vendredi 31 juillet 2015

Le petit garçon coincé dans un ascenseur à Cannes a le tibia fêlé et de nombreux hématomes

Un petit garçon de 6 ans s'est retrouvé coincé entre la grille d'un ascenseur et la porte vitrée de l'appareil, mercredi dernier à Cannes. Toujours en observation à l'hôpital, il souffre de nombreux hématomes et son tibia est fêlé.
Les vacances ont failli tourner au drame pour une famille venue passer quelques jours à Cannes, dans un appartement familial de la résidence des Pins, boulevard Alexandre-III. Mercredi dernier, alors qu'ils sortaient de leur appartement, leur petit garçon de 6 ans s'est retrouvé bloqué entre la grille de l'ascenseur et la porte vitrée de l'appareil.
Colin se remet aujourd'hui doucement de ses émotions. "Il est toujours à l'hôpital en observation. Il a de nombreux hématomes sur le corps et le tibia fêlé", décrit sa maman. "Il a eu très peur, mais je pense qu'il n'a pas réalisé le danger", souffle Marie.
Un problème de copropriété
La famille hésite encore à déposer plainte devant ce contexte assez particulier.
Les voisins, eux, sont plus catégoriques: "Il y a un contexte autour de cet accident. Nous sommes en procès avec une société russe, copropriétaire majoritaire, qui tente de chasser ceux qui ne veulent pas vendre pour faire de la résidence un hôtel. En attendant, cette société ne paye pas les charges, l'ascenseur est détraqué", s'insurge l'un d'eux.
Une enquête sera surement conduite concernant la sécurité de l'appareil. En attendant, il semblerait que le petit Colin ait été entraîné par le poids de la grille alors qu'il tentait de la retenir en attendant ses parents. Un autre résident a, a priori, appelé l'ascenseur au même moment, ce qui a entraîné la fermeture de la porte vitrée.
http://www.nicematin.com/cannes/le-petit-garcon-coince-dans-un-ascenseur-a-cannes-a-le-tibia-fele-et-de-nombreux-hematomes.2301945.html

Seine-Saint-Denis : séquestré, un couple de garagistes se fait voler plus de 15 000 euros

Un couple et ses deux enfants en bas âge ont vécu un véritable calvaire dans la nuit de mardi à mercredi, à Montfermeil (Seine-Saint-Denis). D’après Le Parisien, des voleurs se sont introduits chez ces garagistes par un soupirail du pavillon et ont crié qu’ils étaient de la police. Ils ont alors passé les menottes au père de famille et l’ont frappé à coup de crosse. Les malfaiteurs ont également immobilisé la femme en l’attachant avec du serflex et ont dévalisé la maison. Ils auraient emporté plus de 15 000 euros en liquide. La police judiciaire de Seine-Saint-Denis mène l’enquête pour retrouver les coupables.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/31/2152867-seine-saint-denis-sequestre-couple-garagistes-fait-voler-plus-15.html

jeudi 30 juillet 2015

Melun : un détenu interné à l'hôpital psychiatrique en cavale

Un détenu interné à l'hôpital psychiatrique de Melun (Seine-et-Marne) s'est évadé par une fenêtre de l'établissement vendredi dernier. Ce mercredi, l'homme qui pourrait être dangereux est toujours en cavale.
Un détenu interné à l'hôpital psychiatrique Constance-Pascal de Melun (Seine-et-Marne) était en cavale mercredi soir après s'être évadé par une fenêtre de l'établissement le week-end dernier.
Le détenu souffrant de troubles bipolaires "purgeait notamment une peine pour viol", selon une source policière, confirmant une information de La République de Seine-et-Marne.
Le journal local explique que l'homme a démonté une plaque dans les toilettes pour s'en servir de levier au niveau de la fenêtre située au premier étage de l'établissement.
Des tentatives d'évasion fréquentes dans l'établissement
Mercredi soir, ni le parquet, ni le centre psychiatrique ne souhaitaient communiquer sur cette affaire, alors que le site internet de l'hebdomadaire local rapportait le témoignage d'un employé de l'hôpital déplorant que des tentatives d'évasion aient déjà eu lieu dans l'établissement qui accueille régulièrement des détenus: "Notre unité est vétuste et pas suffisamment sécurisée. Ce n'est pas la première fois qu'il y a des tentatives d'évasion."
Selon le journal, le fugitif "est susceptible de ne plus prendre son traitement, ce qui pourrait accroître sa dangerosité".
Des recherches sont menées par la police judiciaire de Melun.

mercredi 29 juillet 2015

Un motard grièvement blessé dans un accident à Démuin (80)

Une personne souffrant de multiples fractures après la collision d'une voiture et d'une moto à l'entrée de Démuin dans la Somme peu avant 13h30 ce mercredi. Le motard blessé a été héliporté au CHU d'Amiens. 
Les deux véhicules se sont percutés rue Alcius Ledieu à Démuin ce mercredi avant 13h30. Le motard impliqué souffre de multiples fractures et a été héliporté au CHU d'Amiens. La conductrice de la voiture serait indemne.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/somme/un-motard-grievement-blesse-dans-un-accident-demuin-80-778969.html

lundi 27 juillet 2015

Saissac (Aude) : Le chevreuil envoie au tapis les motards

Engagés sur la RD 609, à hauteur de la commune de Saissac, deux motards ont fait une rencontre aussi surprenante que percutante samedi, en fin d'après-midi.
A 19 h, le premier des pilotes n'a ainsi pu éviter un chevreuil bien décidé à traverser la route. Projeté au sol, il s'immobilisera sur la chaussée, devenant à son tour un périlleux obstacle pour l'autre motard qui chutera à son tour.
Légèrement blessés aux chevilles et aux poignets, les deux pilotes seront transportés sur le centre hospitalier de Carcassonne.
http://www.lindependant.fr/2015/07/27/le-chevreuil-met-au-tapis-les-motards,2065012.php

dimanche 26 juillet 2015

Reims. Tabassée pour une tenue jugée "indécente"

Une Rémoise de 21 ans avait décidé, en compagnie de deux amies, de bronzer en maillot de bain dans un parc de la ville. Une tenue jugée indécente par un groupe de cinq adolescentes. Une altercation a alors éclaté quand la jeune fille a répliqué qu'elle était en droit de s'habiller comme elle le voulait. Le groupe d'adolescentes s'est précipité alors sur elle pour la rouer de coups».Des témoins ont pu mettre fin à la rixe. La victime s'en est tirée avec 4 jours d'incapacité totale de travail.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/26/2150141-tabassee-pour-une-tenue-jugee-indecente.html

samedi 25 juillet 2015

Aubagne : un nourrisson décède dans un incendie d'appartement

Un feu d'appartement a tué un bébé de 4 mois samedi matin à Aubagne, dans les Bouches-du-Rhône. Sa soeur a survécu.
Quand les pompiers sont arrivés, l'enfant était en arrêt cardio-respiratoire tout comme sa sœur. Une petite fille de 4 mois est décédé samedi matin dans l'incendie de l'appartement familial à Aubagne, près de Marseille, dans les Bouches-du-Rhône, Le quotidien La Provence. Sa grande sœur, de 20 mois, a pu être sauvée mais se trouvait dans un état grave. Les parents ont également été hospitalisés.
Selon les premiers éléments, le feu serait d'origine accidentelle et serait parti du salon de l'appartement

lundi 20 juillet 2015

Lot-et-Garonne : un minibus, avec sept personnes à bord, prend feu sur l'autoroute

On ignore pour le moment la raison de l'embrasement de ce véhicule qui circulait sur l'A62, dans le sens Bordeaux-Toulouse, à hauteur de la commune de Sainte-Marthe, dans le Marmandais.
 
Le minibus - qui transportait sept personnes dont un enfant - a totalement été détruit. Les passagers ont réussi à s'échapper à temps du véhicule en flamme. Il n'y pas de blessé. Les occupants ont rapidement été pris en charge par les équipes de secours et ont été accueilli sur l'aire de repos attenante.
http://www.sudouest.fr/2015/07/20/lot-et-garonne-un-minibus-avec-sept-personnes-a-bord-prend-feu-sur-l-autoroute-2049067-3830.php

Un village de Haute-Saône traversé par une mini tornade

Samedi en fin d’après-midi, un violent coup de vent a formé un tourbillon, durant sept minutes selon des habitants du village. Un tourbillon qui avançait dans un couloir, celui de la rue de l’église, avant de repartir route d’Augicourt. De nombreuses tuiles ont été arrachées de même que sur le clocher de l’église, de nombreux arbres fruitiers ont été déracinés et un gros tilleul a été couché à terre. Une caravane a été renversée et des tôles de cheminées arrachées. Les sapeurs-pompiers de Combeaufontaine sont intervenus pour remettre les cheminées et les tuiles en état et pour couper des arbres tombés sur la route de Semmadon. Reste encore l’église et les nombreux arbres à évacuer.

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-vesoul-haute-saone/2015/07/19/le-village-traverse-par-une-mini-tornade

dimanche 19 juillet 2015

Un corps découvert sur une plage du Médoc

Le corps d'un homme de 30 à 40 ans a été découvert dimanche matin sur la plage à Grayan-et-l'Hôpital près du site Euronat (centre naturiste en Gironde).

Une enquête de gendarmerie est en cours afin de déterminer les causes de la mort.
http://www.sudouest.fr/2015/07/19/un-corps-decouvert-sur-une-plage-du-medoc-2042381-2898.php

Il casse le nez de son ex

Les gardes alternées des enfants ne se passent pas toujours bien. Une mère de famille toulousaine en a fait les frais. Elle tenait sa fille de 3 ans dans les bras quand elle a été frappée par son ex-compagnon. Résultat : nez cassé et une grosse frayeur pour l'enfant confronté à sa mère en sang. «Elle voulait partir avec la petite et ne pas me la laisser. Je voulais donner un coup dans le mur, a assuré Mickaël, 29 ans, à la barre du tribunal correctionnel. Ça a atterri sur son nez». À l'arrivée des policiers, le jeune homme n'était pas calmé. «Ils ont dû vous menacer pour que vous vous calmiez, relate la présidente Froehlicher. Puis vous avez recommencé et menacé de les frapper. Ils ont utilisé du lacrymogène.» «Je suis terrorisée parce qu'il peut me faire», s'inquiète l'ex-compagne. Le procureur qualifie le geste de «violent». «La victime indirecte est l'enfant. Aimer son enfant, c'est respecter l'autre parent.» Et de décrire une personnalité immature : «La vie n'est pas un jeu. Il faut protéger son entourage.» Le procureur avait requis 8 mois de prison dont deux ferme. L'homme a été condamné à six mois de prison avec sursis mise à l'épreuve.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/19/2146141-il-casse-le-nez-de-son-ex.html

samedi 18 juillet 2015

Règlement de compte au Bisséous : les trois hommes ont été écroués

Un contentieux de voisinage, sur fond au départ de litige «amoureux», a dégénéré jeudi soir en règlement de comptes en pleine rue : précisément, rue de Dunkerque, quartier Bisséous à Castres. Hier en début de soirée, trois hommes, auteurs présumés de ces «violences volontaires en réunion avec arme et avec préméditation», ont été écroués par le juge des libertés et de la détention après avoir été longuement entendus par le procureur de la République, Manuela Garnier, et ce en présence de leurs avocates, Me Céline Buosi et Me Gaëlle Simonin. Ils seront jugés en comparution immédiate lundi après-midi au tribunal correctionnel de la ville… Mais on est passé bien près d'une mise en examen criminelle et donc des assises !

Une arme et trois tirs

Rappelons les faits : vers 21 heures jeudi, arme à la main pour l'un d'entre eux, trois individus ( deux militaires d'active et un «retraité» de l'armée âgés de 38, 28 et 25 ans), ont fondu sur deux jeunes hommes du quartier. L'un des trois individus réside au numéro 4 de la rue de Dunkerque et il est accompagné des beaux-frères de sa compagne. Cette dernière, se serait plaint d'avoir été molestée quelques heures plus tôt par son voisin avec qui un conflit dure depuis plusieurs mois. Âgé de 31 ans, ce dernier en effet habite la même rue, au N° 6 ! À l'arrivée du trio belliqueux, il se trouvait alors devant chez lui, dans sa voiture, avec un ami. Dès qu'il les aperçoit, le trio se dirige vers eux et l'un des hommes tire, deux fois ! Un fusil est utilisé et des plombs partent dans tous les sens. Outre le véhicule de l'une des cibles, deux autres voitures seront également endommagées. A ce moment-là, on a sans doute frôlé le pire : en effet, profitant des premières fraîcheurs de la journée, de nombreux riverains se trouvaient là avec leurs enfants. Cela n'empêchera nullement le tireur de réitérer son geste une troisième fois, au moment où l'un des deux jeunes hommes pris pour cible s'enfuyait. «Je l'ai vu passer en courant, et les plombs avec lui», lance un voisin qui prenait le frais devant sa porte, assis sur une chaise. «Ma fille, qui était à mes côtés, heureusement ne sait pas encore marcher. Debout, elle aurait pu être touchée», affirme-t-il. Les deux jeunes hommes visés, eux, ont été blessés et rapidement pris en charge par les secours. Les blessures sont superficielles, bien que, pour l'un d'entre eux, des plombs se sont figés près d'un œil ! Quant aux agresseurs, ils se sont un temps retranchés dans la maison du N° 4. Une courte et ferme négociation menée par les forces de police les a persuadés de se rendre. Au milieu d'un groupe de jeunes du quartier très remontés et tenus difficilement à distance, ils ont été interpellés puis évacués. Place désormais à la justice...

vendredi 17 juillet 2015

Deux blessés par arme dans le quartier Bisséous

Deux hommes ont été légèrement blessés par des plombs de fusil tirés par deux autres hommes hier soir dans le quartier de Bisséous. Un différend de voisinage serait à l'origine des violences. Un important dispositif de police a été déployé au milieu d'une vive tension.
Vives tensions en début de soirée vers 21 heures hier soir dans le quartier populaire de Bisséous, plus précisément au numéro 7 de la rue de Dunkerque : deux hommes, venus apparemment prêter main-forte à un ami dans le cadre d'un différend de voisinage, ont tiré sur deux jeunes gens avec des fusils de chasse. Les deux hommes ont été blessés par des plombs, l'un la tête et l'autre semble-t-il - à un bras. Ils ont été pris en charge par le Smur et les sapeurs pompiers puis conduits au centre hospitalier. Les blessures ne seraient a priori que superficielles. Les deux hommes auteurs présumés des coups de feux se sont ensuite retranchés dans le domicile de leur ami, où se trouvaient également sa compagne et deux enfants en bas âge. Rapidement, d'importants moyens de police (une bonne dizaine de la nationale et 7 de la municipale) se déplaçaient sur les lieux.

Interpellations mouvementées

Les trois individus se sont rendus après de vifs échanges verbaux une demi-heure plus tard. Certains policiers ont même dû se montrer persuasifs en pointant leur arme de service en direction de la fenêtre où se tenait l'homme qui paraissait le plus virulent. Pendant ce temps, un autre homme du commissariat, Flash-Ball sur le ventre, surveillait les intentions belliqueuses de jeunes du quartier ! En effet, les trois hommes ont ensuite été évacués au milieu d'un groupe important de jeunes venus aussi très rapidement sur les lieux après avoir entendu cris et détonations. C'est d'ailleurs en se frayant un chemin au milieu de coups de poing et de pieds dans la carrosserie de leurs véhicules que les policiers ont pu procéder à l'extraction des personnes incriminées. Très vive depuis une demi-heure mais contenue grâce à la maîtrise des policiers, la tension ne baissait que modérément. Elle remontait même d'un cran lorsqu'une tante du couple concerné par les événements est venue récupérer ses enfants.
«C'est mon fils âgé de 31 ans sur qui on a tiré, lance un monsieur au numéro 5 de la rue. Il a été touché au bras. Moi, ils me sont tombés dessus sans que je puisse dire un mot. Le compagnon de la dame avec qui mon fils a un litige était plutôt calme mais les autres étaient très excités. L'autre garçon qui a été blessé n'avait rien à avoir avec l'affaire. Il était juste venu voir mon fils.»
«Ma fille était chez sa grand-mère, lance la fille du monsieur. Elle est terrorisée. Cette affaire remonte à 7 mois. C'est un truc mineur, un malentendu qui a pris une tournure pas possible.»
Un important dispositif de surveillance devait être maintenu toute la nuit.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/17/2145326-deux-blesses-par-arme-dans-le-quartier-bisseous.html

jeudi 16 juillet 2015

Lot-et-Garonne : un agriculteur percute un poteau électrique et met le feu à son champ

Certains accidents ont parfois des conséquences inattendues. Cet agriculteur de Peyrière en a fait les frais mercredi soir. Vers 19 heures, l'homme transportait des meules de foin sur son tracteur lorsqu'il a percuté un poteau ERDF situé en bordure de son champ. Tant et si bien, qu'un câble électrique a chuté enflammé son champ. Un hectare est ainsi parti en fumée. Par chance, le champ avait déjà été récolté et l'incendie a été rapidement maîtrisé par les sapeurs-pompiers dépêchés sur place.

Coupures électriques

Conséquence de cet incident, les techniciens d'ERDF interviennent toute la journée de jeudi pour raccorder le câble cassé et réparer le poteau endommagé. Des coupures de courant devrait ainsi intervenir toute la journée de jeudi et peut-être même en soirée, sur le secteur Peyrière - Seyches.
http://www.sudouest.fr/2015/07/16/lot-et-garonne-un-agriculteur-percute-un-poteau-electrique-et-met-le-feu-a-son-champ-2024749-3603.php

Hérault : intoxications en série dans la piscine d’un camping de Valras-Plage

Les pompiers de Béziers ont eu beaucoup de travail ce mercredi après-midi. Ils ont dû prendre en charge 26 personnes logeant au camping Parc Le Bellevue, à Valras-Plage, pour une intoxication au chlore, suite à une baignade dans la piscine de l’établissement, rapporte Midi Libre.
Journée mouvementée au camping Parc Le Bellevue, à Valras-Plage, dans l’Hérault. Dix adultes et seize enfants ont été intoxiqués au chlore et transférés au centre hospitalier de Béziers. Les sapeurs-pompiers de Béziers, Sérignan et Valras ont dépêchés sur place leur cellule mobile chimique afin d’analyser l'eau de la piscine. Celle-ci contenait un mélange toxique de chlore et d’acide sulfurique qui aurait provoqué des irritations.
Selon le directeur du camping, l’entreprise chargée de l’entretien de la piscine serait responsable. L’un de ces agents aurait inversé deux liquides, une erreur à l’origine de ce mélange chimique très néfaste pour la santé des vacanciers. Mais d’après Midi Libre, les premiers éléments de l’enquête indiquent que le technicien n’a pas commis cette inversion. Le pistolet de remplissage serait sorti de son orifice au cours du remplissage et aurait pulvérisé le liquide qui se serait ainsi gazéifié.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/16/2144791-herault-intoxications-serie-piscine-camping-valras-plage.html

mercredi 15 juillet 2015

Lot-et-Garonne : deux personnes grièvement blessées dans une collision

Un nouveau choc frontal s'est déroulé, mardi soir, à Trémons, petite commune du Villeneuvois. Vers 21 h 45, une collision s'est en effet produite entre deux véhicules. Selon les gendarmes, un refus de priorité serait à l'origine de cet accident.

Sur place, les pompiers ont procédé à l'évacuation d'une femme et d'une adolescente, âgées respectivement de 59 ans et de 13 ans. Toutes deux ont été grièvement blessées.
http://www.sudouest.fr/2015/07/15/lot-et-garonne-deux-personnes-grievement-blessees-dans-une-collision-2020608-3603.php

Un corps repêché dans le canal

Un peu avant 11 heures hier, à Toulouse, des promeneurs ont repéré, en longeant le canal du Midi à proximité de la rue du Japon, un corps flottant à la surface de l'eau. Police et pompiers se sont aussitôt rendus sur les lieux. Les plongeurs des sapeurs-pompiers ont repêché le corps d'un homme d'une soixantaine d'années. Il était habillé et, selon les premières constatations de la police, ne portait pas sur le corps de marque suspecte. Une autopsie, qui aura lieu dans les prochains jours, et des investigations complémentaires seront toutefois nécessaires pour affiner les circonstances de sa mort. Accident ? Geste intentionnel ? Homicide ? «À ce stade de l'enquête, toutes les hypothèses sont ouvertes», indiquait hier un enquêteur. «L'autopsie pourra notamment déterminer s'il s'est noyé ou s'il est décédé avant, et qu'il est tombé.» Le corps était en cours d'identification hier. Selon les premières investigations, il ne correspond à aucun signalement de disparition inquiétante dans la région. Se trouvait-il dans l'eau depuis longtemps ? L'endroit du canal où il a été repéré est longé par de nombreux promeneurs, joggeurs et cyclistes. Mais il a pu dériver. «Il portait les marques de quelqu'un qui a fait un séjour prolongé dans l'eau», indiquait hier un enquêteur. «Mais cela ne veut pas dire grand-chose, car ces marques apparaissent très vite.»

mardi 14 juillet 2015

Sans nouvelle d'un septuagénaire depuis dimanche soir

Les gendarmes de la compagnie de Montauban œuvrent depuis le début de la nuit dernière pour retrouver un septuagénaire, M. Serge Lebeau, disparu de son domicile de Vaïssac dimanche vers 23 heures. L'homme, coutumier d'escapades impromptues, est atteint de la maladie d'Alzheimer… Au moment de son départ, le septuagénaire mesurant 1,88 mètre, cheveux gris avec un catogan, était vêtu d'un pantalon noir, d'une chemise à rayures et était chaussé de pantoufles. En bonne condition physique, M.Lebeau est réputé bon marcheur, semble-t-il capable de couvrir de longues distances même si la nuit dernière il n'était guère équipé pour faire du chemin. D'où les moyens conséquents mis en place par la gendarmerie sur un large secteur de 20 kilomètres de côté englobant les communes de Vaïssac, Nègrepelisse et Saint-Etienne-de-Tulmont où la campagne est particulièrement boisée.

L'hélicopère mis à contribution

Mais hier en fin d'après midi, alors que les conséquents moyens (des patrouilles à pied en voiture ainsi que des motards équipés de motos tout terrain) mis en œuvre par le groupement de gendarmerie de Tarn-et-Garonne n'avaient rien donné, cette disparition préoccupante s'est transformée en «disparition inquiétante». Le terme générique recoupe une procédure qui permet une large diffusion du signalement du disparu auprès de toutes les forces de l'ordre et les hôpitaux notamment. La tournure des événements a par ailleurs conduit hier après-midi le colonel Daniel à requérir l'hélicoptère de la gendarmerie. Le chien Saint-Hubert du groupement du Gers pourrait être rapidement sollicité également. L'absence prolongée de Serge Lebeau devient en effet inquiétante compte tenu des conditions météo éprouvantes, sachant encore que l'homme est déjà dehors depuis maintenant 36 heures.. En cas de découverte de l'intéressé ou de renseignements susceptibles de faire progresser les recherches, vous pouvez contacter la compagnie de gendarmerie de Montauban : 05 63 22 52 34.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/14/2143443-vaissac-sans-nouvelle-d-un-septuagenaire-depuis-dimanche-soir.html

lundi 13 juillet 2015

SNCF: un agent agressé en gare de

Ce matin, un agent de la Sncf a été victime d’une agression en gare de Valence TGV, selon le quotidien régional Le Dauphiné.

L'agent de la Sncf est intervenu alors que quatre mineurs causaient des désordres sur les quais. Il a voulu leur faire entendre raison, mais ils s’en sont violemment pris à lui. L’agent a dû être hospitalisé.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/07/13/97001-20150713FILWWW00077-sncf-un-agent-agresse-en-gare-de-valence.php

Pris de démence, il sème la panique dans le village

Un homme de 48 ans a été pris, samedi en toute fin de matinée d'une singulière crise de démence dans le village de Cenne-Monestiés (Aude). Armé d'une matraque, d'une planche de bois et d'un fer à repasser, ce quadragénaire a déambulé durant près d'une heure et demie dans le centre du village, avant finalement d'être maîtrisé par les gendarmes.
Le périple de cet habitant débute vers 11 h 30. Là, sans raison apparente, l'homme va renverser des jardinières puis au gré de sa volonté entrer dans près d'une dizaine de jardins. «Mon mari l'a surpris chez nous, témoigne cette adjointe au maire. Il était avec une planche muni d'un clou à son extrémité. Puis il est reparti aussitôt sans rien dire».

«Il avait les yeux perdus, le regard étrange»

Ailleurs, il va s'acharner sur du mobilier de jardin, renversant ici et là tables et chaises. Passant du centre de Cenne-Monestiés à des pavillons d'un lotissement situé en contrebas du village situé entre les plaines du Lauragais et les contreforts de la Montagne Noire, l'homme va ensuite se diriger vers l'église. Là, il va renverser deux statues, en brisant une, lorsque celle-ci touche le sol. Ici, il va s'employer à arracher plusieurs planches de bois fixées à proximité du confessionnal.
«Peu avant midi, témoigne l'élue, je l'ai croisé dans le centre du village, j'étais au volant de ma voiture, il m'a dit bonjour». Et de préciser : «Il avait les yeux perdus, un regard étrange, mais il n'avait pas l'air agressif».
Prévenu par des habitants de cette singulière épopée, le maire du village alerte les services de gendarmerie. «Le maire l'a retrouvé dans une rue et a essayé de le calmer», rajoute son collègue du conseil municipal. En vain. L'homme est ailleurs.
A l'arrivée de la première patrouille de gendarmerie, il demeure inflexible aux demandes des militaires de se laisser approcher. Les gendarmes préfèrent alors laisser filer le quadragénaire en attendant la venue de nouveaux renforts. Après avoir poursuivi des vaches, il va se diriger en contrebas du village où coule une petite rivière, Le Lampy. C'est là que les gendarmes vont finalement réussir à maîtriser le «forcené». Non sans mal d'ailleurs. Dans la pagaille générale, l'homme va même jusqu'à mordre un gendarme.

Hospitalisé en psychiatrie à Béziers

Enfin maîtrisé, le quadragénaire a ensuite été remis à une équipe du Samu puis aux pompiers qui l'ont conduit au centre hospitalier de Carcassonne où il a passé la nuit de samedi à dimanche. Hier, il a été admis dans une unité de soins psychiatriques du centre hospitalier de Béziers.
Il y a un an et demi, cet habitant avait déjà mis Cenne-Monestiés en ébullition. Victime encore d'une crise démence, il s'était enfermé dans une chapelle, nécessitant l'intervention des forces de l'ordre.
Sorti il y a quelques semaines d'un hôpital spécialisé dans les soins psychiatriques, l'homme avait rejoint son village. Reste que la grande bouffée délirante dont il a été victime samedi, n'a pas été une grande surprise pour certains habitants du village.
Vendredi soir, l'homme s'était déjà fait remarquer dans la rue principale en renversant des jardinières.
 

dimanche 12 juillet 2015

Incendie criminel dans une discothèque

Des tuiles gisent à même le sol. L'entrée est toute noire. Un incendie criminel a eu lieu, hier matin, vers 6 heures, au RG Room, la boîte de nuit située au 62 rue Saint-Jean, à Tarbes. Fort heureusement, l'établissement avait déjà fermé et était vide quand le sinistre a eu lieu. Le porche et les portes d'entrée de la boîte ont été endommagés. L'intérieur de l'établissement n'a pas subi de dégâts. «J'ai été alerté par un voisin. J'ai retrouvé un chiffon avec de l'essence», confie Dominique Pelay, patron de l'établissement, confirmant la thèse de l'incendie criminel

Des pneus ont alimenté le sinistre

Des pneus ont servi de combustible pour alimenter le feu d'où l'important dégagement de fumée qui a noirci l'entrée et les portes de la boîte de nuit. S'agit-il d'une vengeance, d'un règlement de comptes, d'un avertissement, d'un acte de vandalisme ou autres ? Selon Dominique Pelay, il n'y a pas eu d'altercation, aucun problème au cours de la soirée et de la nuit justifiant d'éventuelles représailles d'un ou plusieurs clients mécontents et qui auraient souhaité nuire à l'établissement. Le dirigeant a porté plainte auprès du commissariat de Tarbes qui a ouvert une enquête pour découvrir le ou les auteurs de cet incendie volontaire. Les policiers vont notamment tenter d'exploiter les images de la vidéosurveillance.L'établissement est fermé jusqu'à nouvel ordre. «Je pense que nous en avons pour 2 mois de fermeture», estime Dominique Pelay. Le RG Room devait fermer pour 1 mois le 18 juillet à l'issue de la soirée de clôture. L'annulation forcée de cette dernière et la prolongation de la période de fermeture vont générer une perte d'exploitation.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/12/2142578-incendie-criminel-au-rg-room.html

samedi 11 juillet 2015

Gironde : violent incendie de forêt à Saint-Jean-d'Illac

 En début de soirée vendredi, trente hectares de jeunes pins étaient détruits. Deux canadairs et une centaine de sapeurs-pompiers sont sur les lieux
Vous avez été nombreux à nous alerter au moyen de photos sur un incendie qui sévissait aux alentours de Saint-Jean-d'Illac. Le feu a en effet pris à 17 heures vendredi au lieu-dit chemin de L'Ombrière.
Très vite, les flammes attisées par un fort vent se sont propagées à la forêt composée de jeunes pins de 8 à 10 ans. Deux occupants d'une maison ont été évacués par précaution. Les conditions sont particulièrement défavorables selon les pompiers qui luttent sur le terrain pour contenir l'incendie.
La journée a été particulièrement chaude en Gironde et la canicule des jours précédents a rendu les sous-bois particulièrement secs. Un avion gros porteur basé dans le Sud-Est et larguant un produit retardant doit arriver sur les lieux. Un renfort utile pour la vingtaine d'unités de soldats du feu qui s'apprêtent à passer une soirée difficile pour ce qui est le premier gros incendie de l'été en Gironde.
Voir les photos sur ce lien ... http://www.sudouest.fr/2015/07/10/gironde-violent-incendie-de-foret-a-saint-jean-d-illac-2013344-2780.php

Il voyageait avec 52 kg de clopes

C'était une «première», pas sûr qu'il y en ait une seconde. Ce vendredi midi, Abdelmalek a été condamné à huit mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Foix. La présidente de la juridiction, Isabelle de Combettes de Caumont, et ses assesseurs ont manifestement tenu compte de la virginité du casier judiciaire de ce jeune homme fraîchement installé à Toulouse.
 
Car pour un premier passage dans le box des prévenus, Abdelmalek a fait «fort». Il a été interpellé, jeudi, vers 2 heures, par les policiers de Pamiers après une course-poursuite, entre Tarascon-sur-Ariège et Saint-Jean-de-Verges, par les agents de la brigade de sûreté intérieure (BSI) d'Ax-les-Thermes. Les douaniers s'étaient lancés à sa poursuite après qu'il a refusé de s'arrêter à un contrôle en cours dans le secteur de Tarascon. C'est la première infraction.
«Ce sont les gens qui étaient avec moi dans la voiture qui m'ont dit de foncer», explique le prévenu à la barre du tribunal. Alors, il a «enquillé» à 160 km/h sur la RN 20 en 2x2 voies. «Vous avez mis en danger votre vie et des autres personnes, et en plus avec une “poubelle”», le tance la présidente du tribunal en précisant que la Renault Scenic affiche un respectable 280 000 km au compteur. Deuxième infraction.

52,3 kg de cigarettes, soit 260 cartouches

Mais Abdelmalek ne s'est pas arrêté là. Lorsqu'il s'est retrouvé coincé par le véhicule des douaniers, et que celui des policiers appaméens est venu stationner un mètre derrière son Scenic, Abdelmalek a tenté de s'échapper en enclenchant la marche arrière. La police de police en a fait les frais (pare-chocs avant à terre) et deux fonctionnaires ont été blessés lors de la collision, dont l'un avec deux jours d'ITT. Troisième et quatrième infractions.
Mais surtout, dans le coffre la Renault conduite par Abdelmalek, les douaniers ont mis la main sur 30 kg de cigarettes. Une prise qui s'ajoute aux nombreuses cartouches que, pendant la poursuite, les passagers du prévenu — ils ont réussi à prendre la fuite — ont jetées par les fenêtres de la voiture. Au total, celle-ci transportait 52,3 kg de tabac, soit 260 cartouches achetées en contrebande au Pas-de-la-Case… C'est la cinquième et dernière infraction.
À la barre, Abdelmalek reconnaît les faits, tout en précisant qu'il a participé à ce trafic pour la première fois. «C'était pour l'argent», ajoute-t-il en expliquant qu'il devait se payer avec la revente de quinze cartouches, moins le prix d'achat à verser au commanditaire. «Cela devait faire 130 €», lâche ce futur étudiant en informatique.
«Étudiant le jour, contrebandier la nuit», rétorque le représentant des douanes qui, tout en réclamant un total de 5 500 € d'amende pour les premier et cinquième délits, estime que la rémunération à laquelle pouvait prétendre le prévenu peut être doublée…
Nonobstant le casier vierge du prévenu, «seul élément positif de ce dossier», le vice-procureur de la République, François Hébert souhaite une «sanction sévère» : six mois de prison, dont trois avec sursis, avec mandat de dépôt à l'audience.
«Ce n'est qu'un petit exécutant dans ce trafic qui, comme les autres, continuera. Car les autorités ne font que semblant de lutter», lance Me Casellas qui estime qu'Abdelmalek mérite une chance : «Il a pris beaucoup de risques, il a commis des choses graves mais cela reste une incartade», plaide-t-il.
Entendu, donc, par le tribunal qui, aux huit mois avec sursis, prononce également les 5 500 € d'amendes douanières, et la confiscation du Scenic, qui appartient à quelqu'un déjà impliqué dans un trafic de cigarettes, et les cartouches saisies.
 
 

vendredi 10 juillet 2015

Contréglise : un jeune de 19 ans gravement blessé

Les faits se sont déroulés peu avant 2 heures du matin à la sortie de la commune de Contréglise.
Un jeune homme d'une localité voisine a perdu le contrôle de sa voiture. Son véhicule a percuté la pile d'un pont, s'est retrouvé en contrebas, 3 mètres plus bas, dans un ruisseau asséché.
Compte tenu de la gravité de son état, le pronostic vital est engagé, il a été transporté à l'hôpital de Besançon.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/haute-saone/contreglise-un-jeune-de-19-ans-gravement-blesse-767851.html

Propos de Serge Lazarevic: L’Etat français abandonne-t-il ses otages à leur retour?

« Depuis que je suis arrivé, je n’ai aucune aide de personne. J’ai été abandonné, je suis un SDF de la République française. » Interrogé par France Info mercredi, huit mois après la fin d’un calvaire qui aura duré plus de trois ans, l’ex-otage au Mali Serge Lazarevic n’a pas mâché ses mots au moment d’évoquer son retour à la vie normale. En proie à des problèmes physiques et psychiques, isolé, dépourvu de ressources et incapable de reprendre le travail, l’ancien contremaître explique qu’il a la sensation de vivre comme un reclus. La faute de l’Etat ? La situation est un peu plus complexe.
Pour Jean-Louis Normandin, président de l’association Otages du monde, « on ne peut pas dire que l’Etat ne fait rien pour les ex-otages ». Comme les autres victimes, Serge Lazarevic a été pris en charge dès « les premières heures » sur le plan médical et psychologique, explique le Quai d’Orsay. Puis cet accompagnement s’est logiquement allégé, même si le ministère des Affaires étrangères assure que l’ex-otage a été suivi ces derniers mois au sein des hôpitaux militaires de Percy et Bégin. « En général, au début, le dispositif prévu est efficace, mais qu’en est-il six mois après, deux ans après ? interroge pourtant Stéphane Lacombe, responsable projet-communication pour l’Association française des victimes du terrorisme (AFVT). Le problème, c’est que le système est conçu pour résoudre des crises, pas pour du long terme. »

Le rôle de l’entourage

« Après le retour, il n’y a aucune règle, tout est à la carte, résume un ex-otage en Syrie, contacté par 20 Minutes. Si quelqu’un a besoin d’une aide, quelle qu’elle soit, le Centre de crise est disponible, mais il ne fera pas le premier pas. » Dans le cas de Serge Lazarevic, le Quai d’Orsay indique avoir reçu l’ex-otage à trois reprises, l’avoir mis en relation avec les services hospitaliers et administratifs et être intervenu auprès du Centre d’action sociale de sa ville pour rouvrir ses droits d’assuré social. « Une prise en charge par l’Office national des Anciens Combattants lui a aussi été proposée, mais il l’a refusée », ajoute le porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
Selon nos informations, l’Etat s’est également résolu à détacher récemment auprès de lui un colonel de la DGSE, chargé de l’aider dans ses démarches administratives. Une première, selon Jean-Louis Normandin. « Il est de toute façon difficile de prendre des adultes par la main… » souffle celui qui a lui-même été otage au Liban, dans les années 80.
En fait, « on considère que c’est à la société civile de prendre le relais », explique Stéphane Lacombe. Notamment à la famille et aux proches. Or tous les otages n’ont pas la chance de pouvoir s’appuyer sur leur entourage. Serge Lazarevic, qui a fait le choix de prendre ses distances avec les membres de sa famille, en particulier avec sa fille Diane, pour les préserver psychologiquement, est dans ce cas-là. Il s’en remet donc aux médecins et aux quelques amis restés près de lui.

Un Fonds de garantie critiqué

En s’effaçant, l’Etat plonge malheureusement certains ex-otages dans un désarroi lié à leur nouveau statut. « Je ne me considère pas comme un héros mais je ne comprends pas ce qu’on fait avec moi depuis que je suis rentré. Ce que l’on veut faire avec moi. Et j’ai l’impression d’être invisible depuis que je suis arrivé », dit ainsi Serge Lazarevic. Un sentiment douloureux lié en partie au silence de l’Etat sur le pourquoi et le comment de la captivité et de la libération, selon Jean-Louis Normandin.

« Notre utopie, ce serait de traîner les responsables de prises d’otage en justice, pour désigner des coupables, avance-t-il. Il faudrait également que l’Etat donne aux ex-otages les clés géopolitiques des situations dans lesquelles ils se sont trouvés, pour les aider à comprendre la mécanique sinistre qui les a emportés. » Secrets d’Etat obligent, il se montre actuellement peu bavard.

Difficile de trouver un logement

Sur le plan financier, l’Etat essuie également quelques critiques. Certes, le statut d’ex-otage donne droit à une indemnisation via le Fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme. Mais la procédure n’est pas un long fleuve tranquille. « Il faut prouver qu’on a été victime et se soumettre à des examens médicaux, ce qui est assez avilissant », précise Jean-Louis Normandin. Sans compter que la démarche est longue et qu’elle ne débouche pas toujours sur une indemnisation à la hauteur des attentes des victimes. « Le Fonds a des oursins dans les poches », résume le président d’Otages du monde, qui se bat pour qu’il adopte une attitude plus compassionnelle. Lui aussi en colère contre l’organisme, l’ex-otage au Niger Marc Féret a choisi d’attaquer : fin juin, il a assigné le Fonds en référé.
Outre ces soucis financiers, les ex-otages rencontrent parfois des blocages dans la vie de tous les jours. « Si je veux louer une maison, on me demande des déclarations d’impôts, si je vais dans une agence immobilière on me demande des fiches de paie et mes revenus. Ce sont des absurdités car il y a toute une procédure que je ne peux pas respecter car je n’ai rien », raconte Serge Lazarevic, qui vit depuis huit mois dans un huit mètres carrés. Le Quai d’Orsay lui a bien donné des papiers précisant qu’il a été otage, dit-il, mais la spécificité de sa situation échappe à ses interlocuteurs. Une version que n’infirme pas le ministère, mais qu’il tient à compléter. « Un logement lui a été proposé à Montreuil, mais il a souhaité rester dans son studio », confie ainsi son porte-parole. Quant à sa fille, selon nos informations, elle aurait emménagé dans un appartement de la Ville de Paris, là aussi après intervention de l’autorité publique.
Une politique au cas par cas qui frustre les responsables associatifs. « Il faudrait que les ministres se réunissent pour trouver un cadre et améliorer la réinsertion sociale des ex-otages, en leur donnant un accès facilité aux impôts et aux diverses administrations, en leur proposant un vrai logement si besoin, pour qu’ils redémarrent du bon pied », avance Jean-Louis Normandin. Avec un objectif clair : redonner de la visibilité à ceux qui se sentent « invisibles ».

http://www.20minutes.fr/monde/1648651-20150709-propos-serge-lazarevic-etat-francais-abandonne-otages-retour

jeudi 9 juillet 2015

Vol d'explosifs dans les Bouches-du-Rhône : la défaillance du plan "cuirasse"

Après le vol de 176 explosifs sur le site militaire de Miramas (Bouches-du-Rhône), la question de la sécurité et de la surveillance du site est au centre des interrogations. Les criminels ont découpé deux grillages aux abords du site alors que le système de protection "cuirasse" était activé. 

D'après RTL.fr, plusieurs sites militaires, dont celui de Miramas, bénéficient depuis quelques mois du plan de protection "cuirasse" en raison du climat tendu dans le pays. Ce plan implique la présence de maîtres-chiens, patrouilles doublées et d'un renforcement de la vidéosurveillance. Le plan "cuirasse" aurait dû rendre l'accès au site impossible. 
Une possible complicité interne
L'enquête, classée secret défense, n'exclut pas des complicités au sein des 200 civils et militaires présents sur le site. Les listings des personnels de ces trois dernières années vont être examinés, croit savoir RTL.fr
Le ministère de la Défense a demandé mardi une évaluation de la "protection de l'ensemble des sites militaires de stockage de munitions". L'évaluation devrait être menée par la Direction de la protection des installations, moyens et activités de la Défense (DIPD). 
Le Premier ministre, Manuel Valls, a déclaré n'avoir "aucune information sur ce sujet et sur les causes mêmes de ce vol". 

Une base militaire utilisée pour le Mali

D'après le maire de la ville, Frédéric Vigouroux, la base avait servi lors de l'intervention de la France au Mali, tout en précisant qu'un "changement de commandement" de cette base "où beaucoup d'habitants de Miramas ont travaillé" avait eu lieu "il y a une dizaine de jours". 
Au total, ce sont 176 détonateurs, dix pains de plastic de 250 grammes chacun, 66 bouchons-allumeurs de grenades et 40 corps de grenades qui ont été dérobés. Le parquet de Marseille a annoncé l'ouverture d'une enquête pour "vol avec effraction commis en bande organisée et introduction frauduleuse dans une enceinte militaire". 
http://www.sudouest.fr/2015/07/08/vol-d-explosifs-dans-les-bouches-du-rhone-la-defaillance-du-plan-cuirasse-2003112-7.php

Un an après, le drame d'Ascou n'a toujours pas livré son secret

Le 9 juillet 2014, un enfant de 7 ans décède lors de son séjour en colonie de vacances au chalet Saint-Bernard, à Ascou-Pailhères. Un an après, les causes de la mort du jeune Abderrazak restent inconnues.
Ce devait être des vacances de rêve pour une quarantaine d'enfants natifs de Villeneuve-le-Roy, en région parisienne. Ce groupe devait séjourner quinze jours au chalet Saint-Bernard, géré par l'association Marc & Montmija, sur le site de la station de ski d'Ascou-Pailhères. Mais le 9 juillet 2014, voilà tout juste un an, la «colo» vire au drame.
En fin de matinée, alors qu'il a été transporté au centre hospitalier du Val d'Ariège (Chiva) quelques heures plus tôt, un enfant de 7 ans décède. Le garçon était malade depuis la veille : il enchaînait les diarrhées et les crises de vomissements. Toute la nuit, le personnel du centre de vacances a tenté de lui prodiguer des soins mais l'état du petit Abderrazak ne s'est pas amélioré. Alors, en ce mercredi matin, la direction du Saint-Bernard décide d'alerter les secours qui organisent le transport du jeune malade dans un véhicule des sapeurs-pompiers vers le Chiva, à Saint-Jean-de-Verges.
En dépit des soins apportés par le personnel médical, Abderrazak ne survivra pas.
Une intoxication alimentaire foudroyante est mise en avant pour expliquer le décès. Le ministère de la Jeunesse et des Sports parle même d'une possible «ingestion d'une eau non potable». Car le 1er juillet, donc avant le début de la colonie, l'agence régionale de santé (ARS), comme elle le fait régulièrement, avait analysé l'eau desservant les robinets du Saint-Bernard. Deux jours plus tard, les résultats étant non conformes aux normes en vigueur, elle avait ordonné une restriction de consommation pour les «personnes fragiles». A savoir les bébés, les femmes enceintes, les personnes âgées et les personnes malades.
Le SMDEA avait alors organisé, dès le 4 juillet, une distribution massive de bouteilles d'eau minérale au centre de vacances tout en traitant l'eau de la source. «Nous avons fait comme si l'eau était interdite à la consommation», avait, à l'époque, assuré Augustin Bonrepaux, le président du syndicat mixte départemental de l'eau et de l'assainissement de l'Ariège.

L'enfant est décédé d'une «infection digestive aiguë»

Pendant ce temps, l'autopsie ordonnée par le procureur de la République de Foix, Olivier Caracotch, et pratiquée à l'institut médico-légal de Toulouse dans le cadre d'une enquête «en recherche des causes de la mort», révèle que l'enfant natif du Val-de-Marne est décédé des suites d'une «infection digestive aiguë». Mais cet examen ne parvient pas à déterminer les causes de cette infection.
Seule certitude : ni l'eau, ni la nourriture servies à Ascou ne sont à l'origine de l'infection digestive, ainsi que le démontrent des analyses effectuées par deux laboratoires, l'un à Nancy, le second à Lyon. Un verdict qui sera confirmé début août par les contre-analyses.

Les origines de l'infection restent encore inconnues

Les causes du décès d'Abderrazak demeurent donc inconnues. Et vont le rester. Le 18 août 2014, Olivier Caracotch est obligé de demander une nouvelle expertise à l'institut médico-légal de Toulouse. Les premiers examens toxicologiques et anatomopathologiques n'ont, en effet, rien révélé. «L'expertise anatomopathologique confirme les résultats de l'autopsie, à savoir que l'enfant est probablement décédé d'une infection massive. Néanmoins, l'expertise n'a pas pu déterminer les origines de cette infection», avait, à l'époque, indiqué le procureur de la République.
Depuis, le dossier a été transmis à la juge d'instruction de Foix, Bénédicte Gilbert. Et si les analyses ont été effectuées, les résultats ne sont pas encore connus. Du coup, un an après, les parents d'Abderrazak ne savent toujours pas de quoi leur fils est décédé. «Ils sont effarés de voir qu'en 2015, il faut si longtemps pour connaître les causes de la mort de leur fils», note leur avocat, Me Guillaume Bardon. Lequel se dit «un peu agacé» par le fait qu'«on ne se focalise que sur les causes du décès. Ce que je veux surtout, c'est que soient analysées les réactions de chacun parce que les premiers symptômes dont a souffert l'enfant sont apparus dès le lundi soir. Et on a su après qu'il y avait déjà eu des problèmes dans cet établissement, lors des vacances de Pâques notamment», rappelle l'avocat.

Une demi-douzaine de plaintes ont été déposées

Outre ces nouvelles analyses, Me Bardon attend donc le résultat de la plainte déposée par les parents d'Abderrazak pour «homicide involontaire» et «non assistance à personne en danger». La juge d'instruction est également chargée des plaintes pour «blessures involontaires», «mise en danger de la vie d'autrui», «maltraitance» et «violation manifestement délibérée d'une obligation de sécurité», déposée par une demi-douzaine de parents dont les enfants, séjournant à Ascou en même temps qu'Abderrazak, ont été malades dans les heures et les jours qui ont suivi le drame.
Contactée, l'association Marc & Montmija n'a pas souhaité s'exprimer : «L'instruction est toujours en cours. Nous attendons donc les résultats», a indiqué cette semaine le directeur général de la structure, Didier Ballot.

En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/09/2140956-an-apres-drame-ascou-toujours-livre-secret.html#wydwK6eL9xC7lhRV.99

 
 

mardi 7 juillet 2015

Un homme retrouvé mort à Nîmes

Le corps d'un homme d'une vingtaine d'années a été découvert, lundi soir, à Nîmes, en bordure du Chemin du mas de Vignolles, non loin de l'Hôtel de police. Le cadavre portait au moins un trace de blessure faite par arme blanche, au thorax, probablement un couteau
Les pompiers alertés autour de 22 heures se sont rendus sur place mais ils n'ont pu que constater le décès.

Une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances du drame qui semble toutefois être un homicide. Un différend amoureux pourrait être à l'origine d'une dispute entre la victime et un autre jeune homme âgé également de 20 à 25 ans.

Selon nos
confrères de midilibre.fr, un homme âgé d'une vingtaine d'années a été interpellé suite à la diffusion de son signalement et était entendu ce mardi par les policiers de la Sûreté départementale du Gard chargés de l'enquête.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/gard/nimes/un-homme-retrouve-mort-nimes-765204.html

LYON. ll percute une femme avec sa voiture et lui roule dessus à la suite d’une bagarre

Une querelle entre noctambule a dégénéré, dimanche matin vers 9 heures, à la sortie d’une discothèque du quai Saint-Vincent à Lyon (1er), où les protagonistes de l’affaire faisaient un « after ». Sous un prétexte futile, le ton est monté entre deux petits groupes. Un homme a percuté volontairement l’une des jeunes femmes.

Déséquilibrée par le choc, elle est tombée et il a lui a alors roulé délibérément dessus, puis a fait une marche arrière pour lui écraser une deuxième fois les jambes.

Transportée dans un état grave à l’hôpital Édouard Herriot, la victime âgée de 25 ans et originaire de Tassin a été opérée

http://www.leprogres.fr/lyon/2015/07/06/ll-percute-une-femme-avec-sa-voiture-et-roule-sur-elle-a-la-suite-d-une-bagarre

lundi 6 juillet 2015

Un père, son fils et sa fille placés en garde à vue à Limoges

2 patrouilles de police sont intervenues hier soir à 21H50 au Palais-sur-Vienne suite à une altercation entre un homme et sa femme. Les enfants se sont interposés. Un policier a été légèrement blessé au genou.
L'homme, âgé de 44 ans avait eu un différent avec sa femme. Il a été interpellé, suite à une opération Police secours par 8 policiers. C'est alors que le fils de 20 ans et la fille de 15 ans se sont interposés.

Ils ont tous les 3 été placés en garde à vue et sont auditionnés ce matin. Un policier a été légèrement blessé, 6 fonctionnaires présents lors de l'interpellation ont déposé plainte

http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/haute-vienne/limoges/un-pere-son-fils-et-sa-fille-places-en-garde-vue-limoges-764350.html

Charente-Maritime: fauchés par une voiture

Un piéton a été tué hier soir à Jonzac (Charente-Maritime) et quatre autres blessés après avoir été percutés par un automobiliste qui conduisait sous l'emprise de l'alcool et vraisemblablement en excès de vitesse, a-t-on appris ce matin auprès de la gendarmerie de la ville.

Le conducteur, né en 1978 et originaire de la région bordelaise, a perdu le contrôle de son véhicule, pour une raison qui reste à déterminer avec précision, et a fauché un groupe de cinq piétons dans le centre de Jonzac, à proximité de la gendarmerie.
Un septuagénaire a été tué et un autre homme grièvement blessé. Les trois autres piétons ont été plus légèrement touchés, ont indiqué les gendarmes, confirmant une information de Sud Ouest.

Le chauffard était sous l'emprise de l'alcool au moment de l'accident et d'autres analyses sont en cours pour déterminer s'il avait également consommé des stupéfiants. Il devrait être poursuivi pour homicide involontaire, blessures, excès de vitesse et défaut de maîtrise de son véhicule, a-t-on précisé de même source.

Le conducteur était resté sur place jusqu'à l'arrivée des pompiers puis avait quitté les lieux, laissant toutefois derrière lui son véhicule et ses papiers, ce qui lui évite d'être également poursuivi pour délit de fuite.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/07/06/97001-20150706FILWWW00094-charente-maritime-fauches-par-une-voiture.php

dimanche 5 juillet 2015

Yffiniac: un piéton décède percuté sur la RN12.

Un homme de de 28 ans a voulu traverser à pied la 2x2 voies à hauteur d'Yffiniac. Il a été percuté par un véhicule.
La voiture circulait dans le sens Rennes-Brest lorsqu'elle n'a pas pu éviter un piéton qui traversait, vers 2 heures du matin, la RN12 à pied. L'homme de 28 ans est décédé sous le choc. Le conducteur, choqué, a été conduit à l'hôpital de Saint-Brieuc.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/cotes-d-armor/yffiniac-un-pieton-decede-percute-sur-la-rn12-763980.html

Eurockéennes : un homme de 42 ans décède, une autopsie ordonnée

Ce que l’on pouvait redouter, avec la canicule, est malheureusement arrivé : un festivalier est décédé dans la nuit de vendredi à samedi, à quelques centaines de mètres de l’entrée du site des Eurockéennes, sur la presqu’île de Malsaucy, dans le Territoire de Belfort.
Un homme de 42 ans qui, selon les premiers éléments communiqués par la préfecture, s’apprêtait à rejoindre le site, a succombé à un arrêt cardiaque, vendredi à 22 h 45, juste devant le point d’arrêt de la navette. Les personnes qui l’accompagnaient ont aussitôt donné l’alerte. Un agent de sécurité, puis les gendarmes présents aux abords pour assurer le service d’ordre, ont tenté, dans un premier temps, de le ramener à la vie en pratiquant un massage cardiaque. Le SAMU, très rapidement sur place, rejoint bientôt par les secouristes de la Croix-Rouge et les pompiers, également présents sur le site, ont pris le relais. En vain : cinquante minutes après le début des massages, l’homme n’avait toujours pas pu être ranimé. Il était environ 23 h lorsque le médecin a confirmé son décès.
Les proches de la victime, très choqués, ont été pris en charge tandis que les forces de l’ordre ont mis en place un cordon de sécurité autour des secours. L’accident a provoqué en effet un gros attroupement, alors qu’un tweet annonçait le drame en plein concerts.
Enquête ouverte
Hier samedi, le parquet de Belfort a ouvert une enquête en recherche des causes de la mort, a encore précisé le cabinet du préfet du Territoire de Belfort. Dans le cadre de cette enquête, le procureur de la République a ordonné qu’une autopsie soit pratiquée. Une équipe de l’Identification criminelle de la gendarmerie se trouvait sur place, ses investigations permettront sans doute d’éclairer l’enquête.
Ni l’identité de la victime, ni les causes médico-légales de ce malaise fatal n’étaient connues, hier. La direction du festival, qui a multiplié samedi les réunions avec les services de secours, est restée très discrète sur les circonstances du drame, de même que les autorités. Certaines sources ont évoqué un temps un père de famille venu rechercher sa fille. D’autres, plus crédibles, ont confié que l’entourage de la victime avait indiqué à l’arrivée des secours que celle-ci avait consommé de l’alcool et du cannabis. Elle souffrait, en outre, d’antécédents cardiaques.
Les condoléances du préfet
Dans un communiqué diffusé samedi, Pascal Joly, le préfet du Territoire de Belfort, a adressé « toute sa compassion » à la famille du défunt et à ses proches. Même démarche de Marie-Guite Dufay, présidente du conseil régional de Franche-Comté. Tous deux rappellent qu’en raison des fortes chaleurs, « chacun doit adapter son comportement pour éviter que la fête ne soit gâchée ». « Ce qui implique de se protéger du soleil, de s’hydrater et de s’alimenter régulièrement et d’éviter de consommer de l’alcool. »
Coordination
Samedi matin, les pompiers du Territoire de Belfort ont multiplié les interventions au camping attenant au site du festival pour prendre en charge les personnes victimes de malaises, en état d’ébriété ou blessées suite à des altercations. La Croix-Rouge est également installée au camping où vivent, durant trois jours, 18.000 festivaliers. Lorsque les secours nécessitent un transport à l’hôpital, les sapeurs-pompiers prennent alors le relais.

http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/07/04/eurockeennes-de-belfort-le-parquet-ordonne-une-autopsie-apres-le-deces-d-un-festivalier-victime-d-un-arret-cardiaque

samedi 4 juillet 2015

Accident mortel à Angoulême : des traces de stupéfiants chez le conducteur

Le drame s'est déroulé mercredi soir vers 20 heures dans le quartier de la Grande-Garenne. Un enfant de 3 ans a été mortellement blessé après avoir été percuté par une voiture.
Selon nos confrères de la Charente Libre : "Il y avait bien des traces de consommation de stupéfiants dans les prélévements" du conducteur impliqué. Il est donc retourné en prison ce vendredi soir.

Toujours selon ce journal, "les traces de stupéfiants détectées au dessous du seuil de tolérance ont suffi au parquet pour demander le placement en détention du conducteur, au terme de 48h de garde à vue. Il avait déjà été condamné aussi pour des délits routiers et avait écopé d'une lourde condamnation en mai 2014 pour trafic d’héroïne." 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/accident-mortel-angouleme-des-traces-de-stupefiants-chez-le-conducteur-763568.html

Une fillette chute du 1er étage à Nice, sa mère en garde à vue

Une fillette de 3 ans a chuté du 1er étage vendredi soir avenue de l'Arbre inférieur, dans le quartier Pasteur à Nice.
Le pronostic vital de la petite victime n'était pas engagé lorsqu'elle a été transportée à Lenval.
Sa mère, âgée de 32 ans, a été placée en garde à vue dans les locaux de la Sûreté départementale pour délaissement de mineurs.
http://www.nicematin.com/nice/une-fillette-chute-du-1er-etage-a-nice-sa-mere-en-garde-a-vue.2274711.html

jeudi 2 juillet 2015

Rouen : l’homme qui s’était interposé lors d’une dispute est décédé

Un homme s’était porté au secours d’une femme agressée, mercredi 24 juin. Victime d'un coup violent à la tête, il avait été transporté au CHU de Rouen dans un état grave. Il est décédé. 

Rappel des faits​

Mercredi 24 juin vers 17h, Boulevard des Belges à Rouen, un homme d’une cinquantaine d’années vient au secours d’une femme agressée verbalement par un homme. Il reçoit un violent coup à la tempe et se réfugie alors dans un café proche, avant de s’effondrer.
Le patron du bar "le Bénélux" prévient les pompiers qui le transportent directement au CHU Charles Nicolle de Rouen. A l'arrivée des secours, l'homme est en arrêt cardiaque. Au moment de son admission, son pronostic vital était engagé.

Appel à témoins maintenu

De source judiciaire on apprend aujourd’hui que la victime est décédée. Une autopsie sera pratiquée de façon à déterminer les raisons exactes de son décès.
L’appel à témoins est maintenu pour tenter de retrouver l’agresseur.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/rouen/rouen-l-homme-qui-s-etait-interpose-lors-d-une-dispute-est-decede-761816.html

Des enfants fiévreux et un cas de méningite à l'école

Un cas de méningite virale a été signalé ce mercredi par une mère d'élève aux écoles primaire et maternelle de Bonnefoy où sont scolarisés ses enfants.
Elle a indiqué aux établissements scolaires que sa fille, élève en primaire, était atteinte d'une méningite virale, et que son fils, élève de maternelle, resterait également sous surveillance à son domicile. À la différence de la méningite à méningocoque, la méningite virale n'est en principe pas contagieuse. Toutefois, de la fièvre a été observée chez deux autres enfants de l'école maternelle qui ont été récupérés par leurs parents. Selon nos informations, le risque de méningite a été écarté dans leur cas. Ce type de méningite ne justifie de dispositif de quarantaine. Une information a cependant été diffusée auprès des parents.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/02/2136696-enfants-fievreux-cas-meningite-ecole.html

mercredi 1 juillet 2015

Accident de la route : un conducteur de poids lourd tué dans une collision

L'accident qui s'est produit hier soir, mardi 30 juin 2015, vers 20 heures à Mézières-sur-Issoire en Haute-Vienne a fait un mort. Il s'agit un chauffeur routier âgé de 52 ans de nationalité espagnole.

Alors qu'une file de véhicules était à l'arrêt au niveau d'un feu de chantier sur la route départementale 951, sur la commune de Mézières-sur-Issoire, un poids lourd a percuté, dans un premier temps, une voiture. Cette dernière a été éjectée de la chaussée par la violence du choc. Par chance, le conducteur de cette dernière n'a pas été blessé. Le poids lourd a ensuite percuté un second camion.

Vitesse excessive ou inattention ? Aucune hypothèse n'est pour l'heure privilégiée. Une enquête pour déterminer les circonstances de ce tragique accident a été confiée à la brigade de gendarmerie de Mézières-sur-Issoire.

La D951 a été coupée pendant plusieurs heures entre Bellac et Confolens. Elle a été rouverte à la circulation vers 3h30 ce matin.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/haute-vienne/accident-de-la-route-un-conducteur-de-poids-lourd-tue-dans-une-collision-761264.html

Faux accident sur l'autoroute, vrai vol

Un gérant de PMU a été agressé et dévalisé hier sur une autoroute de la région parisienne par deux hommes qui avaient simulé un accident de moto, a-t-on appris aujourd'hui de source policière.

Peu avant midi, sur une bretelle d'accès à l'autoroute A86 à hauteur de Versailles (Yvelines), le gérant - qui était en voiture - a aperçu une moto accidentée et deux hommes allongés à côté. Descendant de sa voiture pour leur porter assistance, les deux hommes se sont miraculeusement relevés. L'un a menacé le gérant avec une arme tandis que le second s'est emparé d'une sacoche contenant la recette du jour du PMU, quelque 11.000 euros en espèces.

Les deux "accidentés" ont pris la poudre d'escampette et une enquête a été ouverte, a dit la source en incitant les automobilistes "à la prudence" sur ce genre d'incident parfois fréquent sur les routes.

Selon les premiers éléments de l'enquête, les agresseurs présumés du gérant l'ont suivi et lui ont ensuite tendu un piège.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/07/01/97001-20150701FILWWW00111-faux-accident-sur-l-autoroute-vrai-vol.php