dimanche 31 mai 2015

Un accident d'avion à l'aérodrome du Breuil fait un mort

L'accident est survenu à l'aérodrome du Breuil (Loir-et-Cher) samedi après-midi lors d'un vol d'entraînement à bord d'un biplan de type Stampe SV-4. Pour une raison qui reste à déterminer, l'avion s'est écrasé au sol peu après le décollage. Le pilote a succombé à ses blessures
Le pilote, Jean-Marie Bigot, était un Blésois. Il dirigeait une entreprise de charpente basée à Mer. Samedi, en début d'après midi, il s'est envolé à bord de son biplan, un Stampe SV-4, pour s'entraîner en vue du meeting aérien qui se déroule aujourd'hui sur l'aérodrome de Blois-Le Breuil, sur la commune de  Villefrancoeur, à une vingtaine de kilomètres au nord-ouest de Blois..

Quelques minutes après le décollage, pour une raison inconnue, l'avion est parti en vrille avant de terminer sa chute sur le tarmac.

Grièvement blessé, le pilote a été transporté par les pompiers à l'hôpital de Blois. Un premier diagnostic avait laissé espérer qu'il survive à ses blessures, avant que son état ne se détériore brutalement. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/centre/2015/05/31/un-accident-d-avion-l-aerodrome-du-breuil-fait-un-mort-735859.html

Paris : un appartement prend feu rue de la Roquette

Un incendie s'est déclaré dimanche matin dans un appartement au premier étage d'un immeuble d'habitation de la rue de la Roquette, dans le XIe arrondissement de Paris, à proximité de la place Voltaire.

Les premiers messages de témoins faisant mention du sinistre ont été publiés sur les réseaux sociaux autour de 11 heures.

D'après les photos et vidéos postés par ces témoins, les flammes s'échappant de l'appartement étaient visibles de la rue et une importante fumée envahissait le quartier. A la mi-journée, les pompiers étaient encore à l'oeuvre.
http://www.leparisien.fr/

Repéré par la police allemande, un homme inquiétant arrêté à Toulouse

Le monde de la toile est aujourd'hui surveillé de près. Et dans cet espace sans frontière, la collaboration entre les pays fonctionne à plein. Ainsi les enquêteurs de la brigade de protection des familles de la sûreté départementale viennent d'arrêter un individu installé, à Toulouse, chez une amie.
Cet homme âgé de 23 ans, présenté hier au parquet, avait été repéré par la police allemande voilà plusieurs semaines sur un site d'échange particulièrement surveillé. Il essayait alors de télécharger des clichés pédopornographiques. Les enquêteurs d'outre-Rhin ont récupéré l'adresse IP (la carte d'identité de chaque ordinateur sur la toile) du «demandeur» et l'ont transmis à leurs homologues français. À Toulouse les policiers de la sûreté départementale n'ont pas tardé à trouver l'adresse du centre de la Ville rose où était «connecté» l'ordinateur suspect.
Les enquêteurs, saisis mi-mai, ont réalisé de nouvelles vérifications et sont allés poser des questions à une jeune femme, locataire du logement et propriétaire de l'abonnement internet. Une femme qui a été un peu inquiète de découvrir qu'elle passait des heures à chercher des clichés interdit par la loi. Cette femme a été rapidement disculpée mais les enquêteurs se sont intéressés à un jeune garçon de 23 ans, hébergé par la jeune femme et qui lui avait demandé ses mots de passe pour pouvoir surfer sur internet en son absence.

Éviter de passer à l'acte…

Arrêté jeudi soir, cet individu présente un profil jugé «inquiétant» par les policiers et le parquet. Déjà condamné pour détention de fichiers pédopornographiques, il est également connu de la justice pour son implication dans l'agression sexuelle de sa petite sœur… Il aurait lui même subi des agressions sexuelles pendant sa petite enfance et fait l'objet du suivi mis en place par la justice pour assurer le suivi des délinquants sexuels. Le non-respect de ses obligations l'avait d'ailleurs conduit devant le tribunal correctionnel en prison ces derniers mois.
Face aux policiers, lors de sa garde à vue, cet homme n'a pas nié être l'auteur des recherches repérées par la police allemande. Il aurait expliqué chercher ce type de fichier pour éviter de passer à l'acte ! Une explication qui fait froid dans le dos. Placé en détention, ce garçon sera jugé lundi devant le tribunal correctionnel dans le cadre des comparutions immédiates

http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/31/2115185-repere-police-allemande-homme-inquietant-arrete-toulouse.html

Belfort : un ancien pompier pédale jusqu’en Roumanie pour aider une fillette atteinte d’une maladie grave

Guillaume Kurtzmann, sapeur-pompier professionnel, habite Châlons-sur-Saône. Avec Bastien Jacqueson, un de ses amis, du 30 mai au 23 juin, il tente un « road trip » de 2 450 km, entre Digoin et Constanta en Roumanie, sur la Mer noire, pour venir en aide aux parents de Clara Gaffier, 7 ans, atteinte d’une maladie génétique rare. La petite ne peut pas parler couramment, se tenir seule ni assise, ni en position debout. Elle serait aussi légèrement trisomique et ferait de fréquentes crises d’épilepsie.
« Elle a besoin de beaucoup de soin, d’équipements spéciaux adaptés, précise Guillaume Kurtzmann. Et les traitements sont très onéreux, plusieurs milliers d’euros, car Clara doit se faire soigner deux fois par an en Espagne. Des séjours de quinze jours en établissement spécialisé. »
Une association a été créée, « Pour le bonheur de Clara ». La petite fille est en fait atteinte de monosomie télomérique, une délétion chromosomique. Grâce aux traitements, elle a réalisé de gros progrès. Elle commence à se tenir assise et tient debout quelques minutes en effectuant quelques pas, soutenue par un adulte.
Clara est fille de pompier. Normal donc que Guillaume Kurtzmann et deux autres de ses collègues aient été sensibilisés sur son cas. Guillaume s’est engagé dans les sapeurs-pompiers volontaires à Rougemont-le-Château où il est resté jusqu’en 2011, année où il a été affecté au centre de transmission des appels du SDIS 90. Il part ensuite à Masevaux, puis en Haute-Savoie. Après avoir obtenu en 2013 le concours de sapeur-pompier professionnel, il obtient une affectation à Digoin en Saône-et-Loire.
Guillaume Kurtzmann a déjà à son actif plusieurs défis sportifs. « Au départ, l’idée était de relier la Bourgogne à la Roumanie pour le fun, explique-t-il, mais nous avons décidé que ce défi serait pour Clara ». Il espère récolter autant d’euros que de kilomètres, ce qui permettrait l’achat d’une poussette à 3 ou 4000 €.
Le départ a eu ce samedi 30 mai. Mardi, le duo partira de Baume-les-Dames pour rejoindre Anjoutey où habite le père de Guillaume et où il devrait arriver entre 17 h et 18 h. Il doit y passer la nuit avant de poursuivre son périple. À Anjoutey, les deux sportifs espèrent qu’il y aura du monde pour les accueillir.
En savoir plus Sur Clara, www.pourlebonheurdeclara.fr
 

samedi 30 mai 2015

Une rixe entre SDF fait deux morts à Manosque

Un homme de 47 ans et une femme de 44 ans ont été tués ce vendredi après-midi dans le centre de Manosque au cours d'une rixe survenue entre des SDF. L'agresseur présumé a été interpellé.
Les secours de Manosque ont été appelés vers 16h15 ce vendredi pour une intervention sur deux blessés dans le centre-ville de Manosque, rue René Char, suite à une rixe. La bagarre, à main nue, aurait opposé des sans domicile fixe. 15 secouristes du SDIS 04 ont été dépêchés sur les lieux avec un fourgon. A leur arrivée, les pompiers ont constaté le décès d'un homme de 47 ans etd' une femme de 44 ans. Leur agresseur a été interpellé et conduit au commissariat de la ville. Une enquête a été ouverte.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/2015/05/29/une-rixe-entre-sdf-fait-deux-morts-manosque-735179.html

Gironde : il détournait l’argent des calendriers des pompiers

Le trésorier de l’amicale des sapeurs-pompiers de Targon a été condamné jeudi à huit mois de prison ferme. L’abus de confiance se monte à 30 000 euros
C
outume séculaire chez les postiers ou les pompiers, la distribution de calendriers constitue également une manne non négligeable. Jouissant d'un capital sympathie que leur envient nombre de corps de l'État, les pompiers n'ont souvent aucun mal à susciter la générosité des habitants lors de la distribution de leurs célèbres almanachs.
Géré par des amicales, l'argent sert généralement à organiser des arbres de Noël, acheter du matériel sportif… Mais dans la petite caserne de Targon, en Sud-Gironde, Didier Lapeyronnie, le trésorier de l'association, avait imaginé un usage beaucoup plus personnel de cette cassette.
Jeudi, le tribunal correctionnel de Bordeaux a condamné, ce sapeur-pompier volontaire à huit mois de prison ferme pour abus de confiance. Il avait soulagé la petite amicale des soldats du feu de 30 000 euros issus principalement de la vente des calendriers.

Absent à l'audience

En le choisissant comme trésorier, les pompiers ignoraient que l'homme n'était pas particulièrement scrupuleux avec les comptes. Au point de faire l'objet d'une première condamnation pour des abus de biens sociaux à hauteur de 300 000 euros en 2013. « La juridiction a déjà eu le plaisir de le rencontrer », relève la présidente du tribunal, Caroline Baret, constatant que, cette fois, le prévenu ne s'est pas présenté à l'audience.
« J'en avais besoin car j'ai un grand train de vie. Je vais souvent au restaurant, à l'hôtel. »
Dans sa déposition devant les enquêteurs (lue à l'audience par la magistrate), le trésorier a reconnu les faits dans un élan d'une confondante sincérité. « J'en avais besoin car j'ai un grand train de vie. Je vais souvent au restaurant, à l'hôtel, comme je l'avais expliqué lors de la précédente enquête. Je reconnais que je ne me refusais pas grand-chose. »
À l'évidence, ses agissements, qui se sont étalés sur quatre ans avant qu'un pompier ne soulève le lièvre, étaient facilités par le fait que la vente de calendriers s'opère sans prix fixe et ne faisait l'objet d'aucun registre récapitulatif au sein de l'association. Le remboursement des sommes détournées tiendra de l'odyssée. « Dans un premier temps, il va demander à un ami chef d'entreprise de lui remettre un chèque qu'il va remplir lui-même. Bien sûr, la banque va le refuser en constatant que les écritures ne correspondaient pas », glisse la juge.

Quelle somme détournée ?

Puis, il promettra aux pompiers de leur remettre un chèque qu'il avait reçu de son assurance à la suite d'une inondation. « Cela n'a pas fonctionné non plus, car le chèque était libellé à son nom, et le montant ne correspondait pas », relève encore la magistrate.
L'enquête et la plainte déposée par les pompiers auront néanmoins un effet salutaire. In fine, Didier Lapeyronnie réussira à rembourser l'amicale. « Mais il n'y a aucun moyen de savoir quelle somme exacte a été détournée », déplore la juge.
« En général, les pompiers jouissent d'une bonne image. Ce n'est pas son cas. Il a mis cette association en grande difficulté avec des découverts, des factures impayées. Il est choquant qu'il ne se soit pas présenté à l'audience », tonne la procureur Catherine Figerou avant de réclamer une peine de prison ferme « d'au moins deux mois ».
Le tribunal est allé au-delà de ces réquisitions.

http://www.sudouest.fr/2015/05/30/il-detournait-l-argent-des-calendriers-des-pompiers-1935964-3201.php

Décès d'un instituteur des suites d'un traitement oculaire : les trois praticiens mis en examen

Hier, la juge d'instruction Françoise Alien a mis en examen les trois praticiens impliqués dans le décès d'un papa de 34 ans en octobre 2014 des suites d'un traitement oculaire à l'issue de leurs auditions. Pour Maître Collard, avocate des parties civiles, «ce n'est que justice au vu des procès-verbaux d'instructions.» Un procès devrait pouvoir se tenir d'ici un an.
Jointe hier à son cabinet parisien, Jehanne Collard, l'avocate des parents du défunt et de Jeanne B., ex-compagne de David C. et mère de leurs deux enfants de 2 ans et demi et cinq ans s'est déclarée «soulagée en apprenant la mise en examen des trois praticiens impliqués dans cette affaire où la juge d'instruction a bien fait son travail. Même s'il a fallu du temps à la juge pour entendre les trois praticiens, je constate que dans ce dossier, la justice a fait son boulot. Je rappelle que le rapport d'autopsie est accablant. Par ailleurs, j'ai pris connaissance des procès-verbaux d'instruction et le mode de défense de ces trois hommes est consternant. Ils se renvoient la balle sans arrêt même si l'ophtalmologiste reconnaît son erreur. Mais globalement, ils n'assument pas clairement leurs responsabilités dans la mort de mon client.»
Rappelons que dans le cadre de cette affaire, le 24 mars dernier, un ophtalmologiste et un médecin albigeois ainsi qu'un pharmacien d'Arthès avaient été placés en garde à vue au commissariat d'Albi.
Deux semaines plus tard, soit le 6 avril, à l'issue de ces dernières, Pascal Suhard, vice-procureur de la République du TGI d'Albi, avait décidé d'ouvrir une information judiciaire pour «homicide involontaire» à l'encontre de ces trois praticiens mis en cause.
Le 5 mai, à l'issue de son audition par la juge Alien, Jeanne B., déclarait à sa sortie du tribunal de grande instance d'Albi «qu'elle avait évoqué le déroulement des faits (lire par ailleurs) et les antécédents médicaux de David.» Cette institutrice tarnaise de 33 ans se disait alors «satisfaite de la manière dont la justice opère dans la recherche de la vérité.»

Jeanne B. : «s'il y a eu faute, elle doit être punie»

Hier, huit mois après les faits, elle se sentait «soulagée de voir que le drame que David a vécu soit reconnu par la justice. La perte d'un homme comme lui, instituteur et directeur d'école à Trébas, très apprécié de sa famille et ses amis ne sera jamais compensée par quoi que ce soit. Cela n'enlève rien à notre peine mais s'il y a eu faute, elle doit être punie. Je fais confiance à la justice pour établir les responsabilités de chacun.»
Maître Collard, spécialisée dans les erreurs médicales et les accidents de la vie, n'a connu que trois cas similaires en vingt-cinq ans de carrière . «Il s'agit du premier conduisant à des mises en examen. En même temps, si dans cette affaire, l'ophtalmologiste ne l'avait pas été, il y aurait eu de quoi s'interroger sur l'utilité de la justice. La cause du décès est compatible avec un surdosage du Malocide, traitement oculaire prescrit par l'ophtalmologiste qui a quand même trouvé le moyen de se tromper à deux reprises en quelques jours!»
La juge Françoise Alien a donc achevé hier les auditions liées à ce dossier dramatique. Les mises en examen des trois praticiens dans la mort de David C. constituent une étape supplémentaire dans cette affaire sensible.
Pour Maître Jehanne Collard, «ces mises en examen représentent déjà une victoire. La tenue d'un procès d'ici une année apparaît inéluctable. C'est désormais le contraire qui serait proprement scandaleux !»

http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/30/2114794-deces-instituteur-suites-traitement-oculaire-trois-praticiens-mis-examen.html

vendredi 29 mai 2015

Accident dans l'île d'Oléron : une cycliste évacuée par hélicoptère

Une femme de 60 ans, originaire du Château-d'Oléron, a dû être évacuée de l'île par les airs en milieu de matinée, via l'intervention de Dragon 17, l'hélicoptère de la sécurité civile basé à La Rochelle. La victime a été percutée en vélo par un camion à Dolus-d'Oléron.

L'accident s'est produit vers 9 heures, à hauteur d'un feu tricolore. La cycliste, qui se trouvait entre le véhicule et le trottoir, a été renversée par le camion au moment du passage au vert, sa jambe "écrasée" selon la gendarmerie.
L'enquête a été prise en charge par la brigade motorisée de Marennes.
http://www.sudouest.fr/2015/05/29/accident-dans-l-ile-d-oleron-une-cycliste-evacuee-par-helicoptere-1935400-1504.php

La fête de voisins, c'est ce soir : le top 5 de la rédaction des petits mots mesquins

Qui n'a jamais connu de problème avec son voisin ? Le Tumblr "Chers Voisins" collectionne les petits mots les plus fous, drôles, méchants,... retrouvés sur les murs des immeubles. MYTF1News a voté et vous dévoile son top 5.
Ce vendredi soir, c'est la 16e édition de la fête des voisins ! Avant d'aller boire un verre avec les habitants de votre immeuble ou de votre rue, MYTF1News vous propose de découvrir son top 5 des petits mots retrouvés sur le Tumblr "Chers Voisins". De quoi pimenter votre soirée...

Et pourquoi pas en rire pendant celle-ci avec les personnes qui habitent près de chez vous... Si ça se trouve quelqu'un se reconnaîtra !
 Des voisins au grand cœur
1) "Chère Woopi Goldberg des 3 cailloux ! Nous aussi nous avons regardé Sister Act hier soir, quel plaisir n'est-ce pas ?  Cependant à plusieurs reprises, nous avons pensé que notre téléviseur avait un problème de son. Je ne vous cache pas que nous aimons les chanteurs de grand talent. C'est pourquoi, si vous le souhaitez nous pourrions vous proposer de prendre quelques cours de chant afin d'améliorer vos performances vocales. Nous vous serions très reconnaissants, chère Woopi Goldberg des 3 cailloux de nous montrer vos performances vocales à la prochaine fête des voisins, d'ici là, vous disposerez du temps nécessaire pour vous entraîner ailleurs que devant la télévision.  Ce matin pour nous c'était "Oh Happy Day !" Très amicalement, quelques-uns de vos voisins qui croient en vos talents cachés."
2) "Désolé pour le dérangement occasionnel hier soir. Je viens du Sud-Ouest donc j'ai essayé de me faire des amis. Je serai heureux  la prochaine fois que l'on se croisera de vous offrir un coup à boire (café, alcool => Ricard évidemment). Cordialement et merci de votre compréhension. Le Toulousain."
Des voisins énervés mais qui restent sympas
3) "Cher voisin-dont bien heureusement  nous ne connaissons pas le visage- qui aime se détendre devant son ordinateur le soir : Ce weekend nous recevons des enfants chez nous. Et les enfants c'est curieux, ça court partout, ça regarde partout et ça pose pleins de questions... Alors si vous pouviez faire abstinence pendant trois jours, ou bien tirer le rideau, c'est au choix, ce serait super sympa. Merci !"
4) "Vous avez une très jolie voix. Que ce soit pour crier d'orgasme ou traiter votre compagnon de connard. PS : l'immeuble n'est pas très bien isolé, ne changez rien !"
Des voisins énervés tout court
5) "Vous êtes priées de ne plus allumer mon mari sinon je vous brûle votre caniche. Petite allumeuse ! Par avance, votre voisine. 1ère menace"

Allez, vous avez déjà dû avoir affaire à un voisin, un gardien ou un syndic ... Racontez-nous vos expériences les plus folles dans les commentaires ci-dessous et sur Facebook !
 http://lci.tf1.fr/france/societe/petits-mots-et-insultes-entre-voisins-le-top-5-de-la-redaction-8614693.html
 

Vesoul : un boulanger incarcéré

Des violences et des dégradations commises mardi à Magny-Vernois (70), suivies d’une course-poursuite à tombeau ouvert entre Lure et Héricourt, ont conduit un boulanger de Belfort devant la justice ce jeudi. Jugé en comparution immédiate à Vesoul à l’issue de sa garde à vue, Jean-Christophe Migne a été condamné à deux ans de prison dont 10 mois ferme, avec mandat de dépôt. Il a été incarcéré à la maison d’arrêt de Vesoul.
L’homme, âgé de 51 ans, traîne un lourd passé judiciaire derrière lui. En octobre 2011, il a été condamné par la cour d’assises des Alpes-Maritimes à huit de prison pour tentative d’assassinat sur son ex-femme. L‘affaire remontait à janvier 2009.
Les faits qui l’ont amené à comparaître cette semaine devant un tribunal correctionnel se déroulent aussi sur fond de séparation difficile. Il y a près de deux semaines, la compagne du quinquagénaire lui annonçait qu’elle voulait mettre fin à leur relation tumultueuse de quinze mois. Ce mardi après le travail, vers 14 h 30, Jean-Christophe Migne s’est rendu chez elle à Magny-Vernois, près de Lure. En son absence, il s’est introduit à son domicile et a consulté son ordinateur. Il aurait alors découvert sur son compte Facebook que son ex-compagne avait une aventure avec un autre homme. « J’ai vu rouge », commente-il.
Le boulanger va alors acheter de l’alcool et revient chez son ex, en prenant soin de dissimuler sa voiture pour qu’elle ne se doute pas de sa présence. En l’attendant, il boit et saccage son logement. Frigo, meubles, verres, vaisselle… Tout y passe. Quand la victime ouvre la porte de chez elle, Jean-Christophe Migne l’attrape violemment par le bras. « Il voulait me tuer, il m’a dit qu’il ne me louperait pas », accuse-t-elle à la barre. Celle-ci se débat, tombe en arrière et se blesse au coccyx. Elle s’enfuit dans la rue et se réfugie chez des voisins.

« On ne pourra pas tout excuser parce qu’il fait de bons croissants »

Le quinquagénaire, lui, n’attend pas les gendarmes. Il prend la route mais tombe sur un contrôle routier à Lure. Il refuse de s’arrêter et engage une course-poursuite dans les rues du centre-ville, à 100 km/h en plein après-midi. « Les voitures devaient se pousser pour le laisser passer », témoigne un gendarme. Sur la 2x2 voies jusqu’à Héricourt, le compteur grimpe à 180 km/h. L’automobiliste se range finalement dans Héricourt et se laisse interpeller, avec 1,26 g/l d’alcool dans le sang.
Devant les juges, Jean-Christophe Migne se défend d’avoir été violent envers son ex. « Je l’ai prise par le bras, elle est tombée, c’était involontaire de ma part », soutient-il, mettant ses débordements sur le dos de l’alcool. L’avait-il déjà menacée par le passé ? « Oui, je l’ai toujours menacée pour qu’elle revienne, et elle est toujours revenue vers moi », reconnaît-il.
La procureure de la République, Anna Lahaye, a requis 18 mois de prison dont six avec sursis et mise à l’épreuve à l’encontre du prévenu. « Sa personnalité n’est pas rassurante », estime-t-elle. « Il est capable de péter un câble au point de devenir extrêmement dangereux. Il n’a pas tiré les conséquences de sa condamnation devant les assises. Aujourd’hui, on ne pourra pas tout excuser parce qu’il fait de bons croissants. »
Du côté de la défense, Me Jean-Charles Darey demande au tribunal de ne pas « imaginer ce qui aurait pu arriver » si son client avait réussi à attirer la victime dans l’appartement, mais de le juger « sur ce qu’il a commis ». « Il ne l’a pas rouée de coups à terre, il l’a empoignée fermement par le bras », à l’issue d’une « relation toxique » dans laquelle il s’est senti « trahi ». L’avocat a tenté d’obtenir le placement sous bracelet électronique du boulanger, afin de ne pas mettre son commerce en péril. « Je veux bien payer, mais pas tout perdre », a confirmé l’intéressé.
En vain : la « nature des faits » et les « antécédents » du prévenu ont décidé le tribunal à opter pour la prison, a expliqué le président Fernand Kato. Le permis de conduire du quinquagénaire a aussi été annulé.*
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-vesoul-haute-saone/2015/05/29/violences-un-boulanger-incarcere

Incendie mortel rue du Maroc : Nina et Marius ont sauvé sept vies

Deux personnes sont mortes mercredi soir dans l'incendie d'un immeuble, rue du Maroc à Toulouse. Sept voisins ont été sauvés par deux adolescents qui ont accroché une corde pour les aider à sortir.
«On a entendu des cris et on a vu des flammes. Des personnes sont sorties de l'immeuble grâce à une corde. Ce sont deux ados qui les ont aidés.»
La soirée de mercredi a été très agitée au 12 rue du Maroc, près de la gare Matabiau à Toulouse. Un très violent incendie s'est déclaré au cours duquel deux personnes ont trouvé la mort et une troisième a été grièvement blessée. Son pronostic vital n'était toutefois pas engagé.
Il était 22 h 54 lorsque les sapeurs-pompiers ont été prévenus. Le feu venait de prendre dans la cage d'escalier d'un petit immeuble de trois étages. De grandes flammes se sont vite élevées et les locataires se sont retrouvés piégés.
La cage d'escalier, enflammée et noircie par la fumée, est devenue impraticable. Certains habitants ont sauté de leur balcon pour se réfugier dans l'appartement de deux adolescents. Nina, 17 ans, a alors sorti la corde achetée par son père, justement en cas d'incendie, et l'a attachée à la fenêtre. Sept personnes ainsi que son petit frère de 14 ans sont de cette façon sortis sains et saufs.
Trois locataires n'ont pas eu cette chance. C'est en tentant d'échapper aux flammes que deux hommes sont morts asphyxiés et brûlés.
Six autres personnes ont été hospitalisées et 21 relogées.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/29/2113713-incendie-mortel-nina-et-marius-ont-sauve-sept-vies.html

jeudi 28 mai 2015

Un apprenti de 16 ans décède sur un chantier à Draguignan

Un jeune homme de 16 ans est décédé mercredi sur un chantier de rénovation en cours à l'Hôtel du Col de l'Ange à Draguignan dans le Var.
Bien des questions se posent après le décès d'un apprenti de 16 ans mercredi sur le chantier de rénovation de l'hôtel du col de l'Ange à Draguignan. Bruno, originaire de la région toulonnaise était en apprentissage dans une entreprise de maçonnerie. Le jeune homme semble avoir manipulé seul la benne basculante d'un camion de 3,5 tonnes. A l'intérieur, il y avait un transpalette, un appareil de levage dont la fourche est venu percuter l'apprenti. Il est décédé d'un arrêt cardiaque peu de temps après l'arrivée des secours. La thèse de l'accident est pour l'heure privilégiée. Mais l'enquête confiée à la brigade de la police nationale de Draguignan devra déterminer s'il y a eu faute ou négligence de la part de l'employeur de l'apprenti.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/2015/05/28/un-apprenti-de-16-ans-decede-sur-un-chantier-draguignan-733659.html

Un homme tire deux fois sur une jeune femme et prend la fuite

Un homme a ouvert le feu à deux reprises, hier, sur une jeune femme dans un appartement du centre-ville. En fuite, il était toujours, hier soir, activement recherché par la police. La victime, blessée, a été transportée au Chiva.
Grosse émotion, hier, en plein centre-ville de Pamiers où un homme a ouvert le feu à deux reprises sur une jeune femme dans un appartement.
Blessée et saignant abondamment, elle est sortie dans la rue chercher du secours avec l'aide d'une voisine.
Une scène spectaculaire qui s'est déroulée place République, un endroit très fréquenté de la cité aux trois clochers.
Les faits débutent vers 15 heures au premier étage du 7 rue des Quatre Sergents de La Rochelle. Dans des circonstances que les policiers vont devoir établir, un homme a tiré à deux reprises sur l'occupante de l'appartement, la blessant grièvement à la jambe gauche. Un projectile a même traversé la cuisse.
Si la détonation n'interpelle personne dans la rue, la suite des événements se passe à la vue de tous. Alors que l'auteur des coups de feu prend rapidement la fuite, la victime est secourue par une personne de son voisinage. Toutes les deux descendent dans la rue. Là, la voisine pousse un cri strident. Un cri suffisamment puissant pour ameuter une trentaine de passants, mais également la police municipale, arrivée en premier sur les lieux du drame.
Si les traces de sang visibles sur la chaussée témoignent de l'importance de la blessure, les jours de cette Appaméenne ne seraient pas en danger. Rapidement, elle a été évacuée par les sapeurs pompiers de Pamiers au centre hospitalier du Val-d'Ariège (CHIVA). Dans la foulée, les hommes de la police judiciaire arrivent sur place. Partout dans la ville, des véhicules de la police patrouillent, à la recherche du tireur. Karline Bouisset, procureur de la République s'est rendue sur les lieux en fin d'après-midi : «Des relevés techniques et scientifiques ont été effectués. L'homme en fuite est inconnu. La victime semblait le connaître depuis peu. Elle n'a pas encore pu être auditionnée. Nous n'avons donc pas de certitude». Une enquête a été ouverte. Elle devra déterminer l'enchaînement des faits qui ont mené aux coups de feu, et s'attacher à identifier le tireur. L'audition de la victime devrait être déterminante.
 

Saint-Avold : une ado échappe à un enlèvement

Une adolescente a échappé, mercredi à Saint-Avold, à une tentative d’enlèvement. Il est 12 h 20 quand cette Naborienne de 15 ans marche rue Poncelet, dans le quartier de la Carrière. Elle est descendue quelques instants plus tôt du bus qui la ramenait de son collège. Elle n’est qu’à 200 mètres de chez elle, quand une camionnette blanche, de type Renault Trafic avec une galerie ou une échelle sur le toit, s’arrête à sa hauteur. Le chauffeur, qui, selon le témoignage de la jeune fille serait âgé d’environ 25 ans, vêtu d’une tenue de peintre et qui s’exprimerait mal en français, lui demande l’heure. La collégienne le renseigne mais trouve la requête singulière, tous les véhicules étant a priori équipés d’une horloge.
Le chauffeur change vite de registre, lançant à sa jeune interlocutrice : « Vous êtes charmante ! » Puis son ton monte d’un cran et se fait menaçant quand il lui intime l’ordre de monter à bord. La Naborienne prend peur et arrête la première voiture qui passe. Par chance, il s’agit d’un ami. Il la fait monter dans sa voiture puis avise tous ses contacts, qui partent alors à la recherche de la camionnette blanche. Sans succès.

Etude des bandes de vidéosurveillance

Dès le milieu d’après-midi, la collégienne dépose plainte au commissariat de Freyming-Merlebach. Quelques instants plus tard, des patrouilles de fonctionnaires sillonnent les rues de Saint-Avold. En vain, même si des témoins assurent avoir vu ce véhicule circuler devant le lycée Metzinger – à quelques centaines de mètres du lieu des faits – peu après l’incident.
Les enquêteurs étudient également, depuis hier après-midi, les bandes des caméras de vidéosurveillance de la ville. Une enquête a été ouverte pour tentative d’enlèvement.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/05/27/saint-avold-une-ado-echappe-a-un-enlevement

mercredi 27 mai 2015

Un enfant de 7 ans renversé par une voiture

Une collision s'est produite ce mardi à 13h50 entre une voiture et un jeune piéton, rue des Renards à Strasbourg, à côté de l'école Camille Hirtz. Un enfant de 7 ans, accompagné de sa mère, aurait traversé la route en courant, à proximité d'un passage piéton, avant d'être fauché par une voiture. Légèrement blessé à la jambe, le jeune garçon a été transporté par les pompiers au CHU de Strasbourg-Hautepierre.

http://www.dna.fr/actualite/2015/05/26/un-enfant-de-7-ans-renverse-par-une-voiture

Mort d'un bébé opéré des amygdales au CHU de Toulouse : le décès dû à un arrêt cardio-respiratoire

elon le rapport d'autopsie, le petit Aymen, 21 mois, décédé le 7 février, est mort des suites d'un arrêt cardio-respiratoire. Le bébé ne pouvait pas respirer car il avait trop de sang dans le bouche après une hémorragie. Les médecins auraient tardé à le réopérer. 
Près de 4 mois après la mort de leur fils de 21 mois, venu se faire opérer des amygdales à l'hôpital Pierre-Paul Riquet de Toulouse, les parents du petit Aymen et leur avocat révèlent que le rapport d'autopsie conclut que l'enfant est mort des suites d'un arrêt cardio-respiratoire. . Aymen avait trop de sang dans la bouche pour respirer. Les médecins n'auraient mesurer assez rapidement la gravité de cette hémorragie et auraient trop tardé pour réopérer l'enfant. Ce rapport a été transmis à la presse par les parents de l'enfant et leur avocat, confirmant ainsi une information révélée par RTL

L'amygdalectomie a eu lieu le 3 février à l'hôpital Pierre-Paul Riquet mais l'enfant a ensuite saigné abondamment par le nez et la bouche, pendant plus d'1h30 sans qu'"aucune décision ne soit prise" selon les parents. Le bébé a ensuite été reconduit précipitamment au bloc opératoire, selon l'avocat de la famille.

"Aucune réponse"


"On a expliqué aux parents (...) que leur fils dormait avant que les pratriciens reconnaissent, au vu des protestations de la maman, que l'enfant était dans le coma, tout en indiquant que ce coma était volontaire et uniquement destiné à faire en sorte que l'enfant se repose", avait accusé en février Maître Courtois, l'avocat des parents.
Les parents et l'avocat, dans une conférence de presse tenue à Toulouse ce mercredi, ont parlé d'une grave "erreur d'appréciation" du corps médical. Pour eux, le rapport d'autopsie contredit la position du CHU. 

Transféré dans le service de réanimation de l'hôpital des enfants du CHU de Toulouse, le bébé a été déclaré mort quatre jours plus tard, ses parents ayant accepté l'arrêt des machines. Le jeune couple -dont c'était le premier enfant- affirme par la voix de son avocat qu'"aucune réponse" ne lui a été apportée sur la cause de l'importante hémorragie qui aurait provoqué un long arrêt cardiaque et des séquelles irréversibles au cerveau.

Recherches des causes de la mort​


Le procureur de la République de Toulouse, Pierre-Yves Couilleau, avait indiqué à France 3 Midi-Pyrénées en février qu'il souhaitait "d'abord savoir ce qui a causé la mort de l'enfant" et avait donc décidé de l'ouverture d'une information judiciaire "pour recherche des causes de la mort".
"Je ne préjuge pas d'une faute, a expliqué le procureur. C'est possible. Mais je veux d'abord savoir de quoi il est mort. Et s'il s'avère qu'il y a eu faute ou erreur médicale je clôterai l'information judiciaire pour recherche des causes de la mort et j'en ouvrirai une autre pour homicide involontaire".

L'ouverture de cette information judiciaire faisait suite à la plainte pour "homicide involontaire" déposée par les parents du petit garçon. De son côté, le CHU de Toulouse avait fait savoir que l'enfant avait "présenté des complications chirurgicales et anesthésiques graves" après l'intervention et que l'équipe médicale et soignante était "bien évidemment extrêmement touchée" par son décès.

Ce mercredi, les parents d'Aymen ont réclamé que l'information judiciaire soit désormais menée pour "homicide volontaire". 
http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/27/2112806-bebe-mort-chu-toulouse-deces-arret-cardio-respiratoire.html

mardi 26 mai 2015

Paris : Une enquête ouverte après la découverte d'ossements humains dans une cave

Une enquête a été ouverte par la police judiciaire (PJ) parisienne après la découverte vendredi d'ossements humains -dont un crâne d'enfant- dans une cave, a-t-on appris mardi de source policière.
La découverte a été faite fortuitement alors qu'une cave était déblayée dans un immeuble du 14e arrondissement, a précisé la source.

Ni les causes, ni l’année de la mort n’ont pu être déterminées

Sollicité par la police, un anthropologue a déterminé qu'un crâne, au milieu de plusieurs ossements humains enfouis au fil des années dans le sol sableux, pouvait être celui d'un enfant âgé de moins de 7 ans, selon les premières constatations.
Une enquête a été aussitôt ouverte par la PJ qui n'a pu déterminer les causes, ni les dates ou année de la mort, a-t-on précisé mardi.
De telles découvertes, si elles ne sont pas légion, ne sont pas rares dans la capitale et dans ses vieux immeubles singulièrement, a précisé la même source
http://www.20minutes.fr/paris/1616167-20150526-paris-enquete-ouverte-apres-decouverte-ossements-humains-cave

Un train bloqué pendant plus de 7 heures en gare de Montpellier

Très grosse attente pour les passagers d'un train reliant Cerbère (Pyrénées-Orientales) à Strasbourg (Bas-Rhin). Parti lundi soir, leur train est resté bloqué à partir de 23 heures, et pendant plusieurs heures, à Montpellier (Hérault), rapporte France bleu Hérault.
Il n'est reparti que vers 6h30 ce mardi. En cause, un «problème de fermeture de portes». Quelque 300 passagers, dont un groupe de 18 enfants, se trouvait à bord selon la radio.

Le problème de fermeture des portes  est lié à une «panne électrique» selon la
SNCF. Le train étant équipé de couchettes, il a été décidé de laisser les passagers dormir avant de trouver une solution définitive. La Protection civile de l'Hérault a néanmoins dû être appelée en urgence, selon France info, pour fournir notamment de l'eau aux 300 passagers.

Les voyageurs de ce train Intercités ont finalement été transférés dans un TGV pour repartir à 6h26 précisément.
France bleu Hérault précise que la SNCF leur a offert le petit déjeune
http://www.leparisien.fr/societe/actualites-informations-parisien-societe

Le combat des parents de Karine, une lorraine disparue depuis 16 ans

Leur fille Karine a disparu le 4 juin 1999. Lundi, à l’occasion de la Journée des enfants disparus, Maurice et Michèle Ledoux ont lancé un message : « Les disparus ne doivent pas sombrer dans l’oubli ».
Ce matin du 4 juin 1999, quand elle a quitté pour la dernière fois le domicile familial de Jussy, près de Metz, Karine avait 18 ans et deux mois. Deux mois qui ont pesé lourd. « On nous a dit que notre fille était majeure. À deux mois près, on aurait pu déposer une plainte pour enlèvement tout de suite. Les choses se seraient peut-être déroulées différemment », ne peut s’empêcher de penser Michèle Ledoux. « Notre fille était fragile psychologiquement. Deux certificats médicaux l’attestaient. Comment cet élément a-t-il pu ne pas être pris en compte ? », s’interroge-t-elle encore aujourd’hui.
« Deux ans de perte de chance »
À l’époque, les époux se sont donc vus dans l’obligation de passer par la procédure de « Recherche dans l’intérêt des familles », aujourd’hui abrogée.
Ils n’ont pu déposer une plainte pour enlèvement que deux ans après la disparition de leur fille : « Deux ans de perte de chances, qui ne se rattrapent pas », disent Maurice et Michèle Ledoux.
D’autres pistes auraient peut-être pu être exploitées, ou des vérifications faites, poursuivent-ils. Des événements troublants continuent en effet de hanter les époux : en 2000, l’agression dans leur secteur d’une jeune fille, et quelques jours seulement après la disparition de Karine en juin 99, le témoignage de deux automobilistes qui auraient aperçu un homme jeter le corps d’une jeune femme dans un fossé, des lieux alors explorés sans succès par les gendarmes. Une médaille et des traces de sang auraient toutefois été retrouvées, selon les époux Ledoux mais « il n’existe ni PV ni scellés ».
Malgré le travail « des enquêteurs et magistrats qui ont fait tout leur possible », dès 2001, et le dépôt de plainte des parents de Karine, aucun élément n’est venu apporter le moindre début de réponse à la famille de Karine. Etudiante en sciences médico-sociales au lycée Georges-de-la-Tour à Metz, Karine effectuait un stage en maison de retraite lorsqu’elle a disparu.
« Nous avons perdu l’espoir de la retrouver en vie. Elle se serait manifestée », disent les époux qui espèrent toujours qu’un élément nouveau leur permettra un jour de comprendre. « On a besoin de savoir ce qui est arrivé. On ne peut pas laisser tomber, pour sa mémoire, pour elle, pour qu’elle soit en paix

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2015/05/26/le-combat-des-parents-de-karine

lundi 25 mai 2015

Avion : un jeune homme meurt éjecté de son quad

L'accident a eu lieu dans le quartier de la République à Avion. Le pilote d'un quad, âgé de 18 ans, a été éjecté de son quad vers 11h après avoir heurté une pierre. Malgré l'intervention des secours, il est décédé sur le coup. Selon les premières constatations rapportées par La Voix du Nord, il ne portait pas de casque. Mais une source proche de l'enquête précise que cet élément n'est pas déterminé avec précision pour l'instant.
Cet accident a provoqué une forte émotion et des petites tensions dans ce quartier dit "sensible" au tout début de l'intervention de la police, qui a ensuite pu faire son travail normalement. La famille a volontairement incendié le quad. Certains membres de cette famille et des témoins ont été entendus sur ce point au commissariat d'Avion ce dimanche après-midi. L'enquête sur les causes de cet accident continue. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2015/05/24/avion-un-jeune-homme-meurt-ejecte-de-son-quad-731357.html

Prats-de-Mollo (P.-O.) : un septuagénaire décède percuté par une voiture

Hier (dimanche)  en tout début d’après-midi, un habitant du village a, pour des raisons indéterminées, chuté du muret où il était assis puis roulé sur la chaussée où il a été percuté par une voiture qui n’a pu l’éviter.
Grièvement blessé aux jambes, l’homme de 70 ans, est décédé sur les lieux de l’accident, à hauteur de l’arrêt de bus de la place du Foirail. Et ce, malgré les premiers soins prodigués par les gendarmes de Prats-de-Mollo puis l’arrivée des sapeurs-pompiers et du Samu qui n’a pu que constater le décès du septuagénaire
La conductrice du véhicule, qui circulait apparemment à faible vitesse dans le village, très choquée mais pas blessée, devait,  dimanche, être entendue par les gendarmes afin de préciser les circonstances de ce tragique accident.
http://www.lindependant.fr/2015/05/25/prats-de-mollo-p-o-un-septuagenaire-decede-percute-par-une-voiture,2035502.php

Custines : le volailler Chavey en flammes

Un spectaculaire incendie s’est déclenché, ce dimanche, vers 18 h 30, dans un entrepôt de la société Chavey, spécialisée dans la distribution de volailles et implantée dans la zone d’activité du Pré Varois à Custines. Le feu a pris dans un vaste hangar métallique abritant 17 camions frigorifiques ainsi que des frigos. Tout a brûlé et les flammes ont dégagé un impressionnant panache de fumé visible à des kilomètres alentours.
Une cinquantaine de pompiers de Nancy et Pompey ont été mobilisés pour circonscrire le feu. Un bout d’une heure le sinistre était sous contrôle. Les pompiers ont notamment réussi à sauver des flammes la partie administrative de l’entreprise. Des employés ont aidé le patron, Christian Dreme, à évacuer les unités centrales d’ordinateur pour sauver les fichiers informatiques contenant les données commerciales de la société.
« C’est notre trésor. Il devrait nous permettre de continuer notre activité et d’éviter des licenciements », commente le gérant de la société Chavey qui emploie 35 salariés.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2015/05/24/custines-le-volailler-chavey-en-flamme

dimanche 24 mai 2015

Maisons-Laffitte : l’adolescent chute dans l’escalier du collège

Un adolescent s’est blessé, vendredi au Collège Le Prieuré de Maisons-Laffitte. Vers 16 heures, le collégien a voulu impressionner ses camarades de classe en montant sur le bord de la rambarde d’un escalier. Il a malheureusement glissé, entraîné dans le vide par le poids de son cartable.

Il a fait une chute de quatre mètres. Les secours sont rapidement arrivés sur place. Le garçon souffre de douleurs à la jambe et aurait la cheville cassée. Il a été conduit à l’hôpital de Poissy par les pompiers. Le commissariat de Sartrouville chargé de l’enquête, a confirmé le caractère purement accidentel de la chute.
http://www.leparisien.fr/maisons-laffitte-78600/maisons-laffitte-l-adolescent-chute-dans-l-escalier-du-college-24-05-2015-4798935.php

Accident de la route à Saint-Cyprien : la conductrice décède

Grave accident ce samedi matin (9 h 30) à Saint-Cyprien, qui a vu une femme d’une cinquantaine d’années percuter un palmier boulevard Desnoyer. Selon les premiers éléments, elle aurait été prise d’un malaise qui pourrait avoir causé la perte de contrôle du véhicule.
Selon les premiers éléments, la conductrice aurait été victime d’une rupture d’anévrisme au volant. Les pompiers sont intervenus pour la désincarcérer et lui prodiguer les premiers soins. Après avoir réussi à la réanimer, ils l’ont évacuée vers l’hôpital de Perpignan. Mais la conductrice est finalement décédée. Vraisemblablement des suites de son accident vasculaire cérébral.
http://www.lindependant.fr/2015/05/23/accident-de-la-route-a-saint-cyprien-une-conductrice-dans-un-etat-grave,2034712.php

Un jeune homme de 20 ans tué à l'arme blanche à Villejuif

Un jeune homme de 20 ans a été tué à coups de couteau samedi en fin d'après-midi à Villejuif (Val-de-Marne) et ses agresseurs étaient toujours recherchés dimanche.

Un jeune homme de 20 ans a été tué à coups de couteau samedi en fin d'après-midi à Villejuif (Val-de-Marne) et ses agresseurs étaient toujours recherchés dimanche. Les faits se sont produits vers 18H00 samedi dans la cité Youri-Gagarine de cette ville située au sud de Paris, ont indiqué des sources judiciaire et proche de l'enquête, confirmant une information du Parisien.

Selon les premiers éléments de l'enquête, deux agresseurs arrivés à scooter ont mortellement blessé le jeune homme à coups de couteau, et blessé également un homme de 24 ans qui l'accompagnait, avant de prendre la fuite. Les deux victimes n'étaient "pas spécialement connues" de la justice, a relevé la source judiciaire. "Nous n'avons pas d'explication à ce stade. Ca a été très soudain", a ajouté cette source. Le blessé a été hospitalisé. La
police judiciaire du Val-de-Marne est chargée de l'enquête.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/un-jeune-homme-de-20-ans-tue-a-coups-de-couteau-a-villejuif-8612747.html

Toul : vol de métaux à grande échelle

Samedi dernier, en milieu d’après-midi, les policiers toulois contrôlent un camion dans le centre-ville de Toul qui semble être en surcharge au vu de la réglementation. Les deux individus à bord restent évasifs sur la provenance de leur chargement, de grosses pièces métalliques qu’ils seraient allés chercher, selon leurs dires, dans une ferme vosgienne. Les policiers relèvent l’identité des hommes, prennent des photos et laissent repartir le convoi.
Le lien se fait quelques heures plus tard, lorsque des responsables de l’usine Saint-Gobain de Foug signalent à la police qu’un vol vient d’être commis par effraction à l’arrière de leurs locaux. Les auteurs se sont introduits dans l’enceinte et ont effectué plusieurs chargements à l’aide d’un convoi grue. Selon toute probabilité, ils auraient effectué cinq allers et retour pour dérober une quarantaine de moules de 400 kg chacun. Des pièces spécifiques à la production de l’usine qui commercialise des conduites en fonte ductile.
Les policiers se sont donc rendus à Dommartin-lès-Toul pour appréhender les deux individus déjà connus de leur service.
Déférés jeudi matin, les deux hommes ont été jugés en comparution immédiate. L’un, âgé de 45 ans, écope d’un an de prison ferme. Son complice, âgé de 20 ans, doit effectuer 120 heures de travaux d’intérêt général. Quant à la marchandise, elle n’a pas été retrouvée. La police touloise continue ses investigations pour la localiser. Le préjudice du vol est estimé à 72.000 €.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-toul/2015/05/23/toul-vol-de-metaux-a-grande-echelle

samedi 23 mai 2015

Deux frères devant les assises pour la mort de leur beau-père, qui battait leur mère

Alertés par les gendarmes de violences faites à leur mère, ils avaient roué de coups leur beau-père qui en est mort: six ans après, deux frères vont comparaître devant les assises de Beauvais (Oise) de mardi à jeudi.
"Dossier exceptionnel", situation "ahurissante", "procès où tout est renversé"... les superlatifs s'accumulaient dans la bouche de plusieurs des avocats s'apprêtant à plaider la semaine prochaine, pour décrire la complexité de la décision que devront prendre les jurés.

Le 30 juin 2009 au soir à Orgeval (Yvelines), Patricia P. compose le 17 pour faire cesser les violences dont elle dit être victime de la part de son compagnon, Michel H. Arrivés sur place, les deux gendarmes évacuent la dame de son propre domicile et téléphonent à ses deux fils, d'une vingtaine d'années, qui accourent.

La discussion entre les quatre hommes, sur le parking d'un restaurant Buffalo Grill, sera l'un des axes majeurs de l'instruction: les gendarmes ont-ils bel et bien recommandé aux frères Tissier "une petite correction nécessaire" du beau-père, en frappant dans le ventre pour ne pas laisser de marques?

Les deux jeunes hommes vont en tout cas chercher Michel H., complètement saoul, le ligotent et le chargent à l'arrière de leur utilitaire. Ils parcourent une petite cinquantaine de kilomètres avant de se garer, à proximité d'Amblainville (Oise), dans un chemin agricole, où ils portent plusieurs coups violents à leur beau-père, qui est retrouvé mort le lendemain.

La procédure zigzague pendant six ans, les frères Tissier étant d'abord mis en examen pour meurtre, puis accusés de séquestration suivie de mort, avant d'enfin obtenir d'être jugés pour "coups ayant entraîné la mort sans intention de la donner".

Les deux gendarmes, initialement mis en examen pour mise en danger d'autrui, ne sont finalement pas renvoyés devant les assises.

"C'est un dossier exceptionnel, parce qu'il pose la question de ce que peut faire un très jeune homme dans une situation où sa mère est en grave danger, régulièrement battue par son compagnon, et alors que non seulement il se trouve devant l'inaction des forces de gendarmerie mais face à une réquisition de celle-ci qui lui demande d'intervenir", argumente auprès de l'AFP l'avocat de Julien Tissier, Me Alexandre M. Braun.

Le rôle des gendarmes met les parties d'accord. "Si la gendarmerie avait placé Michel H. en garde à vue, il serait toujours vivant", souffle Me Maxime Cessieux, conseil de la famille de la victime, constituée partie civile.

Difficile en revanche de deviner si le profil de Michel H. - alcoolique chronique quasiment SDF à l'époque, connu des services de gendarmerie pour des faits de violences conjugales - incitera les jurés à la clémence envers les accusés.

Ce que les frères Tissier "ont fait ce n'est pas passer une correction à Michel H. : ils ont sauté sur sa cage thoracique à pieds joints, ils lui ont mis des coups de pied à la nuque, ils se sont acharnés", rappelle Me Cessieux. "C'est le Far West: Michel H. s'est fait abattre dans un champ".

Les accusés abordent, eux, le procès avec l'intention d'assumer leur responsabilité, comme ils l'ont fait pendant toute la procédure, selon leurs avocats. Me Patrick Klugman résume le tourment intérieur de son client Jérémy Tissier: "Il assume ce qu'il a fait mais ne le tolère pas".


http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/2015/05/23/deux-freres-devant-les-assises-pour-la-mort-de-leur-beau-pere-qui-battait-leur-mere-730615.html

Jugé pour violences : «Je ne voulais pas de mal aux gendarmes»

«Je suis rentré chez moi, j'ai vu le couteau sur le siège de la voiture. Je me suis dit : j'espère que je n'ai pas fait de mal.» Ce 19 septembre 2011, Bruno G. se rend à l'agence Adecco de l'Isle-Jourdain, saisit la responsable, Delphine B. et la menace de mort avec un couteau, joignant le geste à la parole, puisqu'il approche son couteau du cou de la victime. Éric Dardenne, gérant de la société voisine Formadia, entend des cris et intervient donc… à temps ? «Il avait un regard extrêmement effrayant, était dans un état de colère», a témoigné M.Dardenne, jeudi, devant le tribunal correctionnel d'Auch. L'agresseur lâche sa première victime, non sans lui avoir causé quelques lésions, sans gravité, au cou. Puis se dirige vers M.Dardenne, qui doit se réfugier dans son bureau. «M.G. a alors mis plusieurs coups de couteau dans la porte», témoigne M.Dardenne.

«Il m'a dit de foutre le camp»

C'est à ce moment-là que Bruno G. rentre chez lui, «il se rend compte qu'il a peut-être fait quelque chose de grave, c'est un pétage de plomb, comme il dit», assure son avocate. Il se terre dans sa maison, où les gendarmes le cherchent. «Il m'a dit de foutre le camp et d'aller chercher la morgue, assure l'adjudant qui était sur place. Puis j'ai entendu des coups de feu à l'intérieur de la maison». Bruno G. sort et rentre dans son domicile plusieurs fois, fusil en main. «La deuxième fois, je crois, il s'est approché de moi, et à 6 ou 7 mètres, je l'ai vu commencer à épauler son fusil. J'ai dit ‘gendarmerie, baissez votre arme' et j'ai tiré dans sa direction sans le toucher. Ça a dû le réveiller», assure l'adjudant. Plus tard, Bruno G. rendra les armes en douceur. «Le gendarme m'a tiré dessus sans sommation, assure de son côté Bruno G. Je ne m'explique pas tout ce que j'ai fait Je ne voulais pas de mal aux gendarmes, je pensais à me tuer. Je buvais beaucoup à l'époque, je ne bois plus du tout.» Le procureur demande notamment un an d'emprisonnement avec un sursis avec mise à l'épreuve. L'avocate, Me Berenguer-Grelet préférant un travail d'intérêt général. Le délibéré sera rendu le 11 juin.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/23/2110250-l-isle-jourdain-voulait-il-tirer-sur-le-gendarme.html

P.-O. : appel à témoin pour retrouver Théo 15 ans disparu jeudi

A ppel à témoin pour retrouver Théo, 15 ans, dont on est sans nouvelle depuis qu'il a quitté jeudi 19 h 30 son domicile de Palau-del-Vidre (P.-O.). 
Un appel à témoin a été diffusé vendredi, sur le site Lindependant.fr. Il concerne la disparition de Théo, un adolescent de 15 ans habitant à Palau-del-Vidre (P.-O.). Selon nos confrères, il n'a plus donné de nouvelles depuis jeudi 19 h 30. Il mesure 1,65 mètre, est de corpulence mince et a les cheveux châtain clair coupés courts.Au moment de sa disparition il était vêtu d'un pantalon de survêtement noir et d'un tee-shirt blanc, avec un motif représentant un gant dE boxe.
Toute personne susceptible d'apporter des éléments de nature à permettre sa localisation est priée de contacter la brigade de gendarmerie de Saint-Génis-des-Fontaines en appelant le 04 68 89 70 07. 
http://www.midilibre.fr/2015/05/22/p-o-appel-a-temoin-pour-retrouver-theo-15-ans,1164899.php

vendredi 22 mai 2015

Un tramway en feu à Vandoeuvre-lès-Nancy

Le moteur d'un tramway s'est embrasé ce vendredi matin vers 5h30 alors qu'il montait l'avenue Jean Jaurès à Vandoeuvre-lès-Nancy. Les passagers ont été évacués à temps. Le feu a détruit tout le compartiment moteur de la rame.
Le feu a pris peu avant 5h30, alors que le tramway abordait la montée de Brabois. Le compartiment moteur s'est embrasé. Deux agents du Grand Nancy qui passaient à proximité sont intervenus. Ils ont sorti l'extincteur de leur véhicule de service, mais n'ont pas pu éteindre le feu. "j'ai vu une grande fumée noire et je me suis dit il se passe quelque chose" explique François Teulon qui travaille au Grand Nancy. "Avec mon collègue nous avons bloqué la circulation en attendant les pompiers".
Les pompiers de Vandoeuvre sont intervenus et ont éteint le feu à l'aide d'une lance à mousse.
Le trafic a été dévié le temps de l'intervention, le tram nancéien pouvant sortir de son rail de guidage pour emprunter des rues ordinaires.
Le feu fait partie des risques connus et redoutés dans les transports en commun. Le moteur étant le plus souvent situé à l'arrière du véhicule, il est souvent sujet à des coups de chaud, car moins facilement refroidi qu'un moteur situé à l'avant.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/lorraine/2015/05/22/un-tramway-en-feu-vandoeuvre-les-nancy-729723.html

Landes : un mort dans la collision frontale d'un poids lourd et d'une voiture

Jeudi après-midi, peu avant 16h20, une collision frontale entre une voiture et un poids lourd s'est produite entre Garein et Sabres, au niveau de la commune de Luglon, sur la D834, l'axe qui relie Mont-de-Marsan à l'A63, vers Bordeaux.
La voiture roulait dans le sens sud-nord. Elle se serait déportée vers le milieu de la chaussée pour une raison qui reste encore indéterminée. Le chauffeur du poids lourd est indemne mais le conducteur de la voiture est décédé.

Des déviations en place

Les opérations sur place sont toujours en cours, la route est coupée à l'endroit de l'accident, soit 400 mètres environ après l'intersection entre la D834 et la RD14, en direction du bourg de Luglon, vraisemblablement jusqu'en début de soirée le temps de nettoyer la chaussée et de faire les constations nécessaires à l'enquête menée par le peloton motorisé de gendarmes de Labouheyre. Le camion est renversé dans le fossé, 600 litres de gazole qu'il contient sont à transvaser.
La circulation est déviée par la RD14 qui rejoint Sabres en passant par Luglon à l'ouest, ou par Labrit à l'est. 

Série noire dans les Landes

C'est le troisième accident mortel dans les Landes en deux jours. Mercredi en début d'après-midi, un chauffeur de poids lourd a perdu la vie dans la collision de deux camions sur l'A63, au niveau de Magescq.
Quelques heures plus tôt, dans la nuit de mardi à mercredi, c'est un jeune homme de 23 ans qui s'est tué à scooter à Saint-Martin-de-Seignanx.
Lundi enfin, une mère et sa fille originaires d'Aire-sur-l'Adour ont trouvé la mort dans une collision avec un camion, à Sombrun dans les Hautes-Pyrénées.

http://www.sudouest.fr/2015/05/21/landes-un-mort-dans-la-collision-frontale-entre-un-poids-lourd-et-une-voiture-1927707-3350.php

Bon anniversaire Charles Aznavour

hebergement d'image

Le chanteur est né le 22 mai 1924. Bio Express.

C’est à Paris en 1924 qu’est né l’auteur-compositeur-interprète, écrivain, acteur et diplomate. Il fête donc ses 91 ans. Issu d’une famille d’artistes et de commerçants Arméniens, le petit Charles nait par hasard à Paris alors que ses parents sont en attente d’un visa pour les États-Unis. Finalement la famille s’installe dans la capitale où le père de Charles ouvre un restaurant. 
Charles suit sa scolarité à l’École des enfants du spectacle. A 9 ans, il prend pour nom de scène Aznavour (ndlr : il raccourcit son patronyme Aznavourian) et débute en tant que chanteur et comédien. Sa carrière connaît un premier éveil en 1946 lorsqu’il est repéré par Edith Piaf. Avec Les compagnons de la chanson, il l’accompagne en tournée en France et aux États-Unis. Il compose aussi pour Gilbert Bécaud. Mais c’est en 1956, à 32 ans qu’en tant que chanteur, il est propulsé au rang de vedette. En 70 ans de carrière, Charles Aznavour a composé plus de 1200 chansons,, chanté dans huit langues différentes et totalise à ce jour plus de 180 millions de disques vendus à travers le monde. Le 4 mai 2015, il a sorti un album, Encores. Il montera sur scène interpréter ses nouvelles compositions, au cours de six concerts au Palais des sports à Paris, du 15 au 27 septembre.
Côté vie privée, Charles Aznavour a été marié trois fois et a eu six enfants (ndlr : l’un d’eux Patrick est décédé à 25 ans)  parmi lesquels Katia, 47 ans qui l’accompagne parfois sur scène. Il a aussi une petite fille, Leïla.
Ce 22 mai c’est aussi l’anniversaire de Naomi Campbell (45 ans), Guy Marchand (78 ans), Novac Djokovic (28 ans) et Fiona Gélin (53 ans).
http://www.programme.tv/news/tag/charles-aznavour/

Aude : un restaurateur escroqué par un faux sans-papiers muni d'un faux ticket gagnant au Cash

L'histoire se terminera le 17 septembre 2015 devant le tribunal de Narbonne. Elle a commencé dans cette même ville de l'Aude en fin de semaine dernière. Un quadragénaire français profite de ses origines maghrébines pour se faire passer pour un sans-papiers auprès d'un commerçant La victime tient un restautant chinois. L'escroc l'aborde avec un faut ticket gagnant au jeu Cash, ticket parfaitement imité. Le chiffre de 100.000 euros inscrit sur le petit bout de papier a de quoi attirer la convoitise.
La victime espérait gagner 30.000 euros, elle en perd 10.000
Mais voilà, "l'heureux" possesseur du ticket se présente comme étant en situation irrégulière, ce qui l'empêcherait d'encaisser le gros lot. Il propose donc au restaurateur de l'encaisser lui-même et lui met le marché en main: 30% de la somme pour lui, soit 30.000 euros, avec une caution de 10.000 euros, car le pauvre sans-papiers a peur de se faire avoir par le commerçant. Pour mettre sa victime en confiance, l'escroc (qui est en réalité Parsien), appelle la Française des Jeux avec son portable en montrant le numéro composé au restaurateur. La communication coupe. Et il rappelle aussitôt... en composant le numéro d'un complice qui se faire passer pour un employé de la Française des Jeux. Le complice explique alors qu'un étranger en situation irrégulière ne peut pas, effectivement, encaisser le ticket. Un coup de fil qui finit par emporter la conviction du restaurateur. Ce dernier retire 10.000 euros en liquide et les donne à l'escroc en échange du ticket... qui est bien sûr refusé par le buraliste.
L'escroc berné par sa victime
Seulement, à malin malin et demi. Vendredi dernier, le restaurateur narbonnais retrouve l'escroc et lui propose une autre combine dans laquelle il peut à nouveau gagner 10.000 euros. Cette fois, la naïvieté a changé de camp. Le restaurateur prévient la police... qui arrête finalement l'escroc présumé venu au nouveau rendez-vous fixé.
En garde à vue, l'individu, domicilié en région parisienne, est resté bouche cousue, que ce soit sur les faits ou sur son complice. La police n'ayant pas trouvé trace sur lui du téléphone portable et des 10.000 euros, il a été remis en liberté lundi après-midi... mais avec une convocation devant le tribunal de Narbonne le 17 septembre. Alors, viendra? Viendra pas? 
 

jeudi 21 mai 2015

Loire: un cas de rage détecté sur un chien

Un cas de rage a été détecté sur un chien de race au Chambon-Feugerolles (Loire), probablement infecté lors d'un voyage à l'étranger, a averti la préfecture du département, en mettant en garde les personnes ayant pu être en contact avec l'animal. "L'Institut Pasteur a confirmé ce jeudi 21 mai 2015, un cas de rage chez un chien de race Bull Terrier détenu square Louis Huguet dans la commune du Chambon Feugerolles (42500)", a-t-elle précisé dans un communiqué.

L'animal est "mort dans la nuit du 17 au 18 mai 2015 après avoir mordu une personne de son entourage et le chien d'un voisin". Il avait au préalable été en contact avec "trois autres personnes de l'entourage proche du propriétaire", a ajouté la préfecture. Ces dernières ont été orientées vers le centre antirabique de l'Hôpital Nord de Saint-Etienne. Alors que la rage était présente il y a quelques années sur un grand tiers Est du pays, la France est désormais indemne de cette maladie mortelle, due à un virus transmis par les chien, les chats ou les carnassiers sauvages.

Les investigations conduites par les services de l'Etat, dont la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) et l'Agence régionale de santé (ARS) Rhône-Alpes, ont déterminé que le chien infecté "a circulé illégalement en pays non indemnes de la rage". L'origine géographique précise du virus n'a pas encore été déterminée.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/05/21/97001-20150521FILWWW00300-loire-un-cas-de-rage-detecte-sur-un-chien.php

Un homme se noie dans le Cher à Saint-Avertin (Indre-et-Loire)

Un homme est mort noyé ce mercredi après-midi à Saint-Avertin (Indre-et-Loire). Il aurait pris la fuite en raison de la présence des forces de l'ordre dans ce secteur. La police était sur place pour tenter d'appréhender le responsable présumé d'une violente agression. 
Un homme est mort par noyade ce mercredi après-midi en voulant traverser le Cher à Saint-Avertin en Indre-et-Loire. Il s'agirait d'un ressortissant de la communauté des gens du voyage qui aurait tenté de fuir le secteur, largement quadrillé par les forces de l'ordre.

Celles-ci étaient venues rechercher l'auteur d'une violente agression commise, quelques heures plus tôt, allée des mariniers. Un riverain a été tabassé après avoir demandé à un homme à moto qui circulait dangereusement dans la rue de ralentir. Il a été transporté au CHU de Tours et souffre d'un grave traumatisme crânien. Ce jeudi, son pronostic vital reste engagé.

L'auteur présumé de ces violences est toujours recherché. Le procureur de la République de Tours, Jean-Luc Beck a également précisé que, pour l'heure, aucun lien n'a été établi entre les deux affaires. Des enquêtes sont en cours pour éclaircir le déroulé des faits

http://france3-regions.francetvinfo.fr/centre/2015/05/20/un-homme-se-noie-dans-le-cher-saint-avertin-indre-et-loire-728831.html

Gard : deux adolescents grièvement brûlés par l’explosion d’un pétard artisanal

Un grave accident est survenu ce mercredi 20 mai à Domazan, dans le Gard. Deux adolescents de 14 et 15 ans ont été grièvement blessés par l’explosion d’un pétard qu’ils avaient eux même fabriqué, rapporte Midi Libre.
Ils voulaient simplement s’amuser, mais le jeu a mal tourné. Ce mercredi, deux adolescents ont réalisé un pétard artisanal, bourré de poudre à fusil. Celui-ci a explosé alors que les deux garçons y ont mis le feu avec une allumette. Une quinzaine de pompiers et de nombreux véhicules de secours en provenance de Villeneuve-lès-Avignon ont été dépêchés sur place pour venir en aide aux deux victimes, blessées au visage, aux mains et au torse. L’un des adolescents est brûlé à 60%, il a été héliporté vers l’hôpital de la Timone à Marseille, où se trouve un service des grands brûlés. L’autre, brûlé à 30%, a été hospitalisé à Lapeyronie, à Montpellier.
Une enquête a été ouverte par les gendarmes de la communauté de brigades de Remoulins pour déterminer les circonstances exactes de l’accident.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/21/2109200-gard-deux-adolescents-grievement-brules-explosion-petard-artisanal.html

10 ans de prison pour avoir tenté de tuer sa fille


mercredi 20 mai 2015

Disparition d'Estelle Mouzin: Monique Olivier, l'ex-femme de Fourniret, entendue

Doit-on s’attendre à une avancée dans la disparition d’Estelle Mouzin ? Monique Olivier, l’ex femme de Michel Fourniret, est actuellement interrogée à Rennes, sur la disparition mystérieuse de la fillette de 9 ans disparue en 2003 à Guermantes en Seine-et-Marne.
Monique Olivier, l’ex-femme de Michel Fourniret, aurait fait des confidences à des codétenues, rapporte le site de France Info. Elle aurait reconnu avoir menti à la police en fournissant à son ex-mari – surnommé l’ « Ogre des Ardennes » – un alibi pour le jour de la disparition d’Estelle Mouzin le 9 janvier 2003. Aux policiers, elle a certifié que Michel Fourniret était ce soir-là à leur domicile en Belgique, alors qu’elle savait que ce n’était pas le cas.
C’est l’une des codétenues de Monique Olivier qui a en parlé en sortant de prison. Cette femme a été entendue par les enquêteurs de la police judiciaire de Versailles cette semaine ainsi qu’une autre codétenue. Monique Olivier doit désormais s’expliquer sur ces révélations tardives.

Où était Fourniret le 9 janvier 2003 ?

Si Michel Fourniret n’était pas chez lui le 9 janvier, personne ne peut dire où était le tueur des Ardennes le jour de la disparition d’Estelle Mouzin. Michel Fourniret a toujours nié toute implication dans la disparition de la petite fille. Il affirme avoir téléphoné à son fils à 20 heures depuis son domicile en Belgique. D’où impossibilité qu’il soit en Seine-et-Marne, à 400 km de là, deux heures plus tôt, au moment de la disparition vers 18 heures.
http://www.lunion.com/467968/article/2015-05-20/disparition-d-estelle-mouzin-monique-olivier-l-ex-femme-de-fourniret-entendue

Une nourrice condamnée à cinq ans de prison

Enervée par les pleurs du bébé dont elle avait la garde, elle l'avait violemment secoué, lui occasionnant un handicap irréversible: une nourrice sans agrément de 45 ans a été condamnée aujourd'hui à cinq ans de prison ferme par la cour d'assises du Val-de-Marne. La peine est conforme à ce qu'avait requis hier l'avocat général, qui avait qualifié l'accusée d'"incompétente", "imprudente" et "violente".

Les faits remontent au 4 septembre 2008. Ce jour-là, les parents de Xiao, sept mois et demi, le confient à leur nourrice, une femme de 45 ans, elle-même mère de trois enfants. Alors qu'il était en parfaite santé le matin, quand sa mère revient le chercher le soir, ses yeux paraissent gonflés et il semble paralysé. Hospitalisé le lendemain, il tombera dans le coma 48 heures plus tard.

Présent dans la salle hier matin, l'enfant, aujourd'hui âgé de sept ans, est totalement aveugle et atteint d'une hémiplégie droite. Scolarisé dans une école spécialisée après avoir passé plus de deux ans à l'hôpital, il présente un important retard moteur cérébral. L'accusée avait une formation de comptable avant de devenir nourrice, une profession qu'elle exerçait sans agrément, pour arrondir ses fins de mois.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/05/20/97001-20150520FILWWW00197-une-nourrice-condamnee-a-cinq-ans-de-prison.php

Deux convoyeurs braqués au taser devant un distributeur

C'est un braquage manifestement préparé de longue date, avec repérage des horaires et de l'itinéraire de fuite qui s'est produit, hier soir, vers 18 h 30 à Decazeville.
Au mois deux et peut-être trois individus ont braqué deux employés d'une entreprise de transports de fonds toulousaine alors qu'ils rechargeaient un distributeur de billets de la Banque Populaire, avenue Cabrol, à 150 m du commissariat. Ils étaient armés de pistolets de type taser. L'un des braqueurs a d'ailleurs fait usage de cette arme à l'encontre d'un des convoyeurs. Les voleurs ont tenté d'ouvrir sur place une caissette de billets mais celle-ci était piégée et a explosé libérant de la peinture indélébile violette. Les voleurs prenaient alors la fuite à pied emportant avec eux la caissette qui laissait échapper l'encre.

Jeu de piste

Un témoin de la scène et les deux convoyeurs étaient immédiatement entendus par les policiers au commissariat de Decazeville, tandis que d'autres enquêteurs engageaient une véritable traque en suivant les traces au sol. Partant de l'avenue Cabrol, elles suivent la rue Clemenceau, longent le jardin Jarlan en passant à la gare routière, puis traversent la RD 840. Le porteur de la caissette a sauté par-dessus un grillage bordant la RD 840 pour rejoindre la rue du 4-Septembre. Il empruntait ensuite le raccourci des marcheurs du GR 65, passant par la route de l'Albrespic puis remontait la route de Viviole. C'est là, que les policiers ont perdu toute trace ; soit que la caissette était vide de son encre, soit qu'elle ait été entourée d'un linge ou placée dans un autre contenant. Une enquête de voisinage débutait hier soir. Compte tenu de la configuration topographique et de la longueur de la course – plus d'1 km – ils savent déjà que le porteur de la caissette tient une forme olympique !
L'encre indélébile et les témoignages devraient permettre aux enquêteurs de remonter jusqu'aux voleurs, vraisemblablement des jeunes «locaux».
http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/20/2107897-deux-convoyeurs-braques-au-taser-devant-un-distributeur.html

Drôme, trois suspects devant la justice après la mort d'un adolescent

Trois personnes soupçonnées d'être impliquées dans la mort d'un adolescent dans la nuit de vendredi soir à la sortie d'une discothèque, étaient entendues mardi soir par un juge d'instruction de Valence.
Trois personnes ont été présentées mardi soir à un juge d'instruction de Valence. Elles sont soupçonnés d'être impliquées dans le meurtre d'un adolescent vendredi soir à Baume-de-Transit (Drôme).
Une information judiciaire visant chacun des trois suspects a été ouverte dans la journée pour "assassinat, complicité et recel de malfaiteur", a indiqué le procureur de la République de Valence, Alex Perrin.
Ces trois personnes sont suspectées d'être impliquées dans le décès d'un adolescent de 17 ans, mortellement blessé à l'arme blanche vendredi soir à la sortie d'une discothèque à La Baume-de-Transit, dans le sud de la Drôme.
Parmi les interpellés figurent celui qui est présenté comme l'auteur principal des coups de couteau : un jeune homme âgé de 17 ans qui s'était présenté dimanche après-midi aux forces de l'ordre.
Le parquet a requis à son encontre un placement en détention provisoire, comme pour l'un de ses deux complices.
Selon les premiers éléments de l'enquête, le drame s'est noué sur fond de conflit personnel entre la victime et ses agresseurs. Un temps évoqué l'hypothèse d'un règlement de comptes autour d'un trafic de stupéfiants, n'est pas privilégiée par la justice.
Le juge d'instruction devra en revanche tenter de comprendre l'origine du conflit qui reste encore obscure.
En revanche, l'hypothèse d'un geste prémédité, "peut-être d'un guet-apens", a été retenue par les gendarmes. Le parquet a donc décidé d'ouvrir une information judiciaire pour "assassinat".
Selon le procureur, l'autopsie de la victime a permis d'établir qu'elle a été l'objet de plusieurs coups de couteau dont au moins un mortel, a touché le cœur. L'arme du crime n'a pour l'heure pas encore été retrouvée.

mardi 19 mai 2015

Isère: la voiture fauche un enfant et 4 adultes

Une voiture a percuté aujourd'hui en fin d'après-midi un groupe de piétons dont un enfant en bas âge à Péage-de-Roussillon (Isère), a-t-on appris auprès du procureur de la République de Vienne et des secours.

Plongé dans le coma, l'enfant âgé de quatre ans (bien quatre ans) a été transporté par hélicoptère dans un état jugé "sérieux" à l'hôpital pour enfants de Bron, dans la banlieue lyonnaise, a-t-on appris de mêmes sources confirmant une information du Dauphiné Libéré. Deux adultes ont également été percutés dans le choc et souffrent de "diverses contusions", a indiqué le procureur, Matthieu Bourrette.

Les premières informations délivrées quelques dizaines de minutes après le drame survenu vers 17h30, avaient fait état d'un groupe de quatre personnes et précisé que la principale victime était une fillette, un dernier élément qui n'a pu être confirmé avec certitude par le parquet en début de soirée.Selon les premiers éléments de l'enquête, ce drame serait d'origine accidentel.

Née en 1996, la conductrice mise en cause aurait perdu le contrôle de sa voiture, une Peugeot 206 et "n'aurait pas voulu délibérément foncer dans une foule", a souligné le procureur de la République. Une enquête pour "blessures involontaires à l'occasion de la conduite d'un véhicule ayant causé une ITT [incapacité totale temporaire] supérieure à trois mois" a été ouverte.

Sujette à une crise d'hystérie après être sortie de sa voiture, la conductrice a été difficilement maîtrisée par les gendarmes avant d'être conduite à l'hôpital. Elle devrait notamment y subir des tests toxicologiques avant d'être placée en garde à vue


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/05/19/97001-20150519FILWWW00396-isere-la-voiture-fauche-un-enfant-et-4-adultes.php
    

Corruption : le parquet veut un procès pour Neyret, l'ex-patron de la PJ de Lyon

Le parquet de Paris a requis le 13 mai le renvoi en correctionnelle, notamment pour corruption, de l'ancien «grand flic» Michel Neyret et de huit autres personnes, selon une source judiciaire ce mardi.
Outre l'ex-patron de la PJ lyonnaise, le parquet souhaite que soient jugés trois autres policiers, subordonnés de Michel Neyret, l'épouse de ce dernier, un avocat lyonnais et trois membres présumés du milieu, dans cette affaire de «ripoux» présumés qui avait ébranlé la police en 2011.

L'affaire était partie d'une enquête de la PJ parisienne sur un réseau international de cocaïne. L'un des suspects est une figure du milieu, Yannick Dacheville, en fuite.

Des écoutes téléphoniques étonnent les enquêteurs: un homme réputé proche du milieu lyonnais, Gilles Benichou, cherche des renseignements sur ce dont dispose la
justice sur ce Dacheville. Et en obtient courant 2011. A leur grande surprise, son informateur semble être Neyret, révoqué en septembre 2012.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/corruption-le-parquet-veut-un-proces-pour-neyret-l-ex-patron-de-la-pj-de-lyon-19-05-2015-4784279.php