samedi 31 janvier 2015

Un blessé grave dans un accident à Saint-André-le-Gaz (Isère)

Ce samedi 31 janvier, vers 5h30, une sortie de route a causé de graves blessures à un automobiliste, à Saint-André-le-Gaz. Il a dû être hospitalisé
L'accident est survenu au petit matin, à hauteur de la RD 1006. Pour une raison inconnue, -la route est-elle glissante?-, un conducteur a brutalement quitté la chaussée. L'homme, âgé de 25 ans, a été grièvement blessé. Médicalisé sur place par les secours, il a ensuite été hospitalisé à Bourgoin-Jallieu. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/01/31/un-blesse-grave-dans-un-accident-saint-andre-le-gaz-isere-644837.html

Dans un état critique

Vendredi vers 11 h, rue du Chariot à Masevaux, une automobiliste s’est retrouvée coincée entre sa voiture et un mur. Découverte en arrêt cardio-respiratoire par un passant, elle a pu être réanimée par un policier municipal masopolitain.
Il s’agit d’une habitante de Masevaux âgée de 67 ans. Elle a été évacuée sur le centre hospitalier Émile Muller de Mulhouse où son état a été jugé critique. Selon la gendarmerie de Masevaux, il s’agit d’un accident, non d’un malaise.
La conductrice serait tombée en tentant d’arrêter son véhicule, dont le moteur tournait. Celui-ci était arrêté sur une légère pente et elle venait d’en sortir. Pour une raison qui reste à déterminer, la voiture a alors avancé.
http://www.dna.fr/actualite/2015/01/30/dans-un-etat-critique

Cambriolages : un an de prison, dont huit mois avec sursis et mise à l'épreuve

«Je ne voulais plus dépendre de mes parents.» Voilà comment un jeune majeur appaméen s'est expliqué, ce vendredi matin, sur les faits qui lui valent d'être jugé en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Foix. Un argument somme toute très léger en regard des deux cambriolages et de la tentative de vol d'un scooter pour lesquels il est poursuivi. Car comme le rappelle le procureur de la République de Foix, «les cambriolages sont des atteintes aux biens, mais ce sont aussi des atteintes à l'intimité pour les victimes».
D'autant que le prévenu, décrit par l'enquêtrice de personnalité comme un jeune «qui manque de réflexion avant d'agir», conteste les faits remontant au 30 octobre 2014. Ce jour-là, André a mis en fuite deux jeunes gens qui s'affairaient autour d'un scooter. Les policiers, alertés, ont découvert que l'appartement d'André a été «visité» et qu'un appareil photo a disparu, ainsi que les clés du deux-roues, même si l'engin n'appartient pas à la victime du cambriolage. Lors de son audition, André reconnaît «formellement» l'un des suspects : il s'agit du prévenu.
Mais lorsqu'il est interpellé le 28 janvier, suite à un autre cambriolage — des tablettes et du matériel informatique ont été dérobés — celui-ci explique que fin octobre, il était en compagnie d'une fille. Mais il refuse d'en dire plus parce qu'il ne veut pas que la demoiselle en question «aille à la police». Quant à son identification, il «pense» que «le témoin s'est trompé». De quoi étonner le tribunal qui le prévient : «Le tribunal appréciera selon les éléments du dossier».
En revanche, pour les faits de la fin janvier, le jeune homme avoue : «C'est moi. J'ai volé tout ça car j'avais besoin d'argent». Il précise également qu'il comptait vendre son butin sur un site Internet spécialisé dans les petites annonces.
Ministère public et défense sont donc en accord sur un point : l'immaturité du prévenu. Mais là où le procureur de la République, reprenant les éléments à charge, notamment l'identification par André pour le cambriolage et la tentative de vol du 30 octobre, et les aveux du prévenu pour celui du 28 janvier, requiert un an de détention, avec un mandat de dépôt sur l'audience, Me Duffau plaide la clémence de la juridiction.
D'autant que pour l'avocat de la défense, «rien ne démontre la culpabilité» de son client dans les événements du 30 octobre. Il réclame donc la relaxe sur cette partie du dossier. Quant au cambriolage du 28 janvier, Me Duffau estime qu'il s'agit là d'une «bêtise» et qu'il n'y a «rien de prémédité». Il demande donc «une dernière chance» pour le prévenu.
Sans succès puisque le tribunal correctionnel condamne le jeune homme pour tous les faits à un an de détention, dont huit mois avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans, mais sans mandat de dépôt à l'audience.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/31/2040322-cambriolages-an-prison-dont-huit-mois-sursis-mise-epreuve.html

Unieux : deux blessés dont un enfant de 7 ans dans une collision entre deux voitures

Vendredi, peu après 16 heures, un accident s’est produit, rue Pasteur, juste en face de la mairie, à Unieux. Une Clio blanche, conduite par un automobiliste de 46 ans, circulait sur cet axe, en direction de Firminy, lorsqu’elle a été percutée par un autre véhicule, qui sortait du parking de l’Hôtel-de-Ville.
Le choc a été particulièrement violent comme en atteste l’état de carrosserie des deux véhicules.
Le conducteur de la Clio blanche, qui souffrait de douleurs aux cervicales, et son enfant de 7 ans, légèrement blessé, ont été pris en charge par les secours qui les ont évacués sur le centre hospitalier de Firminy. Quant au conducteur de la Seat, il est sorti indemne de la collision.
Sur place, les policiers du commissariat de l’Ondaine ont régulé la circulation, tout en procédant aux constatations d’usage pour établir les causes de cet accident
http://www.leprogres.fr/loire/2015/01/31/unieux-deux-blesses-dont-un-enfant-de-7-ans-dans-une-collision-entre-deux-voitures

vendredi 30 janvier 2015

Douai : une élève de 7 ans tombe gravement malade après une punition collective

Obliger les enfants à s’allonger sur le sol glacé du préau de l’école, c’est la sanction que n’ont pas hésité à infliger les trois animateurs d’une école de Cuincy, près de Douai (Nord). D’après La Voix du Nord, une fillette de 7 ans est tombée très malade ce jour-là.

Hospitalisée 12 jours

Les animateurs chargés de surveiller les enfants à l’heure de la cantine, excédés par leur chahut, avaient décidé de les punir. En pleine période hivernale, ils leur ont demandé de s’allonger à même le sol pendant de longues minutes. Dès le lendemain, plusieurs élèves se sont avérés malades. Une petite fille atteinte de vomissements et d’une forte fièvre a même contracté une pneumopathie et a dû être hospitalisée pendant 12 jours. Devant la colère des parents, la direction de l’école a suspendu un des animateurs et a muté les deux autres dans d’autres établissements scolaires. La peine n’est pas assez lourde pour les familles des enfants malades, qui menacent de porter plainte.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=41949&WS=291720_2501986&WA=8963

Rouen : elle tue sa sœur pendant son sommeil

Le dimanche 25 janvier vers 10h15, les pompiers sont appelés par une habitante d’un immeuble situé dans la rue de l’Amiral Cécille à Rouen. Quelques minutes plus tôt sa voisine tape à sa porte, en petite tenue le corps et ensanglantée. Un peu plus tard c’est la sœur de cette dernière qui vient également sonner chez cette voisine. Elle aussi est blessée. Les deux jeunes femmes d’origine géorgienne ont du mal à s’exprimer en français et sont en état de choc. Le SAMU et les pompiers leurs prodiguent les premiers soins dans la salle à manger de cette voisine. Les deux femmes sont ensuite transportées au CHU de Rouen.
L’une d’entre elle présente trois plaies dans le dos, sa sœur est blessée à la main. Les blessures ont été faites avec un couteau. Le pronostic vital n’est pas engagé pour celle blessée à trois reprises.

Des sœurs connues pour leurs multiples disputes

Lors des premières constatations dans l’appartement des deux sœurs, les policiers de la brigade criminelle retrouvent deux couteaux. A l’intérieur, plusieurs traces de sang sont découvertes dans les toilettes, dans la chambre et la cuisine. Deux couteaux ensanglantés sont aussi retrouvés.
Après une enquête de voisinage, les policiers apprennent que la locataire de l’appartement héberge sa sœur. Les disputes animées sont récurrentes entre les deux filles. Une pétition pour qu’elles quittent l’immeuble a même été déposée par les voisins.

A l’aide d’une traductrice, les enquêteurs parviennent à élucider les circonstances. La locataire de l’appartement était en train de dormir ce dimanche (25 janvier) lorsque sa sœur la poignarde dans le dos. Consciente des problèmes psychologiques de sa cadette, la jeune femme de 34 ans dort avec un couteau sous le matelas. Elle le saisit pour se défendre avant de se réfugier chez sa voisine.
Interrogée par les policiers, la jeune sœur de 25 ans ne se souvient que d’un coup de couteau porté à sa sœur. Elle a été mise en examen le 28 janvier. Placée sous mandat de dépôt, elle doit subir une expertise psychologique.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2015/01/30/rouen-elle-poignarde-sa-soeur-pendant-son-sommeil-644109.html

REIMS (51). Trois piétons renversés par des voitures : l’un dans état grave

La neige qui s’est mise à tomber à gros flocons ce vendredi matin à Reims a, semble-t-il, surpris de nombreux usagers de la route. A 7 h 30, rue des Courtes Martin, un piéton a été renversé par un véhicule. Le Samu est intervenu et le piéton, qui serait dans un état grave, a été transporté par les pompiers au Centre hospitalier universitaire.
Un autre piéton a été renversé boulevard Jamin à 7 h 45. Un troisième accident s'est produit rue des Capucins. Un homme de 55 ans a été percuté par une voiture. Il serait légèrement blessé. 
http://www.lunion.com/region/reims-51-trois-pietons-renverses-par-des-voitures-ia231b0n481618

Le cycliste Christophe Moreau blessé dans un accident

Gros déploiement de secours hier en fin d’après-midi en Haut-Rahin, pour un accident de la circulation survenu dans la descente de la route de la Planche-des-Belles Filles (D16 ter). Un groupe de cinq amis revenant d’une partie de chasse, circulait sur cette voie en direction de Plancher-les-Mines, à bord d’un 4X4.
Sur cette route en forte déclivité et recouverte de neige mouillée très glissante, le conducteur, l’ancien champion de cyclisme Christophe Moreau a soudain perdu le contrôle. Pas très loin de l’aire de déchaînage. Le véhicule a quitté la route pour tomber dans le ravin qui la borde, effectuant plusieurs tonneaux avant de s’immobiliser contre un arbre plusieurs dizaines de mètres en contrebas de la voie de circulation. L’alerte était donnée peu avant 17 h, et rapidement, alors que la nuit commençait à tomber, arrivaient les pompiers de Plancher-les-Mines, puis de Champagney, l’infirmière sapeur-pompier de Plancher-Bas, puis les ambulances de Ronchamp, Lure, et Héricourt. Les premiers constats sont rassurants quant à l’état de santé des blessés, tous originaires de la région.
Décision est prise avec le SAMU 90, de les regrouper au niveau du quai plateforme de Saint-Antoine. De là, trois sont acheminés vers l’hôpital de Lure, et deux vers l’hôpital belfortain.
Les chiens des chasseurs également dans le véhicule, ont été pris en charge par un chasseur plancherot. Les gendarmes de la communauté de brigades de Champagney étaient sur place.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/01/30/christophe-moreau-blesse-dans-un-accident

jeudi 29 janvier 2015

RER A: Reprise partielle du trafic à partir de 16h30

Le trafic va reprendre partiellement à partir de 16h30 ce jeudi sur le RER A selon la RATP après une interruption jeudi matin. Le premier train partira de Saint-Germain-en-Laye, dans l'ouest parisien, à 16h35, et, vers 17h30, l'intervalle entre deux trains sur le tronçon central sera de 5 à 6 minutes, tandis que le renforcement des lignes de métro 1, 6 et 14 sera maintenu, a précisé la RATP. Une réunion entre syndicats et direction était toujours en cours vers 16h.

Une grève après une agression à Torcy

Les conducteurs ont décidé d'un «arrêt de travail spontané», suite à la violente agression d'un contrôleur mercredi soir à Torcy (Seine-et-Marne).
Trafic quasi nul du RER A: Un coup de tête à l'origine de la perturbation
Selon nos informations, l'incident à l'origine de l'arrêt de travail s'est produit mercredi vers 20h45 en gare de Torcy (Seine-et-Marne). Le signal d'alarme a été actionné lorsqu'un passager s'est fait coincer la main lors de la fermeture d'une porte, a précisé une source policière. Le conducteur du RER avait alors quitté sa cabine « pour réarmer le système d'alarme » et c'est là que l'homme qui avait eu la main coincée lui a donné « un coup de tête » avant de prendre la fuite
http://www.20minutes.fr/societe/1528891-20150129-rer-reprise-partielle-trafic-partir-16h30

Laon : accident de la route 2 blessés graves

Ce mercredi 28 janvier, vers 17 heures un accident de la route sur la N2 au contournement de Laon a fait deux blessés graves et deux blessés légers. Trois véhicules légers sont impliqués.
Les blessés graves sont actuellement en cours de désincarcération par les pompiers. Selon les premières constations, l'un des véhicules impliqué dans l'accident aurait quitté le sens de la circulation et percuté une des trois voitures. La circulation est fortement perturbée sur cet axe très emprunté à la sortie des bureaux. Une déviation a été mise en place.   
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2015/01/28/laon-accident-de-la-route-2-blesses-graves-642729.html

Deux joueurs du RCT en garde à vue pour violences dans un restaurant

Deux joueur du RC Toulon, le 3e ligne anglais Steffon Armitage, et le pilier français Xavier Chiocci, ont été placés en garde à vue mercredi à Toulon pour une affaire de violences volontaires, a-t-on appris de source proche du dossier.
Les deux joueurs de rugby sont soupçonnés d'avoir frappé un client, un jeune homme de 35 ans, le 13 décembre, dans un restaurant où ils avaient passé une soirée bien arrosée, selon les premiers éléments de l'enquête. Mais la troisième mi-temps a dégénéré, possiblement pour une histoire liée à une fille. Par ailleurs, tout le monde avait bu beaucoup d'alcool cette nuit-là.
"Ils étaient tous complètement ivres", indiquent plusieurs sources proches de l'enquête.
Selon plusieurs témoins, une bagarre a éclaté et les deux joueurs ont fait tomber l'autre client du restaurant avant de le frapper. L'homme, âgé d'une trentaine d'années, a été très sévèrement blessé, frappé à coups de poing et de pieds. Un certificat médical de 30 jours d'ITT lui a été délivré. Il souffre de nombreuses fractures et a du subir des opérations.
Armitage, 29 ans et Chiocci, 24 ans, ont indiqué aux enquêteurs n'avoir aucun souvenir de ce qui s'était passé.
Mercredi soir, après une journée d'interrogatoire, il était envisagé que Steffon Armitage, 29 ans, et Xavier Chiocci, 24 ans, passent la nuit au commissariat, en vue d'une présentation devant le parquet de Toulon.     

Agression "violente" d'un conducteur RATP : trafic quasi-nul sur le RER A

Un mouvement de grève spontanée sur des lignes de RER et de la SNCF a débuté tôt ce matin en réaction «à l'agression d'un conducteur de la RATP». http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2015/01/29/97002-20150129FILWWW00021-greve-spontanee-sur-le-reseau-ratp-et-sncf.php

mercredi 28 janvier 2015

Drame de Charron (17) : le corps retrouvé sous le pont de l'île de Ré est-il celui du père ?

Ce mercredi, il sera ou pas confirmé que le corps de l'homme repêché vendredi sous le pont de l'île de Ré est celui de Cyril Bocquet, 40 ans, divorcé, domicilié à Marans. Dans des conditions toujours pas complètement déterminées, cet homme, au retour d'une soirée chez des amis à Esnandes, conducteur d'une Volkswagen Passat blanche - véhicule dans lequel se trouvaient sa fille âgée de 8 ans et son fils de 12 ans -, avait plongé, dans la nuit du 23 au 24 décembre, dans les eaux du port du Pavé, à Charron.
Le véhicule avait auparavant circulé sur la cale de mise à l'eau qui descend doucement vers l'océan. La voiture avait très vite embarqué de l'eau et, emportée par le courant, avait dérivé sur une centaine de mètres.
Réfugié sur une barge
Le matin du 24 décembre, c'est le fils qui avait donné l'alerte en se dirigeant vers un mytiliculteur se trouvant sur la cale.
Ce dernier, prenant en charge l'enfant à son domicile, apprenait alors que le préadolescent, qui était parvenu à s'extraire de la voiture comme sa sœur et son père, avait, lui, trouvé refuge durant la nuit dans un bateau mytilicole. Fruit du hasard, il s'agissait de la plate de l'homme qui venait de le recueillir
Un important dispositif de recherches était rapidement mis en place et se traduisait, vers 13 heures, par la découverte du corps sans vie de la fillette. Pendant plusieurs jours, les moyens terrestres, nautiques et aériens restaient engagés pour retrouver Cyril Bocquet. En vain. Les professionnels du secteur comme les secours estimaient alors qu'il fallait malheureusement attendre.

Autopsie

Ce terrible suspense a sans doute pris fin en fin de semaine dernière. Une autopsie a été effectuée, lundi après-midi, au centre hospitalier universitaire de Poitiers.
Si les résultats sont donc attendus ce mercredi, d'après nos informations, certains signes physiques, dont des tatouages, donnent à penser que le corps repêché est celui du père de famille.
http://www.sudouest.fr/2015/01/28/le-corps-du-pere-sous-le-pont-de-l-ile-de-re-1811648-1292.php

Suspects du meurtre d’un militaire, les amants pourraient être remis en liberté

Sophie Richard et Sébastien Chantereau doivent-ils être remis en liberté ? C’est la question que devra trancher le juge des libertés et de la détention (JLD) lors des débats contradictoires portant sur la prolongation de la détention provisoire des amants de Somme-Suippe qui se tiendront le 4 février, à Reims, quelques jours avant l’échéance du mandat de dépôt criminel initial d’une durée d’un an, qui avait été délivré à leur encontre le 12 février 2014.

Il y a un an, jour pour jour, le corps de Julien Thévenet, un sous-officier de la BA 113 de Saint-Dizier âgé de 24 ans, était découvert sans vie dans le garage de son habitation de l’impasse Jean-Moulin, à Somme-Suippe. Massacré à coups de pioche dans le thorax.
C’est son épouse, Sophie Richard, 25 ans à l’époque, qui fera la macabre découverte à son retour de week-end, en compagnie d’un voisin qu’elle était allée chercher, apeurée, en prétextant un vol par effraction commis en son absence et celle de son mari censé se trouver sur son lieu de travail.
Deux semaines plus tard, celle-ci avait cependant été placée en garde à vue avec son amant, Sébastien Chantereau, 27 ans, tous deux fortement soupçonnés d’avoir participé à l’assassinat de l’époux, lequel avait demandé le divorce, avant de mettre en scène un cambriolage qui aurait mal tourné.
Sophie Richard, qui craignait de tout perdre, avait alors été la première à passer aux aveux, désignant son amant comme étant l’auteur des coups meurtriers. Selon ses déclarations, elle n’aurait été quant à elle qu’une complice ayant administré des somnifères dans le pastis de son mari, au soir du 24 janvier, tandis que ses deux enfants de 2 et 5 ans se trouvaient dans la demeure familiale. Elle aurait ensuite aidé à déplacer le corps endormi de Julien Thévenet jusqu’au garage, avant que le duo diabolique, une fois le crime commis, ne se construise un alibi en partant « en famille » à Disneyland Paris.
Depuis, l’épouse du militaire ne s’est pas montrée très prolixe devant les enquêteurs de la Section de recherche de Reims ni le juge d’instruction Delphine Jacquemet.

Même lorsque Sébastien Chantereau l’a accusée d’avoir maintenu son mari au sol au moment de sa mise à mort.
Mais sa ligne de défense pourrait bien changer lors des prochains débats devant le JLD. On ignore cependant si son avocat, Me Guillaume Bert, plaidera en faveur de sa libération. Le cas échéant, il faudrait en tout cas que de nouveaux éléments permettent au juge de prendre une décision contraire à celle qui l’avait conduit à la placer en détention provisoire, en février dernier. C’est d’ailleurs l’avis de Me Benjamin Chauveaux, l’avocat rémois de Sébastien Chantereau, qui, lui, ne devrait pas solliciter, en l’état du dossier, de remise en liberté. Selon lui, les conclusions des expertises diligentées quant à la personnalité des deux amants, mis en examen pour assassinat et complicité d’assassinat, auraient pu changer la donne. Mais à défaut d’en disposer pour le moment, celui-ci estime que ce serait, en effet, peine perdue.
http://www.lunion.com/region/suspects-du-meurtre-d-un-militaire-les-amants-pourraient-ia3b24n479234

A 6 ans, Vincent se rase les cheveux pour soutenir son meilleur ami atteint d’une leucémie

C’est une histoire d’amitié et de solidarité que relate Metronews, qui cite closeronline.co.uk. Vincent, un petit Américain de 6 ans, a souhaité se raser les cheveux afin de soutenir Zack, son meilleur ami, un petit garçon souffrant d’une leucémie.
C’est en juin 2014 que Zack a appris qu’il était gravement malade. Cela faisait quelques semaines déjà qu’il se sentait fatigué et que sa santé se détériorait. Dès que le verdict est tombé, cet enfant du Missouri a dû subir un traitement lourd, l’obligeant à passer tout son été à l’hôpital. Mais à la rentrée des classes, Zack a souhaité revenir à l’école, notamment pour retrouver son copain Vincent.
Vincent a été heureux de retrouver son meilleur ami, mais il a été très intrigué par son absence de cheveux. Il a alors demandé des explications à ses parents : pourquoi Zack a-t-il perdu tous ses cheveux ? C’est ainsi que Vincent a découvert la maladie : la douleur, le traitement et ses conséquences physiques, l’argent que cela coûte pour se faire soigner… Très ému, il a voulu venir en aide à Zack. Pour cela, il a d’abord vendu dans la rue des écharpes réalisées à la maison. Il a reversé l’argent récolté aux parents de Zack, quelques centaines de dollars, pour payer les traitements.
Mais ce n’est pas tout. Un matin, Vincent est arrivé en classe avec un chapeau. Il l’a enlevé devant toute la classe et a dévoilé sa boule à zéro. « Je les ai coupés pour que Zack ne se dise pas qu'il est le seul à ne plus avoir un seul cheveu » a-t-il expliqué devant ses camarades de classe. Un très beau geste d’amitié que Zack n’est pas prêt d’oublier !
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/28/2038515-6-ans-vincent-rase-cheveux-soutenir-meilleur-ami-atteint-leucemie.html

mardi 27 janvier 2015

Humières : deux morts et trois blessés dans un carambolage dimanche soir

Sur la RD 939, la route de la mer, entre Le Parcq et Saint-Pol-sur-Ternoise, dimanche à 19h30 s'est produit un carambolage qui a coûté la vie à deux personnes. Deux autres personnes ont été hospitalisées, une dernière a été blessée sans hospitalisation
A Humières, en direction de Saint-Pol-sur-Ternoise, il existe une portion de route avec trois voies : deux allant vers Saint-Pol, une dans le sens inverse.

Une jeune femme conductrice et son passager roulaient sur les deux voies allant vers Saint-Pol. Quand, on ne sait pour quelle raison, au moment où la double voie se resserre pour laisser place à deux fois une voie, sa voiture se serait déportée légèrement sur la gauche.

Une première voiture aurait alors frôlé le véhicule déporté, la conductrice de ce dernier aurait alors perdu le contrôle de son véhicule qui s'est retrouvé perpendiculaire aux voies. Un deuxième puis un troisième véhicule sont alors entrés en collision avec la voiture (perpendiculaire aux voies).

Le passager avant est décédé sur le coup. La conductrice a été héliportée à Lille où elle est décédée à l'hôpital.

Par ailleurs, trois autres personnes ont été blessées dans ce carambolage, dont deux ont été hospitalisées. 


http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2015/01/26/humieres-deux-morts-et-trois-blesses-dans-un-carambolage-dimanche-soir-640497.html

Une enfant de 12 ans percutée par le tram à Nice

Une adolescente de 12 ans a été percutée par le tramway ce lundi après-midi à Nice aux alentours de 17h. La circulation du tram a été perturbée pendant quelques minutes. 
La jeune fille a traversé au niveau du numéro 22 du boulevard Gorbella, sans voir le tramway arriver et a été percutée par la rame, lancée en direction du terminus Henri Sappia. Son état de santé n'inspirait pas de craintes, ce lundi soir, selon les services de communication du réseau lignes d'azur. 
"Après cette frayeur, c'était la pagaille pour aller dans le centre", confiait une résidente. Dix minutes après l'accident, un service partiel de bus a été mis en place entre la gare Thiers et Pasteur, ainsi qu'entre Henri Sappia et la gare Thiers.
Vers 17h40, le tramway avait repris du service.
http://www.nicematin.com/nice/une-enfant-de-12-ans-percutee-par-le-tram-a-nice.2079271.html

Pyrénées-Orientales : sept bateaux en flammes dans le port de Sainte-Marie

Un incendie s'est déclaré ce lundi soir peu après 19h30 sur un voilier dans le port de Sainte-Marie, sur le littoral catalan. Le sinistre s'est propagé aux embarcations voisines sans qu'aucun blessé ne soit à déplorer.
Un important dispositif a été engagé sur les lieux par les sapeurs-pompiers, mobilisant 45 personnels au plus fort de l'intervention. A leur arrivée, sept embarcations vides de tous occupants étaient la proie des flammes. Malgré la rapide intervention des secours, quatre bateaux ont été totalement détruits par le feu dont un commençant à sombrer au fond de l'eau. Trois autres ont été endommagés. Selon nos sources, l'origine de cet accident serait accidentelle, liée à un chauffage.
(SOURCE : L'INDEPENDANT)
http://www.midilibre.fr//2015/01/26/pyrenees-orientales-sept-bateaux-en-flammes-dans-le-port-de-sainte-marie,1116503.php

lundi 26 janvier 2015

Dordogne : série de cambriolages dans le Sarladais

Plusieurs cambriolages de domiciles, attribués à des équipes de délinquance itinérante, ont eu lieu durant le week-end en Dordogne, plus précisément en Sarladais, à Journiac, Terrasson-Lavilledieu, Siorac-du-Périgord et Pazayac.
Les malfaiteurs ont opéré à chaque fois en fin d'après-midi et ont principalement visé des numéraires et des bijoux.
La gendarmerie demande à la population locale d'être vigilante et de composer le 17 si elle remarque tout comportement suspect.
http://www.sudouest.fr/2015/01/26/dordogne-serie-de-cambriolages-dans-le-sarladais-1809371-1980.php

Assises de Ain : l'accusé avait signé son crime «joyeuses Pâques

Le procès de l'assassin présumé d'Edwige Perdrix, mère de famille d'à peine 30 ans étranglée la nuit du 31 mars au 1er avril 2013 à Saint-André-de-Bagé (Ain), s'ouvre ce lundi devant la cour d'assises de l'Ain. Dans le box : Mickaël Dental, ancien agent de sécurité de 30 ans et ex-concubin de la victime, mais aussi son frère et complice présumé, Ludovic Dental, 32 ans.

Le premier est jugé pour «assassinat», le second pour «complicité d'assassinat». Les deux comparaissent détenus.

Selon l'acte d'accusation, ce 31 mars 2013, Mickaël Dental informe son frère Ludovic de son projet homicide. Il va «s'occuper d'Edwige» et Ludovic comprend le message. Ce dernier accède aussi à la demande de Mickaël de lui fournir un faux alibi pour la soirée et la nuit à venir, entraînant dans son mensonge trois amis. Enfin, Mickaël imagine un code -«joyeuses Pâques»- pour prévenir son frère quand il aura tué Edwige. Et de fait, le 1er avril, un peu après 7 h du matin, Ludovic recevra un sms «joyeuses Pâques» de Mickaël, ce dernier ajoutant un «lol» non prévu au cynisme stupéfiant...

Le principal suspect «mentait sur tout»

Cette entraide criminelle entre les deux frères va permettre à Mickaël Dental d'échapper aux soupçons dans un premier temps. Au prix d'une parfaite mise en scène, c'est même lui qui va «découvrir» le corps de sa compagne, à moitié dénudée dans leur chambre sens dessus dessous, comme «si l'auteur avait voulu maquiller son geste en cambriolage qui tourne mal», notera un enquêteur.

L'agent de sécurité est sous le choc. Certes, Edwige et lui étaient en
cours de séparation, mais ils vivaient ensemble depuis 2007 et avaient une petite fille de 3 ans. La douleur de Mickaël semble sincère. Et puis il y a cet alibi : sa présence à une soirée à Chalons (Saône-et-Loire), confirmée par son frère Ludovic, plus trois autres personnes... Alors qui a étranglé la jolie Edwige, dont l'étouffement a duré plusieurs dizaines et longues secondes ?

Au fil de leurs auditions, les enquêteurs vont mieux cerner la personnalité de Mickaël Dental et ses relations avec sa compagne. «J'ai toujours su qu'ils ne resteraient pas ensemble», dira la mère d'Edwige. «Il mentait sur tout et sur rien», témoignera l'ex-compagne de Mickaël. Menteur, le terme revient souvent pour décrire le jeune homme. Mais surtout, il semble qu'il ne supportait pas l'idée de la rupture, avec un retentissement sur son comportement. Au cours du seul mois de mars, il va demander en mariage son amie, la menacer, la brutaliser puis lui annoncer qu'il quitterait le domicile conjugal...

La victime avait peur

Entendue, la meilleure amie de la victime confie aux enquêteurs qu'Edwige ne supportait plus la double personnalité de Mickaël. Surtout, elle leur montre des sms qu'elle a reçus de son amie en mars 2013. «Je me sens pas en sécurité. Tu vois je pense vraiment maintenant que je suis en danger... garde bien ce message ma poule si jamais il m'arrive un truc. Je rigole pas», écrit ainsi Edwige. Un texto -parmi d'autres- hélas visionnaires...

L'enquête bascule quand les trois amis de Ludovic soulagent leur conscience en reconnaissant avoir menti. Ils avaient appris dans la presse que la
mort d'Edwige n'avait rien de naturel. Le faux alibi s'effondre. Les deux frères sont interpellés en juin 2013. Mickaël, dont le portable n'a jamais été géolocalisé à Chalons, fait des aveux complets. Il expliquera avoir eu peur que sa compagne, qui avait une aventure avec un Maghrébin, ne parte avec lui et leur fille «au bled»...

Chez Mickaël Dental, l'expert-
psychologue (auquel le mis en examen déclare qu'il n'a pas eu l'intention de tuer sa compagne, juste de l'empêcher de crier) a noté un sentiment de culpabilité «profond et à priori sincère». Quant à l'expert-psychiatre, il estime que le sms «joyeuses Pâques» peut faire suspecter des faits commis par un «jaloux paranoïaque ou un pervers froid ou cynique». http://www.leparisien.fr/faits-divers/assises-de-ain-l-accuse-avait-signe-son-crime-joyeuses-paques-26-01-2015-4479863.php

Vosges: un château en flammes

Le village de Gemmelaincourt a perdu hier soir un pan de son histoire. Le château qui fut jadis propriété des Hennezel est parti en fumée. Une bâtisse cossue de près de 300 m², élevée sur trois niveaux, acquise il y a 19 ans par un couple de Nancéiens. « Ce sont des gens valeureux qui restauraient la demeure à mesure que leurs moyens le permettaient. C’était leur résidence secondaire », déclarait, dépité, le maire de la commune, Jean-Luc Yardin. Anéanti, le propriétaire qui était seul au moment de l’incendie a dû être pris en charge par des villageois. Son épouse, restée à Nancy, est arrivée dans la soirée.
Il était un peu plus de 20 h 30 lorsque les sapeurs-pompiers ont été alertés de l’incendie. Arrivés sur les lieux, sous les ordres du chef de colonne, le capitaine David Bonnard, les soldats du feu ont vite compris qu’ils mettraient beaucoup de temps à venir à bout du sinistre. Et pour cause. En plus de l’immense brasier, les secours ont eu maille à partir avec l’alimentation en eau. Ils ont dû faire appel à un camion-citerne de 10 m3 et puiser dans la Vraine, le cours d’eau passant au village.
En tout ce sont plus de 40 sapeurs pompiers venus des centres de Vittel, Gironcourt, Châtenois, Mandres-sur-Vair, Bulgnéville, Neufchâteau, Liffol et Aydoilles. qui ont combattu les flammes. Leurs efforts ont duré une bonne partie de la nuit.
Les gendarmes de Vittel étaient sur les lieux de l’incendie et devront tenter de déterminer les causes de l’incendie. D’après les premiers éléments, le sinistre pourrait provenir de l’âtre.
Laurence MUNIER Gemmelaincourt (88170) est rattachée à la communauté de communes de Bulgnéville Entre Xaintois et Bassigny

dimanche 25 janvier 2015

Trafic de drogue : deux policiers de la PAF en garde à vue

Deux fonctionnaires de la Police aux frontières (PAF), en poste à l'aéroport de Roissy Charles-de-Gaulle, ont été placés en garde à vue ce dimanche matin à 11h30, selon nos informations. Les deux hommes sont soupçonnés d'avoir participé à un important trafic de stupéfiants, dans le cadre duquel une saisie de 45 kg de cocaïne a par ailleurs été effectuée

L'enquête, qui s'est étalée sur une période de 18 mois, a été menée par les policiers de l'OCRTIS, l'Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/trafic-de-drogue-deux-policiers-de-la-paf-en-garde-a-vue-25-01-2015-4477463.php

Drôme : un chasseur tué lors d'une battue aux sangliers

Les sapeurs-pompiers de Nyons, appelés à intervenir à Montréal-lès-Sources, dans les Baronnies, n'ont pu que constater, à leur arrivée, le décès d'un chasseur qui participait à une battue aux sangliers. L'enquête sur les circonstances de la mort a été confiée à la compagnie de gendarmerie de Nyons.
L'homme de 71 ans, qui occupait le poste de rabatteur, aurait reçu une balle perdue dans le dos, au niveau de l'homoplate. Il est mort sur le coup.

Une autopsie aura lieu en début de semaine prochaine pour déterminer les circonstances du drame. Le tireur présumé a été placé en garde-à-vue ; il risque jusqu'à 3 ans de prison pour homicide involontaire lors d'une action de chasse.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-alpes/2015/01/24/drome-un-chasseur-tue-lors-d-une-battue-aux-sangliers-639485.html

Des salariés offrent leurs RTT à la mère d'une fillette atteinte d'un cancer

Belle initiative que celle des 80 salariés d'une entreprise de communication lilloise. Apprenant le cancer de la fille d'une collègue, ils ont décidé d'offrir leurs RTT à la maman de 28 ans afin de lui permettre d'être au plus près de sa fille pendant ces jours difficiles, rapporte le quotidien la Voix du Nord
Au total, ils sont parvenus à réunir 69 jours de RTT. Un chiffre que l'entreprise s'est empressée de porter à... 178 jours de congé ! "Tout s'est fait de manière très spontanée de la part du personnel comme de la direction", raconte une collègue de la jeune maman. "Même les gens de notre antenne de Paris ont voulu participer !"

Loi Mathys

"Je ne m'attendais pas à un tel soutien, cela représente tant à mes yeux", a remercié, émue, la mère de l'enfant dans un mail envoyé à l'agence. "Je ne savais pas comment faire pour gérer tout ça. Ma fille a un an, il faut être disponible en permanence auprès d'elle."
L'initiative des salariés de cette entreprise n'est pas la première du genre. Le don de RTT est en effet possible depuis avril 2014, grâce à la loi Mathys. Elle autorise tout salarié à donner ses jours de repos à condition que le destinataire de cet élan de solidarité soit parent d'un enfant malade de moins de 20 ans.

http://www.sudouest.fr/2015/01/25/des-salaries-offrent-leurs-rtt-a-la-mere-d-une-fillette-atteinte-d-un-cancer-1808456-4688.php

La Nationale 4 coupée après un accident mortel

La Nationale 4 est fermée en direction de la province à hauteur de Chevry-Cossigny depuis 9 heures ce dimanche, suite à un grave accident de la route. Une voiture a percuté de plein fouet un camion arrêté sur le bas-côté.

Le conducteur de la voiture est décédé, mais est toujours incarcéré dans son véhicule. Une déviation a été mise en place par la D 351.
http://www.leparisien.fr/chevry-cossigny-77173/la-nationale-4-coupee-apres-un-accident-mortel-25-01-2015-4477179.php

Doubs : deux morts mystérieuses à Clerval

Les corps sans vie d'une femme de 34 ans et d'un homme de 24 ans ont été découverts samedi soir dans une maison de Clerval, village d'un millier d'habitants situé à mi-chemin de Besançon et Montbéliard.
C'est un voisin qui a retrouvé les corps et alerté les secours, ce samedi en début de soirée. Immédiatement, sapeurs-pompiers et gendarmes ont convergé vers cette habitation de la rue de la Porte-de-Chaux, à Clerval, village du Doubs d'un millier d'habitant.
Sur place, ils devaient trouver les corps sans vie d'une femme de 34 ans et d'un homme de 24 ans. Ne présentant aucune trace d'impact ni de coup apparents, les deux défunts ne pouvaient pour autant avoir succombé à une intoxication au monoxyde de carbone, le logement disposant d'un chauffage électrique.
Les gendarmes ont ainsi poursuivi leurs constatations et investigations jusque tard dans la nuit. Enquête en cours.


http://www.estrepublicain.fr/doubs/2015/01/25/deux-morts-suspectes-a-clerval-(doubs)

samedi 24 janvier 2015

Gironde : les auteurs d'une agression écroués

Quatre hommes qui avaient agressé un couple dans la région bordelaise au mois d'août dernier ont été interpellés par les gendarmes. Ils sont désormais sous les verrous
Il y a des jeunes, d'une vingtaine d'années mais aussi des vieux chevaux de retour. Mardi, les gendarmes de la Section de recherches (SR) de Bordeaux-Bouliac et du groupement de la Gironde ont appréhendé neuf suspects dans le cadre d'une affaire d'agression commise au mois d'août 2014 à Carignan-de-Bordeaux. Vendredi, quatre suspects dont la participation aux faits est établie, ont été présentés au juge d'instruction en charge du dossier. Résidant à Talence, Gujan-Mestras, Gradignan et Toulouse, ils ont été mis en examen pour tentative de vol en bande organisée avec armes et association de malfaiteurs. Ils ont été écroués.
Les faits remontent donc au coeur de l'été dernier. En pleine nuit, quatre hommes armés et cagoulés font irruption en pleine nuit au domicile d'un couple à Carignan-de-Bordeaux. Ils entrent par effraction mais sont dérangés par le propriétaire des lieux, fermement décidé à ne pas laisser agir ces cambrioleurs. Celui-ci s'interpose mais les malfaiteurs font usage d'un pistolet Gomm Cogne et s'enfuient précipitamment.
Le mari, légèrement blessé, donne l'alerte. Les gendarmes de la compagnie de Bordeaux-Bouliac se rendent sur les lieux et les techniciens en identification criminelle procèdent, comme toujours en pareil cas, à de minutieux prélèvements de traces et indices. L'exploitation de ces éléments va s'avérer payante et conduire à l'identification d'un suspect déjà connu de la justice. En septembre, la SR vient en appui du groupement afin de retrouver la trace des autres agresseurs.
Dans le cadre de l'information judiciaire ouverte par le parquet de Bordeaux, les enquêteurs réalisent des surveillances et effectuent des rapprochements. Les connections vont leur permettre de vont remonter jusqu'à une bande très bien organisée composée, entre autres, de malfrats déjà condamnés à de lourdes peines dans le cadre d'affaires criminelles.
C'est la raison pour laquelle, mardi, les hommes du peloton d'intervention 2e génération (PI2G) de Toulouse sont venus sécuriser certaines interpellations qui s'annonçaient mouvementées. Finalement, l'ensemble des suspects ont été surpris dans leur sommeil, au petit matin, et n'ont opposé aucune résistance

http://www.sudouest.fr/2015/01/24/gironde-les-auteurs-d-une-agression-ecroues-1808101-2780.php

Réparsac (16) : un corps découvert dans une voiture immergée

L'alerte a été donnée ce vendredi vers 12h30 par un riverain. Un véhicule a été découvert immergé dans un trou d'eau, près d'un chemin empierré, dans la commune de Réparsac, près de Cognac, en Charente.
Lors de leur intervention, les pompiers ont constaté la présence d'un corps dans l'habitacle, celui d'un homme. Une autopsie a été demandée par la gendarmerie dans le cadre de l'enquête.
Selon les premiers éléments, ils'agirait d'un habitant de Matha, né en 1937, disparu depuis le 11 décembre. A la suite d'une chute, il s'était rendu au centre hospitalier de Cognac. Il en était sorti, contre l'avis des médecins, qui préconisaient son maintien en hospitalisation. Le véhicule retrouvé, un Renault Scénic, est bien celui de cet homme, que recherchait la gendarmerie de Saint-Jean d'Angely.
L'autopsie devrait permettre de l'identifier formellement, mais aussi de comprendre ce qui s'est passé. Un accident ? Un malaise ? La volonté de mettre fin à ses jours ? Plusieurs options sont possibles. La piste criminelle serait toutefois écartée.
http://www.sudouest.fr/2015/01/23/reparsac-16-un-corps-decouvert-dans-une-voiture-immergee-1807188-1552.php

La rixe entre conducteurs dégénère

Le lundi 14 avril 2014 a viré au grotesque selon les mots de la présidente. À Carennac, deux automobilistes se suivaient et effectuaient plusieurs manœuvres de dépassement. Ils en sont venus aux mains après s'être garés sur un parking. Un a été blessé avec un couteau.
Louis G., 46 ans, et Yann S., 73 ans, comparaissaient hier devant le tribunal correctionnel à Cahors. Le premier était prévenu d'avoir commis des violences avec un couteau, le second d'avoir commis des violences psychologiques sur quatre enfants âgés de 9 à 5 ans. Sur la départementale 20 à Carennac, un fourgon et un véhicule se suivent, font plusieurs manœuvres de dépassement. La pression est telle que Louis G. décide de s'arrêter. Il craint l'accident pour ses enfants, les distances de sécurité n'étant pas à sons sens respectées. Le fourgon à son tour s'arrête, le conducteur se dirige rapidement vers la voiture. Louis G. sort, semble-t-il muni d'un couteau : sur ce fait, les versions diffèrent. Le ton monte entre les deux hommes. Au final, Yann S. sera blessé au thorax par un coup de couteau. Découvrant sa blessure, de rage, il donne des coups de poing à son agresseur. Il se dirige vers le véhicule de ce dernier, ouvre les portières, crie sur les enfants, tétanisés.
«Pourquoi ce coup de couteau ?» questionne la présidente. «Je voulais m'expliquer avec ce monsieur. Il ne parlait pas français. Je n'en ai pas eu le temps», répond le septuagénaire. «Pourquoi avoir effrayé des enfants, vous aviez bien vu qu'il ne s'agissait pas d'adultes», poursuit la présidente. «J'étais très en colère. Je n'avais pas vu les enfants.»
«Mon client a le sentiment d'avoir subi une agression totalement injustifiée. Il craignait pour ses enfants, indique Me Hélène Kokolewski, avocate de Louis C. Il s'est défendu comme il a pu.» «Ce dossier est tout sauf compliqué. Tous deux sont coupables des faits reprochés. Ce qui diffère, c'est la gravité des blessures occasionnées», indique la présidente. Louis G. sera condamné à 8 mois de prison avec sursis, Yann S. à verser à chacun des enfants 500 € de dommages et intérêts au titre du préjudice moral.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/24/2035592-la-rixe-entre-conducteurs-degenere.html

JURA. Crançot : une cheminée explose sous les flammes

C’est vers 16 heures que les sapeurs-pompiers de Lons-le-Saunier ont été appelés pour un feu de cheminée avec explosion du conduit rue de la Croix-Blanche.
Rapidement sur place avec la grande échelle et le fourgon tonne pompe, les huit soldats du feu, sous les ordres de l’adjudant chef Bully, ont été confrontés à un éclatement de la cheminée complète. Après avoir maîtrisé le feu, les sapeurs-pompiers ont enlevé les parties de la cheminée qui menaçaient de tomber et ont procédé à la pose d’une bâche, pour protéger la toiture en attendant le passage d’un expert
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2015/01/24/crancot-une-cheminee-explose-sous-les-flammes

vendredi 23 janvier 2015

Un octogénaire condamné à 15 ans de prison pour l'assassinat d'une nourrice

Un octogénaire a été condamné ce vendredi à 15 ans de réclusion criminelle par la cour d'assises de Haute-Saône à Vesoul pour avoir tué en 2013, d'une balle dans la tête, une nourrice qui passait devant chez lui avec une poussette.
À l'issue de trois jours d'audience, Germain Hayaux, 87 ans, a été reconnu coupable de l'assassinat de Marielle Paris et d'avoir mis en danger l'enfant qui se trouvait avec elle.

«En choisissant le calibre 12, il savait quels dégâts cela ferait»

L'avocate générale, Claude Ruard, avait requis 20 ans de réclusion criminelle, soulignant la préméditation des faits. L'accusé « a plus de 60 ans d'expérience de chasse. En choisissant le calibre 12, il savait quels dégâts cela ferait et il a tiré sur Marielle comme du gibier », a estimé la magistrate. Cet homme irascible, aux nombreux problèmes de voisinage, a reconnu les faits. Il a dit qu'il était « énervé » contre la victime, comme il l'était contre beaucoup d'habitants de son village, mais sans réellement expliquer pourquoi.
Le 31 janvier 2013, à Malans (Haute-Saône), Germain Hayaux avait aperçu la nourrice de 50 ans passer devant chez lui avec un enfant dans une poussette. L'octogénaire était sorti avec un fusil de chasse, mettant en joue Marielle Paris et tirant à deux reprises, avant de rentrer tranquillement dans sa maison, pour retrouver sa compagne.

Discernement altéré

La victime, qui se rendait à la descente du bus scolaire pour aller chercher des enfants, a été touchée à la tête, l'enfant qui l'accompagnait a été épargné. L'assistante maternelle, particulièrement appréciée dans le village de 130 habitants, avait succombé après trois semaines de coma.
Me Alexandre Liard, l'avocat de l'accusé, a obtenu de la cour qu'elle retienne que le discernement de son client était « altéré » au moment des faits. Tout au long du procès, l'homme de 87 ans est apparu diminué, affirmant « ne rien entendre », « ne rien comprendre ». Son avocat a par ailleurs plaidé que la préméditation n'était pas établie. « C'est quelqu'un d'impulsif et quelqu'un d'impulsif ne prépare pas les choses à l'avance », a-t-il soutenu.
La salle d'audience était bondée, de nombreux habitants du village ayant fait le déplacement pour soutenir la famille de la victime. A deux reprises, les maires successifs de Malans avaient prévenu les autorités de la dangerosité de Germain Hayaux, qui possédait des armes de chasse

http://www.20minutes.fr/actu-generale/

Meurtre d'une sexagénaire dans le Var : un couple et sa fille soupçonnés

Un couple de quadragénaires et leur fille sont soupçonnés d'être les auteurs du meurtre d'une sexagénaire. La femme avait été retrouvée poignardée à son domicile de Roquebrune-sur-Argens, dans le Var, en juillet dernier. Ces suspects ont été mis en examen.
Trois personnes, un couple et leur  fille, soupçonnées du meurtre d'une sexagénaire retrouvée morte à son domicile en juillet 2014, ont été mises en examen jeudi soir. Deux d'entre elles, le père et l'une de ses filles ont été écrouées. La mère a été placée sous contrôle judiciaire. 

Retrouvée poignardée sur sa terrasse

Le couple de quadragénaires et leurs deux filles avaient été interpellés le 20 janvier au terme de six mois d'enquête après la découverte du corps d'une sexagénaire qui avait été poignardée sur la terrasse de son domicile à Roquebrune-sur-Argens, le 28 juillet 2014.
Une relation adultérine entre la victime et le père de cette famille, ex-jardinier employé par la victime,  serait le mobile vraisemblable de ce crime"

précise la gendarmerie. L'autre fille du couple a été remise en liberté à l'issue de sa garde à vue.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/2015/01/23/meurtre-d-une-sexagenaire-dans-le-var-un-couple-et-sa-fille-soupconnes-638749.html

Pays basque : « Mes enfants ont été enlevés, j’ai été gazé »

Jeudi matin, une fille et un garçon ont été soustraits par la violence à leur père, qui avait abusivement prolongé sa garde. Les auteurs des faits, dont la mère qui réside dans le Gers, ont été interpellés
'homme entre en courant dans le bar des Arceaux de La Bastide-Clairence, en bras de chemise. C'était jeudi, à 9 heures. Une poignée de clients est au comptoir. « Mes enfants ont été enlevés. J'ai été gazé. Appelez les gendarmes », s'époumone le quadragénaire. Il raconte ce qui vient de lui arriver : ses deux enfants ont été pris par un groupe d'hommes et femmes, dont son ex-épouse, alors qu'il les emmenait à l'école. Le groupe l'a molesté et pulvérisé de gaz lacrymogène, avant de partir en voiture avec la fille et le garçon.
Les clients des Arceaux sont bouche bée face à l'homme très agité, et dont les yeux larmoient. Le gérant du bar-restaurant réagit. « J'ai composé le 17. Les gendarmes sont arrivés. » Une enquête a été ouverte et les premiers témoignages ont été recueillis pour comprendre le déroulement des faits extraordinaires dans cette calme bastide d'un millier d'habitants, renommée pour son artisanat et son jeu de paume.

Le village s'interroge

Les faits ont eu lieu devant l'école Immaculée Conception, dans la montée de la rue des Frères. Quelques heures plus tard, la cour de l'école est vide et le seul point d'information se trouve toujours dans le même bar-restaurant. Un émissaire du curé, gestionnaire de l'école qui accueille quelques dizaines d'élèves, passe se renseigner sur « ce qui est arrivé », avant de transmettre les nouvelles à l'homme d'église. Chacun s'interroge, mais le village a l'air de se taire.
Une bonne âme donne le numéro de téléphone du chauffeur de bus scolaire, qui a aperçu le père emmenant ses enfants à l'école. « Je suis père de famille, moi-même. J'espère que les enfants vont être retrouvés », confie-t-il.
À quelques pas de là, dans l'immeuble que le père habite depuis « un an et demi à deux ans », un voisin s'inquiète aussi pour les enfants. « Ils étaient inscrits à l'école depuis quelque temps. » Rares sont ceux qui ont approché la vie de ce quadragénaire seul, installé dans un logement social du centre-bourg. « On voyait les enfants jouer avec leur chien, se promener avec leur père. » Rien que de très normal, raconte un autre Bastidot.

Violences « intolérables »

Une séparation d'assez longue date entre les ex-conjoints
Les enfants vont bien. Selon nos informations, ils étaient hier soir avec leur grand-mère. « L'enlèvement » auquel certains Bastidots ont assisté n'en est pas un au sens juridique du terme, précise le parquet de Bayonne. Car le père et la mère des deux enfants ont chacun l'autorité parentale et se partagent la garde. Les faits ont eu lieu dans le contexte d'une séparation d'assez longue date entre ex-conjoints, et de non remise des enfants au terme des vacances de Noël.
Après la trêve des confiseurs, le père a gardé ses deux enfants dans son domicile de La Bastide-Clairence, au lieu de les remettre à leur mère qui habite dans le département du Gers.
Ainsi, le contentieux lié à la garde des enfants est actuellement entre les mains d'un magistrat du parquet d'Auch. La façon dont les enfants ont été « récupérés » n'est certes pas un enlèvement. Mais les violences « intolérables » subies par le père font l'objet d'investigations diligentées par le parquet de Bayonne après que le père a déposé plainte. Les auteurs des violences, hommes et femmes, ont été placés en garde à vue hier et entendus pour vérifier des éléments sur le déroulement des faits. Des poursuites pourraient être engagées
http://www.sudouest.fr/2015/01/23/mes-enfants-ont-ete-enleves-j-ai-ete-gaze-1806213-4018.php

Saint-Nazaire: Ivre, il tire sur son voisin qui le regardait par la fenêtre

Il a expliqué que son voisin «avait trop tendance à le regarder depuis sa fenêtre». Ce jeudi, un habitant de Saint-Nazaire a été présenté au pôle criminel de Nantes, rapporte le journal Presse Océan dans son édition du jour.

Blessure à la main

Il était convoqué pour avoir utilisé un fusil de chasse, mardi, et tiré à trois reprises en direction de son voisin. Fenêtre et porte d’entrée avaient été atteintes, occasionnant une blessure à la main de la victime, âgée de 54 ans. Un grand nombre de cartouches avait été retrouvé par la suite chez le tireur, fortement alcoolisé au moment des faits.
Le parquet a requis la qualification de tentative d’homicide volontaire et le placement en détention provisoire, indique Presse Océan
http://www.20minutes.fr/nantes/1524199-20150123-saint-nazaire-ivre-tire-voisin-regardait-fenetre

Bourg-en-Bresse : il se tue dans sa cellule le jour du verdict de son procès

Accusé d’avoir tué un de ses collègues en 2011 sur un parking de Saint-Priest dans le Rhône, Lakhdar Hammani avait été condamné à 15 ans de réclusion criminelle en janvier 2014.
Il était rejugé en appel devant la cour d’assises de l’Ain cette semaine et le verdict devait être rendu aujourd’hui. Mais Lakhdar Hammani a mis fin à ses jours avant. Il a été retrouvé sans vie ce matin à l’aube par son co-deténu à la maison d’arrêt de Bourg-en-Bresse.
http://www.leprogres.fr/ain/2015/01/23/assises-de-l-ain-il-se-tue-dans-sa-cellule-le-jour-du-verdict

Deux Audois interpellés trois ans après l'assassinat d'un Allemand

Les gendarmes de Nice ont interpellé un couple, résidant dans l'Aude, dans le cadre d'une enquête sur l'assassinat d'un ressortissant allemand en 2011. Le couple aurait reconnu les faits et la préméditation. 
La brigade de recherches de la gendarmerie de Nice a réussi, plus de trois ans après les faits, à élucider l'assassinat d'un ressortissant allemand, interpellant mercredi ses deux auteurs présumés, a-t-on appris jeudi auprès de la gendarmerie. Les deux auteurs de l'assassinat, l'ex-compagne de la victime, de nationalité allemande et née en 1970, et son nouveau compagnon, de nationalité française né en 1966, ont été interpellés dans l'Aude et ramenés à Nice où ils ont été placés en garde à vue, a précisé à l'AFP le colonel Gaël Marchand, commandant du groupement de gendarmerie des Alpes-Maritimes.

Une lettre où il léguait sa fortune à son ex-compagne

L'affaire avait démarré en septembre 2011 par la découverte à son domicile à Eze, près de Nice, d'un ressortissant allemand retrouvé pendu. Très vite les enquêteurs avaient eu un doute, notamment à cause du noeud effectué sur la corde d'une façon assez inhabituelle pour ce genre d'affaires. L'autopsie avait toutefois conclu à un suicide. Cet Allemand, qui travaillait dans l'événementiel à Monaco, gagnait beaucoup d'argent, ce qui a incité les enquêteurs à s'intéresser à son environnement proche. La découverte d'une lettre dans laquelle cet homme de 48 ans léguait toute sa fortune à son ex-compagne les avait intrigués, de même que les déclarations des parents de la victime, indiquant que leur fils n'avait aucune tendance suicidaire.

Ils ont reconnu les faits

L'analyse graphologique a permis de démontrer que la lettre était un faux. Les gendarmes de Nice ont ensuite prouvé que le couple, qui indiquait n'avoir plus aucun contact avec la victime à l'époque des faits, avait fait un aller-retour, le jour du crime, entre le Sud-Ouest et la Côte d'Azur, et ce avec un véhicule équipé de fausses plaques d'immatriculation. L'ex-compagne et son compagnon actuel ont reconnu les faits et la préméditation
http://www.midilibre.fr//2015/01/22/deux-audois-interpelles-trois-ans-apres-l-assassinat-d-un-allemand,1114747.php

jeudi 22 janvier 2015

Jusqu'à cinq ans de prison requis pour des dizaines de cambriolages en Dordogne et Lot-et-Garonne

Depuis ce jeudi matin, trois hommes et l'épouse d'un comparaissent devant le tribunal correctionnel de Bergerac pour une importante série de cambriolages, commis dans la région.
Retour en 2013. Dans la nuit du 3 au 4 avril 2013, les gendarmes, avisés d'un cambriolage commis dans un garage du Sarladais, patrouillent et interpellent trois hommes. Dans leur voiture, ils trouvent des pots catalytiques volés peu auparavant, et tout le matériel nécessaire pour commettre des effractions et scier ces pièces automobiles.
Au domicile du conducteur de la voiture, outre de l'outillage, des GPS et objets divers, des produits cosmétiques en très grande quantité et du matériel professionnel provenant de salons de coiffures et d'instituts de beauté sont découverts. Des produits qu'il revendait en Roumanie, où il effectuait un voyage par mois.
Une enquête minutieuse permet d'établir que ces objets proviennent de vols commis dans les deux années précédentes, en Bergeracois, Sarladais, mais aussi dans des communes limitrophes du Lot-et-Garonne et de Corrèze. Depuis, les trois hommes ont effectué quelques mois de détention provisoire, puis ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire. Une période durant laquelle l'épouse du principal prévenu et ses enfants sont rentrés en Roumanie. Lui-même, âgé de 35 ans, a été contrôlé à l'automne dernier en Hongrie. Une violation du contrôle judiciaire qui lui a valu d'être de nouveau incarcéré.
Ce jeudi matin, lors de l'audience, comme pendant l'instruction, ils n'ont reconnu que les faits incontestables, assurant s'être approvisionnés essentiellement auprès d'un fournisseur de Toulouse.
Le procureur a requis à l'encontre du principal prévenu cinq ans d'emprisonnement et le maintien en détention pour 33 vols. Pour son cousin, qu'il hébergeait, poursuivi pour 26 cambriolages, Frédérique Dubost a demandé trois ans d'emprisonnement avec mandat d'arrêt à l'audience. Un jeune ami, qui les accompagnait et est soupçonné d'avoir participé à six cambriolages, risque six mois d'emprisonnement avec sursis et l'épouse 18 mois avec sursis. Pour un comparse, introuvable malgré un mandat d'arrêt, le ministère public a demandé un an d'emprisonnement.
L'audience se poursuit ce jeudi après-midi. La défense aura la parole.
Les pots catalytiques, denrée très prisée
Les pots catalytiques sont particulièrement appréciés par les voleurs : ils contiennent des métaux (le palladium, le rhodium ou encore le platine) dont le prix a fortement grimpé ces dernières années. C'est ainsi que l'on voit apparaître des gangs des pots.
 

Assises: l'aide-jardinier "n'a jamais rien volé" à Bébel, l'ancien légionnaire

Maxime Bonneton raconte jeudi matin, aux assises des Alpes Maritimes, comment il en est arrivé, le 21 décembre 2008 dans une rue d'un quartier HLM du village de la Vésubie, à porter un coup de couteau mortel à l'ami de Bébel, Jérome Debove, 19 ans. 
"Je n'ai jamais rien dérobé à Bébel", ancien légionnaire qui lui reprochait à Roquebillière le vol de deux bagues et de 10 euros, affirme Maxime.
Voix assurée, s'exprimant bien, l'aide jardinier au léger embonpoint relate que Jérôme, accompagné d'un ami également armé d'un couteau, voulait l'emmener chez Bebel pour un nouvel interrogatoire.
"Il m'a confisqué mon chien Labrador, m'a mis trois pastéques à la tempe. Puis il m'a dit à deux reprises: je vais te planter. J'ai sorti mon couteau et tendu le bras au moment où il se ruait sur moi". En clair, Jérôme se serait empalé sur le cran d'arrêt d'un accusé qui plaide la légitime défense. 
Maxime Bonneton est-il crédible? Le président Thierry Fusina souligne que son récit comporte un certain nombre d'incohérences techniques. Il note que l'ancien adepte du mouvement gothique a fourni en garde à vue une première version totalement erronée. "J'étais paniqué, j'avais honte de ce que j'avais fait".
"Vous veniez, dites-vous, de sauver votre vie, vous étiez donc en état de légitime défense et vous aviez honte..." s'étonne à la partie civile Me Walter Valentini.

Arrêt cardiaque spectaculaire place de la République

Le pôle sécurité de la ville est passé à l'action. Intervenant dans le cadre d'une affaire de police de proximité, Gérard Mandrou, en charge de la tranquillité et de la sécurité publique à Pamiers, et son équipe, ont réussi à sauver la vie d'un passant mardi matin, place de la République. Passant dans ce secteur de la ville, l'adjoint au maire est venu en aide à un homme victime d'un arrêt cardiaque, à deux pas du marché. L'ancien capitaine de gendarmerie, accompagné de David Rodriguez, pompier volontaire et employé au pôle sécurité publique, ont effectué les premiers gestes de secours. Des actes d'une grande importance pour cette personne, âgée d'une quarantaine d'années et en insuffisance respiratoire. Rapidement sur les lieux, les pompiers appaméens ont alors pris le relais avant de transporter en urgence la victime, un commerçant non sédentaire, jusqu'au centre hospitalier universitaire de Toulouse-Rangueil. Selon les derniers éléments obtenus hier en cours de journée, l'état de cette personne n'inspirait plus d'inquiétude, son pronostic vital n'étant pas engagé.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/22/2033561-arret-cardiaque-spectaculaire-place-de-la-republique.html

Assises de l'Hérault : la mort, les remords, et le sac à main d’Antoinette

Je ne cherche pas d'excuse. Si je n'étais pas allé voler cette personne, elle ne serait pas morte." Mince, pâle, le visage émacié, Juan Hadj Kouider, 23 ans, joue cartes sur table à la cour d'assises de l'Hérault. Le 29 juin 2010, dans le quartier Saint-Mathieu de Perpignan, il a arraché le sac à main d'Antoinette, 83 ans, que tenait André Cremer, 88 ans, son compagnon depuis 52 ans. André a tenté d'attraper le voleur, il est tombé au sol, la tête la première. Il est mort trois jours plus tard à l'hôpital. Antoinette ne s'en est jamais remise : elle vit aujourd'hui dans une maison de retraite de Perpignan, et n'a pas pu se déplacer au procès en appel du jeune voleur (1).
Jeune homme, vous auriez dû réfléchir avant"
En septembre 2013, aux assises des Pyrénées-Orientales, elle avait eu la force de venir. "Jeune homme, vous auriez dû réfléchir avant", lui avait-elle lâché. Juan, visiblement, a réfléchi. Après. Trop tard. Au moment des faits, il n'avait pas la tête à ça. "Vous viviez de quoi ?", demande le président Mocaer. "De méfaits. Des vols", répond le garçon qui à 18 ans avait déjà onze condamnations à son casier judiciaire. Quand il parle de son enfance, il dit : "C'était normal, pas trop mal. Dans mon entourage, il y en a qui ont eu des enfances plus difficiles. Moi j'ai été habillé, nourri, éduqué, j'ai été à l'école."
Normal ? Il a pourtant subi tout petit des maltraitances maternelles, des agressions sexuelles d'un voisin quand il n'avait que quatre ans, et a enchaîné les foyers, à partir de six ans, lui qui ne rêvait que d'être auprès de ses quatre jeunes frères et sœurs. Lorsqu'arrive à la barre Fatima, sa mère, qu'il refuse de voir depuis des années, la cour d'assises vacille, au bord du gouffre. "S'il est là, c'est ma faute", dit cette mère de cinq enfants. "J'allais en boîte, je buvais beaucoup je me droguais à l'héroïne, je la fumais. C'est Juan qui faisait tout : il a fait le papa, le grand frère. Ça lui arrivait même de s'occuper de moi."
Le bilan familial est terrible. "Mes enfants, ils ont tous été placés. Je ne me suis occupée de personne. Mes deux autres garçons ont été incarcérés pour vol et braquage, en étant mineurs." La dernière, âgée de 14 ans, est partie en foyer en novembre dernier.
Le président : "Vous mesurez le désastre, Madame ?"
"- Oui, Juan, il n'a pas eu d'enfance." Le magistrat insiste, Fatima livre une clé expliquant ses dérives : "Quand ma mère a quitté mon père, elle s'est retrouvée toute seule avec nous, elle a pris un couteau, l'a chauffé et m'a brûlé tout le bras."
Dans le box, Juan cache sa tête dans ses mains. A aucun moment, leurs regards ne se croisent. Puis il fait face aux questions : "Le sac, je ne l'ai pas fait parce que c'était des personnes âgées, je l'ai fait parce que j'ai vu l'argent."L'avocat général : "Vous n'avez pas pensé que quand on est âgé, on est plus vulnérable ?"
"- J'étais jeune et bête, M. l'avocat général. Je pensais pas."
Me Darrigade, son avocat, l'interroge sur son parcours. "Quand on est jeune, la prison, on la prend en rigolant. Quand on grandit, on voit qu'on a perdu des années de sa vie."
Il est derrière les barreaux depuis quatre ans et demi. "Cette expérience m'a fait comprendre ce que c'était, la vie. J'ai compris que ça ne sert à rien de voler pour gagner sa vie inutilement. Que ça ne sert à rien de faire du mal aux autres. Ça fait trois ans que je travaille en détention, au nettoyage. Que je me lève tous les jours à 7 h du matin. Plus tard, je veux m'installer avec ma copine, avoir des enfants, gagner ma vie comme un honnête citoyen."
Un honnête citoyen, comme André Cremer, dont on sait si peu de choses. Personne ne le représente à l'audience. Aucun membre de sa famille n'est là. Antoinette, l'an dernier, avait décrit "un homme très cultivé, curieux de tout, passionné de culture allemande". Il est mort pour quelques billets, rangés trop tard à la sortie de la boulangerie, qui ont hypnotisé l'un de ces enfants perdus qui hantent les rues de Perpignan. Verdict vendredi.
(1) Juan Hadj Kouider a été condamné à 12 ans de réclusion en première instance, le 23 septembre 2013.
http://www.midilibre.fr/2015/01/21/la-mort-les-remords-et-le-sac-a-main-d-antoinette,1114171.php

mercredi 21 janvier 2015

Dax : la douane saisit plus de 550 kg de cannabis

Une demi-tonne de cannabis dissimulées sous une trappe... Dans la nuit du 16 au 17 janvier, les douaniers de Dax (Landes) ont saisi 556 kg de résine de cannabis dans un poids lourd qui circulait en direction de Bordeaux (Gironde). La marchandise est estimée à plus de 3,3 millions d’euros sur le marché de la revente au détail des stupéfiants.
C'est la nervosité du chauffeur qui aurait mis la puce à l'oreille des fonctionnaires. Les agents surpris par le stress du conducteur auraient en effet décidé de faire appel à l’équipe cynophile spécialisée dans la détection de stupéfiants afin d'effectuer un examen approfondi du camion. Le chien détecte rapidement une odeur suspecte au fond du chargement. Bingo ! Derrière des palettes de pièces métalliques, les douaniers découvrent une cache qui contient 17 «valises marocaines» (des sacs préparés sur les lieux de production du cannabis dans le Rif, au Maroc) chargées de cannabis.

Le routier incriminé, un néerlandais de 64 ans, a été placé en retenue douanière puis remis au service de police judiciaire de Bayonne.

 
 


Le 4 janvier dernier, les douaniers de Bayonne avaient saisi 105 kg d’amphétamines dans la voiture de deux Néerlandais qui se rendaient en Espagne.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/dax-la-douane-saisit-plus-de-550-kg-de-cannabis-21-01-2015-4466187.php

Gironde : la thèse de l'accident de chasse confirmée

La gendarmerie a poursuivi ses investigations pour tenter de déterminer ce qui s'est passé samedi après-midi à Loupiac et connaître les circonstances de la mort de cette chasseuse 47 ans survenue lors d'une battue au sanglier.
Avec une quasi certitude, les enquêteurs sont arrivés à la  conclusion que la balle tirée par le chasseur de 63 ans a ricoché sur un obstacle avant d'atteindre mortellement la quadragénaire. Rappelons que le chasseur, après voir été placé en garde à vue quelques heures, a été remis en liberté samedi soir.
http://www.sudouest.fr/2015/01/21/loupiac-l-accident-de-chasse-confirme-1804418-2932.php

Bourg-en-Bresse : une lycéenne projetée à huit mètres par une voiture

L’accident s’est produit ce mercredi à 7h20, avenue de Lyon à Bourg-en-Bresse. La jeune fille âgée de 17 ans se rendait au lycée Quinet et traversait la rue sur un passage piéton lorsque elle a été percutée par une voiture.
Sa tête a heurté le pare-brise et la jeune fille a été projetée à huit mètres. Elle a été transportée à l’hôpital sans que son pronostic vital ne soit engagé selon le SAMU.

http://www.leprogres.fr/ain/2015/01/21/bourg-en-bresse-une-lyceenne-projetee-a-huit-metres-par-une-voiture

Lyon 7e: violences conjugales dans un squat

Un Albanais de 41 ans a été interpellé samedi soir dans le squat du boulevard Yves-Farge à Lyon, à la suite de violences conjugales. Il venait de frapper son épouse, qui a été légèrement blessée et a subi un jour d’incapacité. Ce n’est pas la première fois qu’il s’en prenait à elle, puisqu’il avait été interpellé pour des faits similaires en octobre dernier. Présenté lundi au parquet, il a été laissé libre avec une convocation ultérieure au tribunal.
http://www.leprogres.fr/rhone/2015/01/21/violences-conjugales-dans-un-squat

mardi 20 janvier 2015

Evacuation à Caen: des explosifs découverts chez un ancien légionnaire

C'est la femme de l'ancien gardien du gymnase, situé rue du désert dans le quartier du Chemin Vert, qui a alerté la police. Alors que son mari, un ancien légionnaire, est hospitalisé, elle découvre ce lundi 19 janvier dans le domicile familial des engins explosifs. Les forces de l'ordre ont alors procédé en fin d'après-midi à l'évacuation du secteur, notamment les personnes présentes dans la salle de musculation du gymnase voisin du pavillon ainsi que les résidents des rues adjacentes. La rue du Désert a quant à elle était bouclée. Le service de déminage est arrivé sur les lieux vers 18 h 30 avant de repartir une demi-heure plus tard. Le parquet a annoncé ce lundi soir qu'un pain de plastic avait été découvert dans le pavillon. Les personnes évacuées ont pu regagner leur domicile vers 19 h 15.
http://franormandie/2015/01/20/evacuation-caen-un-ex-legionnaire-stockait-des-explosifs-chez-lui-636446.nce3-regions.francetvinfo.fr/basse-html

Wimereux, appel à témoins : une voiture renverse une jeune femme et prend la fuite

La Direction Départementale de la Sécurité Publique du Pas-de-Calais confirme cette information de La Voix du Nord. Une voiture a renversé une femme lundi 19 janvier à Wimereux.

La jeune femme, qui était sur un passage piétons, souffre aujourd'hui de "douleurs à la hanche et au coccyx", note l'article.

Agée de 26 ans, elle faisait son jogging lorsqu'elle a été percutée par une voiture. Le conducteur(rice) a pris la fuite. D’après les déclarations de la jeune femme, le véhicule était un 4x4 gris. Hier soir, l’automobiliste ne s’était pas encore manifesté auprès de la police. Le commissariat appelle toute personne ayant des informations sur cette affaire à contacter ses services au 03 21 99 48 48.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2015/01/20/appel-temoins-une-voiture-renverse-une-jeune-femme-et-prend-la-fuite-636534.html

Essonne : un spectaculaire accident de bus fait trois blessés à Corbeil

Trois blessés, dont un plus sérieusement touché. C’est le bilan du spectaculaire accident de bus survenu ce mardi matin à Corbeil (Essonne). Pour des raisons encore inconnues, la conductrice du bus 405 du réseau Tice n’a pu empêcher une violente collision au niveau d’un arrêt de la gare routière, située rue Emile-Zola

Les premiers éléments ont permis de déterminer que la conductrice n’était pas sous l’emprise de l’alcool.
Parmi les trois blessés, la plus gravement impactée est une femme d'environ 60 ans habitant Corbeil. Elle était toutefois consciente au moment de sa prise en charge. Elle a été conduite à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne). Son état est stable. Les deux autres victimes ont été hospitalisées à Corbeil, tout comme la conductrice en état de choc.

Les lignes 401 et 405 du réseau Tice ont été déviées et ne passent provisoirement plus par la gare routière.
http://www.leparisien.fr/corbeil-essonnes-91100/un-spectaculaire-accident-de-bus-fait-trois-blesses-a-corbeil-20-01-2015-4462469.php
 
 

Il fauche un gendarme en Haute-Saône : direction la prison

Beaucoup de monde lundi à 13 h dans la salle d’audience du tribunal correctionnel de Vesoul. Le directeur de cabinet du préfet de Haute-Saône a fait le déplacement, comme le commandant du groupement de gendarmerie du département accompagné d’une vingtaine d’hommes. Ces derniers sont venus soutenir leur collègue hospitalisé après avoir été percuté par une voiture dans la nuit de samedi à dimanche, à Vaivre-et-Montoille, lors d’un banal contrôle routier.
Présenté en comparution immédiate, le jeune homme de 22 ans qui conduisait le véhicule arrive entre deux policiers. Tête basse, cet apprenti maçon de Jussey, qui n’a plus le permis, attend l’ouverture de l’audience. Son avocat annonce aussitôt la couleur : comme la loi le permet, le prévenu demande un délai pour préparer sa défense.
Ce qui lui est reproché ? Vers 4 h 45 dimanche matin, alors qu’il sortait de boîte de nuit, il ne s’est pas arrêté à un contrôle mis en place par deux motards de la gendarmerie. Au volant d’un utilitaire, il a heurté un des gendarmes de plein fouet. Selon l’autre motard présent sur place et selon deux témoins entendus par les policiers en charge de l’enquête, le conducteur aurait accéléré et fait un écart avant de faucher le gendarme. « Vous vous êtes ensuite enfui très courageusement », relève le président du tribunal, Fernand Kato. Le conducteur et son passager, qui est aussi le propriétaire du véhicule, se sont finalement présentés d’eux-mêmes à la gendarmerie dans la journée, alors qu’un important dispositif de recherches avait été mis en place.
De son côté, le motard grièvement blessé dans l’accident a été pris en charge à l’hôpital de Vesoul. Un témoin a raconté l’avoir vu « voler très haut en l’air » sous l’effet du choc. Retombé dans la cour d’une habitation voisine, il souffre de multiples fractures. « Malgré ses blessures, il a beaucoup de chance de ne pas être mort dans l’exercice de ses fonctions », constate la procureure de la République, Julie Bressand. Celle-ci requiert le placement en détention provisoire du conducteur de la voiture pour être sûr qu’il reste à la disposition de la justice.

Tentative d’homicide ou accident

Inutile, estime son avocat : « Il a paniqué au moment de l’accident, mais il ne va plus se sauver. » Me Randall Schwerdorffer réclame aussi un complément d’information pour vérifier si, oui ou non, le conducteur a percuté délibérément le gendarme. « Soit c’est une tentative d’homicide volontaire, soit c’est un accident avec des blessures involontaires », résume-t-il. C’est cette deuxième hypothèse que son client soutient.
Un juge d’instruction devra finalement faire toute la lumière sur ce dossier : le tribunal a décidé de renvoyer le dossier au pôle de l’instruction de Besançon. Pour les juges vésuliens, des investigations complémentaires – comme une reconstitution ou des confrontations – doivent être menées dans ce dossier. En attendant, le conducteur a été placé en détention provisoire et incarcéré à la maison d’arrêt de Vesoul. Son passager a été remis en liberté.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/01/20/il-fauche-un-gendarme-direction-la-prison

lundi 19 janvier 2015

Disparition inquiétante d'une jeune femme à Rennes

Depuis samedi, les policiers de Rennes sont à la recherche d'une jeune femme de 22 ans. Sa mère nous a précisé avoir signalé sa disparition vendredi soir.

Etudiante en master Information-Communication à Rennes 2, Marie Lama n'a plus donné de ses nouvelles depuis sa sortie de la discothèque Le Baron, rue Duhamel dans le quartier Saint-Hélier. Lors de sa sortie du club vers 4h du matin dans la nuit de jeudi à vendredi, "elle portait un tee-shirt bleu foncé et un pantalon rouge et n'avait pas de papiers d'identité sur elle", nous a précisé sa mère qui a signalé sa disparition vendredi soir. Cette même nuit, elle devait dormir chez des amis rue Dupont-des-Loges, à quelques centaines de mètres de la discothèque.

Aucune nouvelle depuis vendredi

"Depuis sa disparition, aucun mouvement n’a été signalé sur sa carte bancaire ainsi que sur son téléphone portable", indique un policier proche de l'enquête. Aucune piste n'est écartée et les recherches se concentrent sur le quartier Saint-Hélier. Trois pompiers plongeurs de Rennes ont sondé pendant une heure ce lundi matin, un bras de la Vilaine à hauteur de la passerelle Odorico.

La jeune femme ne s'est pas présentée à la fac vendredi et à son job étudiant samedi au centre de tri de La Poste.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2015/01/19/disparition-inquietante-d-une-jeune-femme-rennes-635868.html

Chaniers (17) : une jeune femme de 27 ans tuée sur la route

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 terrible accident de la circulation a coûté la vie à une jeune fille de 27 ans, ce lundi matin, à Chaniers, commune limitrophe de Saintes. Elle allait en direction de Cognac sur la N141 quand, pour une raison que l'enquête de gendarmerie devra déterminer, sa voiture est passée sous un semi-remorque roulant en sens inverse sur une portion de route limitée à 90 km/h.
Le conducteur du poids-lourd, âgé d'une cinquantaine d'année, a été transporté au centre hospitalier de Saintes. Une troisième personne, une jeune femme de 25 ans, témoin de l'accident, est extrêmement choquée.
La route nationale 141 a un temps été coupée et déviée. Les poids-lourds ont été déviés par la départementale 131 dans le sens Saintes-Cognac et par la RD 234 dans le sens Cognac-Saintes. Une circulation alternée a été mise en place pour les voitures jusqu'en fin de matinée.
http://www.sudouest.fr/2015/01/19/chaniers-17-une-jeune-femme-de-27-ans-tuee-sur-la-route-1801954-1391.php

Une figure du "milieu" de nouveau devant les assises des Alpes-Maritimes

Thierry Fornasari, un Cannois de 40 ans, déjà condamné à 15 ans de réclusion pour trafic de drogue, comparaît à nouveau ce lundi matin devant les assises des Alpes-Maritimes, pour le braquage d'une banque à Mougins.
À partir de ce lundi matin et jusqu'à demain, comparaît devant la cour d'assises des Alpes-Maritimes une célébrité du milieu azuréen. Dans le box des détenus, Thierry Fornasari, 40 ans, répond d'un braquage de banque qu'il nie avoir commis à Mougins.
Ce Cannois se défend de faire partie du grand banditisme. Il explique que sa réputation et son actuel placement à l'isolement à la maison d'arrêt de Grasse découlent d'une regrettable confusion avec son oncle Emile Fornasari, évadé par hélicoptère en 2001 de la prison de Draguignan.
>>REVOIR.
Reconnu parquatre témoins
Il n'empêche. Dès 1999 à Nice, Thierry, le neveu, a été condamné à six ans de prison pour stupéfiants. En Espagne où il avait transféré ses activités, il a ensuite passé sept ans en détention avant d'être extradé début 2014 vers la France. En décembre dernier à Grasse, il a écopé de quinze ans de prison dans le cadre d'un vaste trafic international portant sur plusieurs tonnes de haschich.
Son casier judiciaire va-t-il encore s'étoffer? Thiery Fornasari est accusé d'avoir attaqué le 28 décembre 2001 l'agence de la Société générale située avenue de Tournay à Mougins.
Vers 9h30, un homme masquant son visage sous une écharpe avait menacé, avec un pistolet automatique, employés et clients. Il s'était emparé de l'argent du tiroir-caisse et du contenu de quatre coffres, soit un peu plus de 50.000 euros.
>>RELIRE.
Extraits du système de vidéosurveillance de l'établissement, des clichés du malfaiteur furent présentés à cinq témoins. Quatre d'entre eux auraient reconnu le Cannois, qui clame cependant son innocence.
« Il est tellement sûr de lui », indique son avocat, Me Mohamed Kassoul, « qu'il n'a pas hésité à demander une expertise morphologique, une comparaison entre les photos de l'inconnu de la banque et les siennes. »
Une première biométrie faciale l'a pourtant incriminé avant qu'une seconde, confiée à un autre expert, ne semble l'absoudre. Treize ans après les faits, les quatre témoins reconnaîtront-ils de nouveau Thiery Fornasari? Me Kassoul affirme que les « charges sont très légères, voire inexistantes ». Il sollicitera un acquittement.
http://www.nicematin.com/nice/une-figure-du-milieu-de-nouveau-devant-les-assises-des-alpes-maritimes.2069426.html