défendue et lui a fait une égratignure. On a cassé les vitres.
Vous avez donc été interpellées ?
Oui. Ce qui nous a choquées le plus c'est que personne ne nous a écoutées, personne ne nous a crues jusqu'à ce que le témoin parle et qu'ils voient les caméras.
Comment se sont passées vos gardes à vue ?
On était déjà sous le choc et on a passé 27 heures là-bas. Ils ne savaient pas qu'on n'y était pour rien et ils ne nous ont pas crues. On n'était vraiment pas bien.
Vous avez des séquelles aujourd'hui, deux jours après ?
On a vu un médecin et passé des radios à Rangueil. Ma copine a mal au poignet. De mon côté, je ne peux plus prendre un bus. C'est impossible. Je préfère marcher. Nos parents ont porté plainte.
*Le prénom a été modifié
**Contacté, Tisséo n'a souhaité faire aucun commentaire et indique attendre les suites de l'enquête.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/23/2203369-chauffeur-bus-pris-copine-cou-tiree-cheveux-voulait-taper.html

jeudi 22 octobre 2015

Massacre avec un coup de poing

Jason S. est un jeune homme replet de 21 ans à l'air timide. «C'est pas moi ça, j'ai pas l'habitude d'être violent…», dira-t-il en cours d'audience. Peut-être, mais les faits sont là, et ils sont têtus : ce 6 juin dernier, des jeunes bien alcoolisés sortent de boîte de nuit vers 2 heures du matin, à Tarbes. Ils sont deux petits groupes et le ton monte rapidement entre eux pour une histoire de filles. Le grand classique des petits coqs au vin qui montent sur leurs ergots. Une insulte fuse en direction de Jason. Ni une ni deux, il balance en pleine face un grand coup de poing à Adrien, une autre jeune. Un seul coup mais d'une telle violence que son adversaire s'écroule, inconscient. Du Mike Tyson en mini, mais costaud. Bilan : traumatisme crânien avec plaie ouverte, 4 points de suture, une fracture de la mâchoire, une ecchymose carabinée. Pour Jason, la main éclatée tellement il a tapé fort. «J'ai pas l'habitude d'être violent, ni de boire d'ailleurs…», répète-t-il. Mais il y a un os, lui fera remarquer la présidente Gadoullet : son casier. Il a déjà été condamné une fois pour conduite en état d'ivresse. «C'était la deuxième fois que je buvais, c'est tout.» La présidente ironise : «C'est pas de chance, à chaque fois, vous tombez sur la police !». Et si avec un taux de 1,48 g il arrive à balancer un coup aussi magistral, c'est qu'il tenait encore bien debout et donc qu'il a l'habitude de picoler. CQFD. «J'ai juste bu 5 verres de whisky…» Ce devait être des whiskys pour cow-boy après une longue traversée de l'Arizona. «Je ne voulais pas lui faire mal…», plaide-t-il encore. Là, le procureur Serfass se montre sceptique : «Soit c'est une banale histoire de beuverie, mais dans ce cas, on n'en arrive pas là. Soit il y a recherche délibérée du contact. Et c'est l'option du prévenu. Il va chercher, alors qu'il a eu plusieurs fois la possibilité d'esquiver. Les violences sont sévères et il doit assumer. Je demande 4 mois avec sursis et une amende, parce l'atteinte à la personne a été très brutale». Le tribunal entend le message : 4 mois avec sursis, 300 € d'amende. Les blessures étant sérieuses, les dommages et intérêts seront fixés à une audience ultérieure.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/22/2202540-massacre-avec-un-coup-de-poing.html

mercredi 21 octobre 2015

800.000 euros volés à un octogénaire qui conservait ses économies dans des boîtes en fer

Cinq personnes, dont son ancienne aide-ménagère, ont été interpellées dans les Pyrénées-Atlantiques et les Landes pour ce vol qui a eu lieu en avril dernier. La victime devrait récupéré l'intégralité de la somme qui lui a été subtilisée.
C'était "l'argent de toute une vie", selon la gendarmerie. Cinq personnes ont été interpellées mardi dans les Pyrénées-Atlantiques et les Landes, pour le vol en avril dernier de près de 800.000 euros à un octogénaire du Pays Basque, qui conservait l'argent chez lui... dans de petites boîtes métalliques. L'ancienne aide-ménagère - âgée d'une soixantaine d'années - de la victime, ainsi que quatre de ses proches, âgés d'une vingtaine d'années, ont été placés en garde à vue. Ils avaient attiré les soupçons des enquêteurs par un train de vie jugé "démesuré" et "en décalage avec leurs revenus" ces derniers mois, a précisé la gendarmerie mercredi.
 
"On s'est rapidement aperçu que son aide-ménagère menait, avec son fils et des amis de son fils, un train de vie démesuré. Avec peu de revenus, ils ont acheté des véhicules de luxe et ont fait le tour du monde". Les enquêteurs les soupçonnent également d'avoir acheté des biens à l'étranger. Une "très grosse somme d'argent en liquide" a d'ailleurs été retrouvée par une brigade cynophile, des chiens "renifleurs" au cours des perquisitions, a ajouté le colonel William Vaquette, commandant du groupement de la gendarmerie des Pyrénées-Atlantiques.
 
Les suspects en garde à vue à Pau
 
Pompiste à la retraite, la victime de 82 ans conservait à son domicile  -dans un village dont le nom n'a pas été précisé - 800.000 euros à l'intérieur de petites boîtes en fer. "Des sommes énormes provenant de ses économies, mais aussi d'un contentieux d'assurance", a précisé l'officier. Alertée par l'octogénaire de la disparition de l'argent en avril, la brigade de recherche de Mauléon avait estimé le montant tout à fait plausible sur la base de leur enquête, et lancé les premières investigations sur l'entourage de la victime, a précisé la gendarmerie, confirmant une information de Sud Ouest.
 
Les cinq suspects devaient être présentés à un magistrat à l'issue de la garde à vue à Pau. L'argent liquide qui a pu être récupéré sera restitué au plus vite à la victime, alors qu'une cellule de recouvrement des avoirs criminels doit organiser la restitution du fruit des biens mal acquis.
 

Embrouille et dégâts dans un bus : 2 adolescentes arrêtées

Deux jeunes filles âgées de 14 ans (!) ont été arrêtées et placées en garde à vue lundi soir après avoir commis des dégradations dans un bus Tisséo de la ligne 1, à Toulouse. Au départ, quand des gendarmes en civil de passage au terminus du Grand Rond ont maîtrisé les adolescentes, le chauffeur a expliqué que ces passagères avaient très mal pris une réflexion qu'il avait faite parce que l'une d'entre elles n'avait pas validé son ticket. Les deux adolescentes ont donc été confiées à la police et placées en cellule. Après une nuit au commissariat, les deux copines ont donné une version très différente de «l'embrouille» et à 15 heures hier, c'est le chauffeur qui a été placé en garde à vue. Les jeunes filles auraient en effet expliqué qu'elles avaient bien cassé les vitres mais pour fuir le chauffeur très en colère… Où se trouve la vérité ? Au parquet hier soir, la magistrate en charge de la communication a «confirmé» la garde à vue du conducteur. «La garde à vue des jeunes filles a été levée et il n'y aura pas de poursuite à leur encontre. La décision de placer le chauffeur en garde à vue a été prise après le visionnage des images tournées dans le bus.» Hier soir Tisséo n'a fait aucun commentaire, confirmant simplement «une enquête de police en cours».
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/21/2202015-embrouille-et-degats-dans-un-bus-2-adolescentes-arretees.html

mardi 20 octobre 2015

Un homme retrouvé mort sur l'aire de repos du Haut-Koenigsbourg

Un homme d'environ 60 ans a été retrouvé mort ce mardi à 8h30 dans sa voiture sur l'aire de repos du Haut-Koenigsbourg sur l'A35 Sud. Il s'agirait d'un suicide par arme à feu. Les sapeurs-pompiers de Sélestat étaient sur les lieux a indiqué le SDIS 67.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/un-homme-se-suicide-sur-l-aire-de-repos-du-haut-koenigsbourg-833733.html

Vendée: le père et ses filles retrouvés

Le père et ses deux filles qui étaient recherchés depuis dimanche soir, ont finalement été retrouvés aujourd'hui indique un communiqué du procureur de la Roche-sur-Yon cité par BFMTV.

"Le père, se rendant compte de ce qu’il était recherché grâce au relais par les médias de l’appel à témoin établi par les gendarmes, s’est présenté dans une unité de police municipale puis a été remis à la gendarmerie locale", indique Hervé Lollic, le procureur de la République, dans ce texte.

Il sera auditionné par les autorités de Cauterets afin d'élucider les raisons de cette disparition et déterminer si il doit être poursuivit par la justice.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/10/20/97001-20151020FILWWW00120-vendee-le-pere-et-ses-filles-retrouves.php

Une femme de 250 kg évacuée par la fenêtre du dixième étage

Son appartement était devenu une véritable prison. Une femme de 53 ans a dû faire appel aux secours, dimanche matin, afin d'être extraite de son logement de la rue d'Antibes, dans le quartier d'Empalot à Toulouse. En surpoids extrême – près de 250 kg- elle se trouvait en grande détresse, notamment respiratoire. Après examen par des médecins, il devenait urgent de conduire cette patiente à l'hôpital afin qu'elle puisse y recevoir les soins adéquats.
Mais son poids est resté un obstacle pour les secours qui ont vite compris qu'il était inenvisageable de la faire sortir par la porte de son appartement, par laquelle elle ne pouvait pas se glisser en raison de son surpoids.
«Dans ce type d'interventions, deux solutions sont possibles, rapporte le capitaine Mathieu, responsable de l'intervention de dimanche. Soit nous utilisons les voies de communication existantes, et là ce n'était pas possible, soit il faut passer par l'extérieur, en l'occurrence la fenêtre.»
Les spécialistes du GRIMP (groupe de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux) des sapeurs-pompiers ont donc été appelés aux alentours de 7 h 15. «Ils se sont positionnés sur le toit et ont établi un treuil, explique le gradé. Deux sauveteurs sont descendus avec une grande barquette afin de secourir la victime.»
Parallèlement, la cellule de sauvetage et de déblaiement avait été appelée sur les lieux. Sa mission : «Renforcer l'encadrement de la fenêtre.»
Dix étages plus bas, une ambulance spécifique pour personnes à forte corpulence avait été positionnée. «La descente n'a pas été très longue, la préparation de la victime a été plus longue car le Samu s'en occupait. Ça a été notamment une chance que la barquette passe par la fenêtre.»
Prise en charge, la victime a été conduite à l'hôpital où elle a pu être soignée.
Le Grimp, composé de sapeurs-pompiers, spécialisé dans les interventions en milieu périlleux, avait dépêché une demi-douzaine d'hommes ce dimanche matin.
En 2012 déjà, les sapeurs-pompiers avaient dû percer un trou dans la façade d'un appartement de Cazères-sur-Garonne afin d'extraire Bruno Gonzalez, 320 kg, véritablement prisonnier de ses murs et en détresse physique. Aujourd'hui, cet homme de 51 ans va beaucoup mieux et regorge de projets.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/20/2201341-femme-250-kg-evacuee-fenetre-dixieme-etage.html

lundi 19 octobre 2015

Disparition inquiétante d'un père et de ses 2 filles

Un appel à témoins a été lancé au lendemain de la disparition en Vendée d'un père, fragile psychologiquement, après qu'il a quitté le domicile de sa mère, et de ses deux filles de 11 et 5 ans.
La gendarmerie a lancé lundi un appel à témoins après la disparition inquiétante la veille en Vendée d'un père de 42 ans, fragile psychologiquement, et de ses deux filles de 11 et 5 ans. Les gendarmes, "particulièrement inquiets" de ces disparitions, ont perdu la trace du père de famille en Vendée, dimanche vers 19h30, après qu'il a quitté le domicile de sa mère, a indiqué le lieutenant-colonel Christophe Alexandre, commandant de la compagnie de gendarmerie de La Roche-sur-Yon.

"Fragile psychologiquement", cet homme qui avait déjà disparu, seul, le 5 octobre pendant près de 24 heures, avant de regagner son domicile à Bournezeau, a par ses activités de pêche et de chasse "l'habitude d'aller vers des points d'eau", a ajouté le lieutenant-colonel, qui dit avoir des "craintes concernant sa santé et celle de ses enfants". Dimanche soir, après une visite à sa mère, il s'était engagé à ramener les deux fillettes à son ex-compagne le soir-même, mais il a envoyé plusieurs SMS indiquant qu'ils partaient rejoindre un ami qui s'est suicidé il y a environ un an, selon le communiqué diffusé par les gendarmes.

Après l'envoi de ces SMS "inquiétants", le père de famille, qui circule à bord d'une Peugeot 406 bleu clair, immatriculée "CM-847-LT", a coupé son téléphone portable, a expliqué le lieutenant-colonel Alexandre. Il a été localisé lundi matin vers 11h à Ustaritz (Pyrénées-Atlantiques), où il a retiré de l'argent à un distributeur automatique de billets, mais les caméras de surveillance ne montrent que le père, selon le lieutenant-colonel. Des recherches ont été menées dès dimanche soir par une vingtaine de gendarmes appuyés par un hélicoptère, et ont repris lundi matin. La brigade de recherches de La Roche-sur-Yon a été chargée de l'enquête. Toute personne susceptible d'apporter des informations peut contacter la gendarmerie au 17
 

Meuse : sortie de route et conducteur en fuite à Sampigny

Les sapeurs-pompiers et les gendarmes de la brigade territoriale de Saint-Mihiel se sont rendus sur la D11, dans la nuit de samedi à dimanche, peu après minuit, à la suite d’un accident de la circulation qui s’est produit à la sortie de Sampigny, direction Bar-le-Duc.
A l’arrivée des secours sur place, le ou les occupants de la voiture avaient disparu. Le véhicule avait terminé sa course sur le toit.
Aucun papier à l’intérieur de l’habitacle, ni clé de contact. Le conducteur a dû s’en sortir avec une belle frayeur, abandonnant son véhicule pour une raison que l’enquête tentera d’établir.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-bar-le-duc/2015/10/19/sampigny-sortie-de-route-et-conducteur-en-fuite

dimanche 18 octobre 2015

7 tonnes de cannabis saisies à Paris

Selon BFMTV, la douane a saisi 7 tonnes de cannabis dans un véhicule situé dans le XVIee arrondissement de Paris. C'est la saisie la plus importante jamais opérée dans la capitale. 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/10/18/97001-20151018FILWWW00047-7-tonnes-de-cannabis-saisies-a-paris.php

samedi 17 octobre 2015

Nantes : 10 personnes écrouées pour des vols de bijoux

Dix personnes ont été écrouées vendredi soir après un coup de filet mené, de Nantes à Anvers en Belgique, contre une filière d'écoulement de bijoux en or volés, à la suite d'un coup de filet de la gendarmerie dans la communauté des gens du voyage
La gendarmerie, le groupe d'intervention régional (GIR) des Pays de la Loire et l'Office central de lutte contre la délinquance itinérante (OCLDI) avaient interpellé 20 personnes dans le cadre d'une opération menée mardi et mercredi entre Nantes, Paris et Anvers (Belgique) contre une filière d'écoulement de bijoux en or volés à l'occasion de nombreux cambriolages.

Une saisie évaluée à plus de 760 000 euros

La gendarmerie des Pays de la Loire a procédé à la mises en examen de onze personnes vendredi pour recel en bande organisée de vols aggravés, association de malfaiteurs, blanchiment en bande organisée du produit de crimes ou délits, et 10 d'entre elles ont été écrouées, a précisé le parquet de Rennes. Le dossier a été confié à la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Rennes.

Lors de l'opération, qui a mobilisé 180 gendarmes, quelque "6 kg de bijoux, 4,5 kg d'or pour une valeur de plus 95.000 euros, des pierres précieuses dont un diamant d'une valeur de 15.000 euros, du matériel destiné à fondre l'or ont été saisis", précise la gendarmerie. "L'évaluation totale des saisies peut être estimée à plus de 760.000 euros", affirme-t-elle.

De Nantes à Anvers via Paris

L'enquête avait mis en lumière les agissements de plusieurs individus issus de la communauté des gens du voyage, soupçonnés de nombreux cambriolages quotidiens et recherchant essentiellement des bijoux en or, dans plusieurs départements de la région. Ensuite, un plan de ramassage était organisé à travers divers campements de la périphérie nantaise.
"Dans un second temps, des porteurs montaient ces bijoux à Paris où ils étaient négociés et fondus dans des officines avant d'être transférés à Anvers en Belgique", capitale mondiale du commerce de diamants, ajoute la gendarmerie.

L'enquête a permis de matérialiser une trentaine de voyages entre Nantes et Paris sur les dix derniers mois, qui ont rapporté environ 750.000 euros. Un mécanisme de blanchiment a été identifié et permet de mettre en cause "plusieurs sociétés en France et en Belgique", assure la gendarmerie.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/nantes/nantes-10-personnes-ecrouees-pour-des-vols-de-bijoux-831929.html

Vente de véhicule : la transaction finit armes à la main

Une transaction au départ à l'amiable ayant pour objet la vente d'un véhicule a pris une très mauvaise tournure, au point que des armes à feu ont été sorties ! Les faits se sont produits jeudi après-midi au cœur d'un quartier résidentiel de Mazamet. Visiblement peu satisfait pas sa récente acquisition, l'un des protagonistes est venu réclamer la restitution de la somme allouée. La tension est rapidement montée d'un cran et les jeunes gens concernés, tous plus ou moins connus des services de police, ont décidé qu'ils allaient en découdre. Devant la tournure des événements, puisque des armes commençaient à faire leur apparition, des témoins ont alerté le commissariat mazamétain. Informé de la situation, les policiers se rendaient rapidement sur les lieux avec la plus grande détermination mais aussi la plus grande prudence : mains à l'arme et gilets pare-balles de rigueur. La parfaite maîtrise de la situation de ces policiers à permis d'éviter un drame puisqu'après de longs efforts de dialogue, ils sont parvenus à procéder aux interpellations de quatre individus armés sans qu'aucun blessé ne soit à déplorer ! À l'occasion de cette intervention, ont été découverts des fusils de poing, arme de poing et des produits stupéfiants. Parmi les individus interpellés, l'un d'eux faisait l'objet d'une fiche de recherche depuis de longs mois. Tous ont été auditionnés et devaient être déférés au parquet. On s'attendait à leur incarcération dans les heures qui viennent . Dans un communiqué qui nous a été adressé, le syndicat Unité SGP Police «tient à souligner le professionnalisme et le sang froid des fonctionnaires de police du commissariat de Mazamet».
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/17/2199418-la-transaction-finit-armes-a-la-main.html#Bq2TbQs06RTYZy88.99
 

vendredi 16 octobre 2015

Soupçonné de vol et arrêté après le meurtre des Amidonniers

Un homme de 21 ans a été mis en examen, mercredi, pour «vol aggravé» et placé sous contrôle judiciaire après la mort de Wilfrid Yvon, 35 ans, mortellement blessé par des coups de couteau le 22 juin 2015, dans un squat rue des Amidonniers à Toulouse. L'auteur présumé des coups de lame avait été interpellé par le groupe criminel du SRPJ de Toulouse, en juillet, et écroué. Un second individu était toujours recherché. Cet homme, déjà connu de la justice, a été interpellé mardi par les enquêteurs, du côté de la place du Morvan, dans le quartier du Mirail. Le soir du meurtre, il se trouvait en compagnie du principal suspect mais n'aurait pas participé à la rixe mortelle. Il est soupçonné d'avoir dérobé des objets dans le squat tenu par la victime et son frère.
Le soir du 22 juin, une embrouille dégénère entre les deux frères, occupants du squat, et le principal suspect qui assène des coups de couteau derrière le genou de Wilfrid Yvon. Ce dernier se vide de son sang et décède quelques heures plus tard à l'hôpital sans avoir repris connaissance. Les enquêteurs du SRPJ retrouvent très vite la trace de l'auteur présumé des coups de couteau. Mais l'enquête ne s'arrête pas là. Des traces sont retrouvées sur les lieux du crime et d'autres indices techniques orientent les enquêteurs vers la piste d'un second individu. Ce dernier est rapidement identifié. Il aurait passé la soirée avec le principal suspect mais sans avoir pris part à la rixe, quittant le squat précipitamment. L'enquête aurait démontré qu'il avait mis la main sur différents objets avant d'être rejoint, plus tard dans la soirée, par l'auteur présumé des coups de couteau qui ont coûté la vie à Wilfrid Yvon.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/16/2198918-soupconne-de-vol-et-arrete-apres-le-meurtre-des-amidonniers.html

jeudi 15 octobre 2015

Gironde : un père jugé pour avoir tenté de tuer sa fille

Dans son box sous escorte, Johan Smith, 33 ans, s'impatiente et ne comprend pas qu'on lui fasse un procès "pour une cicatrice". En fait un coup de couteau sur le front et une blessure de 20 centimètres qui a occasionné 80 points de suture à sa fille qui depuis ne se trouve pas belle.

Drame sur fond de séparation

Le trentenaire est jugé depuis lundi par la cour d'assises de la Gironde pour tentative d'assassinat, commise le 29 avril 2012. Sur fond de séparation mal vécue avec sa compagne, il avait "vu rouge" et littéralement sauté au cou de sa fille de 2 ans et demi et blessé également son ancienne compagne, le frère et les parents de cette dernière qui s'étaient interposés et l'avaient maîtrisé.
L'accusé, alcoolique et dépressif à l'époque, qui entend prendre sa part de responsabilité, rejette de nombreuses fautes sur les autres. "Je passais mon temps à rattraper ses découverts", affirme-t-il en parlant de son ancienne compagne. "Madame n'est pas rose. Il y a des choses qui sont derrière".

Préméditation

" On ne peut pas se faire juger par un autre alcoolique", estime-t-il aussi à propos d'un témoin qui ne dresse pas de lui un portrait élogieux. "Ils habitent peut-être dans ma poche ces gens-là", sur plusieurs personnes qui affirment qu'il ne portait jamais de couteau. Le fait de s'être muni de l'arme blanche utilisée ce jour-la, un couteau papillon, est en effet un des éléments constitutifs de la préméditation qui lui est reproché.

http://www.sudouest.fr/2015/10/15/cour-d-assises-de-la-gironde-l-accuse-compare-la-tentative-d-assassinat-sur-sa-fille-a-une-cicatrice-2155519-2780.php

mercredi 14 octobre 2015

Seine-Saint-Denis: Des coups de feu font un blessé près de la sous-préfecture du Raincy

Ce mercredi, aux alentours de 11h30, des coups de feu ont été entendus et signalés par des riverains, près de la sous-préfecture du Raincy, en Seine-Saint-Denis.

« Règlement de comptes »

Selon les informations du Parisien, c’est en sortant de la sous-préfecture, que trois hommes ont été pris pour cible par trois hommes cagoulés armés d’un fusil à pompe. L’un des hommes visés a été touché au bras et à la jambe. Les tireurs ont pris la fuite.
Très vite, le quartier a été bouclé par les forces de l’ordre pendant plus d’une heure avant d’être débloqué. Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agirait d’un « règlement de comptes », indique à 20 Minutes, une source policière. L’individu blessé a été transporté à l’hôpital. Ses jours ne sont pas en danger.
http://www.20minutes.fr/paris/1708943-20151014-seine-saint-denis-coups-feu-eclatent-pres-sous-prefecture-raincy

Pau : il jette son frigo du 2ème étage puis tire sur la police

Un forcené a été arrêté par la police lundi soir à Pau (Pyrénées-Atlantiques). L’homme, pris d’un accès de rage subit, a jeté son frigo de sa fenêtre au deuxième étage. L’appareil électroménager s’est écrasé sur une voiture garée en contrebas. «J'ai entendu un grand boom et j'ai vu un frigo par terre », a témoigné un voisin au journal Sud-Ouest. Le locataire s’est ensuite mis à tirer dans la rue avec un pistolet à plombs et a continué même à l’arrivée de la police. Les forces de l’ordre ont dû forcer la porte du domicile du tireur et l’ont placé en garde à vue. Étonnamment, un des habitants de l’immeuble avait été arrêté une semaine avant pour avoir jeté sa télé par la fenêtre du premier étage. « Et dire que la propriétaire m'avait décrit un quartier calme ! », s’est agacé un voisin à Sud-Ouest. « Maintenant je sais pourquoi ce n'était pas cher... »
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/14/2197457-pau-jette-frigo-1er-etage-puis-tire-police.html

mardi 13 octobre 2015

Un homme chute dans une fosse de choucrouterie à Krautergersheim

A Krautergersheim dans le Bas-Rhin, un homme est tombé d'une échelle et a chuté dans une fosse à choucroute profonde de quatre mètres.
Un homme de 57 ans est tombé d'une échelle ce lundi 12 octobre vers 13 h 45. Il a atterri quatre mètres plus loin, dans la fosse de la choucrouterie à Krautergersheim.

La victime a été secourue par le Groupement de reconnaissance et d'intervention en milieux périlleux (GRIMP) de pompiers. Elle souffre d'un traumatisme crânien, d'une plaie à la tempe et d'une probable fracture du fémur.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/bas-rhin/un-homme-chute-dans-une-fosse-de-choucrouterie-krautergersheim-828399.html

Interpellés après une course- poursuite et un accident

Deux hommes ont été interpellés - un troisième est en fuite - après une folle course-poursuite avec les gendarmes, entre Nalzen et Dreuilhe. A bord d'une voiture volée, ils ont percuté deux pylones après avoir provoqué un accident.
Les trois hommes ont pris tous les risques pour échapper aux gendarmes lancés derrière eux. Et les témoins de cette folle course-poursuite sont restés abasourdis face à la scène incroyable qui s'est déroulée sous leurs yeux. Tout commence entre Nalzen et Lavelanet. L'attention des gendarmes est attirée par un Renault Scénic gris, immatriculé dans les Pyrénées-Orientales, qui circule à vive allure en direction de Lavelanet.

Projetée à une quinzaine de mètres

D'après nos sources, le véhicule n'est pas inconnu des militaires. Et ses occupants non plus. Plus loin, les gendarmes établissent un barrage pour intercepter le véhicule, qui refuse de s'arrêter. Au contraire, il prend la fuite à très vive allure pour traverser le centre de Lavelanet. Il prend alors la direction de Mirepoix.
Mais, peu avant la sortie de Lavelanet, la voiture traverse un rond-point par le terre-plein central et dévie sa course sur sa gauche, percutant avec violence une voiture qui arrivait en sens inverse. «Sous le choc, elle a été projetée à une quinzaine de mètres, relate un témoin. Elle a volé à hauteur d'homme». Le Scénic poursuit sa course en zigzaguant. Le conducteur perd le contrôle. La voiture fauche deux pylônes et s'immobilise. Deux des trois occupants, dont l'un porte de larges traces de sang au visage, sont alors interpellés par les gendarmes lancés à leur poursuite, mais le troisième prend la fuite. Il parvient à semer ses poursuivants. En fin de journée, et jusqu'à la fin de la nuit, l'hélicoptère de la gendarmerie était mobilisé pour tenter de le retrouver. En tout début de soirée, les recherches se concentraient dans le quartier de Jordi. Un fort déploiement de gendarmes, équipés de gilets pare-balles, y était observé. Il se disait que l'homme aurait pu franchir le Touyre pour tenter de disparaître. Les recherches devaient se poursuivre durant une grande partie de la soirée et de la nuit.
Hier soir, les deux hommes interpellés à la suite de l'accident ont été placés en garde à vue, avant que leurs auditions ne débutent.

Des sacs noirs dans le coffre

Plusieurs sacs noirs de grande contenance ont été découverts par les enquêteurs dans le coffre de la voiture Renault Scénic accidentée des trois fugitifs. Ils étaient disposés dans le coffre, à l'arrière du véhicule. Et leur présence a provoqué la surprise de ceux qui ont assisté à la scène. Que contiennent-ils ? Ces sacs ont-ils un lien avec la fuite éperdue des occupants de cette voiture qui s'est avérée volée ? L'enquête ouverte hier soir permettra d'en savoir plus sur la raison pour laquelle les trois hommes ont pris tous les risques pour échapper aux gendarmes lancés à leur poursuite.
 

lundi 12 octobre 2015

Une orque du Marineland d'Antibes est morte aujourd'hui... Bilan

La direction du Marineland vient d'annoncer la mort d'une des 5 orques du parc aquatique, survenue dans son bassin, à midi ce lundi. Agé de 17 ans, Valentin était né au parc en 1996.
Nous n'avons à cette heure aucune explication sur les causes du décès, nous allons tout faire pour comprendre. Des analyses seront réalisées par une équipe de vétérinaires experts sur les causes du décès, nous allons tout faire pour comprendre.

Suite aux intempéries du 3 octobre, Marineland avait vu la quasi-totalité de ses équipement touchés. Le parc avait annoncé la perte de poissons et tortues.Les installations électriques, comme les stations de pompage et de filtrage d'eau avait été endommagées.

Des analyses vont êtres conduites pour déterminer de quoi est morte l'orque. 



BILAN. Il aura fallu attendre 6 jours, mais les nouvelles un peu détaillées concernant les animaux du Marineland d'Antibes, durement touché par les intempéries du 3 octobre 2015, sont arrivées : "Nous déplorons la perte de 4 tortues, quelques raies, des poissons, à savoir des loups de mer, et certains des plus petits animaux de Kid's Island, tels que des lapins, cochons d'Inde, poules, chèvres et moutons". En revanche, "les grands animaux de cette ferme, tels que les poneys, les ânes, les lamas et les lémuriens sont sains et saufs. De même côté parc marin pour les ours polaires, les manchots, les otaries, les dauphins, les orques et les requins, qui vont tous bien." Le parc impose ainsi un démenti aux informations relayées par certaines associations de défense des animaux, concernant la mort d'orque, d'otarie, de requins ou encore de lémuriens.

Les causes des décès

Plus précisément, concernant les pertes, une tortue caouanne a été retrouvée morte "probablement de froid", selon Jon Kershaw, directeur animalier du parc. Tandis que les trois autres, "ont pu rejoindre la mer". Mais, là aussi, ces reptiles poïkilothermes (c'est-à-dire dont la température dépend directement de celle de leur milieu) risquent l'hypothermie. En effet, les tortues caouannes, dont l'espèce (Caretta caretta) est par ailleurs considérée comme "en danger d'extinction", évoluaient dans un bassin à 22°C, une température supérieure à celle de la mer Méditerranée sur la Côte d'Azur en ce début d'automne. "Les tortues, les raies et les poissons se trouvaient dans un petit bassin extérieur qui a été frappé par la vague boueuse de deux mètres, explique le directeur animalier. Certains animaux se sont alors retrouvés en dehors de l'eau, ce qui a été fatal aux poissons, tandis que les autres, restés à l'intérieur du bassin, n'ont pas supporté les changements soudain de paramètres, tels que la turbidité, la température, la teneur en oxygène...". Concernant les animaux de Kid's Island, "on ne sait pas exactement ce qu'il s'est passé ; il faisait nuit et soudain le gardien s'est retrouvé avec 1 m 20 d'eau gelée dans son poste de sécurité". Les petits animaux sont donc probablement tous morts noyés sous la vague.
RESCAPÉS. Quant aux bassins des orques et plus particulièrement des otaries, ils ont eux aussi été contaminés par l'eau boueuse. Mais leurs habitants étant des mammifères, cela n'a pas affecté leur respiration. "Nous surveillons maintenant que ces animaux ne développent pas de maladie suite au contact prolongé avec cette eau souillée", affirme Jon Kershaw. Ce sont finalement les dauphins qui s'en sortent le mieux, puisque d'après le directeur animalier, leur bassin, surélevé, n'a pas été touché par les inondationsRestent l'aquarium tropical et celui des requins. "L'électricité étant coupée, le danger était réel pour ces poissons si la situation se prolongeait, reconnaît Jon Kershaw. Les requins pouvaient tenir ainsi pendant trois jours, les poissons tropicaux un peu moins." Heureusement, un groupe électrogène a permis dès le dimanche 4 octobre après-midi de les remettre en marche. Et l'électricité a finalement été rétablie jeudi 8 octobre dans la soirée. "Aujourd'hui, je peux le dire la main sur le cœur, tous les bassins sont parfaitement limpides, excepté celui des orques", dit Jon Kershaw. En cause, les pompes qui permettent de filtrer l'eau dont seule la moitié fonctionnerait ce vendredi 9. Il faudra attendre quelques jours supplémentaires pour que celles-ci sèchent dans les fours et soient réinstallées.

L'avenir du parc en question

Après la remise en état des infrastructures, Marineland rouvrira-t-il comme si rien ne s'était passé ? Non, selon le directeur animalier : "nous allons réfléchir à ce que nous voulons faire : par exemple, comment mieux protéger le bassin des otaries, est-ce que nous allons refaire un Kid's Island, etc. Surtout, il faut qu'il y ait des modifications de nos installations. Qu'est-ce qu'il se serait passé si cela avait eu lieu en pleine journée avec 12.000 personnes à l'intérieur ?" Bonne question.
 http://www.sciencesetavenir.fr/animaux/animaux-marins/

dimanche 11 octobre 2015

A Seynod (Haute-Savoie), un piéton grièvement blessé et un automobiliste en fuite

Ce dimanche 11 octobre au matin, un piéton a été percuté par une voiture à Seynod. L'automobiliste a pris la fuite. 
C'est vers 7h20 que l'accident s'est produit, à proximité de la zone commerciale englobant Géant Casino. A hauteur du chemin de Château Vieux, qui part du rond-point dit "de la mouette", un jeune homme de 24 ans a été heurté par un conducteur. Le piéton a été grièvement blessé et son état a nécessité une médicalisation jusqu'à l'hôpital d'Annecy. Quant à la personne à bord du véhicule, elle a poursuivi sa route.

Les recherches se poursuivent pour retrouver le responsable de l'accident. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie/annecy/seynod-haute-savoie-un-pieton-grievement-blesse-et-un-automobiliste-en-fuite-827183.html

Motard tué sur l'A 64 : un Anglais installé à Carbonne

Le motard qui a trouvé la mort vendredi peu après 17 heures sur l'A 64, à hauteur du deuxième échangeur qui permet d'accéder à Muret avait 51 ans et était père de deux enfants. Marck Cheshire, de nationalité anglaise, vivait depuis plusieurs années à Carbonne. Il avait créé et dirigeait depuis 15 ans l'entreprise Space Circus. Cette société toulousaine propose des chapiteaux et de structures pour des festivals ou des événements. Vendredi, Marck Cheshire rentrait chez lui au guidon de sa moto quand il s'est accroché avec une voiture lors d'un important ralentissement sur l'autoroute. Il a chuté au sol et a heurté violemment une glissière de sécurité, sur la droite de la route. L'intervention des pompiers et d'une équipe médicale du Smur 31 n'a pas permis de sauver ce père de famille, déjà la 42e victime de la route en Haute-Garonne depuis janvier. En charge de l'enquête, les gendarmes de l'escadron départemental de sécurité routière restaient hier assez prudents sur les circonstances exactes du drame. La circulation était chargée et le conducteur de la voiture, pas blessé mais très choqué, a sans doute été surpris par un ralentissement. Comme le motard vraisemblablement. Qui a accroché l'autre, qui a fait une faute de conduite ? Les gendarmes attendaient de pouvoir auditionner les nombreux témoins pour déterminer les éventuelles responsabilités.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/11/2195244-motard-tue-un-anglais-installe-a-carbonne.html

samedi 10 octobre 2015

Landes/Béarn : le trafic des trains très perturbé après un accident mortel

Un accident mortel a interrompu le trafic ferroviaire dans les Landes et vers le sud Aquitaine ce vendredi après-midi. Une personne est décédée à la rencontre d'un TER, sur la commune de Lüe, à deux kilomètres de la gare de Labouheyre.
Le TER a été stoppé une heure et demie avant de repartir. Le TGV qui a suivi a été immobilisé une heure en gare de Dax. Plusieurs TER ont été remplacés par des bus.
Le trafic reprend progressivement depuis 17 heures. Les trains circulent au ralenti à 30 km/h dans le secteur de l'accident.

http://www.sudouest.fr/2015/10/09/lande-bearn-le-trafic-des-trains-tres-perturbe-apres-un-accident-mortel-2149850-4344.php

Le convoyeur de fonds pillait les coffres des agences bancaires

Un convoyeur de fonds de 49 ans a été mis en examen et écroué hier après avoir dérobé 157 000€ dans deux coffres d'agences bancaires, à Fenouillet et Tournefeuille, début 2015.
Parce qu'il ne se sentait pas assez considéré par ses collègues, un convoyeur de fonds d'une grande société vient de faire parler de lui avec fracas. Cet ancien légionnaire de 49 ans, domicilié à Muret, a été mis en examen, hier, et écroué pour «vols aggravés». Il est soupçonné d'avoir pillé les coffres de deux agences bancaires à Fenouillet et Tournefeuille, début 2015. Montant du butin : 157 000 €.
Le 29 janvier vers 20 heures, à Fenouillet, un homme qui se fait passer pour un technicien devant des témoins, ouvre avec une clé le coffre extérieur d'une banque et retire le contenu, soit 49 000 € en liquide. L'écran d'une caméra de surveillance est tagué à la bombe. Le «technicien» repart avec le butin. Le lendemain, un employé de la société de convoyage de fonds, chargé de récupérer l'argent afin d'effectuer un comptage, constate que le coffre bancaire est vide. L'alerte est donnée. Les gendarmes de la brigade de recherches (BR) de la compagnie de Toulouse Saint-Michel sont saisis des investigations. Ces spécialistes scrutent la vidéo surveillance et malgré les dégradations commises à la bombe de peinture, parviennent à dresser un premier portrait du suspect. Six jours plus tard, le 4 février, à Tournefeuille, même mode opératoire. Le SRPJ de Toulouse est saisi. Butin dérobé : 108 000 €. Une fausse clé est retrouvée dans la serrure du coffre cambriolé pour brouiller les pistes et faire croire à un scénario différent. Au cours de leurs investigations, les gendarmes de la BR de Toulouse Saint-Michel font une découverte essentielle qui en dit long sur la méthode du voleur. Pour ouvrir les coffres sans attirer l'attention, le voleur avait créé un double à partir de la vraie clé. Ce double judicieusement imité restait dans les murs de la société, à la vue de tous, quand la vraie clé était utilisée pour ouvrir les coffres. Les investigations orientent alors les gendarmes vers la piste interne. Un convoyeur de fonds de la société concentre sur lui tous les soupçons. D'autant que ce suspect ressemble en tout point à l'homme aperçu sur les images vidéo capturées par les gendarmes. Cet homme est interpellé mardi sur son lieu de travail. À Muret, dans une cave du domicile de ses parents, les enquêteurs retrouvent 143 660 € en liquide. Une grande partie de l'argent dérobé. Le suspect a fini par admettre sa participation, à l'issue de sa garde à vue. Les quelques euros auraient utilisé n'ont pas été «flambés» dans les palaces mais juste pour couvrir ses frais du quotidien. Pas de train de vie somptuaire, ni de dépenses extraordinaires. En 15 ans de boîte, cet homme discret n'avait jamais fait parler de lui. Une vie calme et silencieuse… en apparence.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/10/2194929-le-convoyeur-de-fonds-pillait-les-coffres-des-agences-bancaires.html

vendredi 9 octobre 2015

Accident de Couzeix : le motard décédé, deux hommes interpellés

Le conducteur du deux roues, découvert inanimé dans un fossé par des automobilistes de passage, est mort sur le site de l'accident malgré l'intervention des pompiers et du du SAMU.

Rapidement, des éléments matériels ont été découverts sur le lieu du drame : un écusson de marque, et un morceau de plaque d'immatriculation.
Ces précieux indices ont permis aux enquêteurs d'identifier le véhicule en fuite.

La police a ensuite retrouvé la voiture accidentée. Deux hommes ont été interpellés, ils sont actuellement placés en garde à vue.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/haute-vienne/accident-de-couzeix-le-motard-decede-deux-homme-interpelles-826075.html

Agen : un octogénaire roué de coups par son voisin

De multiples contusions, un blocage articulaire au niveau du bassin… Le quinquagénaire qui s'en est pris au père de l'adjointe au maire d'Agen, Laurence Maïoroff, n'y est pas allé de main morte.
Alors qu'il avait sonné chez son voisin à cause du vacarme, rue Duranton, le père de l'élue, âgé de 83 ans, s'est littéralement fait rouer de coups. Le bruyant voisin s'est jeté sur l'octogénaire et lui a assené des coups de poings qui l'ont fait chuter au sol, puis une volée de coups de pieds.
La victime a été transportée à la clinique Saint-Hilaire et s'est vu délivrer quinze jours d'ITT. Son agresseur, âgé de 50 ans, a été placé en garde à vue et n'a que partiellement reconnu les faits. Sa garde à vue qui a été prolongée jeudi soir.
http://www.sudouest.fr/2015/10/09/agen-un-octogenaire-roue-de-coups-par-son-voisin-2149450-3603.php

Angers: Comme dans un film, il s'évade à l'aide des ses draps

On pensait que c’était une scène uniquement vue dans les films. Pourtant, dans la nuit de mardi à mercredi, un détenu, hospitalisé au CHU d’Angers, a réussi à s’évader à l’aide de ses draps, rapporte Ouest-France.
L’homme de 38 ans, transporté le jour même dans une chambre sécurisée de l’hôpital pour des maux de ventre, avait allumé la télé pour camoufler les bruits. Il aurait d’abord réussi à casser la serrure d’une fenêtre qui n’est, normalement, pas faite pour s’ouvrir. Ensuite, grâce à deux draps noués, il est parvenu à s’enfuir de sa chambre, située au deuxième étage, à 6,50 mètres du sol. Les deux policiers postés dans le couloir ne se sont aperçus de rien.
Ce Sarthois était écroué depuis sa mise en examen pour un violent braquage, avec arme, en novembre dernier au Mans, indique Ouest-France.
http://www.20minutes.fr/nantes/1705531-20151009-angers-comme-film-evade-aide-draps

jeudi 8 octobre 2015

Un couple agressé chez lui par des hommes cagoulés et armés

La soirée télé a viré au cauchemar, mardi soir, pour un couple domicilié à l'Union, au Nord de Toulouse. Peu avant 22 heures, deux hommes ont fait irruption à leur domicile, bien décidés à ne pas repartir les mains vides.
À cette heure-là, la jeune femme se trouvait tranquillement calée devant un programme de télévision tandis que son compagnon était occupé dans une autre pièce du logement.
Au vu de la douceur de cette soirée, une baie vitrée avait été laissée entrouverte à l'arrière de l'habitation. C'est par là que deux hommes se sont subitement engouffrés, ne laissant pas à leurs victimes le temps de réagir.
Cagoulés et munis d'une arme de poing, ils ont vite montré leur détermination. La jeune femme a été frappée à au moins une reprise, sur la tête, mais n'a pas été grièvement blessée. Les malfaiteurs ont visité les lieux et se sont fait remettre de l'agent liquide ainsi que des bijoux et objets de valeurs. Avant de partir, ils ont récupéré les clefs du véhicule du couple et ont pris la fuite à bord de cette voiture.
L'attaque a duré un peu plus d'une dizaine de minutes et a sérieusement choqué les victimes. Dès le départ du duo de braqueurs, le couple a composé le 17 et prévenu les hommes de la gendarmerie.
Aussitôt, un important dispositif de recherches a été mis en place par les militaires de la compagnie Toulouse Saint-Michel dont la brigade des recherches. Malgré les moyens conséquents déployés, les deux fuyards sont restés introuvables.
Les techniciens en identification criminelle de la gendarmerie se sont rendus au domicile du couple afin d'y recueillir un maximum de traces et indices de sorte à pouvoir remonter jusqu'aux malfaiteurs.
De leur côté, les victimes ont été entendues. L'enquête a été confiée aux militaires de la section de recherches.
Ces derniers mois, plusieurs agressions à domicile ont été recensées autour de Toulouse. Celles-ci visaient particulièrement des commerçants. Début septembre, un commerçant ambulant avait été torturé pendant trois heures à son domicile, par des hommes armés qui lui avaient soutiré de l'argent. Fin mai, début juin, plusieurs buralistes avaient été agressés par une même équipe de braqueurs que les gendarmes de la section de recherches étaient parvenus à mettre derrière les barreaux.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=58446&WS=291720_2501986&WA=13719

mercredi 7 octobre 2015

Cognac : escroqueries sur le site "Le Bon Coin"

Ce type d'escroquerie est à la mode. Sur le site de petites annonces "Le Bon Coin", les soi-disant vendeurs demandent à recevoir de l'argent en mandat cash pour "réserver" le bien mis en vente, avant de disparaître. C'est ce qui est arrivé hier à deux Cognaçais.
Le premier voulait acheter une voiture. La victime a envoyé deux mandats cash de 1000 et 600€, encaissés à Paris et Nantes. Puis, plus de nouvelle...
La deuxième arnaque, plus rare, concernait une location étudiante à Strasbourg. En prétextant beaucoup de demandes, l'escroc a exigé une avance de 1000€, soit un mois de caution.
L'adresse était fausse, les Cognaçais ont compris qu'ils venaient de se faire flouer. Les victimes ont déposé plainte. La police met en garde contre ce genre
http://www.sudouest.fr/2015/10/07/cognac-escroqueries-sur-le-site-le-bon-coin-2147204-882.php

Meuse : trois prévenus mais un seul voleur au tribunal de Bar-le-Duc

Colliers en or, tablettes, ordinateurs portables, appareils photos, caméra, plus de 500 euros en numéraire… Les vols commis le 11 décembre 2012 à Bettancourt-la-Ferrée (52) et le lendemain à Commercy et Vaucouleurs auraient pu rapporter à leurs auteurs. Ils leur ont finalement valu de la prison. Provisoire d’abord pour les trois jeunes demeurant dans la région parisienne et en guise de condamnation pour un des trois. Le seul qui a été déclaré coupable des vols lors du procès qui a eu lieu mardi au tribunal correctionnel de Bar-le-Duc.
Et pour cause, le jeune homme de 22 ans s’était fait prendre pratiquement la main dans le sac. Alors que ses complices réussissaient à prendre la fuite à bord d’une Golf immatriculée dans le Val-de-Marne lui se cachait dans un cabanon et était rapidement découvert par les gendarmes alertés par des riverains de la présence de la voiture mais aussi d’un cambriolage. Si le principal protagoniste reconnaissait les trois cambriolages avec effraction, il ne cachait pas qu’ils avaient été commis en réunion. Mais jamais il ne donnera le nom de ses deux acolytes. Et jamais les deux autres jeunes, qui comme lui étaient poursuivis pour ces trois vols, ne reconnaîtront une quelconque implication.
C’est pourtant en ce sens que le ministère public, représenté par Sophie Partouche, substitut du procureur, a requis entre 10 et 12 mois de prison à l’encontre de ces trois garçons. L’ADN des trois a en effet été retrouvé dans la voiture ayant servi aux cambriolages. Une charge suffisante pour le ministère public et qui signait le forfait commis par les trois copains. La simple preuve pour les avocats de la défense que leurs clients étaient montés dans la voiture. Mais pas à Vaucouleurs, à Valenton (94), sur la place du marché où elle est retournée entre le 11 décembre et le cambriolage et Bettancourt et le 12, jour où ont eu lieu ceux de Commercy et Vaucouleurs. Une place du marché de banlieue où visiblement les voitures sont des lieux de rendez-vous, chacun y entre, s’y installe, se fait emmener pour aller faire une course, sans jamais savoir à côté de qui on est assis.
Interrogés les uns après les autres tant par la présidente que par la substitut du procureur, les trois prévenus n’ont pas varié d’un iota dans leurs déclarations. Au final, celui qui a été interpellé à Vaucouleurs a été condamné à 10 mois de prison, les deux autres ont été relaxés.

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-bar-le-duc/2015/10/06/meuse-trois-prevenus-pour-un-voleur-au-tribunal-de-bar-le-duc

mardi 6 octobre 2015

Il veut entretenir la maison de sa mère décédée, et la retrouve squattée

Plusieurs personnes occupent depuis une semaine la maison d'un Toulousain. Mal-logés, ils sont entrés par effraction. Les voisins se mobilisent pour faire respecter le droit à la propriété.
C'est une petite maison blanche des années trente, au 9 rue Raymond de la Tailhède, quartier des Arènes à Toulouse. Depuis la nuit du 28 au 29 septembre, cette maison est occupée.
«C'est ma maison d'enfance, celle où j'ai tous mes souvenirs. Je suis pour le droit au logement, mais pas dans une propriété privée qui n'est même pas à l'abandon !», hurle Bruno, qui a perdu sa mère il y a un an. «Elle habitait cette maison jusqu'à son décès.»
Le matin du 29 septembre, le père de famille reçoit un coup de téléphone sur son lieu de travail. Au bout du fil, un inconnu l'informe de l'opération d'occupation en cours. «Selon des voisins, il y avait une trentaine de personnes. Elles sont entrées par effraction.»

Opération de police annulée

Lorsque Bruno arrive sur place, il constate qu'une chaîne empêche l'ouverture du portail d'entrée. Aujourd'hui, la chaîne est toujours là. Une table renversée entrave la porte d'entrée, et le nom des «nouveaux» occupants est inscrit sur le portail.
«Pourtant, ce n'est pas faute d'avoir fait appel aux forces de l'ordre. J'ai porté plainte immédiatement, avec constat d'huissier, raconte Bruno. L'opération de police devait se dérouler dès le mercredi après-midi, le 30 septembre. Mais une heure avant l'horaire prévu, l'opération a été annulée. Je ne sais pas pourquoi.»
Les policiers ont reçu un «contre-ordre», comme l'explique Bruno Et aujourd'hui, il a dû prendre un avocat et lancer une procédure.
«C'est incroyable, hallucinant. Le groupe qui a pris possession de la maison avait sans doute des intentions louables, donner un toit à ceux qui n'en ont pas. Mais pas chez les autres ! La maison de ma mère n'était pas inoccupée. Je l'entretenais tous les week-ends. Je m'étais même demandé si je n'allais pas revenir y vivre. Mais j'ai finalement dû me résoudre à la vendre, et j'allais remettre les clés à une agence pour des visites au moment où elle a été squattée».
Dans la rue Raymond de Tailhède, les voisins soutiennent Bruno. «J'ai parlé aux gens qui ont installé les occupants, raconte Colm, un voisin de la maison. C'est un collectif sans étiquette, ce ne sont pas des violents, mais ils se sont trompés.»
Également voisin, le conseiller départemental (PS) du canton Toulouse 1, Julien Klotz, estime qu'«il ne faut pas ajouter une injustice à une autre injustice. Le problème des mal-logés ne peut pas être résolu en occupant des logements privés».

http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/06/2191458-veut-entretenir-maison-mere-decedee-retrouve-squattee.html

lundi 5 octobre 2015

Saint-Sornin (16) : un voiture fait plusieurs tonneaux avec un bébé à bord

Plus de peur que de mal pour ce couple et son bébé de 5 mois. Dimanche, vers 18 heures, leur voiture, une Citroën, aurait fait un aquaplanning sur la chaussée détrempée de la départementale 6 à hauteur de la commune de Saint-Sornin (Charente)

Le conducteur aurait alors perdu le contrôle et son véhicule a effectué plusieurs tonneaux avant de s'immobiliser sur le toit sur le bas côté.
Les trois occupants ont été conduits à l'hôpital pour des examens de contrôle.
http://www.sudouest.fr/2015/10/04/saint-sornin-16-un-voiture-fait-plusieurs-tonneaux-avec-un-bebe-a-bord-2143994-813.php
Les sinistrés poursuivaient ce lundi le laborieux nettoyage des maisons et des rues de la Côte d'Azur, sans perdre espoir de retrouver quatre disparus après les intempéries qui ont fait au moins 17 morts samedi soir. Selon nos informations, un homme de 90 ans qui figurait parmi les disparus a été retrouvé. Il est hospitalisé.
Selon nos informations recueillies auprès des services de secours du département, un homme de 90 ans qui était porté disparu à Antibes a été retrouvé vivant et se trouve à l'hôpital. trois personnes restent toujours portées disparues : deux à Cannes et une à Mandelieu-la-Napoule. Le bilan humain de cette catastrophe est très lourd : 17 personnes ont perdu la vie. Une 17e victime, s'est en effet ajoutée dimanche soir au très lourd bilan de ces orages, d'une intensité record sur une bande de littoral allant de Mandelieu-la-Napoule à Nice.
• Le nettoyage continue  
Bottes aux pieds, les habitants continuent ce lundi de racler l'épaisse couche de boue. A la préfecture des Alpes-Maritimes, une réunion s'est tenu par ailleurs à l'aube pour déterminer un plan d'action et de coordination quant aux opérations de nettoyage à mener au fil de la journée.
A Biot, entre Cannes et Nice, au coeur de la bande littorale d'une trentaine de kilomètres frappée par les orages samedi, la maire Guilaine Debras a donné rendez-vous à toutes les bonnes volontés à 9 heures pour aider au nettoyage dans ce village où trois pensionnaires d'une maison de retraire ont péri noyés samedi soir.
• Les sinistrés indemnisés sous deux mois
Les habitants et les commerçants, dont certains ont tout perdu, ont commencé à faire leurs comptes. Les assureurs ont mis en place des "procédures d'urgence" pour pouvoir dédommager "dans les deux mois" une grande partie des dégâts causés par ces intempéries meurtrières. Pour tenir ce délai, les compagnies d'assurance ont mis en place des "procédures d'urgence" comme le "renforcement des capacités d'accueil téléphonique et la mobilisation des experts", a indiqué lundi l'Association française de l'assurance (Afa). Son président, Bernard Spitz, précise pouvoir annoncer une "fourchette (des coûts) assez précise, sans doute autour de mercredi ou jeudi".
Par ailleurs, la Chambre de Commerce et d'Industrie de Nice Côte d'Azur met à disposition un numéro vert (0800.422.222) pour renseigner les entreprises et commerces impactés.  
 

Voiture abandonnée sur l’A31 et collisions en série

Après avoir perdu le contrôle de son Peugeot Partner et percuté le muret en béton séparant les voies de circulation de l’A31 vers 4 h du matin hier, un conducteur a abandonné son véhicule. La voiture est restée sur la route, tous feux éteints, à hauteur de Talange. Les automobilistes qui circulaient dans le sens Metz-Luxembourg à cette heure ne pouvaient pas la voir, arrêtée sur la voie de gauche, sur un tronçon pas éclairé !
Résultat : une collision en série impliquant quatre véhicules. Bilan : quatre blessés légers. Pris en charge par les secours, venus des centres d’Hagondange, Metz, Maizières-lès-Metz et Marange-Silvange, les victimes ont été conduites à l’hôpital de Mercy et à Thionville.
Les CRS du peloton autoroutier de Moulins-lès-Metz ont procédé aux constatations d’usage et réglé la circulation, qui a été temporairement neutralisée pour permettre l’intervention des secours. Une enquête est en cours pour identifier et retrouver le conducteur du véhicule à l’origine de la collision.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/10/05/voiture-abandonnee-sur-l-a31-et-collision-en-serie

dimanche 4 octobre 2015

Marmagne : un choc frontal entre deux véhicules fait un mort

Vers 7h30, ce dimanche 4 octobre 2015, un accident mortel s'est produit près de Marmagne en Saône-et-Loire. Deux voitures sont entrées en collision frontale sur la RD 680.

Un chalonnais de 37 ans est décédé dans cet accident et trois personnes ont été légèrement blessées. Elles ont été transportées au centre hospitalier d'Autun.

A 11 heures, la chaussée était toujours en train d'être déblayée. Une circulation alternée va être en place jusqu'à la mi-journée sur cet axe routier.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/saone-et-loire/marmagne-un-choc-frontal-entre-deux-vehicules-fait-un-mort-822051.html

Coincé six heures dans son camion sur l'A 62

Six heures c'est long. C'est très long quand on est resté conscient et que l'on est coincé dans la cabine de son poids lourd les jambes brisées, bloquées dans l'amas de tôle. Peu après 7 heures hier, les secours ont vite compris que cette intervention-là sur l'A62 serait différente. Le camion est en partie retourné, couché sur la glissière de sécurité. Surtout, la cabine est pliée et pour ne rien simplifier elle est tombée dans un bosquet, fracassant les branches.
Les heures passent. Une, deux, trois, quatre. Âgé de 45 ans, ce Girondin est toujours coincé. Impossible de l'extraire. En fin de matinée, l'hypothèse du pire, c'est-à-dire l'amputation sur place, est envisagée. Le groupe sanguin de la victime est identifié, et tout se met en place pour permettre l'intervention chirurgicale sur ce bord d'autoroute où la circulation est ralentie, réduite à une voie. Un casse-tête pour les pompiers et les urgentistes du SAMU47, d'autant que l'état de santé du routier se dégrade, au point que son pronostic vital est engagé. Après six heures de tentatives ponctuées par des échecs, les secours parviennent finalement à extraire le conducteur de la cabine. Vers 13 h 45, l'hélicoptère décolle vers le centre hospitalier Pellegrin de Bordeaux. Mais il faut encore trois heures pour dégager la voie et rendre à la circulation son flux normal.
 

samedi 3 octobre 2015

Lot-et-Garonne : accident de poids lourd sur l'A62, circulation ralentie

Un poids lourd de 36 tonnes s'est retourné ce samedi matin vers 7 heures à hauteur de la commune de Montesquieu, en Lot-et-Garonne, alors qu'il circulait sur l'autoroute A 62 en direction de Bordeaux.
Le conducteur, un Girondin de 40 ans, était bloqué dans sa cabine, conscient.
 Cet accident provoque un ralentissement sur la chaussée où l'on circule uniquement sur la voie rapide.
http://www.sudouest.fr/2015/10/03/lot-et-garonne-accident-de-poids-lourd-sur-l-a62-circulation-ralentie-2143481-3603.php

Il menace de faire sauter la station-service

Un homme fortement alcoolisé aurait pu provoquer d'importants dégâts, jeudi soir, sur le périphérique intérieur toulousain. Très excité, il a déboulé, peu avant 23 h 30, sur le site de la station-service Total située entre la sortie de la Cépière et celle de Purpan.
Il a expliqué à l'employée qui se trouvait sur place qu'il allait mettre le feu aux pompes. Bien décidé à aller au bout de son idée, l'homme a sorti un briquet et s'est approché des pompes. Il a fait semblant de décrocher le pistolet de l'une d'entre elles, comme s'il allait l'enflammer.
Pleine de sang-froid, l'employée a immédiatement pensé à couper l'arriver de carburant dans les pompes et a composé le numéro d'urgence de la police afin de signaler le danger imminent.
Aussitôt, la salle d'information et de commandement a lancé l'alerte sur les ondes. Les hommes de la brigade anticriminalité du Mirail se sont rendus rapidement sur les lieux. À leur arrivée, ils n'ont pas trouvé un individu menaçant de faire sauter la station-service mais deux hommes en train de se battre à l'intérieur de celle-ci, devant la caisse.
Les fonctionnaires ont séparé les belligérants, parmi lesquels cet homme ivre. Ils l'ont tout de suite interpellé pour les menaces et la tentative de destruction.

En possession d'un pistolet semi-automatique

L'autre protagoniste de la bagarre a quant à lui été contrôlé. Les policiers ont retrouvé en sa possession une arme de type pistolet semi-automatique de calibre 7,65 mm. Cette arme était chargée et approvisionnée.
Les deux hommes ont été ramenés au commissariat central où ils ont été placés en garde à vue. Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la sûreté départementale afin de comprendre les motivations des protagonistes. Pourquoi le premier homme, âgé de 41 ans, qui menaçait de tout faire exploser, et le second, âgé de 20 ans, lourdement armé, en sont-ils venus aux mains ? Se connaissent-ils ? Quels étaient leurs véritables desseins, en pleine nuit, dans cette station-service ? Leurs auditions devraient permettre de faire la lumière sur les motivations des uns et des autres.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/03/2189671-il-menace-de-faire-sauter-la-station-service.html

vendredi 2 octobre 2015

Tentative d'homicide pour un scooter

Depuis mercredi en fin d'après-midi, un jeune homme âgé d'une vingtaine d'années se trouve à l'hôpital de Carcassonne après qu'il a subi une blessure par arme à feu au niveau du bras gauche.
Selon le parquet de Carcassonne, la blessure en question n'est pas d'une extrême gravité, mais l'acte commis mérite l'ouverture d'une enquête pour «tentative d'homicide volontaire», passible de la cour d'assises.
Les faits se sont déroulés à Barbaira, au domicile de l'auteur présumé, qui purgeait une peine sous surveillance électronique. Selon nos sources, la victime et deux copains à elle se sont présentés au domicile du mis en cause pour régler un contentieux lié à un scooter.
Le ton est monté et le suspect s'est saisi de l'arme et a fait feu en direction du blessé, à une distance estimée à 1, 50 mètres. L'arme utilisée est un fusil dont le canon a été scié tout comme la crosse. En revanche, le projectile tiré serait une «gomme cogne», en caoutchouc.
Pour le magistrat de permanence hier au parquet de Carcassonne, il ne faisait aucun doute que le geste fut «réfléchi», mais que l'acte présumé nécessitait aussi des investigations complémentaires. C'est pourquoi la garde à vue du suspect a été prolongée.
Les zones d'ombre sont nombreuses, tant sur le mobile de ces violences avec arme, que sur le déroulement des faits. Les versions livrées par la victime, comme par les témoins, ou le prévenu (voire accusé) divergent tant que de nouvelles auditions vont être nécessaires pour démêler l'écheveau et que le ministère public fasse un choix de qualification. Soit le dossier, criminel, sera confié au pôle d'instruction criminelle de Narbonne, soit il sera renvoyé en correctionnelle à Carcassonne. Réponse dans la journée…
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/02/2188897-barbaira-tentative-d-homicide-pour-un-scooter.html