jeudi 30 avril 2015

Un jeune homme de 24 ans toujours porté disparu dans le lac d'Annecy entre Menthon-Saint-Bernard et Talloires (Haute-Savoie)

Un jeune homme de 24 ans, qui faisait du canoë-kayak sur le lac d'Annecy, est porté disparu après avoir chaviré. Sa soeur, elle, a pu être secourue par un pêcheur. Les pompiers ont dû stopper les recherches mercredi 29 avril vers 20 heures, par manque de visibilité. Elles ont repris ce jeudi matin.
Mercredi soir, une quarantaine de pompiers aidés d'une quinzaine de gendarmes ont participé à ces recherches avec exploration aux abords du lac et bien sûr dans le lac. Les plongeurs sont descendus jusqu'à 48 mètres de profondeur pour tenter de retrouver la victime. En vain. Des recherches très difficiles en raison de la faible visibilité dans l'eau glaciale.

Ce jeudi, vers 9h15, reprise de l'opération. Les gendarmes vont faire venir un sonar suisse tracté par une embarcation. Un outil qui a déjà permis dans le passé de retrouver des corps au fond du lac d'Annecy. 
Les deux jeunes gens étaient partis faire une promenade sur le lac quand, pour une raison indéterminée, leur canoë a chaviré. Ayant pu s'accrocher à l'embarcation, la jeune femme de 26 ans a été secourue, très choquée et en état d'hypothermie, mais ses jours ne sont pas en danger. Son frère n'a pas été retrouvé. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/04/30/un-jeune-homme-de-24-ans-toujours-porte-disparu-au-lac-d-annecy-pres-de-talloires-haute-savoie-715239.html

Bayonne : le miraculé cherche toujours à remercier son sauveur

Le buraliste de la galerie marchande du supermarché Leclerc de Bayonne nord connaît l'homme qui a sauvé la vie de Jean-Pierre Picaud, Bayonnais de 62 ans, jeudi 9 mars. Mais cet homme - un Landais - ne souhaite pas être connu, ni remercié, et il a demandé au commerçant de ne pas communiquer son identité, regrette Jean-Pierre Picaud.
Ce jour-là, il est environ 11h30 quand Jean-Pierre et son épouse Marie-Dominique déambulent dans les allées du supermarché, chacun de leur côté. Le sexagénaire est victime d'un malaise et tombe sur le sol. Lorsque Marie-Dominique est appelée par les vigiles, elle découvre son époux à terre, à qui l'on prodigue des massages cardiaques. "Le monsieur lui a fait deux fois 30 massages cardiaques, cela l'a sauvé.''

"J'ai peur de lui avoir cassé les côtes"

De cet épisode, avec la présence à ses côtés, dans le supermarché, d'une infirmière, des vigiles, et du directeur, le Bayonnais ne garde aucune mémoire. Il s'est réveillé dans un lit à l'hôpital de Bayonne, où il avait été transporté par les pompiers d'Anglet.
Selon le diagnostic posé par les médecins, Jean-Pierre Picaud a été victime d'une crise d'épilepsie (ce qui ne lui était pas arrivé depuis 34 ans), et ''serait tombé dans le coma'', selon son épouse. Elle a vu le sauveur de son mari, qui lui a dit, après les massages cardiaques : ''J'ai peur de lui avoir cassé des côtes. Ce n'est pas grave, l'essentiel est qu'il soit là''.
Le Bayonnais n'a pas de côte cassée mais un merci à faire passer.
http://www.sudouest.fr/2015/04/30/bayonne-le-miracule-cherche-toujours-a-remercier-son-sauveur-1908401-3350.php

Au volant à 15 ans, elle percute un camion de pompiers et prend la fuite

Elle n’a même pas l’âge de faire la conduite accompagnée, pourtant une adolescente de 15 ans a emprunté la voiture familiale mercredi soir en compagnie de deux amies. Mais la virée a tourné court.
La conductrice a, en effet, percuté un camion de pompiers à Montreuil, en Seine-Saint-Denis, avant de prendre la fuite, abandonnant ses deux amies blessée dans le véhicule. La jeune fille a d’abord refusé la priorité avant « de percuter vers 22 heures un camion de sapeurs-pompiers qui circulaient avec ses avertisseurs sonores et lumineux », a expliqué une source proche de l’enquête. Selon une source policière, la contrevenante est ensuite sortie de la voiture et a pris a fuite à pied, laissant ses deux amies blessées à l’intérieur du véhicule.
Les pompiers, qui transportaient un homme alcoolisé, ont « dû sortir de leur camion pour désincarcérer l'une des deux et lui porter les premiers secours ». Âgée de 21 ans, la jeune femme souffre d’une plaie à la tête et a été hospitalisée mais ses jours ne sont pas en danger. Blessée moins gravement, la seconde, âgée de 14 ans, a « des douleurs cervicales », a précisé cette source.
La conductrice, originaire d’Aulnay-sous-Bois, n’était pas connue des services de police. Elle devait être interpellée prochainement, selon la source policière.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/04/30/2096873-volant-15-ans-percute-camion-pompiers-prend-fuite.html

mercredi 29 avril 2015

La Piarre : le pilote meurt dans un accident de planeur

Un ressortissant suisse a trouvé la mort dans un accident de planeur, ce midi, à La Piarre.  L’engin a été retrouvé tout près du sommet de la montagne d'Aiguille, à l'est de la commune. C’est un témoin qui a donné l’alerte. Les secours ont été engagés dans la foulée dont l’hélicoptère du Peloton de gendarmerie de  haute montagne de Briançon qui a survolé la zone. Les sapeurs-pompiers sont également intervenus. Selon nos informations, le pilote était seul à bord. La Gendarmerie des transports aériens (BTA) de Marseille devrait se rendre sur place dans l'après-midi.
http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2015/04/29/la-piarre-le-pilote-meurt-dans-un-accident-de-planeur

Un enfant de 2 ans s'ébouillante au domicile familial à Grenoble (Isère)

Vers 22heures, hier soir, un banal accident a causé d’effroyables brûlures à un enfant de deux ans à son domicile familial. De manière accidentelle, la victime s'est renversée de l'eau bouillante sur le corps du cou jusqu'à l'abdomen.

Présentant de graves brûlures au troisième degré, l'enfant a été médicalisé par un infirmier sapeur-pompier puis par un médecin du Smur avant d'être transporté au service déchocage de l'hôpital Michallon de Grenoble. Son pronostic vital n'est cependant pas engagé.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/04/29/un-enfant-de-2-ans-s-ebouillante-au-domicile-familial-grenoble-isere-714497.html

Saint-Nazaire: Appel à témoin après la disparition inquiétante d'une ado de 15 ans

hebergement d'image Les recherches se poursuivent. Depuis samedi, Paola Petinga-Vagos, une adolescente de 15 ans, n'a donné aucune nouvelle. Elle a été vue pour la dernière fois allée des Jacinthes à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), à 4h du matin.
La jeune fille, dont la disparition est qualifiée d'inquiétante, n'est en possession ni de téléphone ni de pièce d'identité. Elle mesure 1m60, a les cheveux bruns mi-longs, et était vêtue lors de sa disparition d'un legging noir et d'un pull court rouges à manches longues. Un appel à témoin à été lancé par le parquet, mardi.

Pas de lien avec le jeu des 72 heures

Les enquêteurs parlent d'une «fugue suivie d'une disparition». Il n' y a aucun amalgame à faire avec la mode actuelle du jeu des 72 heures, précisent-ils. La famille, très inquiète, s'engage à ne pas la réprimander à son retour.
Toute personne ayant des informations peut contacter la Brigade de la protection de la famille au commissariat de Saint-Nazaire, au 02 51 76 17 00.
http://www.20minutes.fr/nantes/1598127-20150429-saint-nazaire-appel-temoin-apres-disparition-inquietante-ado-15-ans

Sonia, victime de violences conjugales

«Je témoigne pour les autres femmes». Sonia a le courage de parler des violences que lui a fait subir son mari. Elle a reçu l'aide de l'association «Du côté des femmes».
Sonia, une intérimaire muretaine, mère de cinq enfants, a trouvé le courage d'affronter un mari violent. Aujourd'hui, elle est divorcée, son mari est en prison et elle tient à raconter les violences qu'elle a vécues pendant 17 ans et dont elle garde encore les stigmates aujourd'hui.
Quand ces violences ont-elles commencé ?
Dès le premier jour de notre mariage, j'ai pris une claque. Ensuite, il me frappait quand il avait eu une mauvaise journée au travail, quand il était de mauvaise humeur, à coups de poing ou avec des objets, un jour, avec un tabouret. J'ai des cicatrices partout. C'était aussi un maniaque du ménage et il me frappait quand il y avait un peu de bazar. Si j'obéissais, ça allait. Il m'a ensuite interdit de sortir avec mes copines et m'a coupée de ma famille. Je n'ai rien dit, je n'ai jamais porté plainte, même quand certains médecins me disaient qu'il y avait des associations pour m'aider. J'étais une femme soumise, sous son emprise.
Un jour, pourtant, vous avez décidé de réagir…
Oui, quand les enfants ont eu 12/13 ans et qu'il a commencé à les battre. Quand ma fille pleurait, je me disais que c'était de ma faute, que j'étais restée trop longtemps avec lui. Un jour, ma fille aînée a fait une fugue, ça a été le déclic. J'ai prévenu les gendarmes, nous nous sommes séparés et après, j'ai demandé le divorce. Sa famille m'est tombée dessus, par contre, j'ai eu le soutien de la mienne à qui je n'avais rien dit. Mais il ne l'a pas accepté, j'ai vécu l'enfer. Ça continue, je reçois des insultes et il y a 15 jours, il m'a violemment frappée sur le parking en bas de chez moi. Il est passé en comparution immédiate et a été condamné à 18 mois de prison ferme.
C'est alors que vous êtes allée voir l'association «Du côté des femmes» ?
Oui, j'avais vu l'affiche chez le médecin. Je ne m'habillais plus, je ne sortais plus. J'ai été écoutée, entendue, et on m'a fait comprendre que tout ça, ce n'était pas de ma faute, ce qu'il avait réussi à me faire croire. J'ai tenu le coup, je suis fière de moi, je prends de l'assurance. Je remercie les gendarmes de Muret, les témoins de mon agression, mon avocate qui m'ont aidée et soutenue. Je veux dire aux femmes qui subissent les mêmes choses que moi qu'on peut vivre une vie sans violence. Je me suis promis qu'il ne m'empêchera pas de vivre
 

mardi 28 avril 2015

Gers : une collision frontale fait une victime à Miélan

Terrible collision frontale lundi soir, peu avant 17 h 30, sur la route nationale 21, entre deux véhicules. L'accident a coûté la vie à une habitante de Vic-en-Bigorre.
En dépit de leurs efforts, les secours n'ont rien pu faire pour réanimer cette femme de 82 ans qui était en arrêt cardio-ventilatoire quand ils sont arrivés sur les lieux du drame. Grièvement blessés, les trois autres occupants des deux véhicules, des sexagénaires, ont été transportés vers les centres hospitaliers d'Auch et de Tarbes, dont un par hélicoptère.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie afin de déterminer les circonstances et les causes exactes de cet accident, peut-être dû à la chaussée rendue très glissante par les fortes précipitations. C'est la communauté de brigades de Marciac qui est en charge de l'enquête.
http://www.sudouest.fr/2015/04/28/le-choc-fait-une-victime-1905778-2277.php

Affaire Hélène Pastor: Cinq nouvelles arrestations

De nouvelles pistes dans l'affaire Hélène Pastor ? L'enquête vient de donner lieu à cinq nouvelles interpellations à Marseille après l'assassinat de la milliardaire monégasque et de son chauffeur Mohamed Darwich, le 6 mai 2014, à Nice.
Placées en garde à vue, ces personnes sont «susceptibles d'avoir fourni des moyens, notamment en armes et munitions, aux auteurs des faits», a indiqué mardi une source proche de l'enquête. Ces cinq arrestations étaient ordonnées dans le cadre d'une commission rogatoire délivrée par le juge d'instruction Christophe Perruaux.

Déjà sept mises en examen

Mercredi dernier, il avait fait organiser une reconstitution devant l'hôpital niçois de L'Archet, où Hélène Pastor et son employé avaient été pris dans un guet-apens. Samine Saïd Ahmed, l'homme suspecté d'avoir tiré les coups de feu mortels avait refusé d'y prendre part, une fois arrivé sur les lieux. Le guetteur Alhair Hamadi avait, lui, accepté de rester.
Dans ce dossier, le gendre de la milliardaire, Wojciech Janowski, avait avoué être le commanditaire de ce double assassinat avant de se rétracter. Pascal Dauriac, son coach sportif, est de son côté soupçonné d'être le recruteur présumé des hommes de main marseillais et organisateur de ce «contrat».
Sept personnes sont déjà mises en examen pour ce double assassinat
http://www.20minutes.fr/nice/1596955-20150428-affaire-helene-pastor-cinq-nouvelles-arrestations

Un couple agressé à Labège recherche des témoins

Marion et Bounouar, jeune couple de Toulousains, n'avaient pas envisagé de passer leur samedi soir aux urgences de Rangueil.Ils ont été agressés en cours de route, à Labège, par deux individus et lancent aujourd'hui un appel à témoins pour tenter de retrouver la trace de leurs agresseurs. «Samedi vers 21h30, j'étais au volant de ma voiture et mon compagnon était à mes côtés. À Labège, non loin du cinéma, sur la D916 en direction d'Escalquens, une voiture roulait devant moi en zigzaguant. Cette voiture, une Ford Fiesta blanche a calé. Puis elle a reculé pour finalement heurter l'avant de mon véhicule. J'ai klaxonné ce qui a énervé le conducteur», raconte Marion, 24 ans. Deux hommes sont sortis de la Ford. «Ils ont agressé mon copain qui a essuyé des coups de poing au visage. On lui a jeté une bouteille en pleine face.» Alors qu'il maîtrisait l'un de ses agresseurs, il a reçu un coup de poing derrière la tête. La victime a tenté de calmer les assaillants qui ont finalement pris la fuite. Le jeune homme, blessé au visage, est parti aux urgences. Une plainte a été déposée.

Toutes personnes qui auraient assisté à la scène peuvent se signaler auprès de la victime au 0782652135
http://www.ladepeche.fr/article/2015/04/28/2095396-un-couple-agresse-a-labege-recherche-des-temoins.html

lundi 27 avril 2015

Une jeune fille de 15 ans se tue en chutant du huitième étage à Seyssins (Isère)

Dans la nuit du dimanche 26 avril au lundi 27 avril, une jeune fille de 15 ans a trouvé la mort à Seyssins. Pour des raisons encore inconnues, vers 22h, elle a chuté de huitième étage d'un immeuble situé avenue de Grenoble
Le drame s'est déroulé aux alentours de 22h sur la commune de Seyssins. Une jeune fille a chuté du huitième étage d'un immeuble, une chute fatale puisqu'à leur arrivée sur les lieux, les sapeurs-pompiers et du Samu n'ont pu constaté que son décès.

Les causes précises de ce drame restent encore indéterminées. Selon le Dauphiné Libéré, ce serait à la suite d'un dispute entre la jeune fille et son père que le drame serait survenu. Le procureur de la République s'est rendu sur place.

Une enquête de gendarmerie est en cours pour faire la lumière sur cette affaire. Elle a été confiée à la compagnie de gendarmerie de Grenoble. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/04/27/une-jeune-fille-de-15-ans-se-tue-en-chutant-du-huitieme-etage-seyssins-isere-712889.html

Sept blessés dont deux graves dans un accident à Avrainville

Deux femmes de 56 et 60 ans ont été gravement blessées, ce dimanche après-midi, dans un accident de la circulation, à Avrainville. Vers 17 h 45, les pompiers sont alertés. A leur arrivée sur place, sept personnes sont touchées, dont cinq légèrement, à la suite d’une collision entre deux voitures.

L’une des victimes est héliportée vers un hôpital parisien, l’autre est désincarcérée avant d’être transférée dans un centre hospitalier de la région. Selon les premiers éléments de l’enquête, confiée à la gendarmerie, un des deux véhicules sortait de la N 20. En arrivant sur la CD 19, la voiture se serait déportée sur la gauche pour une raison encore inconnue et aurait percuté un véhicule circulant en sens inverse.
http://www.leparisien.fr/avrainville-91630/sept-blesses-dont-deux-graves-dans-un-accident-a-avrainville-27-04-2015-4728503.php

Un véhicule endommage la devanture, le chauffeur s'enfuit...

Samedi vers 11 h 45, un véhicule a percuté les éléments de décoration et de protection des clients du bar-restaurant «Le vieux Quercy», route de Lugagnac à Limogne. Heureusement, le samedi est le jour de repos de l'établissement qui n'ouvre qu'à 17 h 30, car nombreux sont les clients du bar et même de la Maison de la presse qui passent ou stationnent devant l'établissement. Un ancien évier scellé sur son socle a été très endommagé, l'impact a vraisemblablement dû causer d'importants dégâts sur le véhicule qui l'a percuté. Ce n'est pas la première fois que cela arrive, la vitesse des véhicules ne semble pas toujours adaptée à la configuration des lieux ; une pétition avait d'ailleurs recueilli de nombreuses signatures il y a trois ans. Quant au véhicule en cause, son conducteur a pris la fuite avant l'arrivée des gendarmes. Une enquête est en cours afin d'identifier le véhicule et de retrouver l'auteur des dégradations.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/04/26/2094294-un-vehicule-endommage-la-devanture-le-chauffeur-s-enfuit.html

Montmédy : 41 g de résine de cannabis au parloir

Samedi, déjà, un contrôle au parloir de la prison de Montmédy avait permis de trouver, 28 grammes de résine de cannabis et divers objets dans le soutien-gorge d’une demoiselle venant visiter un détenu.
Ce dimanche, c’est dans cette même pièce de lingerie portée par une jeune femme de 23 ans, originaire de Nancy et venant visiter, elle aussi un détenu, que 41 grammes de résine de cannabis ont été trouvés.
En effet, une opération similaire avec le chien de recherche de produits stupéfiants du PSIG de Verdun avait été mise en place dimanche matin. Les gendarmes de la communauté de brigades de Montmédy sont chargés de l’affaire.
La jeune femme est convoquée devant le tribunal correctionnel de Verdun le 1er juillet prochain.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-verdun/2015/04/27/montmedy-41-g-de-resine-de-cannabis-au-parloir

dimanche 26 avril 2015

Les incendiaires s'en prennent à la police

La nuit de vendredi à samedi a été particulièrement agitée dans le quartier tarbais de Laubadère. Au départ, des jeunes s'étaient rassemblés pour célébrer un anniversaire, au pied des immeubles situés à l'angle de l'avenue Antoine de Saint-Exupéry et du boulevard de Garigliano. À 2 h 50, ils ont commencé à mettre le feu à des containers poubelles. Les pompiers, appuyés des services de police sont intervenus. C'est alors qu'un individu a jeté un projectile sur le véhicule des forces de l'ordre, dégradant la portière du conducteur. Un jeune majeur a été interpellé et placé en garde à vue. Peu après, à 3 h 30, un container enflammé a de nouveau été balancé au milieu de l'avenue. Ce qui a nécessité une nouvelle intervention. Nouvelles violences : plusieurs personnes, postées dans la pénombre ont balancé des cailloux, des canettes et des bouteilles sur les forces de police qui intervenaient pour protéger les pompiers. Un mineur, cette fois, a été interpellé. Les deux mis en cause étaient fortement alcoolisés et sont défavorablement connus des services de police pour des faits similaires. À l'issue de la garde à vue, hier, en fin d'après-midi, ils ont été laissés libre mais munis d'une convocation en justice.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/04/26/2094262-les-incendiaires-s-en-prennent-a-la-police.html

Tentative de suicide et colis suspect gare de Toulon

La gare de Toulon a été le théâtre d'une tentative de suicide ce samedi après-midi. Comme signalé précédemment, un TGV a heurté une personne vers 14h15. Il s'agit en fait d'un homme de 75 ans qui s'est jeté sur la rame. Le désespéré est entre la vie et la mort, rapporte le site de Var-Matin.

Par ailleurs, la découverte d'un colis dans le même train, le hall a dû être évacué par les forces de l'ordre. Entre 15h40 et 17h aucun passager n'a pu monter dans son train pour ce premier jour des vacances.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3378699/tentative-de-suicide-et-colis-suspect-gare-de-toulon.html

samedi 25 avril 2015

Grave accident à Onnion, en Haute-Savoie

Une collision a fait quatre blessés dont deux graves, ce vendredi 24 avril au soir. Sur la Route Départementale 26, qui traverse Onnion, le choc a été d'une rare violence. 
L'accident a eu lieu vers 21h20. Deux voitures se sont heurtées de plein fouet après une infraction commise par l'un des conducteurs qui dépassait sur une ligne continue. "Une collision à haute cinétique", selon les pompiers. Au final, une personne a été très grièvement blessée et transportée par hélicoptère à l'hôpital d'Annecy. Un autre blessé grave et deux blessés plus légers ont, eux, été pris en charge au Centre hospitalier Alpes Léman. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/04/25/grave-accident-onnion-en-haute-savoie-711983.html

OISE Une fillette de 9 ans approchée par un mystérieux fourgon blanc

À Autheuil-en-Valois, une fillette de 9 ans a été abordée par trois hommes. Dans le village voisin de Thury-en-Valois, au moins quatre adolescentes ont subi la même chose. Le maire a appelé à la vigilance.
Ce vendredi midi, la mère de famille est venue chercher sa fille en voiture, 10 minutes avant la sortie d’école pour la pause déjeuner. Depuis le 14 avril dernier, cette femme de 53 ans surveille de près la fillette de 9 ans. Pas question de la laisser seule dans la rue.
Céline (le prénom a été changé) explique ce qui lui est arrivé ce jour-là, à Autheuil-en-Valois, village du sud-est de l’Oise. À 16 h 15, elle sort de son école, accompagnée d’une copine, pour se rendre chez sa grand-mère qui habite à quelques centaines de mètres de là. Devant le domicile de sa copine, qui rentre chez elle, un fourgon blanc la double. Elle continue de marcher. Et un peu plus loin, elle aperçoit l’utilitaire faire demi-tour, puis s’arrêter à sa hauteur. «  Ils m’ont dit tu habites où ? Monte, on va t’emmener  ». L’écolière répond «  juste-là  », et elle part en courant chez sa grand-mère. «  J’ai eu très peur  », réagit Céline.

Un véhicule a coincé
l’une des adolescentes

Pour la mère de l’enfant, l’enlèvement de Berenyss, 7 ans, en Meurthe-et-Moselle jeudi, et le rapt suivi du meurtre de Chloé à Calais (Pas-de-Calais) le 15 avril, aggravent ses craintes actuelles. «  Quand ma fille a vu l’affaire de Chloé aux informations, elle a écarquillé les yeux, et a demandé ce qui lui serait arrivé si elle était montée dans le fourgon  ».
Un signalement a été fait aux gendarmes. Et Céline a été entendue par les militaires. Elle leur a décrit trois hommes, ainsi que le fourgon. L’affaire semble prise au sérieux par les autorités. Parce qu’elle n’est pas un cas isolé.
Dans le joli petit village où habite la fillette, à Thury-en-Valois, quatre à cinq adolescentes ont vécu la même chose, et de façon beaucoup plus violente pour certaines, les 1er et 2 avril derniers. «  Ma fille, qui a 16 ans, descendait du car scolaire quand deux hommes dans un véhicule l’ont abordée. Ils étaient mal habillés, la peau mate. Ils lui ont dit qu’elle était bonne, ils voulaient qu’elle monte avec eux  », raconte cette autre mère de famille.
Dans le village, on raconte comment une autre adolescente a assisté à une scène beaucoup plus violente, les individus l’ayant coincée avec leur véhicule. Selon les témoins, des véhicules différents ont été utilisés par les perturbateurs, dont ce fourgon blanc.

Un appel à la vigilance lancé par le maire du village

Sur les vitres de l’épicerie du village, le maire a affiché un appel à la vigilance. Il indique que «  ces hommes étaient assez agressifs et insistants  » : «  Les services de la gendarmerie ont été alertés et des patrouilles vont être mises en place. »
Peu de temps après les faits concernant les adolescentes, ces dernières, accompagnées de leurs parents, se sont réunies avec les gendarmes : «  Elles ont toutes raconté ce qui leur était arrivé. Les gendarmes nous ont dit de surtout noter le numéro d’immatriculation des véhicules si cela se produit encore. »
http://www.courrier-picard.fr/region/oise-une-fillette-de-9ans-approchee-par-un-mysterieux-ia0b0n558256

Ils écumaient la Bourgogne, la Franche-Comté et l’Aube, deux serials braqueurs Dijonnais interpellés par la PJ

Besançon. Faut-il y voir une préfiguration, mais du mauvais côté de la force, de la future grande région Bourgogne Franche-Comté ? Trois braquages rapprochés qui ont enflammé les esprits sur Besançon étaient le fait de deux frères venus de Dijon. Ils sont désormais tous les deux sous les verrous.

Tombé à Troyes

Le premier a été interpellé incidemment à Troyes, dimanche dernier, après une série de quatre braquages et tentatives, commis à l’encontre d’enseignes Lidl, Quick, Aldi et Dia, dans l’Aube. Son frère dont il s’était séparé après leur dernier forfait perpétré à Besançon, était activement recherché par la Police judiciaire qui vient de l’interpeller.
C’est après ce dernier méfait que les policiers ont enfin pu mettre des noms sur la silhouette de deux hommes encagoulés qui, dans la même journée du jeudi 9 avril, s’étaient attaqués aux magasins Conforama de la zone de Châteaufarine à Besançon le matin et Métro, à Châtillon-le-Duc dans la soirée. Pour une raison indéterminée, ils avaient abandonné la Fiat 500 noire qu’ils utilisaient depuis plusieurs semaines pour commettre leurs braquages, avec leurs cagoules et une arme de poing dans le coffre.
Cette même voiture était dans le collimateur des enquêteurs. Elle avait en effet été signalée lors de 11 autres vols à main armée commis précédemment en Côte-d’Or et Saône-et-Loire.

Onze en Bourgogne

Les deux hommes étaient également soupçonnés d’être les auteurs du braquage coup sur coup de deux Leader price, à Choisey dans la banlieue de Dole et dans la zone commerciale d’École-Valentin dans le Doubs, les 27 et 28 mars.
Le signalement des braqueurs, leur mode opératoire était à chaque fois le même. Opérant à l’ouverture ou à la fermeture des magasins, ils s’étaient plus ou moins spécialisés dans les enseignes de distribution, avec plus ou moins de bonheur aussi. Leur butin variait de quelques dizaines à quelques milliers d’euros, sans atteindre des sommes pharamineuses.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/04/24/ils-ecumaient-la-bourgogne-la-franche-comte-et-l-aube-deux-serials-braqueurs-dijonnais-interpelles-par-la-pj

vendredi 24 avril 2015

Narbonne : voulant échapper à un contrôle, le conducteur provoque un accident, 2 blessés

Dans la nuit, vers minuit, un conducteur a provoqué un accident sur la Nationale 9 à hauteur de Montplaisir. C'est en tentant d'échapper à un contrôle des douanes que l'accident a eu lieu.
Dans sa fuite, le chauffard est entré en collision avec une autre voiture. Blessés, les deux occupants ont été évacués au centre hospitalier de Narbonne. Une enquête est ouverte afin de déterminer les motivations exactes de ce conducteur pour refuser d'obtempérer
http://www.lindependant.fr/aude/narbonne/

Bassin d'Arcachon : un nageur attaqué par le phoque You

C'est arrivé le 13 avril vers 13 heures sur la plage de la Lagune : le phoque You a attaqué un pharmacien normand originaire de La Teste-de-Buch qui nageait dans les vagues. "Il m'a attaqué, j'en suis sûr, raconte cet homme qui s'entraînait pour la saison des triathlons. J'étais seul dans l'eau et en rentrant vers la plage, à une profondeur d'un mètre, j'ai vu une masse de couleur brun sable, avec des reflets, foncer sur moi comme une torpille. vraiment comme une torpille, à pleine vitesse. Je n'ai pas senti de choc mais une morsure au niveau de mon mollet droit."
J'ai vu une masse de couleur brun sable, avec des reflets, foncer sur moi comme une torpille. vraiment comme une torpille, à pleine vitesse.

Une morsure d'avertissement

Avant d'aller à l'eau, le pharmacien avait vu le phoque jouer sur le sable avec des promeneurs. "Et puis dans l'eau, le phoque est totalement sorti de mon esprit. Je nageais, je m'entraînais. Jusqu'à ce qu'ils fonce vers moi. J'ai été vraiment déstabilisé, il n'avait pas la même couleur que sur la plage. Je ne l'ai pas reconnu au début et puis je n'ai pas réfléchi sur le moment. Mais j'ai vraiment le sentiment qu'il est venu vers moi pour me mordre, parce qu'il est arrivé de loin. Peut-être que j'étais dans sa zone et que c'était une morsure d'avertissement. C'était flippant, oui."
"Dès que je bougeais, il bougeait alors je suis resté immobile. je ne sais pas, ça a peut-être duré quelques minutes."
"Dans l'eau et les vagues, le triathlète a mis sa main sur le cou du phoque, pour le maintenir à distance. "Dès que je bougeais, il bougeait alors je suis resté immobile. je ne sais pas, ça a peut-être duré quelques minutes." Et puis une vague plus grosse que les autres lui a fait lâcher You. " Il en a profité pour m'attraper le poignet opposé sans serrer les dents. Peut-être, là, jouait-il, je ne sais pas. Il était un peu comme un chien fou. Il a serré la première fois, mais pas là. Petit à petit j'ai reculé vers la plage et quand la profondeur a été moindre, il est parti".
C'est alors que le pharmacien a découvert que le sang coulait sur son mollet droit. "Je me suis mis sous antibiotique à titre préventif." Il a aussi signalé l'incident à la délégation arcachonnaise de la direction départementale des Territoires et de La Mer.

Un incident au cap Ferret

Un autre incident a été repéré sur la plage de l'Horizon, au Cap Ferret. Une internaute a en effet posté une photo de la morsure très claire sur une combinaison de surfeur avec cette légende : "Attaqué par un phoque."

http://www.sudouest.fr/2015/04/24/bassin-d-arcachon-le-phoque-you-attaque-un-nageur-1902511-3246.php

Agen : un buraliste met en fuite deux jeunes braqueurs

Depuis dix-huit ans qu'il est installé au 16, boulevard de la République, Jean-Louis Chancel touchait du bois. « Ça ne pouvait pas durer », se disait hier après-midi le buraliste. Presque philosophe. Sa journée, en tout cas, s'est déroulée comme d'habitude, ou presque. Il n'a pas eu le temps d'avoir peur et, peut-être, n'a-t-il pas encore réalisé. Ce jeudi matin à 7 h 30, en revanche, l'ouverture s'est avérée plus plus compliquée que d'habitude.
Jeux de grattage
« C'était une vraie arme ? », lui demande un client. Il n'en sait rien et ne s'est visiblement pas posé la question. Tout est allé très vite : « Ils m'ont braqué depuis l'extérieur, raconte-t-il. Moi, j'ai cru à une blague qu'on me faisait. Plus quand ils se sont approchés toujours en me visant et en hurlant ‘‘La caisse ! La caisse !'', j'ai compris que ce n'était pas le cas. » Au lieu de s'exécuter, Jean-Louis Chancel n'a écouté que son courage. « À moins que ce soit de l'inconscience », relève-t-il.
"Foutez-moi le camp ou je fais le tour du comptoir pour vous donner de l'élan"
Son réflexe, par nature incontrôlé, s'est montré très efficace : « J'ai crié ‘‘ Foutez-moi le camp ou je fais le tour du comptoir pour vous donner de l'élan. » Effet immédiat : les deux complices ont détalé. Sans butin ou presque, puisqu'ils ne sont parvenus qu'à arracher quelques jeux de grattage qui dépassaient du présentoir.
« C'était des amateurs », analyse un client. « Heureusement, souffle le buraliste. Je m'étais évidemment déjà posé la question de savoir comment je réagirais si ça m'arrivait un jour. Mais quand c'est le cas, on fait comme on peut… »

Appel à témoins

Rapidement après les faits, les policiers agenais, dont le commissariat est proche, sont intervenus et ont ratissé le quartier. En vain. Et cette fois, ils ne pourront pas exploiter les bandes de la vidéosurveillance du commerce, le tabac-presse n'en est pas équipé.
Afin de faire progresser l'enquête qui débute, les policiers agenais (1) demandent à toute personne susceptible d'avoir croisé les deux jeunes individus dans un périmètre proche du commerce aux alentours de 7 h 30, hier, de les contacter. Il s'agirait de deux jeunes hommes, âgés d'une vingtaine d'années. L'un mesurerait environ 1,80 m, l'autre 1,70 m. Au moment des faits, les deux portaient apparemment des gants de moto et un foulard pour dissimuler leur visage.
http://www.sudouest.fr/2015/04/24/les-deux-braqueurs-n-ont-pas-fait-un-tabac-1901982-3603.php

Avis de recherche : nouvelle disparition d'une jeune fille dans l'Aude

Mélissa Kabous. Mlle Mélissa Kabous, 16 ans, a quitté son domicile familial de Lézignan-Corbières le mardi 21 avril vers 13 h 30. Depuis, elle n'a pas été retrouvée. Toute personne susceptible de fournir des renseignements permettant de la retrouver, peut informer la gendarmerie de Lézignan-Ginestas aux numéros suivants : 04 68 27 06 14 ou 04 68 46 12 23 ou le 17.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/04/24/2093243-avis-recherche-nouvelle-disparition-jeune-fille-aude.html

Rhône. Saint-Priest: deux hommes blessés par arme à feu dans des circonstances très confuses

L’alerte a été donnée ce jeudi à 5h20, par des riverains de la rue Aristide-Briand à Saint-Priest, réveillés par le bruit d’une altercation puis des coups de feu. A l’arrivée des forces de l’ordre, un homme gisait à terre, à la hauteur du numéro 61 et trois autres hommes le passaient à tabac.
Il avait reçu un projectile dans la fesse, vraisemblablement tiré par une arme de poing. Les trois agresseurs ont été aussitôt interpellés et placés en garde à vue. Le blessé a été hospitalisé.
Au même moment, la police a été avisée qu’un homme présentant une blessure par balle à la cuisse venait de se présenter dans une clinique de Saint-Priest et d’être transféré vers l’hôpital Édouard-Herriot. Son pronostic vital pouvait être engagé, en raison d’une forte hémorragie, mais ses jours ne sont plus en danger.
Un lien a aussitôt été fait entre ces deux affaires, car quatre des cinq protagonistes, dont les blessés, se connaissent bien
http://www.leprogres.fr/rhone/2015/04/23/saint-priest-deux-hommes-blesses-par-arme-a-feu-dans-des-circonstances-tres-confuses

jeudi 23 avril 2015

Poitou-Charentes : folle course-poursuite et interpellation musclée pour un vol d'auto-radio

Les gendarmes ont lancé la poursuite à Pons, en Charente-Maritime. Les policiers ont interpellé les malfaiteurs à Cognac, en Charente
Deux hommes de 20 et 26 ans, auteurs d'un vol à la roulotte en Saintonge, ont été interpellés mardi vers 21 heures à Cognac, à l'issue d'une folle course-poursuite.
Le larcin (le vol d'un autoradio) se produit vers 20 heures, à Pons, en Charente-Maritime. Les deux hommes fuient en direction de la Charente. Les gendarmes déclenchent le plan Épervier. À l'entrée de Cognac, le véhicule est repéré par une patrouille de police. Délit de fuite.
La voiture emprunte un giratoire puis une portion de la RN 141 en sens inverse. Les policiers perdent la trace du véhicule, dont la course éperdue met en danger la vie d'autrui. Puis les deux individus sont finalement interpellés - non sans mal - dans le quartier de Crouin.
Le conducteur, ivre, s'est rebellé et a insulté les représentants des forces de l'ordre. Mercredi soir, les deux hommes - connus pour des faits similaires et des violences volontaires - étaient toujours en garde à vue.
http://www.sudouest.fr/2015/04/23/faits-divers-1900607-4584.php

Un fils se bat à Perpignan : mort depuis trois ans, le corps de son père est toujours sous scellés

Georges-Camille Bouthier est mort en 2011 dans une maison de retraite de Perpignan. Depuis, son fils se bat pour récupérer son corps et le faire incinérer.
"Mon père voulait mourir correctement. Il voulait être incinéré dans son uniforme d'officier et que ses cendres soient répandues au jardin du souvenir à Canet. Mais je ne peux pas respecter ses dernières volontés. Son corps est dans une caisse quelque part et la justice refuse de me le rendre depuis plus de 3 ans." Jean-Claude Bouthier ne voit pas le bout de ce compte-à-rebours déboussolé et surréaliste qui le sépare du moment où il pourra enfin dire adieu à son père. Et offrir le digne départ que Georges-Camille Bouthier "a gagné avec son sang de militaire de carrière".
Toute une vie au service de la Nation, dans l'armée de terre, l'infanterie de marine et les parachutistes, de la Guerre d'Espagne à la Résistance, la Guerre de Corée, l'Indochine, le Caire, la Centrafrique, le Tchad… Venu s'installer à Saint-Estève, l'homme "très actif et très brillant" coulait ainsi une retraite paisible entre lecture et rencontres d'anciens combattants. "Puis, il est tombé en Alzheimer, ce n'était plus gérable. Il a été hospitalisé en 2006 et placé à Perpignan, à la Miséricorde, en 2008. Son amie allait le voir tous les jours. Mais, il commençait à dépérir, il ne me reconnaissait plus." Jusqu'au coup de fil du 1er octobre 2011 et cette terrible nouvelle.
"On m'a dit qu'il était décédé de mort violente. Je suis venu à Perpignan. La police m'a dit que l'on était dans un cas qui allait dépendre de la justice et que le médecin refusait de signer le permis d'inhumer." Le début d'une très longue attente… Les investigations permettent d'établir que le vieil homme, âgé de 87 ans, a été retrouvé mort au pied de son lit dans l'établissement où il résidait et qu'il était entravé par un drap mis en place comme système de contention. "C'est une atteinte à la liberté et à la dignité humaine. Je ne jette pas la pierre aux infirmières. Mon père n'était pas grabataire, c'était une force de la nature. En fait, comme elles n'arrivaient pas à le maîtriser, on apprend qu'elles avaient pris l'habitude de l'attacher toute la matinée. Je n'ai jamais été au courant. Mon père s'est battu toute sa vie pour la liberté et le respect des autres. L'idée qu'il était attaché toute la journée m'est insupportable. Et à 2 000 euros par mois… Sans compter les 400 euros que l'hôpital nous a fait payer pour la chambre funéraire
"En glissant du lit, il a été étranglé par ce dispositif qui avait été mis en place la veille. L'une des deux barrières du lit n'avait pas été relevée, précise encore Me Philippe Capsié, l'avocat du fils de la victime. Les infirmières sont passées lui donner le petit-déjeuner, enlever et remettre le dispositif. Et on l'a retrouvé en fin de matinée. Toutes les règles n'étaient pas respectées. On a un rapport de l'ARS (Agence régionale de santé) qui le confirme. Les besoins de contention physique étaient laissés à l'appréciation d'une aide-soignante. Sans aucune traçabilité. On a un décès qui n'est pas naturel dont on a pu rapidement comprendre le mécanisme. Ce n'est pas la responsabilité d'une personne en particulier mais de tout un système. Pourtant, le fils de M. Bouthier ne peut pas faire le deuil et disposer du corps de son père pour exaucer ses dernières volontés dans l'organisation des funérailles."
Selon lui, le corps est maintenu à disposition de la justice. Une expertise anatomopathologique a été demandée en 2012 mais les résultats ne sont toujours pas connus. Et sa demande d'incinération a été rejetée en 2014 par la juge d'instruction. "Et depuis, rien. On attend, reprend Jean-Claude Bouthier. On me dit que la partie adverse peut demander une contre-expertise. Au cas où, il faut pouvoir ressortir le corps de mon père. C'est une pièce à conviction. Il est placé sous scellé. Il est dans un dépositoire dans un cimetière à Perpignan et, comble de tout, on paye tous les mois. Je suis seul, et le dernier à pouvoir me battre dans la famille. En 2008, ma sœur est allée voir mon père et s'est suicidée trois jours plus tard. J'ai promis à mon frère sur son lit de mort que j'irai jusqu'au bout. Je veux que ça s'arrête. J'ai une responsabilité que je dois assumer. Pour que le système change, que ça ne se reproduise plus. Pour enlever de ma tête l'idée que le corps de mon père se trouve à un endroit que j'ignore. Sans trouver le repos."
Le directeur de l'hôpital, Vincent Rouvet, qui gère l'Ehpad de la Miséricorde, confirme le décès du patient dans l'établissement en 2011. "À ce stade, on n'a pas de nouvelles de l'enquête, précise-t-il. Il y a des suspicions mais pas de certitudes que ce monsieur soit décédé pour ces raisons-là (le système de contention NDLR)".
http://www.lindependant.fr/2015/04/23/la-justice-retient-le-corps-de-mon-pere-depuis-trois-ans,2021071.php

Les braqueurs enferment la boulangère dans la chambre froide

La responsable d'une boulangerie de Cornebarrieu a été violemment agressée hier matin, alors qu'elle ouvrait sa boutique, La Panetière, route de Toulouse à Cornebarrieu.
Il était 5 heures lorsqu'elle a été surprise par deux individus dissimulés dans l'arrière-boutique de l'établissement.
Cagoulés et munis d'armes de poing, vraisemblablement des pistolets, ils ont menacé la commerçante. Ils lui ont demandé de leur remettre le fond de caisse et d'ouvrir son coffre.
La victime s'est exécutée sans tenter de résister. Les deux braqueurs ont fait main basse sur un butin dérisoire de quelques dizaines d'euros mais ils ont également dépouillé la victime. Ils lui ont dérobé son téléphone portable, les clefs de sa voiture, sa carte bancaire ainsi que le code confidentiel.
Avant de s'enfuir, les deux hommes ont veillé à neutraliser la boulangère. Ils l'ont enfermée dans la chambre froide du commerce. Bloquée, la victime a dû s'échiner plusieurs minutes à forcer la porte du local qui a fini par céder.
Elle a pu donner l'alerte auprès des services de gendarmerie qui se sont rendus sur place. Ils ont procédé aux constatations d'usage et auditionné la victime, très choquée par l'agression. Hier, les deux malfaiteurs étaient activement recherchés par les militaires.
L'enquête sur ce braquage a été confiée aux gendarmes de la compagnie Toulouse-Mirail et à sa brigade de recherches.
 

Melun : un garçon de 3 ans grièvement blessé par un chauffard en fuite

U n garçon de trois ans se trouve ce mercredi entre la vie et la mort après avoir été renversé à Melun (Seine-et-Marne) par le conducteur d'une voiture qui a pris la fuite, a-t-on appris de sources concordantes.
L'accident, dont les circonstances restent à éclaircir, s'est produit vers 15 h 30 dans une rue du centre-ville de Melun, a raconté une source policière. "Quand les pompiers sont arrivés sur place, ils n'ont trouvé que la voiture qui avait été abandonnée", a déclaré cette source.
Entre temps, des témoins "avaient retiré l'enfant, qui était passé sous la voiture, en soulevant le véhicule et l'ont transporté eux-mêmes à l'hôpital". L'état de la jeune victime est jugé "très sérieux". "Les secours ont été prévenus alors que l'enfant était déjà hospitalisé et les premières constatations n'ont pas pu être faites", a poursuivi la source, qualifiant les circonstances de l'accident de "floues".
Le parquet de Melun, qui a ouvert une enquête, a confirmé que le chauffard n'avait pas été retrouvé mercredi soir. Les investigations ont été confiées au commissariat de Melun.

 
 
 

mercredi 22 avril 2015

Bergerac : elle fait une chute de 15 mètres en sautant d'une fenêtre

Une jeune fille de 19 ans a tenté de mettre fin à ses jours, ce mardi, en début d'après-midi, à Bergerac. Elle a sauté de la fenêtre d'un immeuble de la rue Valette et effectué une chute d'environ 15 mètres, selon les premiers éléments.
La jeune victime a été prise en charge par les sapeurs-pompiers et emmenée au centre hospitalier de Bergerac. A priori, son pronostic vital n'est pas engagé.
C'est une rupture amoureuse qui serait à l'origine de son geste. Elle aurait laissé une lettre, expliquant ses intentions.
La jeune femme aurait déjà, par le passé, tenté de se suicider.

http://www.sudouest.fr/2015/04/21/bergerac-elle-fait-une-chute-de-15-metres-en-sautant-d-une-fenetre-1899199-1980.php

Var : quatre Moldaves écroués pour un trafic de moteurs de bateaux

Quatre hommes moldaves ont été mis en examen et écroués dans le Var dans le cadre d’une enquête sur un trafic de moteurs de bateaux, en Provence-Alpes-Côte-d’Azur.
Une femme, moldave également, a, elle, été placée sous contrôle judiciaire. Tous ont été mis en examen pour vol en bande organisée et association de malfaiteurs, a précisé le groupement de gendarmerie du Var. Les cinq suspects ont été interpellés vendredi à Toulon et Hyères, après une enquête menée depuis plus d’un an par la compagnie de gendarmerie de Hyères, a ajouté cette source.

Un préjudice de plus de 500 000 euros

La bande effectuait régulièrement des raids dans les départements du Var, des Bouches-du-Rhône ou des Alpes-Maritimes et volaient des moteurs de bateaux dans les marinas ou des parcs où les navires sont stationnés à sec. Ils dérobaient également des véhicules utilitaires pour transporter leur butin à destination de l’Italie ou des pays de l’Est. Au total, au moins une cinquantaine de faits leur sont reprochés depuis avril 2014 pour un préjudice de plus de 500 000 euros. Les perquisitions ont permis aux gendarmes de mettre la main notamment sur du matériel sophistiqué permettant de voler les moteurs et les véhicules.
L’enquête se poursuit, notamment avec le soutien de l’Office central de lutte contre la délinquance itinérante.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/04/22/2092107-var-quatre-moldaves-ecroues-trafic-moteurs-bateaux.html

Trois blessés dont un gravement dans une collision à Vaulx-en-Velin

Une violente collision s’est produite mardi à 20h30 entre deux véhicules rue Romain Rolland derrière le Carré de la soie. L’une des voitures a effectué quelques tonneaux avant de s’immobiliser sur la chaussée. A l’intérieur trois personnes ont été grièvement blessées avec un pronostic vital engagé pour l’une d’entre elles. 
D’importants secours en hommes équipés d’un lourd matériel de désincarcération ont été dépêchés sur place pour extraire les corps de l’amas de tôle.
http://www.leprogres.fr/rhone/2015/04/21/trois-blesses-dont-un-gravement-dans-une-collision-a-vaulx-en-velin

mardi 21 avril 2015

Lacq (64) : le cambrioleur de la station-service interpellé par les gendarmes

Les gendarmes de Mourenx ont interpellé l'auteur du cambriolage de la nuit du 9 au 10 avril
La caisse d'une station-service de Lacq-Audéjos avait entièrement été dérobée durant la nuit du 9 au 10 avril dernier. Un butin de 1 600 euros. L'enquête menée par les gendarmes de la communauté de brigade de Mourenx a rapidement permis de porter les recherches en direction d'un individu de 29 ans domicilié à Lourdes et déjà connu des militaires.
L'homme a été interpellé ce lundi soir par les gendarmes béarnais avec l'appui du PSIG (peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie) et de la brigade de Lourdes. Lors de sa garde à vue, le suspect a reconnu l'effraction et le vol de la station-service.
"Les perquisitions effectuées à son domicile et dans son véhicule ont conduit à la découverte de la cagoule ayant été utilisée le jour de l'infraction ainsi que l'intégralité du butin", indique le commandant de la compagnie d'Orthez, Aude Cousinier.
http://www.sudouest.fr/2015/04/21/lacq-64-le-cambrioleur-de-la-station-service-interpelle-par-les-gendarmes-1899122-4329.php

Les escrocs de Get Easy sévissaient dans le Var et sur la Côte d'Azur

Cette société portugaise a développé un système pyramidal qui aurait fait, en quelques mois, plusieurs dizaines de milliers de victimes. Des plaintes ont été déposées de Monaco à Saint-Tropez.
Un système de géolocaliseurs destiné à équiper toutes les voitures de la planète, des ampoules LED révolutionnaires offrant une autonomie de 25 ans, une plateforme musicale en ligne ou encore un dispositif médical censé prévenir la maladie d'Alzheimer… Les escrocs de Get Easy, une société portugaise dont le siège social est basé à Macao, vendent de tout. Et surtout du vent !
Cette structure pyramidale aurait déjà fait près de 300 000 victimes à travers le monde, dont des dizaines de milliers en France. «La pieuvre», telle que l'appelle Bernard Naranjo, un détective tropézien qui a enquêté sur cette arnaque internationale, a posé ses tentacules sur le territoire national «au cours de l'été 2014». «Elle est arrivée par Monaco et le sud de la France», explique ce enquêteur privé.
Réunions à Menton, Cannes et Saint-Tropez
Philippe Bailhache, un Mentonnais qui est tombé dans les mailles du filet tendu par Get Easy, estime «entre 30 000 et 50 000» le nombre de victimes en France. Pour cela il se base sur les chiffres «fournis par les leaders» de l'organisation. C'est ainsi, que s'appellent entre eux les membres les plus actifs de cette structure pyramidale.
Pour convaincre toujours plus d'investisseurs les «leaders» azuréens organisaient régulièrement des réunions d'information à Menton, Saint-Laurent-du-Var, Cannes ou encore Saint-Tropez.
«Il y en avait quasiment une par semaine, témoigne Marie-Antoinette, une victime niçoise. Ils avaient réponse à tout. Chaque fois qu'on avait un doute, ils avaient un argument pour le balayer…»
Allocataires du RSA et chômeurs, mais aussi dentistes, militaires, agent immobilier et même inspecteur du fisc, ils sont nombreux à avoir succombé aux sirènes de Get Easy. Tous ont acheté des «packs» allant de 360 à 3 200 euros. Les organisateurs de cette vaste escroquerie, deux Portugais et un Israélien, promettaient un retour sur investissement garanti.
«C'était sans risque, souffle Marie-Antoinette. Quand on n'avait pas l'argent ils nous disaient d'emprunter ou de creuser notre découvert à la banque!»
Enquête à Monaco... et en France?
Au sommet de la pyramide figurent plusieurs Azuréens. Comme cette Antiboise surnommée «la reine des réunions», cet agent immobilier niçois rebaptisé «papy platinium» ou encore ces deux résidents monégasques incarcérés la semaine dernière en Principauté. Car la justice commence à se saisir de l'affaire.
Une information judiciaire a été ouverte sur le Rocher. Des plaintes viennent également d'être déposées à Nice, Le Bar-sur-Loup et à Saint-Tropez. Et une action collective, portée par un avocat lyonnais est en cours de constitution.
Les têtes de réseau de Get Easy, via une nouvelle société dénommée VIC, tentent d'empêcher ces recours judiciaires. Ils promettant aux victimes un remboursement rapide à condition qu'ils adhèrent au préalable à une société fiduciaire thaïlandaise pour la modique somme de 30 euros!
Les «leaders» de Get Easy en France ont même créé une pseudo-association de victimes, l'UNASIM, qui semble avant tout défendre leurs propres intérêts.
Car, tout le monde n'aurait pas été perdant dans l'histoire. Au sommet de la pyramide, les ambassadeurs français de Get Easy ont collecté des millions pour le compte de la société portugaise. La Sûreté monégasque vient ainsi de saisir 600 000 euros sur les comptes des deux suspects interpellés en Principauté.
La «reine des réunions» antiboise et le «papy platinium» niçois, comme des dizaines d'autres leaders de Get Easy en France, n'ont, quant à eux, pas encore eu à connaître les mêmes déboires judiciaires. Un répit qui risque ne pas durer!
 http://www.nicematin.com/derniere-minute/les-escrocs-de-get-easy-sevissaient-dans-le-var-et-sur-la-cote-dazur.2184885.html

Aubagne: un homme abattu avec un fusil d'assaut

Un homme de 43 ans, "très défavorablement connu des services de police", a été tué de plusieurs balles tirées à bout portant, cette nuit à Aubagne, dans les Bouches-du-Rhône.

Circulant à bord de son véhicule, vers minuit, dans cette cité à l'est de
Marseille, le quadragénaire était arrêté à un feu rouge lorsqu'une voiture de grosse cylindrée s'est arrêtée à sa hauteur. Un homme en est descendu et lui a tiré dessus à bout portant.

La victime, "très défavorablement connu des services de police", habitait à Aubagne, à la cité de "la Tourtelle", un lieu de trafic de drogue.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/04/21/97001-20150421FILWWW00034-aubagne-un-homme-abattu-avec-un-fusil-d-assaut.php

Un homme grièvement blessé dans une rixe qui dégénère à coups de machette

Un homme de 26 ans a été sauvagement attaqué à coups de machette dimanche soir, aux Pradettes, à Toulouse, pour un motif semble-t-il futile. Un suspect de 17 ans est en garde à vue.
Une remarque de travers, une insulte de trop et un déluge de coups s'abat sur deux victimes, frappées à la machette. C'est à peu de choses près le scénario qui semble s'être joué, dimanche soir, dans le quartier des Pradettes à Toulouse où deux personnes de 26 et 19 ans ont fini à l'hôpital Purpan avec des blessures importantes pour la première.
Vers 21 h 40, dimanche, les policiers sont avisés d'une rixe entre plusieurs individus, quartier des Pradettes, à Toulouse. Sur place, ils découvrent une Clio dont la portière, côté conducteur, est parsemée de taches de sang.

Des dents dans la Clio

Des dents et du sang sont retrouvés dans la voiture, en bas de la portière. Au même moment, les policiers sont informés qu'une victime vient d'être conduite à l'hôpital Purpan à la suite d'une violente agression. Les policiers se rendent au centre hospitalier et constatent qu'un homme de 26 ans est en salle de déchocage après avoir été attaqué à la machette. Il a reçu quatre coups. Il est grièvement blessé aux bras, sur le visage et sur le corps.
La seconde victime arrive elle aussi au CHU Purpan et présente des blessures aux lèvres. Elle aurait déclaré avoir été blessée avec la même arme blanche. Après des recherches dans le secteur des Pradettes et grâce à des signalements recueillis, les policiers interpellent un jeune suspect de 17 ans, domicilié dans ce même quartier. Un jeune homme connu des services de police pour des casses. Cet adolescent est en garde à vue depuis hier au commissariat central. Le motif de cette soudaine montée de violence restait encore très flou. Seule certitude, «on assiste à des violences disproportionnées au regard de l'embrouille qui en est à l'origine», décrypte une source judiciaire. Des coups de machette sur fond de remarque déplacée avec, à l'arrivée, 30 jours d'ITT pour la principale victime.
Le 7 avril, deux bandes rivales se sont affrontées pour l'appropriation d'un scooter, dans ce même quartier. L'un des protagonistes a sorti un fusil en tirant en l'air tout en poursuivant ses adversaires. Le tireur avait été arrêté ainsi qu'un complice en possession d'un sabre japonais.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/04/21/2091365-homme-grievement-blesse-rixe-degenere-coups-machette.html

lundi 20 avril 2015

Bergerac : une femme violentée pour avoir refusé des avances

Samedi soir, quatre jeunes gens originaires de Castillon-la-Bataille et Sainte-Foy-la-Grande, en Gironde, ont été placés en garde à vue au commissariat de police de Bergerac pour violences en réunion. Un cinquième a été mis hors de cause et remis en liberté.
Ce soir-là, vers 21 heures, rue Saint-Martin à Bergerac, ils auraient fait des avances à une jeune femme de 22 ans. Cette dernière, domiciliée en ville, a décliné leurs propositions. Les jeunes s'en seraient alors pris à elle avec violence.
Ils ont été mis en examen et seront convoqués prochainement devant le tribunal de grande instance de Libourne.
http://www.sudouest.fr/2015/04/20/bergerac-une-femme-violentee-pour-avoir-refuse-des-avances-1897861-3097.php

Manche: un pêcheur à pied porté disparu

Un pêcheur à pied est porté disparu depuis hier soir sur la côte normande, en pleine période de grandes marées, et faute d'éléments nouveaux les recherches actives ont été suspendues ce matin, a-t-on appris dans un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la Mer du nord.

Le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (Cross) de Jobourg a été alerté hier à 21 heures 30 de la disparition de l'homme dans le secteur de Blainville-sur-Mer (Manche). C'est l'épouse du pêcheur qui a donné l'alerte, s'inquiétant de ne pas voir son mari, parti à 15 heures, rentrer.

Malgré le déploiement sur la zone d'un important dispositif maritime et aérien de recherches en mer, faute d'élément nouveau les recherches actives ont été arrêtées aujourd'hui à 10 heures 30, précise la préfecture

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/04/20/97001-20150420FILWWW00102-manche-un-pecheur-a-pied-porte-disparu.php

RHÔNE. Le corps d’un vieux monsieur découvert dans les fourrés

Grigny. Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit d’un retraité disparu depuis trois semaines de Lyon dans des circonstances inquiétantes
Un corps sans vie a été découvert samedi matin dans un fourré, en amont du chemin de la Chapelle, à Grigny, à la limite de la commune de Montagny. Son état décomposé laisse penser que le corps gisait dans cet endroit difficile d’accès depuis au moins quinze jours. Selon des papiers trouvés dans une sacoche, il s’agirait d’un homme âgé de 84 ans, dont la disparition inquiétante avait été signalée depuis février, dans le quartier de Vaise à Lyon 9e.

La chute, une cause probable

Comment le vieil homme est arrivé dans cet endroit escarpé, au-dessus d’un sentier caillouteux, en amont de la route départementale 384 ? Il a probablement chuté sur le versant broussailleux, situé au-dessus d’une petite salle des fêtes où, hier dimanche, un anniversaire se voyait troublé par le va-et-vient des véhicules de police et de pompiers.
Après l’alerte donnée par un promeneur, les policiers ont effectué des constats dans des conditions difficiles, à flanc de coteau, avant que les sapeurs-pompiers ne taillent un passage à coups de tronçonneuse, pour redescendre le corps. L’hypothèse la plus probable est celle d’une fugue désorientée qui a mené le vieux monsieur dans ce secteur coincé contre la route.
Un riverain s’était douté de quelque chose : « Je voyais depuis quelques jours des corbeaux tourner tout autour, je me demandais pourquoi mais jamais je n’aurais imaginé la présence d’un corps ici ».

http://www.leprogres.fr/faits-divers/2015/04/20/le-corps-d-un-vieux-monsieur-decouvert-dans-les-fourres

dimanche 19 avril 2015

Villejuif : un corps touché par balles retrouvé

Le corps d'une femme âgée d'une trentaine d'années, touché par trois impacts de balle, a été retrouvé ce matin à Villejuif (Val-de-Marne) dans une voiture en flammes.

Vers 8h45, deux passants ont alerté les secours après la découverte d'un Renault Scénic "qui commençait à prendre feu", "dans une rue peu passante", a indiqué une source policière.  Intervenus pour éteindre l'incendie, les pompiers ont alors trouvé à l'intérieur, sur le siège passager avant, le corps inanimé d'une femme qui présentait "trois impacts de balle". Les secours ont tenté une réanimation, en vain.

Le corps a été transporté à l'institut médico-légal de Paris et le travail d'identification de la victime se poursuivait dimanche après-midi. Intoxication due aux fumées ou coups de feu mortels: la cause du décès était inconnue à ce stade de l'enquête, confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/04/19/97001-20150419FILWWW00087-villejuif-un-corps-touche-par-balles-retrouve.php

Vol : autant de ruses que d'escrocs

Tout un chacun est persuadé qu'il ne tombera jamais dans le panneau et pourtant… L'imagination sans cesse renouvelée de certains escrocs désespère les enquêteurs chargés des atteintes aux biens. Régulièrement, de nouveaux stratagèmes de vols par ruse sont portés à leur connaissance tandis que les anciennes techniques ont la peau dure.
Du faux vendeur de matelas aux faux policiers en passant par le banquier de pacotille, les escrocs sonnent chaque jour aux portes des Haut-Garonnais et parviennent souvent à leurs fins. «Ils agissent le plus souvent entre 10 heures et 14 heures, prévient un policier. Ils font en sorte de s'en prendre aux personnes les plus vulnérables. Leurs victimes sont souvent très âgées ou handicapées.»

Victimes suivies

Rusés, les voleurs ne se présentent pas au petit bonheur la chance. «Ils font des repérages. À Toulouse, ils vont dans les centres commerciaux de proximité comme à Saint-Georges. Ils savent que les personnes âgées s'y rendent à pied depuis leur domicile. Ensuite, ils n'ont plus qu'à les suivre.»
Tenue vestimentaire soignée, argumentaire étudié, voix assurée, ils savent convaincre leurs victimes qui, le plus souvent, ne s'aperçoivent de rien. «Ça génère un sentiment de culpabilité souvent accentué par les reproches de leur entourage. Elles se disent qu'elles ont été stupides de s'être fait avoir comme ça, de n'avoir rien vu. Il y a un véritable traumatisme d'autant que le vol s'est produit à domicile, dans l'intimité.»
À Toulouse, la cellule spécialisée dans l'aide aux victimes reçoit régulièrement ces personnes. Elle les accompagne et leur propose même l'aide d'une psychologue.

116 plaintes en 2014

En 2014, 116 plaintes ont été recensées pour des vols par ruse. Un chiffre en baisse en comparaison à 2013. Mais nombre de victimes ne se rendent pas compte de l'arnaque dans laquelle elles sont tombées lorsqu'effectivement, elles ont bien acquis un matelas ou que leurs arbres ont été élagués.
Des messages d'informations sont régulièrement adressés aux plus vulnérables qui sont invités, en cas de doute sur la qualité d'un visiteur, à composer le 17. Même si une carte professionnelle est présentée.
 

samedi 18 avril 2015

Heurté par le tramway à Nice, un piéton dans un état grave

Les sapeurs-pompiers sont intervenus ce vendredi, vers 14h45, pour un accident entre le tramway et un piéton.
Le choc s'est produit au niveau du 12 avenue Jean-Médecin, au niveau de l'intersection avec Maréchal-Joffre.
Gravement blessé, il a été transféré à Saint-Roch.
Plusieurs véhicules de secours ont été dépêchés sur place, ainsi que la police municipale.
Sur place, on constatait ainsi la présence, notamment, de deux ambulances et d'un camion de désincarcération.
La circulation du tramway a été interrompue dans les deux sens le temps de prendre en charge la victime.
http://www.nicematin.com/nice/video-heurte-par-le-tramway-a-nice-un-pieton-dans-un-etat-grave.2180459.html

vendredi 17 avril 2015

Tragique partie de pêche en Gironde : une personne portée disparue

Hier, vers 14 h 30, dans le fleuve, juste en face de la commune de Macau, une partie de pêche a tourné au drame. Selon un témoignage recueilli sur place, « le bateau a chaviré au moment où les hommes relevaient les filets. Tout est allé très vite. Ils se sont retrouvés à l'eau. L'un d'entre eux a disparu ».
Sur les trois personnes qui étaient à bord de cette embarcation légère et motorisée, l'un a pu regagner la berge seul, l'autre a été récupéré par d'autres pêcheurs venus  porter secours.
Mais le troisième homme, Serge Coulary, âgé de 60 ans, un habitant de la commune de Cussac-Fort-Médoc, est resté introuvable. Sans doute emporté par les forts courants qui existent dans ce secteur de la Garonne, à la limite de l'estuaire de la Gironde.
  • Des moyens importants
Tout au long de l'après-midi, dans le secteur de l'accident, les secours ont dépêché des moyens importants pour tenter de retrouver le disparu.
Dragon 33, l'hélicoptère de la Sécurité civile, a survolé la zone du chavirage durant un long moment. Pompiers, plongeurs et gendarmes avec deux bateaux ont multiplié les recherches pendant plus de quatre heures,  mais sans succès.
Vers 18 heures, le bateau sur lequel les trois pêcheurs se trouvaient pouvait être remorqué et posé sur le rivage. Ce qui devrait permettre aux enquêteurs de définir les causes exactes de l'accident. Une panne de moteur ? Une mauvaise manœuvre ?
Selon le témoignage d'un proche de la victime, les trois amis, qui n'étaient pas des pêcheurs professionnels, étaient partis à la pêche à la lamproie. Une pêche qui se déroule à partir de décembre, jusqu'en mai.
À cette époque de l'année, les embarcations sont d'ailleurs nombreuses sur le fleuve et dans l'estuaire. Il s'agit d'un temps fort pour la pêche locale.
  • Une navigation sensible sur l'estuaire
Selon les spécialistes, la navigation dans l'estuaire de la Gironde et la Garonne demande une bonne connaissance du milieu. Les pièges sont nombreux. Selon les coefficients de marée, les courants peuvent être particulièrement violents. Il faut aussi tenir compte des nombreux bancs de sable sur lesquels les bateaux peuvent à tout moment s'échouer ; pour être ensuite retournés par le mouvement de l'eau.
Tout au long de l'année, les secours interviennent pour porter assistance à des plaisanciers ou des professionnels se trouvant en difficulté.
http://www.sudouest.fr/2015/04/17/tragique-partie-de-peche-1894389-2780.php

Meuse : Camion contre voiture, deux blessés grave à Érize-la-Petite

L’accident s’est produit ce jeudi soir à 17 h 10 : un camion qui circulait sur la D902 en provenance de Rembercourt-Sommaisne vers Chaumont-sur-Aire a percuté une voiture qui roulait sur la D998, laquelle venait de Beauzée-sur-Aire et se dirigeait vers Érize-la-Petite. Au carrefour, le camion a refusé la priorité à la voiture et l’a poussée sur le bas-côté. Les deux occupants de la voiture sont gravement blessés, le chauffeur est indemne.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-bar-le-duc/2015/04/16/camion-contre-voiture-deux-blesses-grave-a-erize-la-petite

HAUTE-LOIRE. Le conducteur fait plusieurs tonneaux : deux blessés sur la RN88

Jeudi en fin d’après-midi, alors qu’il roulait sur la RN88, à hauteur de la bretelle d’accès d’Yssingeaux, un automobiliste du Rhône a perdu le contrôle de son véhicule.
La voiture, après avoir fait plusieurs tonneaux, s’est immobilisée sur le flanc, en contre-bas de la chaussée. Le conducteur et sa passagère, tous deux âgés de 80 ans, étaient coincés dans l’habitacle, mais conscients.
De nombreux moyens de secours ont été dépêchés sur place pour les extraire. Diversement blessés, ils ont été transportés à l’hôpital Emile-Roux au Puy-en-Velay
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2015/04/16/le-conducteur-fait-plusieurs-tonneaux-deux-blesses-sur-la-rn88

jeudi 16 avril 2015

Meurtre de Chloé: Comment le suspect a-t-il pu revenir en France malgré une interdiction de territoire?

Comment le meurtrier présumé de la petite Chloé, un Polonais de 38 ans, a-t-il pu se retrouver en France alors qu’il faisait l’objet d’une interdiction définitive de territoire ? Le tribunal de Boulogne-sur-Mer avait en effet prononcé cette interdiction après deux condamnations en France en 2004 et 2010, notamment pour des vols avec violence, suivies d'emprisonnement.
Mais elle «ne pouvait être amenée à exécution puisque son prononcé n'était pas légalement encouru pour les faits pour lesquels il avait été condamné», a déclaré jeudi le procureur. Selon lui, cette interdiction était invalide sur le plan juridique, donc «pas applicable». «La loi prévoit pour certaines infractions l'interdiction du territoire français et pour d'autres non», a-t-il ajouté.

Prononcée pour certains crimes et délits

L'interdiction du territoire français (ITF) est une «sanction prononcée par le juge pénal à l’encontre d'un étranger coupable d'un crime ou d'un délit», et elle «empêche l'étranger de se trouver ou de se maintenir en France», selon servicepublic.fr.
Elle peut être prononcée «comme peine complémentaire ou principale pour de nombreuses infractions pénales», précise une note du ministère de l’Intérieur, «notamment pour certains crimes et délits contre les personnes (meurtres, assassinats, viols, proxénétisme, trafics de stupéfiants...), ou contre les biens (vols aggravés, extorsion, recel, blanchiment...), ou contre la nation, l'État et la paix publique (espionnage, terrorisme, participation à un groupe illicite, faux, contrefaçon...)».
«Il arrive qu’une juridiction rende une décision qui ne soit pas conforme à la loi, remarque Anne-Sophie Laguens, avocate au Barreau de Paris. C’est d’ailleurs pour cela que des personnes font appel : parce qu’elles ont le sentiment que les décisions ne sont pas fondées juridiquement».

Il n’aurait été arrêté qu’à condition d’être contrôlé

Même si cette décision d'interdiction définitive du territoire avait été applicable, le suspect – qui était arrivé en France seulement mercredi matin depuis la Pologne, selon le procureur - aurait pu enfreindre facilement cette interdiction. La Pologne faisant partie de l’espace Schengen, ses ressortissants peuvent circuler librement, sans contrôle aux frontières. Le suspect n’aurait donc été arrêté et renvoyé dans son pays qu’en cas de contrôle de ses papiers.
«L’interdiction de définitive de territoire relève du fichier Schengen s’il y a un danger pour la sécurité publique, précise Anne-Sophie Laguens. Mais même en faisant les lois les plus répressives du monde, on n’empêchera jamais quelqu’un de commettre un crime. C’est difficile à accepter, mais le risque zéro n’existe pas», rappelle-t-elle

http://www.20minutes.fr/societe/1588775-20150416-comment-meurtrier-chloe-pu-revenir-france-malgre-interdiction-territoire

Landes : un ouvrier meurt happé par une machine à Linxe

Un ouvrier de l'entreprise Darbo, filiale du groupe Weyerhaeuser et spécialisée dans la fabrication de placage et de panneaux de bois, a été victime d'un accident du travail mercredi soir, vers 19 heures. Cet homme de 46 ans résidant à Capbreton, agent de maintenance, est décédé des suites de ses blessures. Les secours (sapeurs-pompiers venus de Linxe, Léon, Castets et Dax) n'ont rien pu faire
L'homme aurait été happé par une encoleuse, sur la chaîne de fabrication de panneaux. Ce jeudi matin, l'inspection du travail est sur place.
http://www.sudouest.fr/2015/04/16/linxe-un-ouvrier-meurt-happe-par-une-machine-a-l-entreprise-darbo-1893866-3452.php

Des milliers d'abeilles meurent dans un accident de la route

Il était environ 15 heures, mardi lorsqu'une collision mettant en cause une voiture et une camionnette s'est produite sur le D903, commune de Saussenac, à hauteur du lieu-dit : «Le Vern». C'est en sortant du magasin Candéo, situé en bordure de la route, que le choc s'est produit avec la camionnette. Le conducteur de la voiture a été légèrement blessé, il a été secouru par les sapeurs-pompiers d'Albi et Saint-Juéry avant d'être évacué sur la clinique Claude-Bernard.
Mais l'affaire ne s'arrête pas là car la camionnette transportait
plus d'un million et demi d'abeilles. Dominique Miras, apiculteur responsable de L'Abeillerie de Gaulène, qui conduisait le véhicule raconte : «Je transportais 72 ruchettes remplies d'essaims que nous avions fabriqués, prêts à intégrer une reine. Dans chaque ruchette se trouvaient environ 20 000 abeilles. Sous le choc, le chargement s'est désintégré, les ruchettes pourtant fermées se sont ouvertes, certaines ont échoué sur la route d'autres dans un jardin, elles étaient presque toutes cassées».

Récolte pénalisée

Quant aux abeilles une bonne partie de la cargaison a péri. «Beaucoup se sont envolées et sont désormais perdues, ajoute l'apiculteur, mais la plupart sont mortes lors du choc, écrasées par les cadres des ruchettes. À cette saison les cadres des ruches sont vides, le nectar est liquide, les abeilles étaient engluées c'était de la purée». Pour tenter de récupérer le plus possible d'abeilles vivantes, des ruches ont été momentanément disposées près des lieux de l'accident, histoire de les inciter à revenir à la maison. Mais visiblement les insectes n'ont que très peu goûté cette halte forcée et les secouristes ont dû affronter quelques bourdonnements hostiles. À l'issue d'une première estimation Dominique Miras estime son préjudice à 7 000 € «et il faut prévoir autant pour la réparation des dégâts matériels de l'accident». L'apiculteur voit plus loin : «Ce sont des mois de travail qui sont anéantis, la récolte de miel sera forcément pénalisée».
 

Loire. Firminy : l’éboueur grièvement blessé aurait été victime d’un malaise

Les faits remontent à lundi matin lorsqu’un éboueur de Saint-Étienne Métropole a été victime d’un accident du travail, allée Floréal à Firminy. Les constatations faites sur place par la police laissaient penser que l’homme avait été éjecté après un virage pris un peu sèchement de la part du conducteur. L’organisme qui gère la collecte des déchets a mené une enquête interne afin d’éclaircir cette situation. « L’analyse des circonstances de l’accident laisse penser à un malaise de l’agent de collecte et la responsabilité du chauffeur n’est pas mise en cause », a ainsi expliqué Saint-Étienne Métropole. Rappelons que le travailleur, un homme de 59 ans, a été transporté à l’hôpital Nord à la suite de multiples blessures. Les autres agents présents au moment des faits ont repris le travail ce mercredi.
http://www.leprogres.fr/loire/2015/04/16/l-eboueur-grievement-blesse-aurait-ete-victime-d-un-malaise

mercredi 15 avril 2015

Lot-et-Garonne : il tire sur l'amant de sa femme

Les événements qui se sont déroulés à Bias, dans la nuit de lundi à mardi, sont dignes des meilleurs romans policiers. Si les faits n'étaient pas si graves, on pourrait même parler d'un vaudeville sanglant de bien belle facture. L'enquête, confiée à l'antenne agenaise du SRPJ de Toulouse (la police judiciaire), laisse supposer que la nuit aurait pu se terminer beaucoup plus mal, puisque c'est pour une tentative d'homicide qu'un couple du Villeneuvois est à ce jour en prolongation de garde à vue, à Agen.
Il était aux alentours de 22 h 30, lundi soir, lorsque la brigade anticriminalité (BAC) a été envoyée à Bias, devant un petit pavillon isolé en bordure de la D 911. Un homme venait apparemment d'être blessé par arme à feu. Sur la foi d'un premier témoignage recueilli auprès de la femme domiciliée à cette adresse, la victime, un ami de son mari, a été touchée à la tête et à la main par des plombs. Il a été visé, devant la maison, par des inconnus. Légèrement blessé, il a été conduit à l'hôpital par le mari de cette dernière, mais ses jours ne sont pas en danger.

Quatre individus interpellés

Sur la base de ce témoignage direct, les policiers se mettent immédiatement en chasse et interpellent un peu plus tard quatre hommes, placés en garde à vue à Villeneuve-sur-Lot. Un fusil de chasse a effectivement été retrouvé dans le véhicule de l'un d'entre eux, mais sans qu'un lien puisse être établi. Les quatre individus ont expliqué la présence de l'arme par un différend dans une histoire de vol de moto (!). Ils ont finalement été mis hors de cause puis relâchés, une fois l'arme confisquée.

Trois acteurs complices

Mais au fil des heures d'auditions, les enquêteurs vont découvrir une histoire que seuls des producteurs hollywoodiens auraient pu imaginer. Le mari du couple domicilié à Bias, une fois entendu par la police judiciaire, vide son sac : découvrant ce soir-là qu'un « ami » entretient une liaison avec sa femme, il demande à sa douce de le faire venir, « pour le recevoir »… L'amant ne se méfie pas, et c'est à coups de fusil qu'il est accueilli, avant que, soudain, il ne se ravise, réalisant que son couple battant de l'aile ne valait pas un plomb dans le crâne de son ami.
 
Le mari, la femme infidèle et son amant blessé s'accordent sur un scénario permettant à chacun de sauver l'essentiel
 
Alors, le mari fâché, la femme infidèle et son amant blessé s'accordent sur un scénario qui permette à chacun de sauver l'essentiel. À l'arrivée de la police, Madame produit un faux témoignage mettant en cause des inconnus de passage. Pendant ce temps-là, Monsieur emmène son « ami » à l'hôpital, criblé de plombs, pour renforcer la thèse d'une agression dans laquelle ils ne seraient que les victimes.
Mardi soir, le patron de la police judiciaire de Toulouse confirmait que la garde à vue allait se prolonger pour le couple avant une probable mise en examen, alors qu'on confiait le fin mot de l'affaire au commissariat de Villeneuve-sur-Lot, après une journée complètement folle.
http://www.sudouest.fr/2015/04/15/debut-de-crime-fin-de-polar-1892332-3603.php

Attaques des RER C et D: La police interpelle onze individus

La police parisienne a mené ce mercredi 15 avril au matin une vaste série d'arrestations dans l'enquête sur des attaques commises dans des RER C et D au mois de mars dernier dans l'Essonne, entre Saint-Michel-sur-Orge et Juvisy puis entre Juvisy-sur-Orge et Vigneux-sur-Seine.
>> Essonne: Une rame du RER D prise pour cible par une vingtaine de voleurs
Dans le cadre de cette enquête, six victimes ont déposé plainte pour vols de téléphones portables, de sacoche, de portefeuille, et de sacs. Certaines d’entre elles ont également dénoncé des faits de violences.

11 personnes interpellées

«La sûreté régionale des transports de la direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) appuyée par de nombreux effectifs de cette direction et des policiers locaux ont interpellé 11 personnes. Elles ont été placées en garde à vue du chef de vols avec violences commis en réunion dans un moyen de transport collectif de voyageurs», indique la Préfecture de police de Paris.
>> Attaques de RER: «Des caméras ne régleraient rien, le malaise est plus profond». Lire le reportage à Juvisy-sur-Orge

«Les investigations ont permis d’identifier un groupe de personnes qui, de retour d’un mariage, ont pris le premier train du matin, le 15 mars à Saint-Michel-sur-Orge (91) pour regagner leurs domiciles situés dans l’Essonne, le Val-de-Marne et la Seine-Saint-Denis. L’implication d’une douzaine d’individus a pu être établie avec certitude», ajoute-t-elle.

Les auditions devraient permettre de préciser le rôle de chacun des protagonistes et, le cas échéant, de découvrir des objets volés. A l’issue de ces investigations, le parquet d’Evry décidera des poursuites pénales à engager.

http://www.20minutes.fr/paris/1587483-20150415-attaques-rer-police-interpelle-onze-individus