mardi 31 mars 2015

Boulogne-sur-Mer : un enfant de 2 ans tombe du 2e étage, enquête ouverte

Vers 10h00, une passante a trouvé un petit enfant de deux ans, abasourdi sur le trottoir, mais conscient. Ce dernier avait en fait chuté du second étage d'une rue de Boulogne-sur-Mer. Les secours l'ont conduit à l'hôpital Duchenne pour analyses, avant d'être conduit à Lille pour examens approfondis.

Au moment de son transfert, le garçonnet était dans un état que la police qualifie de "sérieux".
La Voix du Nord qui révèle l'information, affirme que son état de santé était encore "préoccupant", lundi soir.

Sur décision du parquet de Boulogne-sur-Mer, une enquête a été ouverte pour savoir s'il s'agissait d'un accident domestique ou d'une négligence. Pour l'instant aucune hypothèse n'est privilégiée. 


http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2015/03/31/boulogne-sur-mer-un-enfant-de-2-ans-tombe-du-2e-etage-enquete-ouverte-695275.html

Bordeaux : violemment agressés pour avoir défendu deux jeunes femmes

Dimanche dernier, 1h40. La scène se déroule à l'arrêt de tramway place de la Victoire à Bordeaux. Deux jeunes commencent par complimenter deux jeunes femmes assises sur un banc public. Puis ils demandent une cigarette. Puis ils se montrent de plus en plus pressants et insistants au point que les jeunes femmes ne savent pas comment s'en débarrasser
Deux jeunes volent alors à leur secours et tentent d'éloigner les importuns.  Mais l'un des deux hommes indélicats, un sans domicile fixe de 18 ans se sert d'une bouteille de verre qu'il a sur lui et la fracasse sur le crâne d'un des chevaliers servants qui aura cinq jours d'incapacité totale de travail et donne un violent coup de pied dans les gencives de l'autre.
Interpellé, il a été placé en garde à vue à la brigade de sûreté urbaine de Bordeaux. Il devrait répondre de violences aggravées dès cet après-midi dans le cadre d'une procédure de comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Bordeaux.
http://www.sudouest.fr/2015/03/31/deux-hommes-violemment-agresses-apres-avoir-pris-la-defense-de-deux-jeunes-femmes-1877345-2780.php

Un gang des Leader Price en Franche-Comté ?

Un gang des Leader Price est-il né en Franche-Comté. Samedi soir, juste avant la fermeture, deux individus font irruption au discounter de la zone commerciale d’École valentin, en périphérie de Besançon et braquent la dernière employée présente. Ils l’obligent à les conduire à l’étage où se trouve le coffre, dans le bureau du directeur.
La veille au soir, dans les mêmes conditions, deux hommes ont également surgi au magasin de Choisey, près de Dole, et se sont également fait conduire au coffre où ils se sont emparés d’une « poignée de billets » rapportent nos confrères du Progrès.
Le rapprochement a été vite réalisé par la gendarmerie. Le mode opératoire et le signalement des braqueurs concordent. Il n’est pas rare de voir des truands se spécialiser dans une enseigne. Les procédures et la configuration des lieux y sont généralement standardisées.
En toute connaissance des lieux et des pratiques, les malfrats limitent ainsi les impromptus et optimisent leur temps d’action. Pour autant, trop d’assurance peut également les conduire à prendre des risques inconsidérés où à surréagir au moindre grain de sable.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/03/30/un-gang-des-leader-price-en-franche-comte

lundi 30 mars 2015

Salies-de-Béarn : une bonbonne de gaz explose chez un malade d'Alzheimer

A 19h30 dimanche soir, les pompiers ont été appelés à Salies-de-Béarn pour l'explosion d'une bombonne de gaz dans une maison, rue du Château.
L'habitant des lieux, un septuagénaire atteint de la maladie d'Alzheimer, a été blessé et transféré à l'hôpital. Le toit de la maison a été partiellement détruit
http://www.sudouest.fr/2015/03/30/salies-de-bearn-une-bonbonne-de-gaz-explose-chez-un-malade-d-alzheimer-1875777-4344.php

Deux blessés graves dans un accident

Peu avant 20 h 30 samedi soir, un accident de la route a eu lieu à Jegun, au lieu-dit «Jannoulié» sur la RD 930, dans le sens Auch - Castéra-Verduzan. L'automobiliste a perdu seul le contrôle de son véhicule. Dans une courbe à gauche, il a percuté un poteau de signalisation avant d'effectuer plusieurs tonneaux. La voiture a fini sa course sur le toit, en plein milieu de la chaussée. Le conducteur et le passager, seuls à bord, ont dû être désincarcérés par les pompiers.
Sur place, les personnels des casernes de Jegun, Castéra-Verduzan, Vic-Fezensac et Auch ont pris en charge les deux blessés, considérés dans un état grave et transportés grâce au concours du Smur Auch et de celui de Condom. Ces deux hommes de 30 et 35 ans ont été hospitalisés à Auch. Leurs jours ne sont pas comptés. La RD 930 a dû être coupée une partie de la soirée, le temps que le véhicule et les débris soient dégagés de la voie.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/30/2076819-deux-blesses-graves-dans-un-accident.html

dimanche 29 mars 2015

Mérignac (33) : une femme gravement blessée dans un accident

Un accident impliquant quatre voitures s'est produit samedi soir avenue de Verdun à Mérignac.
Une femme a dû être désincarcérée par les pompiers. Elle a été transporté au Tripode à Bordeaux dans un état jugé très grave au moment de son transfert. Une adolescente a par ailleurs été légèrement blessée.
http://www.sudouest.fr/2015/03/29/merignac-33-une-femme-gravement-blessee-dans-un-accident-1874850-2780.php

L'ado de 15 ans braque la poste avec un pistolet à billes

Hier matin, peu après 10h30, un individu gare son scooter devant la petite agence postale de Gontaud-de-Nogaret, sise place du champ de foire. Jusque-là rien de plus normal, mais la situation dégénère lorsque le quidam rentre dans la poste en dissimulant son visage sous une capuche et une écharpe, et sort une arme de poing devant la guichetière. D'autres clients sont présents, mais sous la menace de cette arme l'employée est contrainte de remettre la caisse au braqueur. Butin en main, ce dernier remonte sur son scooter, et prend la fuite. L'un des clients dans l'agence décide de courir derrière lui – mais en vain – et un autre note scrupuleusement le numéro d'immatriculation du deux-roues.
Les informations délivrées par ces deux témoins seront déterminantes. Elles permettront aux gendarmes de Marmande de débuter leurs investigations, alors que le plan Epervier est immédiatement activé sur le Lot-et-Garonne. Les militaires – une dizaine en tout – entament des patrouilles dans les environs de Gontaud et repèrent un jeune homme qui semble se dissimuler dans un corps de ferme. Les enquêteurs se rapprochent de lui, retrouvent l'arme du braquage (un pistolet à billes) sur le sol, puis le butin, et interpellent dans la foulée l'individu.
Ce dernier est un tout jeune homme de 15 ans, et il aurait reconnu les faits devant les enquêteurs. Entre la commission des faits et la résolution de l'affaire, pas plus de deux heures ne se sont écoulées.
Les investigations se poursuivent toutefois. Des techniciens en investigation criminelle sont venus d'Agen pour faire des prélèvements d'indices à l'agence postale. L'adolescent a été placé en garde à vue à la brigade de recherches de Marmande, et devrait être présenté demain devant un juge des enfants (juridiction d'Agen).
Du côté de la Poste, l'employée – choquée par cette attaque – a été prise en charge dans le cadre du dispositif «poste agression», qui prévoit notamment une écoute psychologique. La Poste déposera plainte, et l'agence restera fermée lundi pour les besoins de l'enquête.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/29/2076609-ado-15-ans-braque-poste-pistolet-billes.html

samedi 28 mars 2015

Saint-Médard-en-Jalles (33) : rixe dans un bus

d'une vingtaine de personnes s'en en pris verbalement et physiquement aux passagers d'un bus Keolis vendredi soir peu après minuit, entre Bordeaux et Saint-Médard-en-Jalles.
Trois passagers ont été bousculés et légèrement blessés. Le groupe est descendu à l'arrêt Saint-Médard en Jalle. Les trois principaux agresseurs présumés ont été interpellés par les gendarmes et placés en garde à vue.
http://www.sudouest.fr/2015/03/28/saint-medard-en-jalles-33-rixe-dans-un-bus-18n groupe 74434-2780.php

"Revivre après la mort d'un enfant"

Parce qu'il n'y a pas de mot, ni de statut, après que l'on a perdu un enfant, ils sont simplement restés Hélène et Laurent. Parce qu'un an après le séisme qui a secoué leur famille, ce couple de gens discrets, établis à Pourrières, parle de l'accident qui a coûté la vie à leur fille Julia, 16 ans, et Héléna, une autre lycéenne de 17 ans.
Elles se trouvaient à bord du minibus qui les ramenait chez elles, un vendredi, après le lycée. Un trajet ordinaire qui tourne au cauchemar, sur la RD7N, l'ancienne Nationale 7, au pied du paisible chemin des Amandiers. "C'est là, juste là...", soupire Hélène qui passe chaque jour à l'endroit où le minibus a été heurté à l'arrière par un camion. Une information judiciaire est ouverte pour déterminer les circonstances exactes de l'accident mortel.
C'est une peine à perpétuité pour une faute que l'on n'a pas commise
"Nous avons confiance dans la justice pour connaître toute la vérité. Et puis nous avons envie de générer une prise de conscience, pour que ce qui nous arrive, ne touche pas d'autres familles." Parce que depuis un an, et ils le disent très dignement, "notre vie a explosé. C'est une peine à perpétuité pour une faute qu'on n'a pas commise. Comme si j'étais amputée, personnellement, d'un membre. Bien sûr, confie cette maman de 43 ans,ce serait facile de sombrer dans la haine, les ténèbres et la colère. Oui, ce serait facile."
Reste, et cela peut sembler paradoxal, que "nous sommes tellement anéantis, que nous avons besoin de nous reconstruire pour retrouver un semblant de vie normale". Si Julia n'est plus là pour rire, peindre et rapporter ses bulletins de première de la classe (c'était comme ça depuis la maternelle, avec le dernier qui affiche une moyenne de 18,86/20 en seconde scientifique avec une année d'avance), sa soeur cadette est ce qui pousse Hélène et Laurent à tenir. Coûte que coûte. Un pas après l'autre, "sur un chemin où les gens qui nous soutiennent, depuis notre famille proche jusqu'aux inconnus qui nous écrivent, sont autant de petites lumières pour nous aider à avancer depuis ce 27 mars 2014". Ce soir-là, Hélène est à la maison et attend le retour de Julia.
"Quand elle était au collège, je l'amenais et je la ramenais. Je suis un peu... maman poule, s'excuse-t-elle du bout des lèvres, le sourire fugace. Pour la première année, je consentais à la laisser prendre la navette scolaire, parce que je pensais qu'elle y serait en sécurité."
Le trajet est toujours le même : un grand bus de 50 places ramène les élèves jusqu'à Pourrières, où un minibus les prend et les dépose devant chaque maison. "Ce soir-là, ne la voyant pas rentrer, je lui envoie un SMS : 'Chérie, tu es où ?' Elle ne répond pas et je l'appelle. Il est 17 h 42. Pas de réponse."
Hélène téléphone à son mari pour l'alerter. "J'ai pris ma voiture pour aller voir. J'ai croisé une copine de ma fille à qui j'ai demandé si elle avait vu Julia. Elle m'a répondu qu'elle était sûrement dans la navette, mais qu'il y avait eu un accident..."
Une pétition pour sécuriser la RD7N
Hélène panique : "Je descends encore et je vois la file de voitures sur la Nationale 7, des pompiers partout, un hélicoptère... Je ne comprends pas, je ne m'attends pas à voir la navette là."
Un médecin du Samu s'approche, demande ce qu'elle fait là. Elle répond qu'elle vient chercher sa fille, avant de voir un corps allongé. "Ils s'occupaient tous d'elle. J'ai reconnu ses chaussures, délacées et posées à côté de ses pieds." On lui annonce doucement qu'on n'a pas pu la sauver. Et puis après... "Il faut assurer la logistique", raconte Hélène avec une moue triste.
Aller récupérer sa cadette à l'école et lui bander les yeux pour qu'elle ne voie pas la scène. Une maman reste une maman. Rentrer à la maison pendant que son mari demeure avec Julia. Tomber, se relever et rester debout pour leur fille cadette, 10 ans aujourd'hui. "On ne met pas un enfant au monde pour le laisser au bord d'une route." Hélène, elle, est comme restée debout au bord de la Nationale 7, "figée au 27 mars. On me dit de continuer à marcher, et tous les gens qui nous soutiennent, me servent de prothèse". Comme les souvenirs qu'elle garde de cette brune aux yeux noirs qui voulait être médecin.
Depuis, une pétition a circulé et un collectif est mobilisé pour faire sécuriser la RD7N. Plus de 10 000 personnes sont "amies" avec la page Facebook "Soutien à Héléna et Julia, décédées dans un accident de bus". Ce soir à 18 h 30, une messe sera célébrée en la basilique de Saint-Maximin, pour leur rendre hommage. "On va tenir bon, pour les filles. Promis."
Une information judiciaire ouverte
Danielle Drouy-Ayral, le procureur de la République de Draguignan, nous indiquait hier qu'une information judiciaire a été ouverte par le parquet et confiée à un juge d'instruction, les jours qui ont suivi l'accident mortel qui a coûté la vie à Julia et Héléna. "Les investigations sont encore en cours", indique la responsable du parquet de Draguignan. Et la justice attentive à ce dossier.

http://www.laprovence.com/article/actualites/3331301/revivre-apres-la-mort-dun-enfant.html

vendredi 27 mars 2015

Lot-et-Garonne : les deux retraités étaient spécialisés dans le vol de jeux vidéo

Pris sur le fait par le vigile du supermarché alors que l'un d'eux tentait de glisser sous son manteau un objet, ces deux retraités, habitant Auterive (31), auraient pu en être quittes pour une restitution des objets et une fiche de signalement s'il n'avaient pas bousculé l'employé d'Intermarché pour prendre la fuite.
Les gendarmes ont donc été appelés et ont découvert que l'un d'eux dissimulait sous sa parka une boîte élaborée pour ne pas déclencher les portiques des magasins. À l'intérieur, des jeux vidéos, lesquels se présentent sous forme de DVD et dont les prix s'échelonnent de 80 à plus de 100 euros…

Plusieurs fois par mois

Placés en garde à vue au sein de la compagnie d'Agen, l'homme de 65 ans et son épouse de 69 ans, aux casiers judiciaires vierges, ont reconnu les faits et expliqué organiser de telles tournées à raison de deux à trois fois par mois.
D'après les premiers éléments de l'enquête, l'Intermarché de Colayrac n'est pas un cas isolé dans le département. Tous deux ont été remis en liberté dans la soirée. Les gendarmes, eux, veulent désormais mesurer l'ampleur du butin qui, apparemment, leur permettait jusqu'alors d'arrondir confortablement leur pension de retraite.

http://www.sudouest.fr/2015/03/27/des-retraites-specialises-dans-le-vol-de-jeux-video-1872779-3603.php

Une voiture percute un bus de plein fouet : quatre blessés

Des débris de voiture jonchent la chaussée sur des mètres à la ronde. Plus loin, un bus a l'avant défoncé. La scène, terrible, illustre la violence du choc frontal survenu jeudi matin sur la départementale 90, lieu-dit «La Guignerette» à Blaye-les-Mines. Il était 7h55. Une 206 a fait un écart sur la gauche, heurtant de plein fouet l'autocar qui arrivait en face. Rendue méconnaissable, la Peugeot était conduite par un jeune de Saint-Benoît-de-Carmaux, qui se rendait à son travail à Marssac. À bord du bus de la ligne 711 Albi-Cagnac-Carmaux, 35 passagers, en majorité des collégiens se rendant à Augustin-Malroux à Blaye-les-Mines et des lycéens de Carmaux.
Bilan de cet accident spectaculaire : quatre blessés transportés à l'hôpital d'Albi. Trois passagers du bus, deux ados et une adulte, souffrent de contusions. Le jeune conducteur est plus sérieusement touché. Il s'est retrouvé prisonnier, jambes coincées dans l'habitacle déformé. Les sapeurs-pompiers de Carmaux et Albi, sous la direction du commandant David Carlier, ont mis beaucoup de temps pour le désincarcérer. Il a fallu ensuite le médicaliser, avant de pouvoir l'évacuer en ambulance. «Le pronostic vital n'est pas engagé», indique Alain Fourès, commandant du commissariat de police de Carmaux, plutôt rassurant sur la gravité de l'état du blessé. Les enquêteurs attendent d'auditionner l'automobiliste sur les raisons de l'embardée. «Il a peut-être été distrait», avance André Fabre, maire de Blaye-les-Mines, soulagé : «On l'a échappé belle. Les conséquences auraient pu être beaucoup plus graves, tant dans la voiture de dans le bus.»

Grâce à la ceinture

S'il n'y a pas plus de voyageurs meurtris, on le doit à la sécurité passive : «Ils avaient leur ceinture à bord du bus, ce qui les a protégés, leur évitant de heurter le siège devant eux», souligne Jean-Franck Cornac, PDG de la SPL de transports publics du Tarn «D'un point à l'autre».
Ce respect du port de la ceinture est un point positif. «La jeune conductrice du bus a aussi très bien réagi, en actionnant le frein d'urgence», félicite Liliane Salgade, directrice des cars Coulomb qui exploite ce bus. Tant elle que Jean-Franck Cornac souhaitent que la jeune professionnelle du transport public reprenne vite le volant : «Il ne faut pas que l'état de choc se prolonge.»
Cette ligne de bus est tous publics, mais en ce début de matinée, ce sont surtout des scolaires qui la prennent. Les élèves indemnes ont été récupérés par leurs parents. D'autres ont pu regagner soit leur collège, soit leur lycée après cette émotion.
 

jeudi 26 mars 2015

Un homme fauché par une voiture sur l'A48 entre Le Fontanil-Cornillon et Voreppe, en Isère

Selon les gendarmes, le conducteur d'un Citroën Picasso tractait un autre véhicule Citroën C8 au volant duquel se trouvait un individu. Suite à une perte de contrôle du Picasso, l'ensemble s'est retrouvé en portefeuille sur les voies de circulation, dans le sens Grenoble-Lyon. Le conducteur du Picasso a alors tenté de pousser le C8 en travers mais il a été percuté par un troisième véhicule.

L'homme de 43 ans a donc été projeté sur l'accotement, derrière les glissières de sécurité. Gravement blessé au bassin, il a été évacué au CHU Grenoble-La Tronche. Les deux occupants de la voiture qui l'ont percuté, un homme de 65 ans et une femme de 67, ont aussi été transportés à l'hôpital pour des examens de contrôle. Ils se plaignaient de douleurs au niveau du thorax. Le conducteur au volant du C8 est indemne

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/03/26/un-homme-grievement-blesse-dans-une-collision-sur-l-a48-au-fontanil-cornillon-en-isere-687745.html

Bayonne : les pompes funèbres condamnées pour avoir tardé à acheminer le corps d'une défunte

Lundi, le tribunal de grande instance de Bayonne a rendu sa décision dans une affaire singulière, dont la principale victime était absente. Marie-Louise Malca, décédée le 7 décembre 2013, à l'âge de 88 ans, à la maison de retraite Oihana à Bayonne. Ses proches auraient souhaité accompagner la défunte vers sa dernière demeure avec sérénité. Cela ne fut pas le cas
Les pompes funèbres générales de Bayonne, supposées procéder à l'inhumation du corps de Marie-Louise à Villenave-d'Ornon (Gironde) à 11 h 15, avaient rempli leur rôle près de cinq heures plus tard, à 16 heures. En cause : l'erreur du convoyeur funèbre, causant un retard très préjudiciable au recueillement de la famille. Les filles de Marie-Louise Malca avaient dénoncé des « conditions d'inhumation indignes », porté l'affaire devant la justice et refusé de transiger.

Dommages et intérêts

Le tribunal de grande instance de Bayonne a estimé que les pompes funèbres étaient responsables, suite au non-respect du contrat, du fait du retard enregistré pour l'inhumation.
En effet, le 7 décembre 2012, Marie-Louise Malca avait confié à la société d'obsèques le soin d'organiser son dernier voyage au terme d'un contrat établi pour un montant de 6 570 euros. « Mes clientes sont satisfaites de la décision. Par contre, si les pompes funèbres envisageaient de recouvrir le paiement de leur facture de 6 570 euros, elles se réservent le droit de solliciter en appel une augmentation des dommages et intérêts qui leur ont été accordés par le tribunal de grande instance », précise Me Gérard Fort, avocat des quatre filles de Marie-Louise Malca.
Le tribunal a estimé qu'en renonçant à encaisser le chèque et à un paiement dans les deux ans, les pompes funèbres abandonnaient toute demande de paiement. Me Gérard Fort avait sollicité 20 000 euros de dommages et intérêts au titre du préjudice moral pour chacune des demanderesses, soit 80 000 euros.
Le tribunal a condamné les pompes funèbres à payer 2 500 euros à chacune, et 2 000 euros pour les frais de justice. Les pompes funèbres, qui avaient indiqué dès l'origine du litige le caractère unique de ce regrettable retard, avaient demandé au tribunal de grande instance « de limiter les indemnités sollicitées en les ramenant à de plus justes proportions

http://www.sudouest.fr/2015/03/26/obseques-en-retard-les-proches-entendues-1871179-4018.php

Le corps d'une femme repêché dans le port de Fontvieille à Monaco

Ce mercredi matin, le corps d'une femme âgée a été repêché dans le port de Fontvieille. La Sûreté publique, spécialement la division de la police maritime, a sorti le cadavre de l'eau vers 7 heures au pied de la capitainerie. Il a été découvert peu de temps avant.
Il a été transporté à la morgue où il est en cours d'identification.
L'enquête venant à peine de commencer, le parquet général de Monaco se refuse pour l'heure à toute hypothèse.
http://www.nicematin.com/monaco/le-corps-dune-femme-repeche-dans-le-port-de-fontvieille-a-monaco.2152148.html

A64 : série d'accidents à cause la grêle

Les averses de grêle génèrent plusieurs accidents. «Il n'y avait aucune visibilité. Je suis arrivé directement sur un tapis de grêle», confie cet automobiliste qui a eu un accident hier, vers 16 h 30, en bas de la rampe de Capvern, au point kilométrique 161, 9 km après la sortie Capvern, dans le sens Toulouse-Bayonne. à la sortie d'un virage, son véhicule a été pris dans une averse de grêle. Il a d'abord percuté, de face, le terre-plein central, puis a rebondi sur la glissière de sécurité, de l'autre côté, avant de s'immobiliser sur la voie de droite. En dépit de la violence du choc, le conducteur n'a pas été blessé. Le patrouilleur des ASF ainsi que des gendarmes du peloton motorisé se sont rendus sur les lieux afin de sécuriser la zone et d'éviter tout risque de suraccident. Pendant la durée de l'intervention, la voie de droite a été neutralisée à hauteur de l'accident. La circulation s'est effectuée sur la voie de gauche uniquement. Ces giboulées de mars ont occasionné d'autres accidents, hier, sur l'A 64 : en matinée, sur le secteur de Lannemezan, avec un véhicule en cause. Puis, vers 11 heures, il y a eu plusieurs collisions entre des véhicules, sur l'A 64, dans les deux sens de circulation, entre Tarbes-Est et Tarbes-Ouest. Il n'y a pas eu de blessés, seulement des dégâts matériels. De manière préventive, les équipes d'ASF ont procédé, hier, à des opérations de salage entre Tournay et Saint-Gaudens. La rampe de Capvern étant toujours un passage délicat. Lorsque l'on se retrouve soudainement confronté à un orage de grêle sur l'autoroute, les dangers sont la perte de visibilité et d'adhérence. Il est recommandé d'adapter sa vitesse, de ralentir, d'allumer ses feux de détresse pour prévenir les véhicules qui vous suivent. Il convient d'éviter de se garer sur les bandes d'arrêt d'urgence. Dès que vous pouvez, stationnez sur une aire d'autoroute le temps que l'épisode de grêle passe.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/26/2074722-a64-serie-d-accidents-a-cause-la-grele.html

mercredi 25 mars 2015

Lot-et-Garonne : en colère, il saccage la maison de ses parents

Un trentenaire a été interpellé lundi, à 18 heures, au domicile de ses parents, après avoir saccagé la maison. À l'origine de sa colère, des échanges téléphoniques avec le nouveau compagnon de son ex.
Après avoir menacé de mort son père, il a été ramené à la raison, mais surtout en garde à vue par les gendarmes. Présenté mardi après-midi devant le parquet, le magistrat de permanence a décidé son placement en détention, en ramenant à exécution une peine d'emprisonnement d'un an prononcé à son encontre en février.
Quant aux faits de menace et dégradations, l'enquête se poursuit.
http://www.sudouest.fr/2015/03/25/lot-et-garonne-en-colere-il-saccage-la-maison-de-ses-parents-1870534-3650.php

Trois mineurs détroussaient les cyclistes

Depuis la mi-janvier, de jeunes garçons avaient fait du secteur du pont de Ruppet, sur les bords du canal latéral de la Garonne, à Toulouse, leur terrain de chasse. D'abord maladroits, avec des tentatives qui ne leur avaient pas permis de dérober grand-chose à leur victime, les membres de cette bande se sont peu à peu aguerris, choisissant la violence pour plus d'efficacité.
Le jeudi 22 janvier, ils se sont ainsi attaqués à un homme de 82 ans, qui circulait à vélo. Devant la résistance de cet octogénaire, la bande a usé de violences «inouïes», frappant et infligeant à cet homme dix jours d'incapacité totale de travail — arrêt légal qui se traduit souvent par plusieurs semaines de convalescence. Après cette réussite, la bande est montée en puissance, s'armant d'un couteau et multipliant les agressions. Douze victimes ont été recensées par les enquêteurs de la sûreté départementale qui rencontraient des difficultés pour identifier ces garçons violents, inconnus de services de police. De jeunes gens qui, ces dernières semaines, n'hésitaient plus à jeter leur victime à l'eau pour voler plus facilement vélo, sacoche, téléphone…
Hier , les policiers de la brigade criminelle et des atteintes aux personnes ont arrêté trois garçons âgés de 16 et 17 ans domiciliés à proximité du pont de Ruppet, dans un camp de membres de la communauté des gens du voyage. Ces mineurs sont soupçonnés de douze agressions plus une dégradation. Le père d'un des suspects, interpellé également, aurait utilisé une carte bancaire volée. Hier soir le procureur Pierre-Yves Couilleau, qui a fait de la lutte contre les violences une priorité, s'est félicité de ces arrestations.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/25/2073983-trois-mineurs-detroussaient-les-cyclistes.html

mardi 24 mars 2015

Un navire de pêche de Charente-Maritime en feu au large de la Gironde

Le patron-pêcheur, seul à bord, est sain et sauf. Il a sauté à la mer pour échapper aux flammes. Son bateau immatriculé à Marennes a fini par couler au large de Montalivet-les-Bains
Durant la nuit de lundi à mardi, vers 4 h 30, le navire de pêche "Bretagne" de 8,30 mètres, immatriculé à Marennes (17), se trouvant alors au large de Montalivet-les-Bains (33), a lancé un appel de détresse à cause d'un incendie à bord.
Le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (Cross) Etel a engagé l'hélicoptère "Dauphin" de service public de la Marine nationale de la 35F basé à La Rochelle, alors que les pompiers et le Smur ont également été déployés. Le fileyeur se trouvait alors au mouillage à deux nautiques - environ 3 km - de la côte.
http://www.sudouest.fr/2015/03/24/au-large-de-montalivet-33-un-navire-de-peche-de-marennes-oleron-17-en-feu-1869381-2192.php

Soupçons de matchs de foot truqués : une trentaine de joueurs auditionnés

Selon nos informations, une trentaine de joueurs des clubs de Caen, évoluant en Ligue 1, mais aussi de Nîmes et de Dijon, pensionnaires de Ligue 2, sont convoqués depuis ce mardi matin pour être entendus par les policiers du Service central des courses et jeux (SCCJ), en charge d’une vaste enquête sur des soupçons de matchs truqués.
Ces auditions devraient s’achever mercredi. Les enquêteurs de la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) sont chargés de faire toute la lumière sur notamment le match ayant opposé Caen à Nimes, le 13 mai 2014, en match en retard de la 28e journée de Ligue 2. «Même si l’essentiel a déjà été fait dans ce dossier, il s’agit d’entendre tous les protagonistes, confie un haut fonctionnaire. Après les dirigeants et entraîneurs, c’est au tour des joueurs. Les titulaires des matchs opposant Nîmes à Caen, et Nïmes à Dijon ont donc tous été convoqués».

Dans cette affaire, six personnes, dont Jean-Marc Conrad, président du club de Nîmes, et Serge Kasparian, son principal actionnaire, ont été mises en examen au mois de novembre 2014 par les magistrats Serge Tournaire et Hervé Robert pour corruption. Jean-François Fortin, président du Stade Malherbe de Caen (L1), figure également parmi les mis en examen.

Les trois autres protagonistes sont l’homme d’affaires Michel Moulin, le président du club amateur de l’AS Ararat à Issy-les-Moulineaux, Franck Toutoundjian, et Kaddour Mokkedel, responsable de la sécurité du club de Caen. Les six sont poursuivis pour corruption active ou passive «dans le cadre de manifestations sportives pouvant donner lieu à des
paris sportifs».

Serge Kasparian, qui apparaît comme un acteur central, est détenu dans le cadre d’une autre affaire, dite du cercle de jeux Cadet, qu’il dirigeait.

http://www.leparisien.fr/sports/soupcons-de-matchs-de-foot-truques-une-trentaine-de-joueurs-auditionnes-24-03-2015-4632613.php

HAUTE-LOIRE. Il sectionne accidentellement une conduite de gaz : une maison évacuée

Lundi peu après 14 heures, rue de La Grande Fontaine, à Beauzac, le conducteur d’une mini-pelle, qui effectuait des travaux, a accidentellement sectionné une conduite de gaz de quatre barres. Les sapeurs-pompiers de Bas-en-Basset, Monistrol-sur-Loire et Le Puy-en-Velay, sous les ordres du capitaine Galtier, commandant des opérations de secours, ont procédé à l’évacuation d’une maison occupée par deux personnes. Quatre autres ont été sécurisées et les secours y ont fait des détections. À la suite de cet incident, quarante abonnés ont été privés de gaz. La compagnie de gendarmerie d’Yssingeaux était sur les lieux, ainsi que les représentants de GrDF, qui ont rapidement coupé le gaz. Le maire, Jean Proriol, s’est tenu au courant de la suite des opérations
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2015/03/24/il-sectionne-accidentellement-une-conduite-de-gaz-une-maison-evacuee

lundi 23 mars 2015

HAUTE-LOIRE. La voiture plonge dans un ravin au Mazet-Saint-Voy : la conductrice dans un état grave

Un grave accident de la circulation s’est produit ce lundi matin sur la RD500 au Mazet-Saint-Voy, impliquant une mère de famille et son petit garçon, sur le chemin de l’école.
A hauteur du lieu-dit « Le Riou », dans un virage à droite une voiture est sortie de la route, plongeant en contrebas dans un ravin puis finissant son embardée dans un cours d’eau, une vingtaine de mètres plus bas.
Des automobilistes qui suivaient la conductrice ont donné l’alerte et ont prodigué les premiers soins. La mère de famille était en arrêt cardiorespiratoire. De nombreux sapeurs-pompiers des casernes environnantes ont été dépêchés sur place, de même qu’un équipe du SAMU 43.
L’enfant, très légèrement blessé, a été évacué au centre hospitalier du Puy-en-Velay. Après 1h30 d’efforts des secours, elle a retrouvé une activité cardiaque. Elle a été évacuée dans un état très grave par l’hélicoptère de la sécurité civile du Puy-de-Dôme au CHU de Clermont-Ferrand.

http://www.leprogres.fr/haute-loire/2015/03/23/la-voiture-plonge-dans-un-ravin-au-mazet-saint-voy-la-conductrice-dans-un-etat-grave

La Rochelle : une vedette explose dans le port des Minimes

Vers 17 h 30 dimanche, une détonation sourde suivie d'un incendie s'est produite à bord de la petite vedette à moteur amarrée au milieu du ponton 9 du port de plaisance des Minimes, à La Rochelle. « J'étais dans mon camping-car, sur le parking du port, raconte Severino da Silva. J'ai cru que le bruit était une porte de camping-car qui claquait. Je suis sorti et j'ai vu l'importante fumée. En me rapprochant, j'ai vu un corps sur le bateau-école. Il paraît que cette personne a été projetée par l'explosion. »
L'odeur âcre de la coque plastique du « Juste » s'étendait rapidement alors que les sapeurs-pompiers, dont des plongeurs, en provenance des centres de secours de Mireuil et Villeneuve-les-Salines, convergeaient sur le site. « Il y avait aussi un homme et un enfant sur le bateau qui a explosé », dit une autre personne qui suit l'intervention des secours. Le Service mobile d'urgence et de réanimation (Smur) de l'hôpital de La Rochelle est aussi sur le site, à l'instar de fonctionnaires de police. Avant l'intervention des pompiers, les services du port de plaisance sont parvenus à vider dix extincteurs sur les flammes, permettant ainsi de combattre l'incendie et d'éviter sa propagation, phénomène qui aurait pu causer d'immenses dégâts.

Possible fuite d'essence

Alors qu'un jeune garçon est ramené sur la terre ferme, il est confirmé qu'une femme, la grand-mère rochelaise de l'enfant, a été projetée, mais ce à l'avant de la vedette quelques minutes après la mise en route du moteur par son mari. Lui, choqué, est indemne mais inquiet. Il a pu quitter avec l'enfant la vedette, décapitée par l'explosion et en flammes. Son épouse avait été, peu avant, récupérée et mise en sécurité par l'équipage du bateau école. Choquée et souffrant d'un traumatisme crânien consécutif à sa chute, elle a été médicalisée par le Smur et conduite aux urgences de l'hôpital Saint-Louis de La Rochelle.
Le commissariat est en charge de l'enquête. Une accumulation de vapeurs d'essence, consécutive à une fuite, est peut-être la cause de l'explosion à la suite de la mise en route du moteur.

http://www.sudouest.fr/2015/03/23/une-vedette-explose-dans-le-port-des-minimes-1867470-1391.php

Corse : la maison de Tino Rossi cambriolée et vandalisée

Désormais propriété de son fils Laurent et labellisée depuis 2011 «Maison des Illustres» par le ministère de la Culture en tant que «demeure remarquable» ouverte au public, la villa de Tino Rossi a été cambriolée samedi soir. Située près d'Ajaccio dans la pinède du Scudo sur la route des Sanguinaires, la résidence corse du chanteur de charme, mort à Neuilly-sur-Seine en 1983, a été la cible d'une bande de malfaiteurs.
Après avoir fracturé des volets et une baie vitrée, les cambrioleurs se sont introduits dans les lieux et ont emporté de nombreux objets de valeur ainsi que du mobilier, mais ils ont également vandalisé la maison, cassant des meubles et semant le désordre à travers les pièces.
C'est le gardien de cette propriété isolée qui a découvert le cambriolage samedi, en début de soirée, et donné l'alerte. L'enquête a été confiée à la Direction départementale de la sécurité publique. Avec plus de 500 millions de disques vendus, Tino Rossi reste l'un des artistes français les plus connus à travers le monde et le souvenir du chanteur attire toujours des milliers d'admirateurs, chaque année, qui viennent visiter sa maison, se recueillir sur le tombeau de marbre noir de l'artiste, au cimetière marin d'Ajaccio, ou saluer le n° 43 de la rue Fesch, dans le cœur de cité impériale, où naquit en 1907 l'interprète de «Marinella» et «Petit Papa Noël».
http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/23/2072498-corse-la-maison-de-tino-rossi-cambriolee-et-vandalisee.html

dimanche 22 mars 2015

Grave accident à Saint-Pierre-en-Faucigny, en Haute-Savoie

Un jeune conducteur a été grièvement blessé, ce samedi 21 mars en soirée, après une sortie de route qui s'est terminée contre un arbre. 
L'accident a eu lieu vers 22h30. Un automobiliste de 25 ans est allé percuter un arbre après avoir quitté la chaussée. La scène s'est passée sur la route des Gorges du Born, à Saint-Pierre-en-Faucigny. Grièvement blessé, le jeune homme a dû être désincarcéré de son véhicule tant le choc a été violent. La victime a ensuite été médicalisée et transportée au Centre Hospitalier Alpes Léman. Une enquête est ouverte. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/03/22/grave-accident-saint-pierre-en-faucigny-en-haute-savoie-680443.html

JURA. Un blessé dans une collision à Lons

Il était environ 9 heures ce matin quand un Renault Scénic qui circulait route de Macornay en direction de la Fontaine aux Daims a dévié de sa trajectoire pour venir percuter une Citroën DS5 en stationnement, finissant sa course sur le toit.
Le choc a été violent et les deux véhicules sont hors d’usage. Agé d’une soixantaine années et domicilié à Lons, le conducteur a été blessé à la main et a dû être transporté au centre hospitalier pour des soins.
Les véhicules ont été remorqué par le garage Dumont de Gevingey.
http://www.leprogres.fr/jura/2015/03/22/un-blesse-dans-une-collision-a-lons

Un cercle de jeux clandestin dans le PMU

La responsable d'un PMU de Toulouse et l'organisateur de parties de cartes viennent de passer deux jours en garde à vue. Depuis plusieurs mois, des parties de poker à fort enjeu financier se déroulaient dans l'établissement.
Jeux de grattages, tirages, paris sportifs… comme chaque PMU, celui de l'avenue de Lavaur offre à sa clientèle les services de la Française des jeux. Mais, mercredi, entre grilles à valider ou cigarettes à acheter, les clients ont été surpris par l'irruption de nombreux policiers du service régional de police judiciaire (SRPJ) de Toulouse.
Ces hommes, du groupe Courses et jeux, venaient mettre un terme à plusieurs mois de parties de poker clandestines aux enjeux financiers conséquents, jouées dans une arrière-salle de l'établissement.
Mercredi, les policiers ont pris en flagrant délit les joueurs en pleine partie. Ils les ont entendus et ont placé en garde à vue la responsable du PMU, une femme d'une petite cinquantaine d'années, mais aussi l'organisateur de ces parties prohibées. Après la belote et le rami, des habitués s'étaient mis, au fil du temps, à jouer intensément au poker, engageant de fortes sommes. Activité prohibée s'il est question d'argent comme c'était le cas à cet endroit. À l'issue de deux jours de garde à vue, la responsable du PMU et l'organisateur des parties ont été présentés au parquet. Ils ont été laissés libres mais devront répondre de leurs actes, début avril, devant le tribunal correctionnel de Toulouse. Le PMU risque une fermeture administrative. En attendant, il continue d'accueillir ses clients mais les parties de cartes ont cessé.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/22/2071954-un-cercle-de-jeux-clandestin-dans-le-pmu.html

samedi 21 mars 2015

Marseille : une septuagénaire retrouvée morte à son domicile

Un crime mystérieux est révélé ce matin par notre confrère La Provence : celui d'une femme de 78 ans, "retrouvée sans vie, face contre terre, le corps recouvert d'une couverture, un crucifix posé dans les plis de la même couverture". L'enquête a été confiée à la Police Judiciaire de Marseille.
Intrigués par des volets restés clos de sa maison, les voisins de la septuagénaire, demeurant à la rue Fifi-Turin, dans le quartier de la Capelette, ont donné l'alerte.
A l'intérieur de l'habitation, la vieille dame a été retrouvée sans vie, et portait, selon la Provence, des traces de coups au visage. Le parquet a confié l'enquête à la Police Judiciaire de Marseille.
La mise en scène avec le crucifix posé dans un pli de la couverture est une signature de crime sur laquelle les enquêteurs vont devoir se pencher.



http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/2015/03/21/marseille-une-septuagenaire-retrouvee-morte-son-domicile-679963.html

Dordogne : un trou mystérieux sur une route à Saint-Aulaye

Une nouvelle fois, le sol s'est effondré, vendredi, à la sortie de l'agglomération de Saint-Aulaye (24), non loin de la gendarmerie, sur la RD 38 qui mène à La Latière et Échourgnac. Le trou est circulaire et mesure environ 1 mètre de diamètre, pour 3 mètres de profondeur. Le même phénomène s'était produit il y a deux ans. L'orifice avait été comblé avec du calcaire

La roche de remblai a totalement disparu avec ce nouvel effondrement. Seules subsistent quelques traces au fond de la cavité. Des mesures de sécurité ont été prises par la mairie qui a fait recouvrir le trou et a installé une signalisation adéquate.
http://www.sudouest.fr/2015/03/21/dordogne-un-trou-mysterieux-sur-une-route-a-saint-aulaye-1866886-1733.php

Un nouveau-né retrouvé mort à Saugues

Un nouveau-né a été retrouvé mort dans une maison du bourg de Saugues. Les enquêteurs suspectent un infanticide. C'est en début d'après-midi que la découverte macabre a été faite.

La maison serait occupée par une sexagénaire et sa fille, la mère de l'enfant. Cette dernière aurait accouchée sur place ce vendredi. La sexagénaire aurait donné l'alerte en début d'après-midi.

Les gendarmes de la compagnie de Brioude et un technicien en identification criminelle du Puy-en-Velay sont sur place depuis. La maison a été passée au peigne fin

http://www.leprogres.fr/haute-loire/2015/03/20/suspicion-d-infanticide-a-saugues

vendredi 20 mars 2015

2 piétons fauchés dans l’agglomération rouennaise

Elle surgit brusquement entre 2 voitures stationnées
Une fillette de 8 ans a été percutée, mercredi 18 mars, rue d’Anvers, à Rouen, alors qu’elle traversait la rue, à 17h40, en passant entre 2 véhicules stationnés, à un endroit dépourvu d’un passage pour piétons.
Une femme de 57 ans, circulant alors dans cette rue, au volant de sa Twing, n’a pas vu la jeune fille et l’a percutée au niveau du capot du véhicule, sans pouvoir l’éviter.
Les secours alertés par un témoin ont transporté la fillette au service pédiatrique du CHU de Rouen. Elle souffre d’un traumatisme crânien mais ses jours ne sont pas en danger.

Percuté sur un chantier
Plus tôt, dans la journée de ce mercredi 18 mars, c’est un homme de 45 ans qui a été percuté, lui aussi par une voiture. Il était 15h45.
Cet agent de la direction des routes a été blessé alors qu’il était en intervention avec plusieurs de ses collègues, sur le CD 43, avenue des Dames, à Mont Saint Aignan, dans une zone limitée à 90 km/h.
L’homme sécurisait la zone dans laquelle ses collègues retiraient des plaques de plâtre, présentes sur la chaussée.
Tous les agents en place étaient vêtus de gilets fluorescents et les gyrophares de leur véhicule fonctionnaient lorsqu’un conducteur, âgé de 82 ans, a percuté l’agent chargé de la sécurité du chantier.
L'automobiliste, originaire de Bois Guillaume circulait à bord d’une Twingo, dans le sens Maromme – Bois Guillaume.
La victime a été transportée au CHU Charles Nicolle avec des blessures légères.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2015/03/19/2-pietons-fauches-dans-l-agglomeration-rouennaise-678489.html

Un avocat azuréen écroué pour blanchiment de fraude fiscale

Un avocat de Juan-les-Pins, inscrit au barreau de Grasse, a été écroué par un juge des libertés et de la détention de Nice jeudi soir.
L'avocat a été mis en examen pour blanchiment de fraude fiscale à l'issue de sa garde à vue dans les locaux de la section financière de la PJ de Nice.
Les policiers agissaient sur commission rogatoire d'un juge d'instruction.

     

Mort d’une jeune fille à Champigneulles : le mystère demeure

Le décès de Catherine F. reste une énigme. Cette jeune fille de tout juste 18 ans a été retrouvée morte mercredi, en fin d’après-midi, au domicile de son petit ami, ruelle du Moulin à Champigneulles.
Son corps était allongé sur un lit et ne portait aucune trace de blessure. Une autopsie a eu lieu ce jeudi à l’Institut médico-légal de Nancy et a confirmé que la jeune femme n’avait pas subi de violence. L’examen n’a, en revanche, pas permis de déterminer la cause du décès. Des analyses de sang sont en cours et devraient permettre d’en savoir plus. Mais les résultats ne sont pas attendus avant au moins un mois.
En attendant, le décès demeure un mystère. Malaise, suicide, overdose de médicaments ou d’autres substances, voire acte criminel : les gendarmes chargés de l’enquête ne peuvent pour l’instant exclure aucune piste.
Car la victime avait un profil tourmenté. « Elle avait une santé très fragile. Elle avait de l’asthme et, aussi, un problème d’ulcère », indique sa mère, agent d’entretien à la mairie de Toul. Sa fille souffrait aussi d’une certaine fragilité psychologique. Elle venait d’ailleurs de sortir, depuis une dizaine de jours, du service psychiatrique de l’hôpital de Brabois. Elle avait été admise mi-février dans ce service, suite à une tentative de suicide. Elle avait absorbé une surdose de médicaments.
Sa famille a toutefois du mal à croire qu’elle ait de nouveau essayé et, cette fois, réussi à mettre fin à ses jours. « Je l’avais tout le temps au téléphone. Elle avait mis plein de chose en place pour vivre, pour se relancer, pas pour partir. Elle devait en particulier reprendre une formation en septembre pour passer un bac pro en alternance », témoigne sa mère, au bord des larmes.
Sa fille vivait chez elle, à Toul, avec sa demi-sœur de 13 ans, avant son hospitalisation en psychiatrie. C’est à sa sortie de Brabois qu’elle est allée s’installer à Champigneulles, chez un homme d’une trentaine d’années avec lequel elle avait noué connaissance durant son séjour à l’hôpital.
Lui est un toxicomane qui était en cure de désintoxication. La jeune fille décédée, en revanche, « ne prenait pas de drogue », affirme sa mère, tout en concédant qu’elle était « secrète » et donc qu’elle ne disait pas forcément tout à ses proches.
C’est son nouveau petit ami qui l’a découverte inanimée dans son lit, mercredi, aux environs de 18 h. Interrogé par les gendarmes, il a expliqué avoir cru qu’elle dormait et avoir essayé de la réveiller. N’y parvenant pas, il a alerté les secours.
Rien ne permet pour l’instant de remettre en cause ses déclarations et il a été laissé libre par les enquêteurs.
http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2015/03/20/mort-d-une-jeune-fille-a-champigneulles-le-mystere-demeure

jeudi 19 mars 2015

Accident d'un poids lourd près de Toul (54) : RN4 coupée dans le sens Paris-Nancy

Cet axe routier de grande circulation a été coupé jusqu'à 14h dans le sens Paris-Nancy suite à un accident à l'ouest de Toul (PR 10+615) : un ensemble routier circulant dans le sens Nancy-Paris a traversé la glissière centrale et s'est immobilisé sur l'axe dans le sens Paris-Nancy.
La RN4 a été coupée dans le sens Paris-Nancy suite à un accident à proximité de Toul (PR 10+615) intervenu vers midi, jeudi 19 mars 2015 : un ensemble routier circulant dans le sens Nancy-Paris a traversé la glissière centrale et s'est immobilisé sur l'axe dans le sens Paris-Nancy.

La coupure intervenait à Choloy-Ménillot (PR 4+335), une déviation étant mise en place à l'intersection RN4/D960 pour envoyer les véhicules légers vers Toul-Centre.

La RN4 a été progressivement rouverte à la circulation à partir de 14h.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/lorraine/2015/03/19/accident-d-un-poids-lourd-pres-de-toul-54-rn4-coupee-dans-le-sens-paris-nancy-678531.html

Port-Vendres : le corps d'un homme découvert dans la mer

L'alerte a été donnée ce jeudi en début de matinée sur la commune de Port-Vendres. D'après les témoins, le corps d'un homme flottait dans le port de la commune.
Immédiatement, les sapeurs pompiers mais également les services de gendarmerie, dont les plongeurs de la brigade nautique, ont été dépêchés sur les lieux afin de récupérer le corps.
Selon les premiers éléments, la victime serait un homme d'une cinquantaine d'années. Il aurait été porté disparu dans le secteur de Bergerac. Pour l'heure, on ignore les raisons pour lesquelles il se trouvait à cet endroit et les causes et circonstances exactes de son décès.
L'opération était toujours en cours à 10h ce jeudi matin.
http://www.lindependant.fr/2015/03/19/port-vendres-le-corps-d-un-homme-decouvert-dans-la-mer,2005803.php

Ivre, elle n'arrive pas à passer le péage

Rosine, 60 ans, se tient raide à la barre. Droite comme un «I». Ce ne devait pas être le cas ce 29 juillet dernier, à 19 h 10, à Capvern. Les gendarmes sont postés à l'entrée de l'autoroute, juste avant le péage, lorsqu'ils voient arriver une voiture, tractant une caravane. Banal. Ce qui l'est moins, c'est que la conductrice a toutes les peines du monde à passer la barrière. Manœuvres, marche arrière, marche avant… rien n'y fait, la dame n'arrive pas à passer le péage. Intrigués et surtout mis en alerte, les gendarmes s'approchent : Rosine a «le regard vitreux, les yeux voilés et sent fortement l'alcool». On la fait descendre de son véhicule : elle tient à peine debout et ses explications sont plus qu'embrouillées. Immédiatement, les gendarmes lui présentent l'éthylotest : 1,70 g d'alcool dans le sang. Pas étonnant que la barrière se soit mise à bouger pour l'empêcher de passer… À la barre, Rosine ne conteste pas les faits en eux-mêmes, mais la procédure, ce qui a le don d'exaspérer la présidente Élisabeth Gadoullet : «Venir discuter une régularité de procédure quand un est un danger public, c'est un peu gros. Votre avocate a fait un incident au greffe avant l'audience, c'est absolument inadmissible !» En effet, la jeune avocate parisienne de la prévenue entendait obtenir la nullité de la procédure au motif qu'on avait présenté à sa cliente l'éthylotest avant l'éthylomètre, alors qu'en principe ce devait être le contraire. La présidente s'emporte franchement : «Ça revient strictement au même et la procédure est respectée ! Un point c'est tout». Quant aux faits, Rosine explique : «J'avais un peu bu, c'est vrai, j'étais à un anniversaire…» La présidente réplique illico : «Ce n'était pas au Champomy, cet anniversaire ! Et en plus, ça revient chaque année !» La dame a déjà en effet à son actif une condamnation pour conduite en état alcoolique. Et ses analyses sanguines ne rapportent pas la preuve qu'elle soit sobre comme un chameau. «Prendre et faire prendre aux autres de tels risques sur une autoroute, avec une caravane attelée en plus !, c'est insensé», s'offusque la procureure Aude Le Herrissier. La demande de nullité est bien sûr rejetée et la prévenue condamnée à 3 mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve pendant 18 mois, avec obligation de soins antialcooliques, 600 € d'amende et annulation de permis.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/19/2069660-ivre-elle-n-arrive-pas-a-passer-le-peage.html

mercredi 18 mars 2015

Eclusier-Vaux : chute mortelle dans le marais communal

Le corps d'un homme a été retrouvé vers 23h cette nuit dans le marais communal d'Eclusier-Vaux par les pompiers. D'après sa famille, l'homme, âgé de 49 ans, faisait des travaux dans sa hutte et serait tombé mortellement de sa barque.
Inquiète de ne pas le voir revenir, sa famille avait signalé sa disparition. Les pompiers ont retrouvé le corps vers 23h dans le marais communal.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2015/03/18/eclusier-vaux-chute-mortelle-dans-le-marais-communal-677379.html

Une tour du quartier d'affaires de la Défense victime d'un incendie

Un feu s'est déclaré ce mercredi matin au sommet de la tour "Coeur Défense" dans le quartier d'affaires de l'Ouest de Paris. Il a été très vite maîtrisé par les pompiers. Aucun blessé n'est à déplorer.
Un incendie s'est déclaré ce mercredi matin au sommet de la tour "Coeur défense" située dans le quartier d'affaires de la Défense, à l'Ouest de Paris. Il a été rapidement maîtrisé par les pompiers dépêchés sur place.
Après avoir été évacués, les salariés des niveaux supérieurs de cet édifice de 40 étages ont commencé à réintégrer leurs bureaux.
"C'était un petit feu mais qui a pris des aspects extrêmement spectaculaires en raison des dégagements de fumée. L'incendie a pris dans les filtres de la centrale de traitement d'air. Les pompiers sont intervenus rapidement et il n'y a pas de blessé", indique à MYTF1News Hervé Bonnat, directeur de la communication de De Facto, l'établissement public chargé de l'exploitation et de la sécurité du quartier de la Défense.
L'origine de l'incendie reste encore inconnue.
La tour "Coeur défense" a été inaugurée en 2001. Elle possède la surface la plus important en terme de bureaux avec 180 000 mètres carré.
 
 

Attaque à la machette sur les allées Jean-Jaurès : un homme entre la vie et la mort

Un homme de 26 ans était entre la vie et la mort hier après avoir été frappé de plusieurs coups de machette, en fin d'après-midi, sur les allées Jean-Jaurès. Deux personnes ont été interpellées.
«On a entendu un homme hurler». Une scène d'une effroyable barbarie s'est déroulée hier après-midi en plein cœur de Toulouse. Un jeune homme a été frappé de plusieurs coups de machette sur les allées Jean-Jaurès.
Il était aux environs de 16 h 45 lorsque l'agression s'est produite. Selon les témoins, un homme qui marchait au niveau du n° 69 des allées, face à l'hôtel Pullman, a été brusquement pris à partie.
Deux individus qui se trouvaient à bord d'une Renault Clio gris clair se sont arrêtés à sa hauteur. L'un d'entre eux est sorti du véhicule et lui a fondu dessus. Il lui a asséné des coups de machette très violents. «Il poussait des cris et essayait de se protéger, décrit Max, un témoin. Le second est sorti de la voiture. Ensuite, ils sont remontés dans la Clio et sont partis à fond dans la rue de Belfort. J'ai vu beaucoup de sang couler.»

Beaucoup de sang

Quelques secondes plus tard, les policiers de la CSI-UI se sont portés au secours de la victime. L'homme avait été blessé de deux coups au bras et d'un coup dans le dos. Les policiers ont pratiqué des points de compression afin de contenir l'hémorragie. Une geste qui aura sans doute permis de sauver la vie de la victime.
Cet homme de 26 ans a ensuite été pris en charge par les sapeurs-pompiers et le Samu avant d'être transporté dans un état très grave à l'hôpital Rangueil. Son pronostic vital était engagé.
Pendant ce temps, le signalement des fuyards a été diffusé sur les ondes de la police. Les hommes de la BAC sont parvenus à intercepter les deux hommes dans le quartier des Minimes. Ils ont été interpellés et placés en garde à vue.
Il s'agirait de deux Sri-Lankais, tout comme la victime. L'expédition punitive n'a pas manqué de choquer les nombreux passants qui se trouvaient sur les allées Jean-Jaurès en cette fin d'après-midi.
D'impressionnantes traces de sang jonchaient le trottoir sécurisé par les policiers. Les spécialistes de l'identité judiciaire ont procédé aux constatations d'usage. L'enquête devait être confiée à la brigade criminelle et de répression des atteintes aux personnes de la sûreté départementale.
Samedi matin déjà, un homme de 26 ans avait été blessé d'un coup de couteau au thorax, dans le quartier d'Arnaud-Bernard à Toulouse. Il était toujours dans le coma hier. Cette fois, l'enquête a été confiée au SRPJ.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/17/2068419-attaque-machette-allees-jean-jaures-homme-entre-vie-mort.html

mardi 17 mars 2015

Corbeil : un homme suspecté d’avoir tué sa compagne

Un homme âgé d’une trentaine d’années a été placé en garde à vue à la suite de la découverte du corps sans vie de sa conjointe ce lundi à Corbeil (Essonne). Déjà condamné dans le passé pour des faits de violences, il était sur le coup d’une mesure d’éloignement successive à une plainte déposée pour violences conjugales par sa compagne âgée, elle, d’à peine 20 ans

Les faits se seraient déroulés dans un pavillon délabré et squatté par des marginaux dans le centre-ville de Corbeil. L’homme suspecté d’avoir porté des coups mortels à son amie s’est refusé à tout commentaire lors de ses premières auditions. Un deuxième individu, qui se trouvait sur place au moment de la découverte du corps, a également été interpellé. Selon les premiers éléments de l’enquête, la mort de la jeune fille pourrait remonter au dimanche soir.

http://www.leparisien.fr/corbeil-essonnes-91100/corbeil-un-homme-suspecte-d-avoir-tue-sa-compagne-17-03-2015-4611183.php

Fraude à la CPAM à Rivesaltes: le patron d'une société de matériel médical arrêté

Au terme d'une longue enquête, les gendarmes de Rivesaltes viennent de confirmer des soupçons de fraude à la CPAM des P.-O.
Tout commence en octobre 2013 lorsque l'organisme dépose plainte auprès du procureur concernant des remboursements douteux, susceptibles de relever d'une sanction pénale, versés à un prestataire de matériel médical exerçant dans la plaine du Roussillon.
Franchisé auprès d'un groupe privé d'envergure nationale, l'intéressé mettait à disposition d'infirmiers à domicile, des fournitures spécialisées pour des soins aux personnes souffrant de pathologies lourdes. Or, un déséquilibre apparaissait entre la facturation et les actes réalisés. Une enquête a été lancée et confiée à la brigade de recherches de Rivesaltes en charge de faire la lumière sur cette affaire.
Les militaires, au vu de l'aspect financier très dense du dossier, ont bénéficié du concours du Groupe d'intervention régional (GIR) de Montpellier. Après vérifications, le recueil d'une cinquantaine de témoignages et des investigations techniques très poussées, les enquêteurs ont alors pu déterminer les pratiques de la société concernée.
A savoir qu'elle déclarait sur ses factures l'utilisation non conforme ou injustifiée de matériels médicaux mais aussi qu'elle "gonflait" de manière excessive le nombre de prestations. Il a en outre été établi que le gérant de la société commettait le délit d'exercice illégal de la médecine. Ce dernier et sa concubine ont été interpellés mardi dernier.
Les perquisitions menées à leur domicile ont permis de recueillir de nombreux éléments, confortant encore les doutes d'une fraude de grande ampleur. Et ce d'autant que le montant du préjudice de l'escroquerie porterait sur plusieurs centaines de milliers d'euros. À l'issue de sa garde à vue, le gérant de la société a été présenté au parquet et a été laissé libre.
Toutefois, il a été placé sous contrôle judiciaire dans l'attente des investigations complémentaires qui vont être réalisées dans le cadre de l'information qui a été ouverte.
http://www.lindependant.fr/2015/03/17/fraude-a-la-cpam-le-patron-d-une-societe-de-materiel-medical-arrete,2004452.php

Le Côteau : un automobiliste, qui avait renversé une septuagénaire, rattrapé par des témoins

Ce lundi matin, à 9 h 05, un automobiliste qui avait pris la fuite après avoir renversé une septuagénaire traversant sur un passage protégé, a été rattrapé par des témoins.
La scène s’est déroulée rue Carnot, au Coteau, commune voisine de Roanne.
Tandis que des personnes prêtaient assistance à la victime, une dame âgée de 72 ans, et appelaient les secours, d’autres entreprenaient de suivre l’automobiliste qui ne s’était pas arrêté.
Il sera intercepté quelques minutes plus tard et remis aux policiers. L’homme, âgé de 44 ans, a été conduit au commissariat et placé en garde à vue.
L’éthylotest pratiqué a révélé un taux de 0,52 mg par litre d’aire expiré soit 1,04 gramme d’alcool dans le sang.
La victime, souffrant de blessures à la face et à la hanche, a été conduite au centre hospitalier. Elle a été placée en observation. Libéré lundi dans la journée, le quadragénaire fera prochainement l’objet de poursuites judiciaires.
http://www.leprogres.fr/loire/2015/03/17/un-automobiliste-qui-avait-renverse-une-septuagenaire-rattrape-par-des-temoins

lundi 16 mars 2015

Pau : deux blessés dans une impressionnante collision

Un accident s'est produit ce lundi matin peu après 9 heures à Pau, sur les allées Catherine-de-Bourdon au croisement du boulevard Hauterive qui mène à l'hôpital.
Une voiture a heurté un autre véhicule en tournant en direction de l'hôpital. L'accident a projeté cette seconde voiture sur le toit. Ses deux passagers, manifestement retraités, ont été blessés.
L'homme et la femme, originaires des Hautes-Pyrénées, ont été transportés à l'hôpital.
http://www.sudouest.fr/2015/03/16/pau-deux-blesses-dans-une-impressionnante-collision-1860859-4344.php

Doubs : trois blessés grave dans une collision frontale

Il était 12 h 03, ce dimanche, lorsque les secours ont été alertés. Une collision frontale venait d’opposer deux véhicules qui circulaient sur la RN83, à hauteur du territoire communal de Chouzelot, près de Quingey, dans le Doubs.
Rapidement sur les lieux, les sapeurs-pompiers de Quingey, Besançon et Arc-et-Senans ont pris en charge les trois personnes impliquées, dont une a dû être désincarcérée de l’habitacle broyé du véhicule.
Selon les premiers éléments de l’enquête, menée par les gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Vit qui se sont rendus sur les lieux, l’accident qui s’est produit en ligne droite serait dû à un dépassement dangereux.

Un Bisontin et deux Messins impliqués

Âgé de 45 ans et domicilié dans le secteur de Besançon, le conducteur en cause, qui circulait dans le sens Besançon – Lons-le-Saunier, aurait en effet doublé de façon intempestive et incontrôlée, ce qui l’aurait amené à percuter de plein fouet le véhicule qui arrivait en sens inverse.
À bord de ce dernier : un couple de retraités domiciliés à Metz, la femme, qui était au volant, étant âgée de 65 ans, et l’homme, qui se trouvait sur le siège passager, de 72 ans.
Très grièvement blessé, ce dernier a dû être héliporté au CHU Jean-Minjoz de Besançon par l’hélicoptère de la sécurité civile Dragon 25.
Une intervention durant laquelle la circulation a été totalement interrompue sur les deux voies, le trafic ayant été perturbé au total pendant deux heures.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/03/15/doubs-trois-blesses-grave-dans-une-collision-frontale

dimanche 15 mars 2015

Agen : un SDF retrouvé mort dans un ruisseau

Un homme sans domicile fixe de 55 ans a été retrouvé noyé ce matin à Agen dans le ruisseau de la Masse. Pour l'heure aucune explication, une enquête est en cours pour établir les circonstances de ce décès. 
L’autopsie du corps de la victime devrait être pratiquée, dans les prochains jours, à l’Institut médico-légal de Bordeaux.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/2015/03/15/agen-un-sdf-retrouve-mort-dans-un-ruisseau-675313.html

Malaise mortel au volant d'un poids lourd à Nice

Un chauffeur de poids lourd a été victime d'un malaise au volant, dimanche matin aux alentours de 7h à Nice. 
Le malheureux est décédé dans son véhicule, sur la pénétrante du Paillon.
L'homme transportait les barrières qui doivent jalonner le parcours de la dernière étape de Paris-Nice, ce dimanche dans la capitale azuréenne.
Son collègue, au volant du véhicule que la victime précédait, a percuté son poids lourd.
La pénétrante du Paillon a dû être neutralisée pendant 1h30.
http://www.nicematin.com/nice/malaise-mortel-au-volant-dun-poids-lourd-a-nice.2139478.html

Vague de braquages dans le Pays de Montbéliard : un troisième homme recherché

Un, deux, trois … Stop ! En l’espace de quatre jours, le Pays de Montbéliard a enregistré deux vols à main armée et une tentative. À la station Avia d’Écot, le long de l’A36, mardi soir, deux hommes sont repartis avec le montant de la caisse, à Lidl Voujeaucourt jeudi soir, trois malfaiteurs ont finalement rebroussé chemin sans butin et à Gemo Audincourt vendredi après-midi, les braqueurs ont raflé 161 euros et des poussières avant de se faire interpeller, dix minutes plus tard, à Sochaux, près de Citédo.
Immédiatement, les enquêteurs ont compris qu’ils tenaient les « bons clients » avec les deux occupants d’une Peugeot 307 SW de couleur grise, correspondant à la description donnée par des témoins. Le butin, les cagoules et les armes utilisées. Tout y était, tout coïncidait.

Des armes récemment achetées

Mieux encore, avec cette interpellation, les policiers savaient qu’ils venaient de, partiellement, résoudre l’affaire de Lidl, confiée aux gendarmes. La fameuse 307 était identique à celle qui avait été repérée et signalée (par d’autres témoins), jeudi soir à Voujeaucourt. Sauf que pour cette expédition-là, ils étaient trois. Il manque donc un élément de l’équipe. Celui qui tenait le fusil à pompe ?
Les deux malfaiteurs parleront-ils et balanceront-ils le nom de leur complice ? Les enquêteurs se montrent évidemment des plus discrets sur la question comme sur l’ensemble des investigations.
Toutefois, quelques informations ont filtré. Deux armes ont bien été retrouvées. Il s’agit d’un revolver et d’un pistolet automatique, deux armes d’alarme achetées quelques jours avant la commission des faits. Ce qui atteste d’une certaine forme de préparation sinon de préméditation.
Quelles motivations ont poussé ces deux jeunes à basculer dans le registre criminel ? L’aîné, prénommé Julien, est âgé de 24 ans et demeure à Étouvans où il est déjà connu. Le plus jeune, un mineur de 16 ans demeurant dans un secteur proche, s’est récemment illustré dans des histoires de cambriolage.
Les gardes à vue ont été prolongés en vue d’une présentation au tribunal avec une probable saisine d’un juge d’instruction dimanche sinon lundi. D’ici là, les deux comparses auront peut-être éclairé les policiers sur l’identité du troisième homme. Il restera enfin à vérifier s’ils sont mêlés, ou non, au premier braquage de la série, celui d’Écot.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/03/14/vague-de-braquage-dans-le-pays-de-montbeliard-un-troisieme-homme-recherche

samedi 14 mars 2015

Double meurtre du Loir-et-Cher : l'homme mis en examen pour homicides volontaires

L'homme qui s'était présenté aux gendarmes et accusé du meurtre des deux personnes dont les corps ont été retrouvés dans sa camionnette ce mardi a été mis en examen pour homicides volontaires.
L'homme de 25 ans, qui a avoué le meurtre de deux personnes dont les corps ont été retrouvés dans le coffre de sa fourgonnette, a été mis en examen vendredi soir pour homicides volontaires, a-t-on appris auprès du parquet de Blois. Même si l'homme s'est rendu de lui-même aux enquêteurs et s'est accusé du crime, le procureur de Blois, Mme Dominique Puechmaille, qui a requis sa mise en examen et son placement en détention, est restée très prudente, ce vendredi lors d'une conférence de presse, évoquant de "possibles développements de l'enquête"

Surpris par les gendarmes, l'homme tente d'incendier son véhicule

L'homme, sans sérieux antécédents, s'est rendu spontanément mercredi soir aux enquêteurs en se présentant comme le conducteur du véhicule, activement recherché après s'être enfui à la vue des gendarmes dans la nuit de mardi à mercredi. Les
gendarmes avaient été alertés par la présence du véhicule, stationné "tous feux éteints dans un chemin creux" à Saint-Lubin-en-Vergonnois (Loir-et-Cher, à quelques kilomètres à l'ouest de Blois), a expliqué le procureur.

Après avoir démarré en trombe, il s'était engagé dans un chemin de terre où il s'était embourbé. Alors qu'il était pris "dans les faisceaux des phares de la voiture de patrouille, qui se trouvait à environ 200 mètres, le conducteur est sorti du véhicule et a tenté de l'incendier avant de s'enfuir à pied", a expliqué Mme Puechmaille. Les gendarmes, après avoir éteint le début d'incendie, découvraient à l'arrière du véhicule les corps de deux hommes "emballés dans plusieurs couches de couverture, ayant un peu l'apparence de momies", a précisé la magistrate. L'autopsie a confirmé qu'ils avaient été tués par arme à feu, a-t-elle indiqué

Il se préparait à enterrer les corps

L'homme se présentant comme le conducteur de la fourgonnette a affirmé aux enquêteurs avoir abattu les deux hommes, selon Mme Puechmaille. Il a expliqué qu'il avait l'intention d'enterrer leurs cadavres lorsqu'il a été surpris par la patrouille de gendarmerie. Le procureur n'a pas souhaité s'exprimer sur l'existence de complices éventuels, invoquant l'intérêt de l'enquête et "de possibles développements". "Nous devons vérifier toutes les déclarations du suspect. Des analyses sont en cours et les résultats n'en seront connus que dans trois semaines", a expliqué Mme Puechmaille.

Les enquêteurs "ne savent pas encore très précisément" où les deux hommes ont été tués, a-t-elle encore indiqué. Restant très laconique, le procureur de Blois a cependant précisé que les deux victimes - l'une âgée de 21 ans et originaire d'Orléans, l'autre "un peu plus âgée" - avaient un casier déjà chargé, sans plus de précision.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/centre/2015/03/14/double-homicide-du-loir-et-cher-l-homme-mis-en-examen-pour-homicides-volontaires-674801.html

Bergerac : un automobiliste renverse une octogénaire et lui roule dessus

Un terrible accident s'est produit vendredi vers 16 heures, sur le parking du magasin Spar, situé dans le quartier Jean-Moulin, à Bergerac, en Dordogne. Un automobiliste, qui effectuait une manœuvre en marche arrière, n'a pas vu une octogénaire qui traversait le parking à ce moment-là.
La vieille dame a été renversée et le véhicule a roulé sur son corps. Elle a été transportée à l'hôpital de Bergerac et, compte tenu de son grand âge, les médecins ne se prononcent pas sur l'évolution de son état de santé.
Le conducteur du véhicule a été entendu par la police.
http://www.sudouest.fr/2015/03/14/faits-divers-1859170-4584.php

Bordeaux : 15 ans de réclusion criminelle pour avoir tué sa femme

Hier après-midi, les jurés de la cour d'assises de la Gironde ont condamné Jean-Luc Alarcon, 48 ans, à 15 années de réclusion criminelle. Une décision qui est conforme aux réquisitions du parquet général. Les avocats de la défense, Mes Frédéric David et Gérard Serfaty, ont bataillé pour que les jurés aillent au-delà de la carapace de ce Toulousain très attaché à Grenade, militaire de carrière et qui n'a pas supporté que sa femme, adjudante-chef également dans l'armée de l'air, souhaite «vivre sa vie» après 25 ans de mariage.
Alors que la séparation paraissait de plus en plus inéluctable, un soir de janvier 2013 à Bègles, en banlieue de Bordeaux, le passage à l'acte a été extrêmement violent. L'annonce pour son épouse de son départ de la maison, pour s'installer sur la base 106 à Mérignac, a plongé Jean-Luc Alarcon dans un profond malaise. «Il était désorienté et quelques minutes plus tard, son épouse lui a fait des reproches virulents. Il ne l'a pas supporté», explique Me David. Il l'a alors poignardée son épouse, Sandrine Chaze, 47 ans. Les soixante coups portés avec un couteau de cuisine n'ont laissé aucune chance à la mère de ses deux enfants. Leur fille, âgée de 24 ans, a assisté à la scène.
«Je ne peux pas croiser son regard aujourd'hui», a dit à la barre cette jeune femme qui depuis le drame, a rompu tout contact avec son père contrairement à son frère, plus jeune. Le général Éric Labourdette, qui connaissait Jean-Luc Alarcon est venu parler de ce militaire «brillant», devenu aux fils des affectations, un ami, et raconter les difficultés d'une vie à deux quand les carrières ne peuvent facilement se suivre. Et face à ce couple venu s'installer à Bordeaux en octobre 2012 et qui au fil du temps allait de plus en plus mal, les parents de l'accusé sont venus dire leur peine. «Je regrette de ne pas avoir perçu l'état de mon fils», a dit, en pleurs, la mère de l'accusé avec laquelle il entretenait une relation très forte. «Il me disait que ça n'allait pas bien mais je n'imaginais pas à ce point…»
http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/14/2066807-bordeaux-15-ans-reclusion-criminelle-avoir-tue-femme.html

93: deux pompiers grièvement blessés

Deux pompiers qui étaient intervenus pour éteindre un incendie à Livry-Gargan, en Seine-Saint-Denis, ont été grièvement blessés et évacués par hélicoptère vers des hôpitaux parisiens, a-t-on appris de sources concordantes. "Alors qu'ils intervenaient sur la commune de Livry-Gargan", "pour un feu de pavillon, deux sapeurs-pompiers de Paris ont été grièvement blessés ce soir", a déclaré le ministère de l'Intérieur dans un communiqué.

Leur pronostic vital est engagé, a-t-on appris auprès des pompiers, qui ont expliqué que les deux blessés s'étaient rendus vers 19H30 pour éteindre un feu de pavillon dans cette commune de banlieue parisienne, avant d'être évacués aux alentours de 20H30 sur Paris, place du Colonel Fabien. "Rapidement secourus par leurs collègues présents sur place, ils ont été transportés en structure hospitalière afin de recevoir des soins spécialisés", a confirmé le ministère.

Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a formé "des voeux de prompt et complet rétablissement" et a exprimé "son entier soutien à l'ensemble de leurs collègues sapeurs-pompiers de Paris éprouvés par cet accident".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/13/97001-20150313FILWWW00472-93-deux-pompiers-grievement-blesses.php

vendredi 13 mars 2015

Etudiant tué pour son téléphone à Talence (33) : comment est mort Alexis ?

Ils arrivent sous bonne escorte. Visages fermés, en survêtement et veste de sport, encadrés par des gendarmes et des policiers, Christophe et Mickaël Houwer, deux jumeaux de 22 ans, qui bénéficient toujours de la présomption d'innocence à ce stade de la procédure pour vol suivi de mort, reviennent sur les lieux du crime, pour une reconstitution, ordonnée par la juge en charge du dossier sur le décès d'Alexis Moulinier.
C'était il y a un peu plus d'un an, rue Roustaing à Talence. Le 5 mars 2014, Alexis Moulinier, étudiant en économie de 19 ans, recevait un coup de couteau mortel en plein cœur après avoir été délesté de son smartphone, revendu dans la soirée pour une poignée d'euros. L'enquête de la brigade criminelle de la direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) avait permis de remonter la piste des jumeaux, actuellement en détention provisoire.
  • Déjà condamnés à trois ans fermes
Et de découvrir qu'ils n'en étaient pas à leur première agression pour un téléphone. Ils avaient déjà été condamnés le 28 janvier dernier à trois ans de prison ferme pour avoir dépouillé, ou tenté de détrousser, cinq collégiens, le 6 janvier 2014 et le 27 février 2014 à Talence. « Cela n'avait rien de personnel vis-à-vis des victimes, c'est plus spontané qu'on ne le croit », avaient alors plaidé leurs avocats, Mes Céline Le Drogo et Saad Berrada, présents hier pour la reconstitution.
Cet épisode de la procédure permet en fait, in situ, de positionner les protagonistes, de comprendre la chronologie du drame, de mimer le geste criminel, de mesurer la cohérence des versions, d'évaluer la plausibilité des arguments de défense. Accompagnée de son conseil, Me Jean Gonthier, Manon, la complice des deux frères, mineure au moment des faits, a également dû refaire les gestes qui lui sont reprochés.
Il s'agit d'un acte fort de l'information judiciaire qui devrait se conclure prochainement par le renvoi des mis en examen devant la cour d'assises de la Gironde. L'accès extérieur à la résidence Le Prince de Guyenne 2 a été interdit à la circulation pour faciliter les allées et venues des participants.
Un jeune homme joue le rôle d'Alexis Moulinier, casque et musique dans les oreilles. Relié à un smartphone convoité. Le jeune avance vers le hall de sa résidence. Il ne se méfie pas. Il n'a aucune raison. Il a été repéré à sa sortie du tramway. Il est abordé, délesté de son téléphone qui sera revendu dans la soirée pour quelques euros. La scène est brève, mais sera fatale.
Derrière un arbre, puis le long d'une rangée de voitures, épaulés par Me Stéphane Guitard, la petite amie et les parents d'Alexis assistent à la scène. Silencieux, soudés dans leur chagrin. Et confrontés pour la première fois au visage des responsables présumés de la mort d'Alexis.

http://www.sudouest.fr/2015/03/12/le-geste-fatal-refait-1856877-3200.php

LYON. Un piéton reversé par un bus

Jeudi peu avant 21 heures, un accident mettant en cause un bus s’est produit boulevard Vivier-Merle, à hauteur de la tour Suisse dans le 3e arrondissement de Lyon.
Dans des circonstances que l’enquête de police devra déterminer, un homme a été renversé. Blessé, il a reçu les premiers soins sur place avant d’être transporté à l’hôpital Edouard-Herriot. Ses jours ne seraient pas en danger
http://www.leprogres.fr/rhone/2015/03/13/lyon-3e-un-pieton-reverse-par-un-bus-jeudi-peu-avant-21-heures-un-accident-mettant-en-cause-un-bus

jeudi 12 mars 2015

Cadavres découverts dans une camionnette :le suspect entendu par les gendarmes

Activement recherché, le conducteur de la camionnette où ont été découverts mardi soir les corps de deux hommes, est actuellement entendu par les gendarmes. L'homme se serait rendu de lui-même
Le suspect avait pris la fuite mardi soir alors que les gendarmes s'apprêtaient à contrôler son véhicule. Quelques kilomètres plus loin, il avait abandonné sa camionnette au bord de la route non loin de Saint-Lubin-en-Vergonnois (Loir-et-Cher). A l'intérieur du véhicule, les militaires avaient découvert les corps de deux hommes.

Activement recherché depuis mardi soir, le conducteur du véhicule avait rejoint à pied la commune de Landes-le-Gaulois (Loir-et-Cher), où il avait passé la nuit de mardi à mercredi caché dans la remise d'un pavillon.  

Un règlement de compte ? 

Selon les premiers éléments, les deux victimes - dont les corps ont été autopsiés ce mercredi à Tours - ont été tuées par balles. Il pourrait s'agir d'un règlement de comptes. Les deux hommes seraient connus pour des faits de petite délinquance. Selon nos informations, l'un d'entre eux, un père de famille âgé de 20 ans et résidant dans le quartier Coligny à Orléans, se serait rendu à un rendez-vous avec un membre de sa famille.

Meuse : tentative d’assassinat à Saint-Mihiel

Un couple, un homme et une femme, sont activement recherchés par les gendarmes depuis mercredi soir. Ils sont les auteurs présumés d’une tentative d’assassinat sur un quinquagénaire. Vers 18 h 30, alors que l’homme sortait du Lidl de Saint-Mihiel, il aurait été pris à parti par le couple, la femme aurait sorti un couteau pour lui porter trois coups de couteau dans le dos.
Grièvement blessé, le quinquagénaire a été héliporté vers Nancy dans la soirée de mercredi
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/03/12/meuse-tentative-d-assassinat-a-saint-mihiel

Yvelines : le voleur "à la sauce tomate" avait piégé 14 victimes

Il déversait de la sauce tomate sur le perron de ses victimes pour faire diversion, puis dérobait leur carte bancaire: un homme soupçonné d'avoir ainsi dépouillé 14 personnes âgées sera jugé à Versailles.
Son mode opératoire était peu banal. Un homme de 64 ans a été interpellé vendredi et présenté à la justice dimanche et sera convoqué ultérieurement pour être jugé. Il procédait à des vols d'un genre particulier : il déversait de la sauce tomate sur le perron de ses victimes pour faire diversion puis dérobait leur carte bancaire.
Ces vols par ruse "à la sauce tomate" ont été commis entre novembre 2014 et février dernier, pour la plupart dans la circonscription de Versailles.
L'homme a reconnu les faits.

La technique était toujours la même: le voleur ciblait une personne âgée au supermarché, lorgnait sur son code lorsqu'elle payait ses achats, puis la suivait jusque chez elle. Là, il laissait tomber un pot de sauce tomate sur le seuil de sa porte, demandait son aide pour nettoyer... et en profitait pour voler sa carte bancaire.
"Ca ne marchait pas sur des jeunes"...
Au total, la combine lui a permis de détourner 17.000 euros, a indiqué à l'AFP le commissaire de Versailles, Ludovic Jacquinet. L'homme a expliqué qu'il avait "déjà essayé sur des jeunes" mais que, sans surprise, "ça ne marchait pas", a ajouté le commissaire.

mercredi 11 mars 2015

L'homme soupçonné d'avoir percuté un enfant de 3 ans à Choisy-le-Roi conduisait une moto volée

Le motard de 19 ans, interpellé peu après l'accident qui a grièvement blessé un petit garçon de 3 ans qui traversait la route avec sa mère, a été mis en examen pour "blessure involontaires aggravées" et "recel de vol". La moto qu'il conduisait dans le couloir de bus était en effet volée...
Le petit garçon de 3 ans avait été transporté dans un état grave à l'Hôpital Necker de Paris, après avoir été violemment percuté par un motard alors qu'il traversait avec sa mère une avenue de Choisy-le-Roi, dans le Val-de-Marne.

Si ce motard de 19 ans soupçonné d'avoir renversé à moto l'enfant de trois ans a été mis en examen mardi pour "blessures involontaires aggravées", il a également été mis en examen pour "recel de vol", car la moto qu'il conduisait était volée.

Cet homme, déjà connu pour des vols aggravés quand il était mineur et qui reconnaît les faits, devait passer dans la soirée de mardi devant un juge des libertés et de la détention, le parquet ayant requis à son encontre la détention provisoire.

Quatre autres jeunes hommes, dont au moins un mineur, ont également été placés en garde à vue dans cette affaire. Tous devaient également être présentés à un juge dans la soirée.

«Ils faisaient l'idiot dans le couloir de bus»

L'un deux, un homme de 18 ans, accompagnait l'auteur de l'accident sur une autre moto et avait pris la fuite après les faits. Il avait été placé en garde à vue
pour "non-assistance à personne en danger" et "mise en danger de la vie d'autrui" après s'être rendu de lui-même au commissariat.

Les trois autres sont suspectés d'avoir voulu "faire obstacle" à l'enquête, les deux motos ayant été retrouvées chez eux.

L'accident est survenu dimanche vers 13H30, alors que le petit garçon "traversait en famille le couloir du Trans-Val-de-Marne", un bus rapide, avait relaté une source policière. Les deux motards, qui "faisaient les idiots dans le couloir de bus", où ils n'ont pas le droit de circuler, n'ont pas vu arriver les piétons, cachés par un bus à l'arrêt, et l'un d'eux a violemment percuté l'enfant.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/2015/03/11/l-homme-soupconne-d-avoir-percute-un-enfant-de-3-ans-choisy-le-roi-conduisait-une-moto-volee-672635.html